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La villa. 08 : Retour Le lendemain matin, Willem est réveillé par des gémissements. Ouvrant les yeux, il se rend compte que la chambre est baignée de lumière et que la matinée est déjà bien avancée. Il est seul dans la chambre. Il se lève. Les gémissements viennent du salon. Quand il arrive, il découvre Christine en train de chevaucher Pascal. Tous les deux sont tant à leur plaisir que ni l'un ni l'autre ne semble s'être rendu compte de sa présence. ![]() Willem sourit. Depuis quelques semaines, sa copine est allée de découverte en découverte sur le plan sexuel et il semble qu'elle a repoussé de nombreuses limites. Maintenant, elle semble prête à profiter de chaque opportunité qui se présentera à elle et Willem ne se plaint pas de ces changements : non seulement il est le premier à en profiter et, quand ce n'est pas le cas, il adore voir Christine jouir. C'est Pascal qui se rend compte le premier de sa présence. ![]() - Bonjour Willem. On est venu au salon parce qu'on ne voulait pas te réveiller... Willem rigole : - Tu plaisantes ? Tu crois vraiment que je préfère dormir plutôt que faire l'amour à Chris ? Christine lui sourit : - Et si tu venais nous rejoindre, Will, au lieu de discuter ? Willem est déjà parfaitement en érection et l'offre de Christine semble être de venir occuper l'orifice qui reste libre. Il engage son membre tendu et s'enfonce lentement dans l'étroit fourreau, pour le plus grand plaisir de Christine. ![]() Willem adore sentir son sexe coulisser ainsi dans le canal brulant et serré de sa copine, sentir le membre tendu de Pascal qui coulisse à proximité, sentir les réactions, les vibrations du corps de Christine à leurs pénétrations, leurs caresses. Mais un bruit de porte fait tourner la tête de Christine, interrompant son plaisir. ![]() Il s'agit de Richard, le policier qui était déjà passé plus tôt dans la semaine. Il sourit en voyant la scène et referme la porte derrière lui : - Bien ! C'est toujours un plaisir de passer ici. Tout en se déshabillant, il s'adresse à Willem : - Toi, le gringalet, tu me laisses ta place. Willem s'écarte. Christine demande : - Qu'est-ce que vous voulez ? ![]() Richard est déjà nu et affiche une érection formidable : - Là, dans l'immédiat, je pense que tu as bien compris ce que je voulais, non ? Christine sait effectivement ce qui l'attend et elle ne peut réprimer un cri de surprise quand l'imposante tige du policier s'enfonce doucement dans son anus. ![]() Willem fronce les sourcils. Il a un doute sur le plaisir de Christine. - Chris, tout va bien ? Mais les cris de sa copine changent de tonalité : - Oh oui ! Putain... ils me remplissent... Richard se met à labourer franchement Christine, lui déclenchant un puissant orgasme. ![]() Willem est rassuré : elle prend manifestement son pied. Il est cependant surpris de la présence de Richard, sans ses collègues. Il jette un œil dans la cour et constate que la voiture est là, mais qu'il n'y a pas d'autres policiers. L'orgasme de Christine qui ne semble pas prendre fin rappelle Willem à la scène. Richard s'est immobilisé et Willem voit ses couilles, mais également celles de Pascal, qui se contractent, signe qu'ils sont en train d'éjaculer en elle. ![]() Après avoir lâché également quelques derniers râles de plaisir, Richard se retire et regarde Willem : - Wahou ! Quel pied ! Elle vraiment chaude ta copine. Tu ne m'en veux pas de t'avoir piqué la place ? - Heu, un peu quand même... - Je pense qu'elle a préféré : tu ne l'aurais pas fait gueuler autant que moi... Et puis regarde un peu tout ce que je lui ai mis ! Willem voit Christine qui se dégage du sexe de Pascal. Le sperme s'échappant de ses deux orifices montrent à Willem à quel point ses deux amants ont été généreux. ![]() images similaires Richard se rhabille et explique la raison de sa présence : - Bon, j'ai profité de la situation, mais venir baiser la petite n'était pas le but de ma visite, même si je dois dire que c'est toujours un plaisir. Pascal se redresse : - Alors qu'est-ce que tu fous là ? - J'ai eu confirmation que les deux fugitifs sont dans le coin et je me suis dit que vous étiez un peu vulnérables. Puisque vous me l'aviez demandé, je vais vous ramener en ville pour que vous puissiez rentrer chez vous. Christine demande : - J'ai le temps de prendre une douche ? - Désolé, il faut qu'on file. Essuie-toi et passe des fringues. ![]() Pendant que Christine se passe des mouchoirs entre les cuisses, Simon file dans la chambre pour s'habiller et récupérer leurs affaires. Pascal lui ramène également une robe : - Tenez, Christine. C'était à une ex. je pense qu'elle sera à votre taille. Christine enfile la robe et semble bien l'apprécier : - Elle est parfaite. Merci, Pascal. ![]() Après avoir dit rapidement au revoir à Pascal, Christine et Willem monte tous les deux à l'arrière de la voiture de Richard. Au bout d'une bonne heure de route dans un silence pesant, Willem interroge Richard : - Pourquoi ce soudain revirement ? Vous ne sembliez pas très enclin à nous aider l'autre fois... - Je veux vraiment vous mettre en protection par rapport aux deux évadés. Et puis, j'ai plaisir à torturer Pascal et le priver de votre compagnie me semble plutôt efficace. Christine commente : - Vous n'êtes vraiment pas quelqu'un de sympathique... ![]() - Je suis payé pour protéger les gens, pas pour être sympathique. Et d'ailleurs, il me semble bien que tu m'as trouvé plutôt sympathique quand je te l'ai mise dans le cul tout à l'heure, non ? Je suis sûr que rien que le souvenir de cette sodomie te fait mouiller... - Pffff... n'importe quoi... Richard oriente le rétroviseur vers les cuisses de la jeune fille. - Montre-moi. - Allez vous faire foutre ! - Si tu n'écartes pas les cuisses, je largue ton copain sur le bord de la route et je t'encule dix kilomètres plus loin pour t'aider à t'en rappeler. Contre son gré, Christine écarte les cuisses pour qu'il puisse l'observer. ![]() Mais cela ne semble pas convenir au policier : - Tu te fous de ma gueule ? Ta robe retombe et je ne vois rien... Christine s'amuse de le voir s'impatienter ainsi. Lentement, elle retrousse la robe pour lui révéler son abricot dénudé : - Et là ? Vous la voyez ma moule ? ![]() - Oui, c'est bien... - Et vous voyez que je ne mouille pas. - Te fous pas de ma gueule. Si tu ne mouilles pas, caresse-toi. - Quoi ? - Tu discutes mon ordre ? - Non... Christine se glisse un doigt entre les lèvres et se masturbe lentement. ![]() Willem intervient : - Dites ! J'ai un peu de mal à comprendre votre sens du service public, là. Vous nous protégez ou bien vous abusez de votre autorité pour réaliser quelques fantasmes à nos dépends. - Toi, on ne t'a rien demandé et... Oh putain ! Richard arrête brutalement la voiture sur le bord de la route. Dans la forêt à quelques dizaines de mètres de là, un homme noir marche. Willem reconnaît Marcus. Celui-ci, en voyant Richard sortir de la voiture et partir en courant sans sa direction, s'enfuit le long de la route. Christine sort de la voiture : - Merde. C'était Marcus. On fait quoi nous ? ![]() Marcus semble distancer significativement Richard, mais ce dernier semble ne pas vouloir abandonner la poursuite. Soudain, Ibrahim sort des fourrés de l'autre côté de la route : - Christine, monte devant tout de suite. Christine obéit et remonte en voiture tandis qu'Ibrahim s'installe au volant et démarre. Quelques secondes plus tard, il dépasse Richard et s'arrête au niveau de Marcus pour que celui-ci monte dans la voiture. Il démarre en trombe avant même que Richard ne les rejoigne. Willem s'inquiète : - Vous nous prenez en otage ? Ibrahim regarde le décolleté de Christine à côté de lui : - C'est pas une mauvaise idée, ça... ![]() Marcus rigole : - Non, on un point de chute à une cinquantaine de kilomètres d'ici. On y récupère quelques affaires puis on ira se perdre en ville. - Vous ne pensez pas que Richard va prévenir ses collègues ? - Aucun réseau sur des kilomètres à la ronde. On est tranquille pour plusieurs heures avant qu'il ne parvienne à trouver du réseau. Même s'il retourne à la villa de votre pote. Après vingt minutes de route, ils bifurquent sur une route secondaire, puis tournent à plusieurs embranchements avant d'atteindre une maison isolée dans la campagne. La voiture garée, tout le monde sort de la voiture et Marcus, retirant sa chemise, va ouvrir la maison : - Allez-y, entrez. ![]() La jeune fille est un peu troublée en voyant son torse nu, magnifique. Une fois dans le salon, elle voit les regards des deux noirs posés sur elle et comprend qu'ils ont un projet la concernant. - Messieurs, on vous remercie de nous avoir tiré des griffes du policier. Ce type était malsain et quelque peu mal élevé. - Oh, ce n'est pas notre cas. Nous avons beau être des condamnés, nous n'en demeurons pas moins des gentlemen. - Ah oui ? Mais pourquoi étiez-vous en prison ? ![]() - Parce que nous sommes noirs. - Ce n'est théoriquement pas suffisant. - Oui, mais quand notre patron a détourné l'argent de la boîte et que ça s'est vu, il était plus simple de dénoncer des noirs que de laisser accuser le patron blanc... Willem est curieux : - Mais une peine pour vol ne doit pas vous avoir conduit à une peine trop longue ? - Vous seriez surpris de la facilité avec laquelle un juge raciste peut trouver des circonstances aggravantes à deux pigeons noirs. Christine est confuse : - Si on peut vous aider d'une quelconque manière... Marcus vient derrière elle et lui caresse les hanches : - De n'importe quelle manière ? ![]() La jeune fille interroge Willem du regard qui lui sourit déjà et devance sa question : - Oui, Chris, je vois bien que tu en meurs d'envie. Tu peux t'offrir à eux. - Mais toi, tu veux... - Moi, je vais regarder. Cette fois-ci je n'aurais pas les yeux bandés et je pourrais me rendre compte si mon imagination a exagéré ou non les plaisirs que ces deux messieurs vont te donner. Marcus commence déjà à écarter le décolleté de la petite robe pour dégager la poitrine. ![]() Ibrahim et Marcus se mettent nus. Ibrahim dit à Willem : - Vraiment sympa, mec. Mais, tu sais, ta copine est une gourmande... - Je sais... - Je veux dire, on ne serait peut-être pas de trop à trois pour nous occuper d'elle dignement. - Dignement ? Laissons la dignité en dehors de ça. Je préfère admirer Chris accumuler les orgasmes. Je vous laisse œuvrer messieurs. Prenez soin d'elle. Christine retire la petite robe. ![]() images similaires Marcus, déjà en érection, vient la rejoindre : - Tu nous veux tous les deux en même temps ou l'un après l'autre ? - Je... je ne sais pas... Les d'abord un, puis après l'autre... On verra... Elle sent le sexe de Marcus qui, lentement, se redresse contre sa cuisse. ![]() Elle regarde Will : - Tu as vu comme elle est grosse ? - Du plaisir en perspective. Profites-en bien, Chris. - Tu as vu ? Je fais tout juste le tour avec mes doigts... ![]() Marcus sent un peu de crainte dans la voix de la jeune fille et la rassure : - Ne t'inquiète pas, on va y aller doucement. Et puis, c'était bien passé hier soir, non ? - Oui, très bien passé... Christine commence à masturber lentement la colonne de chair. ![]() En voyant les mamelons érigés de sa copine, Willem sait qu'elle est déjà très excitée et il imagine sans peine que la mouille suinte déjà de sa fente. Il en a rapidement la confirmation quand Marcus lui soulève une cuisse et exhibe sa moule. Doucement, il guide son gland énorme contre le sexe déjà luisant de cyprine. Lentement, il remonte et fait pénétrer son gland dans le doux fourreau. Christine gémit déjà de plaisir. La colonne de chair disparait peu à peu Marcus commence à le faire coulisser de haut en bas. ![]() images similaires Christine gémit de plus en plus. Bien qu'il connaisse la réponse, Willem lui demande : - Tout va bien, Chris ? - Oh Ouiiiii ! Ouiiiiiii ! - Mais tu crois qu'Ibrahim pourrait se joindre à vous maintenant ? - Oooooh, ouiiii... Qu'il... Qu'il vienne... Oooooh ![]() Ibrahim, le sourire aux lèvres, vient rejoindre Christine qui crie de plaisir au rythme des pénétrations de Marcus en elle. Quand Ibrahim arrive contre le dos de la jeune fille, Marcus s'interrompt et laisse son camarade prendre position. Christine semble retenir son souffle tandis qu'elle sent l'imposante tige prendre, doucement mais sûrement, possession de son anus. Une fois engagé sur plus de la moitié de la longueur, Ibrahim commence à bouger, rejoint par Marcus. ![]() Christine crie de plaisir. Willem voit à ses soubresauts qu'elle subit déjà un orgasme. Mais ses convulsions de plaisir déstabilisent Ibrahim qui la soutient et le font basculer en arrière, forte heureusement sur le canapé, qui accompagne confortablement sa chute. Willem sourit : - Tenez bon, messieurs, elle a un orgasme, mais ce n'est pas terminé ! - Pour qui tu nous prends ? On commence à la connaître... Si Ibrahim semble coincé pour bien prendre possession de l'anus, Marcus, lui, s'en trouve plus à l'aise pour labourer généreusement la fente de la jeune fille. ![]() Comme annoncé par Willem, Christine ne se contente pas d'un orgasme. Le second la submerge rapidement. - Ooooh Will ! Ouiiiiii ! C'est si bon !!! Willem s'amuse de voir que même en cet instant, c'est son nom qu'elle prononce. Marcus se contracte et s'immobilise. Willem ne se fait pas d'illusion, il est déjà en train d'éjaculer en elle tandis qu'elle est toujours sous le coup de son second orgasme. ![]() Marcus reprend son souffle, puis se retire lentement. Willem n'en revient de voir la colonne de chair interminable qui sort du sexe de sa copine. Marcus encourage son compagnon : - Vas-y, Ibrahim, elle est toute à toi. Le second noir la soulève alors par les fesses et la fait monter et descendre sur son énorme dard. ![]() images similaires À chaque fois que Christine redescend sur le pieu, non seulement quelques gouttes du sperme de Marcus giclent de sa fente, mais elle se remet à crier, signe d'un nouvel orgasme. Quand son corps est à nouveau pris de furieux tremblements, Ibrahim sent toute résistance lui échapper et, dans un râle profond, il s'abandonne dans l'étroit canal, y déversant un flot de sperme conséquent. Quand la tempête semble s'apaiser pour Christine et Ibrahim, celui-ci la soulève délicatement et se dégage pour l'allonger délicatement sur le canapé. Le sperme qui s'échappe alors des deux orifices montre que les deux noirs ont été plus que généreux. ![]() Vingt minutes plus tard, Christine sort de la salle de bain, rafraichie par une douche, avec sa joile petite robe rouge donnée par Pascal : - C'était incroyable Will. - J'ai vu ça... Tu as été magnifique. - Quel dommage que ce soit des fugitifs... ![]() - Je leur ai donné mon numéro de téléphone malgré tout. On ne sait jamais... Allez, viens. Ils nous attendent dehors à la voiture. - On rentre enfin chez nous ? - Oui, Chris. On rentre à la maison. Rejoignant la voiture, Christine s'appuie au capot et dit à Willem : - Tu sais mon amour, j'ai l'impression qu'il s'agissait d'une parenthèse dans notre vie et je regrette presque de devoir rentrer. ![]() images similaires - Ma chérie, tu as ouvert cette parenthèse, mais j'espère qu'elle n'est pas prête de se refermer. - Tu crois ? - Oui, nous avons encore tant à découvrir l'un de l'autre. |