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Boris 1er septembre 2022

La reconquête : 22 - Les couches-tôt Dimanche 25 juillet, 20:41 Sophie arrive dans la chambre et se penche pour retirer ses chaussures, mais, l'alcool n'aidant pas, elle bascule et se retrouve les fesses par terre. - Pffff, faut vraiment que je me couche, moi... Quand Alan entre dans la chambre, il est ravi par le spectacle de l'entrejambe dénudé qu'expose la jeune fille. - Un peu d'aide peut-être ? images similaires - Holala oui, j'ai trop picolé... Je ne tiens plus debout et je n'arrive même pas à retirer cette foutue boucle de chaussure. Alan s'accroupit entre ses cuisses et retire la première chaussure. Puis, lui tenant la cheville, il retire la seconde, laissant ensuite sa main remonter lentement le long du mollet, du genou et de la cuisse : - Tu es bien épilée. Tes jambes sont très douces. - Hihi, tu me chatouilles. Les doigts d'Alan atteignent leur objectif et caressent doucement les lèvres encore trempées de cyprine. Sophie feule, sans trop comprendre : - Que... Qu'est-ce que tu fais ? Sans répondre, Alan fait pénétrer son index et son majeur dans la fente humide. Sophie pousse un gémissement de plaisir, mais se relève brusquement, laissant Alan accroupi par terre : - Alan ! Ne profite pas de la situation ! Je suis bourrée, mais je vois bien ce que tu essayes de faire... Sébastien les rejoint à cet instant et s'inquiète de voir la petite robe retroussée sur les fesses de son ex : - Sophie ? Tout va bien ? - Bah non... J'ai trop bu. Il faut que je dorme... Comme elle commence à relever sa robe sur son ventre, elle demande aux garçons de sortir : - Vous pouvez sortir pendant que je me déshabille ? Alan rigole : - Tu plaisantes ? On t'a déjà vu à poil, sous toutes les coutures. - Oui... c'est pas faux... Elle retire donc sa minirobe devant eux, quittant toute pudeur. Alan sourit et commence lui aussi à se déshabiller. Quand il retire son short et exhibe son érection, Sophie pouffe de rire : - Ohlala... Tu vas dormir sur la béquille, toi ! Hihi... - Tu n'auras pas pitié de moi ? - Ohlala, non... Trop crevée... Montant sur le lit, elle se tourne vers Sébastien : - Toi aussi, Seb ? Tu as la gaule ? Pour ne pas être en reste, Sébastien quitte aussi ses vêtements et libère, lui aussi, une imposante érection. - Je suis désolée... vraiment trop crevée... - Ne le sois pas, Sophie. C'est juste que tu es... inspirante. - Ok, ne profitez pas trop de votre inspiration et n'abusez pas de moi pendant mon sommeil... Sébastien est presque outré qu'elle puisse envisager cela de lui, mais il comprend que l'injonction est davantage destinée à Alan. images similaires Sophie se glisse sous la couverture, mais ne prend pas la peine de la remonter au-delà de ses fesses. Sébastien a la chance de pouvoir admirer le profil parfait d'un sein alors que la jeune fille s'endort en seulement quelques secondes. Alan fait un clin d'œil à Sébastien : - Elle dort déjà ? - Oui. Et je crois qu'on va en faire autant. Sébastien se couche en jetant un regard à la belle endormie. Sébastien n'a pas bu autant que Sophie et il sait qu'il ne va pas s'endormir aussi rapidement qu'elle. Ce qui tombe bien, car il veut garder un œil sur Alan qui ne semble pas avoir sommeil du tout. Pour rester discret, il fait semblant de dormir, ne gardant qu'un œil ouvert sous la couverture. Il prend conscience qu'il bande encore. Qu'est-ce qui lui arrive ? Il a déjà compris que cela l'excite au plus haut point d'exhiber Sophie, mais il prend conscience qu'il adore aussi être voyeur et la regarder se faire tripoter par d'autres. Aussi, il ne réagit pas quand Alan tire la couverture de Sophie et dévoile ses fesses nues. Sébastien entend Alan commenter : - Merde, elle a quand même un cul magnifique. Je ne peux pas laisser ça inexploité, ce serait du gâchis. Il tend la main et glisse son index le long des lèvres de la moule. Sophie pousse un petit gémissement de plaisir et, comme si c'était naturel, elle écarte les cuisses pour faciliter l'accès. Alan sourit : - Oui, ma belle, je crois que j'ai compris ce que tu veux. Il glisse sa main entre les cuisses et tend l'index et le majeur qu'il lui glisse doucement dans la fente. La réaction de Sophie ne se fait pas attendre : - Mmmmm, Seb... Continue, c'est si bon ! Même si ce n'est pas son nom qui a été prononcé, Alan se sent encouragé et se met à la masturber lentement. La respiration de Sophie accélère et, du coin de l'œil, Sébastien voit qu'elle ondule la croupe pour aller au-devant de cette caresse intime : - Ooooh Seb... Oui... Alan retire ses doigts : - Dis donc, tu pourrais quand même avoir la politesse de reconnaître les doigts de celui qui te branle. Sophie est si saoule qu'elle ne réagit pas au commentaire d'Alan et se contente de gémir : - Oooh encore Seb... Alan admire la moule béante qui ne semble pas vouloir en rester là. - Bien, ma belle. Si je te fais un petit massage, tu devrais être en mesure de me reconnaître, non ? Il prend dans son sac un flacon de lotion de massage et en étale sur le dos, les fesses et les cuisses de la jeune fille. Quand ses doigts effleurent les lèvres de son sexe ou son anus, Sophie feule et se cambre pour tendre sa croupe. - Héhé, je crois que tu es mûre. Il commence par lui masser le dos, descendant souvent vers les fesses. À chaque feulement de Sophie, Sébastien imagine qu'un doigt d'Alan vient d'effleurer la rosette de son ex. Cela l'agace, mais il bande tellement qu'il n'ose pas se manifester pour qu'Alan arrête ses attouchements pervers. De plus, souhaite-t-il vraiment qu'Alan arrête ? Quand il voit les mains du garçon commencer à masser les cuisses, il n'est pas étonné de voir les doigts remonter de plus en plus vers l'entrejambe et il sait, aux gémissements de Sophie, quand les doigts entrent en contact avec l'abricot de Sophie. Alan attrape une cuisse à deux mains et remonte le genou pour forcer Sophie à relever un peu sa croupe. - Fais-moi voir ton joystick que je m'amuse un peu... Glissant une main entre ses cuisses, il n'a aucune peine à trouver le clitoris tendu et trempé de mouille. Après quelques minutes, Sébastien constate aux gémissements de Sophie qu'elle est sur le point d'avoir un orgasme. Alan semble fier de lui : - Attends ma belle, tu vas adorer. Au moment où son bassin imprime les premières convulsions de l'orgasme, Alan abandonne le clitoris et plonge d'un coup son doigt trempé de cyprine dans l'anus de la jeune fille, la faisant se redresser de surprise alors qu'elle subit les soubresauts de la jouissance. - Oooh ? - Là, ma belle ! Voilà, tu y es... Il se met à lui masturber doucement l'anus, décuplant son orgasme. Sébastien voit le doigt d'Alan fouiller frénétiquement le petit trou de son ex, et la croupe de celle-ci qui semble frétiller indéfiniment, comme si l'orgasme n'avait pas de fin. Quand Alan retire son doigt, elle a encore quelques soubresauts de plaisir : - Ooooooh... Seb... Puis, elle sombre, tétanisée. Alan semble vexé. - Merde, tu n'es pas foutue de reconnaître les doigts d'un masseur professionnel. Je sais bien ce que tu vas reconnaître, alors. Là, il n'y aura pas de méprise possible avec l'autre petite bite. Sébastien distingue qu'Alan exhibe une érection colossale. Il sait quelle est la suite du programme. Il devrait se manifester et empêcher Alan de violer Sophie, mais il veut aussi voir ça. Il veut la voir jouir. Elle est si belle quand elle jouit. Sébastien se déteste de ne pas essayer d'empêcher cela. Mais il est trop tard. Alan est déjà à genoux entre les cuisses écartées de Sophie. Il dirige son énorme pieu contre la fente humide et, lentement, il pousse, centimètre par centimètre jusqu'à être à demi emmanché en elle. Sophie semble dormir et gémit dans son sommeil. Alan la pénètre doucement et commence de lents va-et-vient. - Là, ma belle, tu ne peux pas te tromper. Sophie se cambre pour mieux l'accueillir. Sébastien doute qu'elle puisse dormir encore et ses cris laissent à penser que, malgré l'alcool, elle est pleinement consciente de cette pénétration. - Oh ouiiii. Ouiiiiii... Vas-y... Sébastien constate qu'elle ne prononce plus son nom, "Seb"... S'est-elle rendu compte qu'il s'agissait d'Alan ? Le garçon accentue ses assauts : - Han ! J'y vais, ma belle, j'y vais. Han ! Puis, profitant de la position cambrée de Sophie, il passe une main sous son ventre et trouve son clitoris. Une seconde fois, il lui donne un orgasme alors qu'il continue à la pilonner. Alors qu'elle jouit puissamment, Alan, donne un ultime coup de reins, ponctué d'un "Han !" viril. Planté ainsi en elle presque jusqu'à la garde, il s'immobilise. Sébastien n'a aucun doute, Alan jouit lui aussi et est en train de se répandre en elle. - Aaaaah... Ma belle... tu as une chatte aussi accueillante que celle de ma cousine... Quel pied ! Sébastien devrait être furieux, jaloux. Pourtant, l'intensité de son érection sous les draps trahit surtout une excitation incroyable. Imaginer la semence de ce gros porc d'Alan se répandre ainsi dans le temple de Sophie devrait le mettre hors de lui, mais il trouve cela au contraire terrible excitant. Il repousse le drap, de peur d'éjaculer dessus de manière incontrôlée. images similaires Alan tourne la tête vers lui et voit son état : - Héhé, ça t'excite de voir ta nana prendre son pied avec une grosse bite ? Lentement, il se redresse et extirpe de la fente béante son énorme pieu encore bandé, laissant un flot de sperme s'échapper. Puis, restant entre les cuisses de Sophie, il s'adresse à Sébastien. - Tu m'excuses, je ne te laisse pas encore la place, il faut que j'essaye un truc qui me fait envie depuis deux jours. Sébastien est tétanisé : il voit Alan guider son énorme queue entre les fesses de Sophie appuyant son gland contre anus. D'une poussée, il s'enfonce presque jusqu'à la garde dans le canal serré, faisant hurler Sophie. Mais le hurlement semble être plus de surprise que de douleur et les gémissements qui suivent prouvent l'intensité du plaisir que prend Sophie à sentir cet énorme pieu glisser dans ses entrailles. Les bruits caractéristiques parviennent à Sébastien. Celui des couilles d'Alan qui viennent claquer contre les fesses de la jeune fille ; celui du sperme qui suinte et s'échappe à chaque fois que le jeune homme investit un peu plus le fourreau étroit. À chaque assaut dans l'étroit canal, du sperme est expulsé de la fente béante. Sébastien est subjugué. Il repense à cette sodomie, la première, et la dernière, qu'il a donnée à Sophie. Il repense à l'orgasme puissant qu'il lui a donné en la préparant par de savants préliminaires, puis à son aveu d'adultère qui a provoqué leur rupture. Et là, Alan est en train de la pilonner et va lui aussi lui donner un orgasme. Sébastien a le cerveau complètement retourné. Est-ce lui qui pense ? Où est-ce sa queue qui décide pour lui ? Cette queue qu'il est en train de masturber lentement en observant la scène qui se joue devant lui. images similaires Sophie jouit. Sébastien ne se souvient plus si elle avait joui plus fort, plus intensément, quand il lui avait offert sa première fois. Est-ce qu'une queue plus grosse donne forcément un orgasme plus important ? Peut-être que cela est plus douloureux et qu'il y a moins de plaisir ? Sébastien se raccroche à ces questions qui tournent en boucle dans sa tête. Mais ses yeux ne le trompent pas. Sophie a un orgasme puissant. Très puissant. Elle crie de plaisir. Pas de douleur. Et soudain. Le matelas du lit de Sophie semble devenir immobile : Alan s'est arrêté, maintenant son gourdin dans le cul de Sophie. Sophie se rend-elle compte ? Son troisième orgasme lui permet-il de sentir le sperme qui se répand dans ses entrailles. Sébastien n'a aucun doute. Il voit les couilles d'Alan se contracter et devine les flots de sperme qui envahissent la croupe de son ex. Sébastien retient sa respiration et crispe sa main à la base de son sexe. Il vient de se rendre compte qu'il avait lui aussi atteint le point de non-retour. Sa jouissance lui paraît bien minable en comparaison de celles d'Alan et Sophie. Relâchant la pression, il ferme les yeux et laisse son sperme jaillir et éclabousser son ventre et sa cuisse. images similaires Quand il rouvre les yeux, il ne sait pas combien de temps a duré son plaisir, mais sans doute cela a-t-il été rapide car il voit Alan se retirer lentement de l'anus de Sophie et continuer à éjaculer, comme si cela ne devait jamais s'arrêter. Haletant, il regarde les fesses et l'entrejambe de Sophie, maculés de sperme : - Je crois que j'ai jamais autant éjaculé ! Sophie, terrassée, semble s'être assoupie à nouveau. Les soubresauts de son corps s'estompent peu à peu et sa respiration se fait plus calme. Alan tend la main et étale sa semence sur le dos, les fesses, les cuisses et la moule de la jeune fille, comme s'il s'agissait d'une lotion de massage. - Bon dieu, que c'est bon un cul vierge... Sébastien sourit intérieurement : il sait qu'il a été le premier à déflorer Sophie par cette voie. Alan se lève et regarde dans sa direction : - Je vois que ça t'a bien plu de voir ta gonzesse se faire démonter le cul. Bon, je file à la douche. Sébastien ne réagit pas. Qu'importe les moqueries et la grossièreté de ce type. Sur un point, Alan a raison : il a adoré voir cela et le sperme qu'il a sur la main en est la preuve. images similaires Sébastien tourne la tête et observe Sophie qui semble dormir à poings fermés. L'excitation retombée, il s'en veut d'avoir laissé Alan profiter de l'état d'ébriété de Sophie pour abuser d'elle. L'excitation lui a fait perdre tout bon sens et il n'aurait jamais dû laisser faire cela sans réagir. Et non seulement il n'a pas réagi, mais il s'est branlé en observant la scène. Il a cautionné ce... ce viol. Et pourtant, Sophie semble dormir avec une certaine sérénité sur le visage. Sophie ouvre les yeux. Sébastien sursaute. Il prend conscience qu'elle n'est pas en train de se réveiller, mais qu'elle est parfaitement réveillée et sans doute qu'elle ne dormait pas du tout. - S... Sophie ? Tu... tu ne dormais pas ? - Bah, non gros malin. J'ai beau avoir un coup dans le nez, je peux t'assurer que le premier orgasme que cet abruti m'a donné m'a bien dégrisée. Observant le sperme sur le ventre et la main de Sébastien, elle ajoute : - Je vois que ça t'a bien plu, à toi aussi. - Mais... tu... tu l'as laissé faire ? - Oui, j'espérais que tu réagirais et qu'au mieux tu le virerais ou, au pire, tu viendrais te joindre à lui. Ce n'est pas faute d'avoir appelé ton nom à plusieurs reprises pour t'inciter à venir. - Tu savais que je ne dormais pas ? - Évidemment, j'ai dormi à tes côtés pendant suffisamment de nuits pour connaître ta respiration quand tu dors. - Oh merde... je me sens con. Je suis désolé d'avoir laissé Alan te faire tout ça. - Non, ne culpabilise pas. C'est moi qui suis désolée de m'être fait ce plan foireux où tu viendrais me sauver de ses griffes. Je me suis mise dans cette situation volontairement pour faire de toi mon héros, mais j'avais manqué un détail. - Quel détail ? - Tu n'es pas un possessif. Tu es altruiste, c'est dans ta nature, et tu adores partager. Et ce que j'ai compris en t'observant depuis deux jours, c'est que tu apprécies beaucoup de jouer les voyeurs. - Pfff, tu as raison. Je suis trop nul. Je ne vaux guère mieux que ce gros lourd d'Alan. - Mais non, arrête de t'auto-flageller. Ce que je veux te dire, c'est que ça ne me pose aucun problème. Au contraire. - Quoi ? Sophie se redresse, se positionnant à quatre pattes sur son lit : - Seb, je t'aime. Sébastien reste subjugué par ce qu'il vient d'entendre. - Tu... tu m'aimes encore ? - Bien sûr, Seb. Il m'a juste fallu un peu de temps pour te comprendre. Comprendre comment tu fonctionnes sexuellement. Et quand j'ai compris à quel point tu étais altruiste, même pour le sexe, j'ai pris conscience à quel point j'ai été conne de te foutre à la porte alors que ta seule préoccupation était mon plaisir à moi. - Mais... tu ne m'en veux pas du tout. Et que je me branle en regardant l'autre con te sodomiser, ça ne te choque pas ? - Je ne vais pas te mentir, j'aurais préféré que tu lui casses la gueule et que ce soit toi qui m'encules ensuite. Mais c'était un mauvais calcul de ma part et je suis seule responsable de la situation où je me suis mise. - Quand même... - Je ne vais pas me plaindre. Cet abruti m'a quand même donné trois orgasmes magnifiques. Je ne peux pas nier que son gros machin m'a fait de l'effet, quel que soit l'orifice où il me l'a mis... Sébastien est sur un petit nuage. Il veut la rejoindre, l'embrasser et la serrer dans ses bras. Il veut lui dire à quel point il l'aime, à quel point il l'a toujours aimée. Mais alors qu'il s'apprête à lui avouer à son tour la vivacité de sa flamme, Sophie tourne la tête vers la porte de la chambre en disant : - Merde, il a fini sa douche... Il revient. Vite, faisons semblant de dormir. Elle se rallonge et ferme les yeux juste avant que la porte ne s'ouvre. Sébastien l'imite. Derrière ses paupières mi-closes, il voit Alan refermer la porte de la chambre. Quand il se retourne, il affiche encore une formidable érection. Sébastien l'entend chuchoter : - Merde, elle me redonne la gaule, la petite, avec son joli petit cul. Quand il le devine s'approcher du lit, Sébastien se demande si Sophie va le laisser faire. Mais quand Alan s'approche, il semble s'arrêté en regardant de plus près entre les cuisses de la jeune fille. Il constate que de la mouille suinte encore de son abricot. - Pfff, quel gâchis... Elle mouille encore et moi je suis hors service... Sébastien sourit, nourrissant l'espoir que c'est leur petite discussion à cœur ouvert qui l'a excitée. Il entrouvre un œil en direction de Sophie. Celle-ci, tournant le dos à Alan, lui sourit et lui fait un clin d'œil. Alan s'installe derrière elle et vient se lover tout contre son corps. - Allez ma belle, je dors un peu pour reprendre des forces et demain matin tu auras le droit encore à un orgasme et surtout beaucoup de sperme. En quelques minutes, la respiration forte du garçon laisse à penser à Sébastien qu'Alan s'est endormi. Épuisé par cette incroyable journée, Sébastien succombe à son tour aux bras de Morphée.

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