Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote    =

Episode précédent <<< Les carnets de voyage de Juliette - 2 : L'Inde - Calcutta

Tony
5 septembre 2022
Les carnets de voyage de Juliette - 2 : L'Inde - Calcutta

J'ai décidé de transcrire ce qui m'est arrivé ces derniers temps dans un journal intime, ou plutôt ce qu'on pourrait appeler des carnets de voyage. Voyages dans l'espace, bien sûr, dans le temps, quelquefois, mais surtout vers des territoires qui m'étaient, jusque-là, totalement inconnus et qui m'ont entraînée de découverte en découverte. Si vous me lisez maintenant, c'est que vous avez l'un de ces carnets entre les mains. Je vous laisse me découvrir et me mettre à nu. Vous ne devriez pas être déçus du voyage. Ce carnet est le deuxième de la série.

*********************

Résumé du premier carnet : Juliette et son mari Xavier s'envolent pour Calcutta à l'occasion de leur dixième anniversaire de mariage. Pendant que Xavier et la plupart des voyageurs sont endormis, Juliette assiste à quelques ébats amoureux entre passagers. L'une de ces étreintes a lieu dans un salon privé entre Amrit, un beau quadragénaire au charme exotique et l'une des hôtesses. Juliette se fait attraper en plein voyeurisme par Keya, jeune et jolie blonde, complice d'Amrit, qui joue avec la concupiscence de Juliette. Folle de désir, cette dernière se laisse entraîner et rejoint le trio. C'est la première fois qu'elle se fait prendre par un autre homme que Xavier et, par voie de conséquence, la première fois qu'elle trompe celui-ci. Encore inconsciente de ce qui vient de se jouer, elle imagine que ce sera la dernière...

*********************

Les lumières rallumées, je m'étais dépêchée de me changer avant que l'avion n'amorçât sa descente. J'avais enfilé une jupe et un petit haut moulant blanc. Mon shorty ayant souffert de mon désir de la nuit, il était devenu immettable et je n'avais pas eu la présence d'esprit d'emporter des sous-vêtements de rechange en cabine. Par ailleurs, un besoin de liberté et la peur de trop grandes chaleurs à notre arrivée m'avaient fait renoncer à mon soutien-gorge. C'est donc dans cette tenue « légère » que j'avais fini le voyage jusqu'à Dehli.


images similaires


Le premier avion ayant du retard, nous avions à peine le temps d'attraper notre correspondance. La chaleur et la course pour rejoindre le terminal à temps me faisaient transpirer et je sentais mes vêtements coller à ma peau. Je devais être indécente dans cette tenue et tout le monde devait pouvoir admirer ma poitrine par transparence.


images similaires


Mais je m'en fichais car je ne voulais pas rater notre vol. Pire, je crois que je prenais plaisir à penser que certaines des personnes autour de moi pouvaient se rincer l'œil. Je commençais à ressentir des pulsions exhibitionnistes que je ne me connaissais pas. Heureusement, nous atteignîmes la porte d'embarquement avant qu'elle ne soit close. Essoufflés, nous nous laissâmes tomber sur nos sièges.

- Ouf, il était moins une, dit Xavier au bord de l'apoplexie.
- Oui mais nous l'avons eu, lui répondis-je dans un sourire. Nous pouvons nous détendre.

Xavier tira de son sac un livre sur l'Inde et se plongea immédiatement dans sa lecture sans plus faire attention à ma présence. Il n'avait même pas mentionné la transparence de mon vêtement ou la beauté de ma poitrine. Sans doute n'avait-il rien remarqué contrairement à son voisin de devant dont la tête allait se dévisser à force de lorgner sur mes seins.


images similaires


Je faisais toutefois semblant de n'avoir rien remarqué, ni l'intérêt de mon voisin, ni le désintérêt de mon mari. Pour laisser libre cours à mon voyeur, je faisais semblant de dormir. J'aurais aimé pouvoir dormir réellement mais trop de questions se bousculaient dans mon esprit. Les images de la nuit défilaient sous mes yeux fermés. Le regard provocant de la jeune blonde alors qu'elle enfournait le sexe de son compagnon dans sa bouche accueillante, Keya allongée nue, le sexe de Saral en pleine éjaculation et enfin la gorge profonde que l'hôtesse prodiguait à Amrit. De nombreuses sensations me revenaient aussi en mémoire. La douceur des mains de Keya sur mon corps, la douleur ressentie lorsqu'elle m'avait pincé les mamelons, le plaisir de sentir ses doigts jouer avec mon clitoris. Sans oublier la douceur sucrée du sexe de l'hôtesse, la dure virilité d'Amrit dans ma bouche, la puissance de son sexe dans ma chatte, la violence de mon orgasme, la chaleur de son sperme sur mon visage et le goût de celui-ci dans ma gorge. Rien que d'y penser, je sentais de nouveau la chaleur du désir monter en moi et mes tétons pointer dangereusement. Cela devait ravir mon voyeur s'il me reluquait encore.


images similaires


Ouvrant très légèrement les yeux afin de ne pas me faire remarquer, je vérifiai que c'était bien le cas. Effectivement, il ne semblait pas se lasser du spectacle. Une telle assiduité méritait bien une récompense. Je pris alors un livre, changeai de position et écartai légèrement les jambes. Mon mouvement avait permis à ma jupe de remonter et à mon bassin de basculer en direction de mon admirateur. Il devait maintenant être aux premières loges pour contempler ma petite chatte humide. Et sous cet angle, il était le seul à pouvoir en profiter.


images similaires


Pour pimenter encore la situation, je caressais négligemment mon petit bouton tout en continuant à lire.



Ce jeu m'amusait et m'excitait. Je me rendais bien compte que les événements de la nuit m'avaient conduite à ouvrir la boîte de Pandore et que ma vie sexuelle était en train de changer inexorablement. Mais je rejetais cette idée. Etonnamment, je n'éprouvais aucune culpabilité vis-à-vis de Xavier. Au contraire, je le considérais comme responsable de la situation. S'il faisait plus attention à moi, je ne serais pas troublée par le regard des autres hommes. S'il m'avait tenu compagnie au lieu de s'endormir, nous aurions été complices dans l'observation du jeune couple de l'avion et peut-être aurions-nous, nous aussi, fait de même. Cela aurait comblé mon désir et je n'aurais pas eu à m'aventurer dans le salon privé. S'il avait manifesté de l'intérêt pour ma poitrine, c'est à lui que j'aurais offert le spectacle de ma fleur d'orchidée. Si d'autres hommes en profitaient, il n'avait à s'en prendre qu'à lui-même.

Comparé au vol précédent, le Dehli-Calcutta fut assez court et mes réflexions ainsi que mon jeu érotique furent interrompus par notre descente vers le Bengale. Nous descendîmes de l'avion et rejoignîmes les tapis roulants à la distribution des bagages. L'attente fut longue et je commençais à ressentir la fatigue de la nuit.

- Ca y est, fit Xavier. Les premiers baluchons arrivent.
- Ce n'est pas trop tôt, répondis-je un peu contrariée.

Comme toujours dans ces cas-là, chacun a l'impression que ses affaires arrivent plus tard que celles des autres. Mais dans notre cas, ce ne fut pas qu'une impression. En effet, le temps passait, les autres passagers récupéraient petit à petit leurs effets mais nos valises n'arrivaient toujours pas. Puis, lorsque le tapis roulant fut vide, il fallut se rendre à l'évidence : nos bagages étaient perdus. Nous nous rendîmes alors vers le comptoir de la compagnie. Le jeune homme à l'accueil nous informa que, lors de l'escale à Dehli, nos valises avaient été renvoyées à Paris à cause d'une erreur d'étiquetage. Il nous invitait à prendre contact avec notre agence de voyage pour que celle-ci nous procure de quoi nous habiller en attendant que nos bagages nous reviennent « probablement au cours de la semaine à venir ». Xavier saisit son téléphone et, remonté, appela l'agence. En attendant qu'il règle le problème, j'observais le va-et-vient des passagers. Quelques minutes plus tard, Xavier raccrocha. Il était blanc.

- Que se passe-t-il ? m'inquiétais-je.
- L'agence indienne avec laquelle nous sommes partis a fait faillite. J'ai eu un employé qui est le seul qui reste afin d'avertir les clients comme nous. Et étant donné qu'ils ne sont plus solvables, tous les hôtels ont annulé les réservations. Et le chauffeur qui devait nous prendre à l'aéroport ne viendra pas.
- Quoi ! m'écriais-je. Tu veux dire que nous sommes perdus à Calcutta, sans bagages, sans réservation et sans guide ?
- Oui ... et sans carte bancaire. Je l'avais rangée dans la valise avec un peu de liquide, avoua-t-il.

Il avait insisté pour que je laisse ma carte à la maison et que nous ne prenions que la sienne pour limiter les risques de vol. Sentant que la moutarde me montait au nez, il détala en prétextant retourner voir la compagnie aérienne afin de trouver une solution. C'en était trop pour moi. Entre les émotions de la nuit, mon manque de sommeil, la situation dramatique et les inconséquences de mon mari, une digue venait de céder et, après m'être laissée glisser à terre, je me retrouvai assise, pleurant à chaudes larmes.



Soudain, une voix jeune et qui ne m'était pas inconnue parvint jusqu'à mes oreilles à travers les limbes.

- Kama, c'est toi ? Que fais-tu là ? Que se passe-t-il ma chérie ? fit la voix.

Dans ma détresse et mon épuisement nerveux, je n'arrivais pas à me souvenir à qui appartenait cette voix et je restai prostrée. Alors, une main douce et sensuelle caressa mes cheveux et ma joue couverte de larmes. Si je n'avais pas fait le lien jusqu'ici, ce contact m'électrisa, me ramenant à la vie, et je reconnus sa propriétaire.

- Keya ? l'interrogeai-je dans un sanglot.
- Oui Kama, c'est bien moi, répondit-elle en me prenant dans ses bras. Raconte-moi ce qui t'arrive.

C'était bien Keya, toujours aussi sensuelle. Elle était habillée d'une robe vaporeuse qui laissait deviner un corps svelte aux formes agréables. Chaque mouvement qu'elle faisait laissait entrevoir des morceaux de peau, flirtant avec la limite de la décence mais sans jamais être vulgaire. Elle attirait les regards comme une lumière attire les insectes. Elle semblait cependant ne pas y prêter attention.


images similaires


Un peu rassérénée, je lui comptais nos mésaventures sans omettre mon exaspération envers mon mari ni ce que cette folle nuit de débauche avait déclenché en moi. Cela me faisait du bien de pouvoir me confier car je ne pouvais évidemment pas en parler à Xavier, et mon amie Alice était à des milliers de kilomètres.

- Ne t'inquiète pas Kama, nous allons arranger cela. Je crois bien avoir une solution qui te permettra de régler tous tes problèmes d'un coup, dit-elle d'un air mystérieux. Laisse-moi deux minutes, je dois en parler à Amrit.

Je ne sais pas pourquoi mais ses paroles m'avaient rassurée et je la regardais partir tout en admirant sa grâce féline. Pour être très franche, je matais avec délice le fabuleux déhanché de sa magnifique croupe.


images similaires


Elle disparut dans le lounge réservé aux passagers des premières classes. Elle revint en compagnie d'Amrit et de Saral. Celui-ci se tenait quelques mètres en arrière. Keya était tout sourire. Quant à Amrit, il était encore plus beau que la veille. Son regard me transperçait et me faisait fondre. Il émanait de lui une force tranquille, une autorité et une puissance qui me troublaient. Je me sentais comme une proie devant son prédateur, une élève devant son professeur, une novice devant son maître, une vassale devant son suzerain. Tout mon corps désirait sentir ses mains me parcourir, sa bouche explorer chaque centimètre carré de ma peau et son membre fouiller au plus profond de moi. Je sentais le rouge me monter aux joues, mes seins se dresser et mon sexe s'humidifier. Cet homme pouvait me demander ce qu'il voulait, je m'exécuterais avec joie. Mon esprit vagabondait et imaginait tout ce qu'il pourrait exiger de moi...








images similaires



images similaires



images similaires


Keya me ramena sur terre en me parlant mais je sus immédiatement à son regard qu'elle avait déchiffré le trouble qui m'avait saisie. De même je sus qu'Amrit avait compris que désormais, je serai sienne à chaque fois qu'il le désirerait.

- Tout est réglé, affirma la jolie blonde. Amrit vous invite à séjourner chez lui, ton mari et toi. Quant à tes habits, nous jetterons un coup d'œil à ma garde-robe. Je suis sure que nous trouverons de quoi te vêtir... ou te dévêtir, ajouta-t-elle avec malice, ajoutant à mon trouble.

Du coin de l'œil, je vis Amrit glisser quelques mots à l'oreille de Saral. Ce dernier acquiesça et disparut dans la foule. C'est ce moment que choisit Xavier pour réapparaître.

- Ma chérie, je suis désolé mais la compagnie aérienne ne veut rien entendre. Elle me renvoie sur notre agence de voyage, commença-t-il avant de s'interrompre en s'apercevant de la présence de Keya à mes côtés et d'en rester muet devant sa plastique.


images similaires


- Mon chéri, je te présente Keya et Amrit dont j'ai fait la connaissance dans l'avion pendant que tu dormais. Amrit a la gentillesse de nous proposer de nous accueillir chez lui jusqu'à ce que nous trouvions une solution.
- C'est très gentil de votre part, reprit mon mari.
- Je vous en prie, dit Amrit de sa voix chaude en tendant sa main pour empoigner celle de Xavier. C'est tout naturel. L'hospitalité est sacrée chez nous. Mais votre femme a dû mal comprendre mes propos. Je vous propose de passer l'intégralité de votre séjour chez moi. Vous verrez, j'ai suffisamment de place pour vous accueillir. Vous me feriez honneur si vous acceptiez mon invitation.
- Mais nous avons prévu de rester un mois entier au Bengale, dis-je en même temps désireuse de me trouver au plus près d'Amrit mais également affolée à cette idée.
- Et bien raison de plus pour vous installer confortablement, reprit ce dernier. C'est décidé, je ne souffrirai aucun refus, reprit-il avec une autorité que personne n'aurait osé lui contester.
- Alors c'est d'accord, conclu Xavier sans avoir la moindre idée des conséquences de cette décision.

Nous nous dirigeâmes alors vers la sortie où nous retrouvâmes Saral qui nous attendait devant deux magnifiques limousines. Prétextant que les limousines étaient trop petites pour nous contenir tous ainsi que les nombreux bagages de Keya, Amrit invita Xavier à monter avec lui dans la première tandis que Keya et moi monterions dans la seconde. J'avais plutôt l'impression qu'Amrit voulait que je me retrouve seule avec la jolie blonde mais sans comprendre pourquoi. Saral m'ouvrit la portière et je montais donc à l'arrière de la deuxième voiture tandis que Xavier, tout sourire, disparaissait dans la première avec Amrit et leur chauffeur. Keya me rejoignit rapidement et Saral s'installa au volant. Le cortège se mit en branle et nous roulâmes bientôt à vive allure, nous éloignant de l'aéroport et de la ville. J'étais subjuguée par le paysage qui s'offrait à mes yeux derrière les vitres teintées.

Keya interrompit ma contemplation :
- Alors ma chérie, te sens-tu mieux ?
- Oui, beaucoup mieux, lui répondis-je. Amrit est très généreux de nous accueillir chez lui et je ne sais comment vous remercier, lui et toi.
- Oh, je ne m'inquiète pas pour ça, tu sauras, dit-elle d'un air mystérieux.

Je repris ma contemplation mais ne tardais pas à poser à Keya une question qui me taraudait depuis un petit moment :
- Keya, c'est ton vrai nom ? Ce n'est pas courant pour une française. Car je suppose que tu es française, n'est-ce pas ?
- Oui, je suis effectivement française, répondit-elle. Et Keya est mon vrai nom même si ce n'est pas celui que m'ont donné mes parents.
- Comment ça ? dis-je d'un air étonné. Je ne comprends pas.
- Mes parents m'ont donné un nom mais Amrit m'en a donné un nouveau lorsque nous nous sommes rencontrés à Paris, il y a deux ans. Et c'est celui que je porte désormais. Keya veut dire « fleur ». Pour le tout un chacun, c'est parce qu'on me considère belle comme une fleur mais la réalité est tout autre. Keya fait référence à ma petite chatte qui s'ouvre comme une fleur sous les doigts habiles d'Amrit.


images similaires


J'étais sidérée. Je repris :
- C'est une manie chez lui de donner de nouveaux noms ?
- En réalité, Amrit a un don particulier, me confia-t-elle. Il est capable de déterminer si une âme est jeune ou ancienne et quel est son véritable nom. Celui-ci est toujours en rapport avec le côté charnel de la personne considérée et lui correspond parfaitement.
- C'est pour ça qu'il m'a appelée Kama ? Et qu'est-ce que ça veut dire ? lui demandai-je.
- Kama signifie « désir » ou « jouissance ». C'est un prénom à très forte connotation sexuelle. Cela veut dire que ton âme est tendue vers le plaisir et entraîne ton corps dans une recherche permanente de jouissance. Tu ne t'en es peut-être pas encore rendu vraiment compte mais tu es en train de le découvrir. Ton voyage en Inde n'est pas une coïncidence. C'est ton karma qui t'a guidé jusqu'ici pour ton initiation.
- N'importe quoi, repris-je.
Mais j'étais troublée par cette révélation plus que je ne l'aurais souhaité.

Tout à coup, un doute envahit mon esprit :
- Mais... il ne va quand même pas m'appeler comme ça devant tout le monde ? balbutiais-je affolée.
- Non, bien sûr que non, me rassura Keya. Devant les autres, il t'appellera Kamala qui signifie « lotus sacré ». Mais je ne serai pas dupe... et toi non plus.
- Et Saral, c'est aussi son prénom d'âme ? demandais-je.
- Oui, tout à fait.
- Et que signifie-t-il ? m'enquis-je, curieuse.
- Il signifie « tout droit », me répondit-elle.

Me souvenant du caractère érotique des prénoms, je pris conscience de la signification réelle de celui-ci. Une image très nette du sexe de Saral en érection dans les premières classes du vol Paris-Dehli m'apparut et je me mis à rougir. Keya n'en perdit pas une miette et, pour ajouter à mon trouble, déclara :

- Saral, je crois qu'il faut une preuve à notre jeune amie.

Sans prononcer un mot et tout en conduisant d'une main, Saral ouvrit sa braguette et sortit un sexe en érection effectivement bien droit et déjà bien dur.



J'étais troublée et sentais le désir monter en moi. Je ne me reconnaissais plus. J'avais envie de cette queue, de la toucher, de la lécher, de l'introduire dans mon intimité. Je n'arrivais plus à en détacher mon regard. Une fois encore, mes tétons dardaient à travers le tissu sans que je puisse rien n'y faire.


images similaires


Keya souleva mon T-shirt et les pris entre ses doigts ce qui me procura de très agréables ondes électriques qui parcoururent mon corps jusqu'au plus profond de mon intimité. Après quelques minutes de cette délicieuse torture, sa bouche remplaça ses doigts qui, libérés, se glissèrent sous ma jupe pour y découvrir ma petite chatte outrageusement trempée.



Ses mains me donnaient un plaisir immense et j'étais au bord de l'orgasme lorsqu'elle s'arrêta. J'étais frustrée de n'avoir pas joui quand sa bouche quitta mes seins pour descendre le long de mon ventre, passer entre mes jambes et se régaler de mon nectar. Sa langue virevoltait autour de mon clitoris.



Je jetais un coup d'œil à Saral et m'aperçus qu'il n'en perdait pas une miette grâce au rétroviseur dont il avait judicieusement modifié l'orientation. Me savoir observée multiplia mon excitation et j'eus un magnifique orgasme.

Alors que mes tremblements cessaient, Keya me dit :
- Tu vois bien que ton nouveau prénom te va parfaitement.

Je ne pouvais qu'acquiescer, toute pantelante.
- Ca fait deux fois que tu excites Saral au-delà du raisonnable, reprit la jolie blonde. Ne crois-tu pas que tu as une responsabilité envers lui ?

Je regardais Saral qui bandait toujours comme un taureau.
- Tu ne peux pas le laisser ainsi, n'est-ce pas, reprit-elle avec un clin d'œil.
- Effectivement, ce ne serait pas très courtois, répondis-je avec un sourire.

Je m'approchai du siège avant et glissai ma main jusqu'au missile de chair que je caressai, d'abord doucement puis avec un rythme plus élevé. Je ne voulais pas déconcentrer Saral trop longtemps pour ne pas risquer un accident. Aussi usai-je de toute mon habileté. Ma main montait et descendait de plus en plus vite sur le membre turgescent. Je le sentis vibrer, annonçant une libération imminente. En effet, l'éjaculation ne tarda point et un imposant jet de sperme vint maculer ma main.


images similaires


Je retirai alors celle-ci et partageai ma prise avec mon amie. Nous nous jetâmes dessus en riant et échangeâmes de longs baisers salés. Saral, qui entre-temps avait rangé son sexe dans son pantalon, nous dit :

- Arrangez-vous mesdames, nous arrivons.

A peine avais-je mis de l'ordre dans ma tenue que je découvris un magnifique palais digne des mille et une nuits.
- Amrit habite-t-il à côté de ce palais ? demandais-je, candide.
- Amrit habite dans ce palais, me répondit Keya avec un petit rire. Ou plutôt devrais-je dire : nous habitons dans le palais d'Amrit...

A suivre...

Episode précédent <<< Les carnets de voyage de Juliette - 2 : L'Inde - Calcutta

Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote
http://lisastory.free.fr - site réservé aux adultes, strictement interdit aux moins de 18 ans - dernière mise à jour : 1er mai 2024 - Remonter