Legul
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14 décembre 2023
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The Good Place - Episode 14
La nuit de Julien a été très agitée et, pour la première fois, ce n'est pas un rêve issu de sa vie passée qui l'a visité mais un cauchemar généré par les évènements de la veille.
Tout avait pourtant bien commencé dans ses songes puisqu'il observait, en voyeur assumé, Dakota s'amuser avec une autre fille. L'âme sœur de Julien léchait avec gourmandise la chatte de cette inconnue et le regardait avec passion et, aussi, une pointe de provocation.

Dakota était clairement joueuse et s'amusait à s'exhiber devant un Julien impuissant, incapable d'interagir, avant de retourner batifoler avec cette belle inconnue.

A mesure que la frustration de Julien grandissait dans son rêve, la scène évoluait. Dakota était à présent avec non pas une mais deux femmes et le ravissant trio s'apprêtait manifestement à bien s'amuser. Mais, détail étrange, les cheveux de Dakota étaient différents, passés du blond au brun auburn.

Le jeu des trois filles était loin d'être sage. L'une d'elle avait manifestement décidé de s'amuser avec l'anus de ses deux partenaires dont Dakota. Celle-ci se faisait goder le derrière sans ménagement et semblait adorer cela. A nouveau, Julien ne pouvait qu'assister à la scène sans pouvoir intervenir.

Le cul de Dakota est le centre de toutes les attentions et les deux autres femmes s'amusaient à le pénétrer dans toutes les positions. L'âme sœur de Julien gémissait bruyamment sans que celui-ci n'arrive à savoir s'il s'agissait de plaisir ou de douleur...

Cette sensation d'impuissance avait, à nouveau, fait évoluer le rêve vers quelque chose de bien plus sombre. Dakota était dans une rue déserte, en pleine nuit et son apparence avait encore changé. Elle avait les cheveux gris violacés, des yeux profonds et sombres et elle fumait. Un détail qui embarrassait beaucoup Julien car au bon endroit, surtout lorsqu'on est ancienne addictologue, on ne fume pas !

Dans ce rêve devenu cauchemar, l'ambiance était glauque et Dakota regardait Julien sans lui prêter attention, se contentant de marcher dans une direction inconnue et de fumer. Ses yeux étaient de plus en plus sombres et le corps de Dakota était plus maigre, plus tatoué. Elle avait l'allure d'une camée, se dira Julien plus tard après son réveil. Une allure presque... démoniaque.

Mais Julien n'en a pas fini avec le glauque ! Son rêve se développe et la scène évolue. Il voit Dakota, toujours à l'apparence si anormale en pleine action avec un homme qui n'est manifestement pas Julien vu la couleur de sa peau et la taille de son membre ! Elle le suce avidement et enfonce cette énorme queue dans son gosier pendant que l'homme lui titille l'anus.

Puis, après avoir joué avec le petit trou de Dakota, l'inconnu, à l'allure humaine mais avec une voix très grave, très profonde, presque démoniaque là encore, saisi Dakota et l'empale directement sur sa queue en pénétrant sans ménagement son anus.
Dakota se fait enculer brutalement mais n'est que très peu active. Elle regarde simplement l'énorme bite de l'homme disparaitre dans son fion puis réapparaitre dans un rythme infernal, en gémissant bêtement de plaisir. Ses mots sont à peine articulés et elle se comporte presque comme une possédée. Elle gémit, tire la langue, bave et louche au rythme de l'homme qui lui ravage le cul.

Le corps de Dakota dans ce cauchemar est maigre et recouvert de tatouages. Mais il est également porteur des traces de l'intense baise en cours. Les seins et les fesses de Dakota sont marqués par les pincements et les claques que l'homme à la voix de démon lui inflige sans que cela ne semble la gêner. Surtout, ce corps est déformé par la bite monstrueuse qui, lorsqu'elle change de trou, laisse derrière elle un orifice béant, grand ouvert.

Le cauchemar a duré bien trop longtemps au gout de Julien qui, dans son sommeil, s'est retourné à de multiples reprises, en sueur. Après de nombreux changements de trous et des gorges profondes brutal, le ravage de Dakota se termine par une éjaculation faciale massive qui recouvre sa peau et rempli sa bouche. Mais la jeune femme, à l'allure toujours aussi déroutante, ne se contente pas de se faire recouvrir. Elle avale goulument la semence de l'homme en récupérant tout ce qu'elle peut sur son visage et en faisant cela, elle regarde Julien dans les yeux.

C'est ce regard, à la fois provocateur, soumis et vide de sentiment qui réveille Julien, en sueur.
Ce cauchemar, horrible, laisse Julien bouleversé en ce début de journée. Et il lui donne un sentiment de trahison de la part de Dakota alors qu'il sait pertinemment que cette dernière n'y peut rien. Alors qu'il envisageait d'aller voir son âme sœur aujourd'hui pour parler avec elle, obtenir des explications sur ce qui s'est passé hier et se rabibocher, Julien estime qu'il est préférable d'attendre encore un peu, de peur que sa rancœur ne gâche cela.
Il décide donc d'éviter Dakota aujourd'hui et préfère se concentrer sur son travail, c'est-à-dire... pervertir le quartier et sauver sa peau ! Sa mission du jour, si son plan fonctionne comme il le souhaite, est de pousser Julia dans les bras d'Asa après avoir, hier, préparé le terrain. Cette victoire serait pour Julien un élément crucial dans la stabilisation de sa situation au bon endroit car elle lui offrirait le soutien inconditionnel d'Asa et, accessoirement, une belle maitresse en plus.
Souhaitant d'abord s'assurer que la discussion entre Julia et Dakota puis la séance de sexe lesbien qui a suivi ont portés leurs fruits, Julien se rend directement chez l'architecte. En entrant dans le bureau, Julien découvre Kaylin à son bureau en train de ranger des dossiers.

- Bonjour Kaylin, tu travailles aujourd'hui ? Je croyais que ce serait au tour de Linda d'assurer le poste.
- Bonjour Julien. Oui c'était au tour de Linda normalement mais a priori, sa soirée a été chargée hier et elle avait besoin de repos ce matin. Elle a fait des heures supp' ?
- Oh oui ! répond Julien en souriant à Kaylin. Elle a eu une grosse soirée en effet et aura au moins besoin de sa journée pour s'en remettre...
- Ils étaient combien ? demande alors Kaylin en ayant très bien compris en quoi avait consisté le travail de Linda.
- Cinq, je crois... Mais il est possible que d'autres résidents aient rejoins le groupe par la suite.
- Ah oui quand même...
- Voilà ! Julia est là ?
- Oui, dans son bureau. A plus tard, Julien.
- A plus tard.
Julien passe l'accueil de Kaylin et entre dans le bureau de Julia après avoir frappé à la porte. Julien la découvre vêtue d'un magnifique ensemble de lingerie noire. Julia tourne la tête vers la porte et salue le jeune homme.
- Bonjour Julien !

- Bonjour Julia... Tu es bien joyeuse...
- Oui ! Je m'amuse depuis hier à essayer de nouvelles enveloppes pour moi, j'adore ça !
- Des enveloppes ?
- Des corps, si tu préfères. Je change d'apparence en essayant de voir si je ne pourrais pas ajuster mon enveloppe extérieure à la nouvelle ambiance qui règne dans le quartier.
- Ok... d'ailleurs là, on dirait qu'il s'agit de ton corps numéro 2, enfin, pas celui de d'habitude.
- Exact ! Tu deviens observateur... Je l'ai ressorti du placard, si je puis dire, après avoir essayé plein d'autres versions. Tu veux les voir ?
- Heu, je venais pour te parler d'un truc mais ça peut attendre. Vas-y, montre-moi les autres versions de toi !
- Formidable ! Bon déjà, j'ai commencé par me demander ce qui plaisait aux résidents dans mon corps « classique » en regardant mes bases de données humaines. J'ai pris les critères les plus récurrents et j'ai poussé les curseurs un peu plus loin. Et voilà ce que ça donne.
Sous le regard médusé de Julien, le corps de Julia se met à se transformer de manière progressive, presque naturelle, avec sa peau qui se déforme harmonieusement, ses traites qui changent et ses vêtements qui se transforment. Apparait alors une femme que Julien aurait pu caractériser de stupide bimbo s'il ne s'agissait pas en réalité d'un être tout puissant... Julia avait l'apparence d'une blonde peroxydée, à la poitrine exagérément siliconée, au ventre artificiellement plat et aux fesses artificiellement rebondies.

- Houlà ! Ça change ! commenta Julien en essayant d'être poli.
- Oui, n'est-ce pas... Tu aimes ?
- Je peux être honnête ?
- Que peux-tu être d'autre ? Le mensonge n'est pas spécialement bienvenu dans le quartier, Julien....
- Évidemment, je voulais dire être franc, sans que ça te vexe, se rattrape alors Julien en essayant de gommer sa bourde.
- Vas-y !
- Je trouve que c'est trop. Trop artificiel, trop poussé. Ton corps d'avant était plus vrai, avec certains défauts, certes, mais dans un ensemble harmonieux et franchement plaisant à regarder ! Là, on dirait une...
- Une bimbo ? Oui, je sais, c'est ce que mes capteurs d'apparence laissent entendre. Le taux de compatibilité visuel avec un humain mâle moyen est correct mais avec mes résidents, il est assez faible en réalité. Je suis d'accord avec toi que ce n'est pas concluant. Et c'est pour cela que j'ai revu mes critères à la baisse, sauf deux qui me semblaient important : l'âge et la taille des seins.
Le corps de Julia change alors à nouveau sous les yeux de Julien et c'est une déesse d'un autre niveau qui apparait. Une femme plus jeune, plus naturelle en apparence, bien plus jolie que la précédente et, surtout, avec une énorme paire de seins. Une paire de seins à la taille démesurée, même d'après les critères de Julien. Et pourtant des seins qui se tenaient à peu près et exerçaient un réel pouvoir de séduction sur le jeune homme.

- Julia, tu es superbe dans ce corps, c'est clair. Mais je crains que tu n'aies poussé le bouchon un peu loin sur la taille des seins. Je les trouve personnellement un peu gros et je pense que la plupart des résidents seront de cet avis.
- C'est vrai que tu dois aimer les petits seins, vu que Dakota a été désignée comme ton âme sœur idéale. Alors, j'ai une version avec des seins un peu plus petits, regarde.
Un nouveau corps apparait, avec en effet une poitrine plus petite bien que encore d'une taille plus que respectable. La fille devant Julien est une bombe, clairement. Mais ce n'est plus Julia, plus du tout.

- Julia, tu es... superbe. Absolument superbe. Et je peux te garantir que ton taux de compatibilité avec la plupart des résidents sera exceptionnel.
- Il l'est, en effet. Je suis très contente de ce corps !
- Oui mais, ce n'est plus notre Julia, notre architecte. Tu n'as pas 25 ans sous cette apparence.
- J'ai 3500 ans d'existence, je te signale ! Et je ne suis pas si vieille comparée à certains collègues.
- 25 ans en âge humain, Julia. Tu as l'air d'une jeune femme sortie du lycée ! Je ne suis pas sûr que les résidents te voient toujours comme notre cheffe toute puissante.
- Oh, tu n'es jamais content on dirait, Julien. Je t'apparais dans une forme superbe, et tu n'es ni satisfait ni attiré !
- Oh si, je suis très attiré par ce corps, je t'assure. Simplement, je pense que ce qu'on cherche en toi, c'est aussi une certaine maturité. C'est toi-même qui m'avais dit que ton corps avait été choisi d'un certain âge pour représenter une figure rassurante...
- C'est vrai... Bon, j'essaie une autre enveloppe. Je garde tous les critères physiques en l'état et je me rajoute une quinzaine d'années. Tu valides ?
- Allez, on essaie.
Le résultat de l'expérience dépasse alors toutes les attentes de Julien. L'architecte apparait sous la forme d'une femme superbe, d'un âge idéalement choisit entre la Julia de base et la précédente apparence. Sa poitrine est grosse mais pas trop. Son corps est magnifique. La MILF dont pourrait rêver n'importe quel homme. Un taux de compatibilité de 100 % à coup sûr !

- Whoaa, c'est fabuleux. Je n'ai... rien à dire. C'est parfait.
- C'est vrai ? Pas de remarque ? Même pas sur la taille de ma poitrine, répond sarcastiquement Julia qui, aussitôt, révèle son énorme paire de seins.

- Non, pas de remarque. Tes seins sont... beaux, gros, naturels, parfaitement dessinés...
- Bien... et mon sexe ? Regarde bien mon sexe, tu as sans doute une objection quelconque...
Julia retire alors son string et expose sa magnifique chatte sous le nez de Julien qui ne peut qu'admettre que, là encore, le résultat est parfait.

- Par tous les architectes titulaires, j'arrive à satisfaire Julien ! Je n'y croyais plus ! s'exclame alors Julia.
- J'ignorais que tu maîtrisais à ce point le sarcasme, Julia. C'est quelque chose de compliqué, même pour un être tout puissant comme toi !
- Je sais, je m'entraine avec toi car je sais que je peux me permettre bien plus de chose devant toi que devant un autre résident.
- Ça me touche... répond Julien sans être certain que ce compliment ne cache pas une remarque plus profonde et potentiellement plus dangereuse.
- C'était sincère, cher Julien. Au fait, tu voulais me parler de quelque chose ?
- Ah oui. C'était à propos de votre conversation avec Dakota à propos des relations homosexuelles. Je voulais savoir comment ça s'est passé.
- Oh, formidablement. Nous avons abordé le fait que certaines résidentes (mais j'imagine que c'est le cas également pour des résidents) rencontraient des difficultés à s'épanouir sexuellement et sentimentalement avec un partenaire du même sexe. Et j'ai convenu qu'il était évidemment hors de question qu'un tel mal-être perdure au bon endroit !
- Evidement. Mais... comment dire... j'ai l'impression que ton corps revient à la normale, Julia.
En effet, la femme nue, jambes écartées, qui était devant Julien avait repris l'apparence que le jeune homme, ainsi que le reste du quartier, avait toujours connu.

- Ah, c'est normal, ma toute dernière apparence, celle qui t'a tant plu, est trop récente, pas assez stable. Mon apparence de base reprend spontanément le dessus, surtout si je ne me concentre pas.
- Ah ok... Mais tu pourras reprendre la forme précédente à l'occasion ?
- Oui, et même durablement si nécessaire. On dirait que monsieur aimerait bien essayer en profondeur ce nouveau corps !
- Oui, en effet ! Mais nous verrons cela une autre fois... Tu disais que tu souhaitais que ce mal-être disparaisse ?
- Evidemment et j'ai pu par ailleurs découvrir grâce à Dakota que le sexe lesbien pouvait être aussi bon que le sexe hétérosexuel.
- Oh ? Tu as... couché avec Dakota ?
- Oui et c'était fabuleux ! Elle ne t'a rien dit ? J'espère que cela ne te dérange pas.
- Elle a évoqué une discussion « poussée » mais je n'avais pas compris à quel point ! Et non, il n'y a aucun souci, nous avons de toute façon des rapports toi et moi, il n'y a donc pas de raison que Dakota ne profite pas également de tes talents !
- Je dirais plutôt que c'est moi qui ai profité des siens ! Dakota est extrêmement douée lorsqu'il s'agit de faire jouir une femme... Rien que d'y penser, je sens ma production de cyprine monter en flèche, ajoute Julia en caressant son sexe en effet humide.

- Oui elle est très douée, je le sais ! Et pas que pour faire jouir des femmes ! Du coup, je suppose que les résidentes lesbiennes ou bisexuelles n'ont plus de souci à se faire et trouver dans le quartier la même liberté que les hétéros ?
- En effet, idem pour les hommes évidement.
- Bien sûr. Au fait, je pense que tu es toi-même bisexuelle, Julia, vu la plaisir que tu as pris hier avec Dakota.
- En réalité, comme pour le reste de mes capacités, je suis tout à la fois. Hétéro, homo, bi, qu'importe du moment que cela peut améliorer la vie de mes résidents. Simplement, je découvre cela progressivement.
- Du moment que le quartier fonctionne bien !
- Tout à fait !
Soudain, Julia cesse les caresses qu'elle continuait de se faire doucement au niveau de son clitoris et se dirige vers une pièce au fond de son bureau en attrapant une serviette au passage.
- Si ça ne te dérange pas, je vais attendre Asa qui doit venir me masser. Elle doit arriver d'un moment à l'autre.

Julien sait alors qu'il a un coup à jouer mais doit d'abord aller voir Asa pour lui parler. Mais il est également bien excité par tous les corps de femme différents qu'il vient de voir et par le comportement de Julia. Cédant, une fois de plus, à l'excitation plutôt que de jouer la prudence, il suit Julia dans la pièce attenante au bureau.

- Tu avais encore besoin de quelque chose, Julien ? demande Julia assise sur un rebord carrelé de cette pièce ressemblant à une salle de bain.
- Oui... je voulais te demander un service...
- Je vois... dit alors Julia en faisant tomber sa serviette et en écartant les jambes. Tu as envie d'une partie de jambe en l'air ?

- Oh, je crains de ne pas avoir le temps pour une partie de jambes en l'air... Et pourtant j'en ai envie ! Par contre, j'aimerais beaucoup que tu reprennes l'apparence d'un des modèles que tu as essayé tout à l'heure.
- Mmhh tu aimerais revoir la dernière version, celle qui t'a tant plus ?
Julien pose alors la main sur la poitrine de Julia et, tout en la caressant, répond :
- A vrai dire, j'aimerais revoir le deuxième modèle, celui où tu avais une énorme poitrine...

Julia prend alors une mine contrariée et repousse Julien en se masquant les seins :
- Je croyais que c'était trop ? Et que tu préférais les petits seins ? Comme ceux de ton âme sœur... Et du coup, les miens ne te plaisent pas tant que ça en fait !

- J'aime les petits seins, c'est vrai. J'aime aussi les moyens et les gros. Et les tiens, évidemment. En fait, j'aime tous les seins ! Mais je n'avais jamais vu de poitrine aussi grosse tout en étant aussi ferme. Sur terre, ce genre de chose n'était possible qu'avec du silicone. Je suis donc très curieux de les voir à nouveau.
- Mouai... admettons, répond Julia, toujours avec un bras qui masquait sa poitrine, comme pour signifier sa contrariété.

Tout en gardant son bras en position, Julia se fige et commence sa métamorphose. Ses traits se lissent progressivement et son visage semble rajeunir de plusieurs années à chaque seconde. La peau de son ventre se retend et s'aplatit. Ses seins, évidemment, gonflent de manière impressionnante et Julien pense à un moment que l'expansion de s'arrêtera jamais. La serviette qui était au pied de Julia se matérialise sur la tête de la, à présent, jeune femme blonde, et lui maintient les cheveux en hauteur pour bien lui dégager la poitrine.
- Et voilà ! commente alors Julia en observant avec envie la bosse déformant le pantalon de Julien.

- Tu sais que tu me tortures, là ? Et que ce n'est pas très « bon endroit » comme attitude ? répond, avec une pointe de défi, Julien.
- De la torture ? Oh, tu parles de mon bras cachant mes seins ? Je t'assure que par rapport à ce que font subir mes collègues à tes congénères au mauvais endroit, ce n'est pas grand-chose ! Mais... soit...
Avec un air d'une princesse accordant une faveur à un prétendant, Julia se tourne de côté et décale sa main de manière à ce qu'un de ses seins soit en grande partie visible avec seulement le téton encore caché par ses doigts.

- Ahhrrr tu es diabolique, Julia !
Le regard de l'architecte se pose alors sur Julien. Ses yeux sont sombres et glaciales, son visage est fermé. Le temps semble comme suspendu... Un minuscule rictus déforme sa lèvre supérieure et lui donne un semblant de sourire parfaitement malsain. Julien avale sa salive en se disant qu'il a sans doute franchi une limite qu'il n'aurait jamais dû ne serait-ce qu'approcher.

Puis soudain Julia reprend son sourire habituel et répond, comme si cet instant de tension extrême n'avait jamais eu lieu :
- Diabolique ? Non, je suis angélique ! Bureaucratique et procédurière, certes, mais angélique. D'ailleurs regarde...
Julia lève alors ses doigts et révèle son téton, jusqu'alors dissimulé. Le sein, enfin découvert est aussi gros que beau et il fait se dissiper le malaise qui venait de s'installer dans la tête de Julien.

- C'est magnifique ! finit-il par commenter après de longues secondes de contemplation.
- Tant mieux. Je pourrai ressortir ce corps pour que tu t'amuses avec... si tu es sage ! Et maintenant file, Asa ne va pas tarder et je ne veux pas qu'elle me voit dans cette nouvelle enveloppe. Cela fait 500 ans qu'elle est habituée à la version classique !
L'évocation d'Asa fait revenir Julien à la nécessité d'agir vite pour que son plan se concrétise. Il salue Julia et sort de son bureau avec l'intention d'aller au salon de massage d'Asa avant que celle-ci ne parte.
Le destin, à nouveau, décide de placer un objet de tentation supplémentaire pour Julien. En effet, Kaylin, qui était sagement assise à son bureau il y a encore peu de temps, et à présent à quatre pattes sur ce même bureau en train de sucer un résident. Elle regarde, la bouche pleine, Julien qui s'approche en lui faisant un clin d'œil et en remuant ses belles fesses bien tendues.

Julien sait pertinemment qu'il ne peut pas se permettre d'arriver en retard chez Asa. Il se contente donc de saluer le résident, de féliciter Kaylin pour son professionnalisme et pose une main sur son cul tendu pour le caresser. Du bout du doigt, il frotte le sexe de l'assistante au travers de sa culotte et enfoncer une phalange dans un vagin déjà trempé et bouillant.

Kaylin gémit de plaisir et il faut la plus grande des déterminations et une volonté de fer pour ne pas céder à la tentation. Il retire son doigt, souhaite une bonne journée au résident et sort du bureau de Julia pour se rendre chez Asa, à quelques pas de là.
Il entre dans le salon de massage géré par la belle asiatique et découvre celle-ci en sous-vêtement, en train de mettre sa blouse.
- Bonjour Julien, si tu viens pour un massage, je suis désolée mais je dois aller chez Julia.

- Je sais et c'est pour cela que je viens te voir. Je pense qu'aujourd'hui, tu vas pouvoir t'envoyer en l'air avec Julia !
- Pardon ?
- Je t'explique...
Julien revient alors sur les évènements de la veille après avoir discuté avec Asa, comment il a convaincu Dakota de jouer les frustrées du point de vue des relations lesbiennes, comment elle a discuté de ce problème avec Julia en lui faisant comprendre que certains résidents n'étaient pas aussi heureux qu'ils pourraient l'être et comment le sexe lesbien pouvait être jouissif (Julien ne donne que peu de détail sur cette partie pour ne pas énerver Asa, se contentant d'allusions). Puis il évoque sa conversation récente avec Julia et, enfin, aborde son plan pour qu'Asa mette enfin Julia dans son lit.
- C'est très impressionnant, commente Asa, l'air visiblement emballée.

- Tu crois vraiment que ça peut marcher ? ajoute-t-elle.
- Oui, si tu suis mon plan, si tu montres clairement à Julia que tu es malheureuse.
- Ce plan implique du mensonge.... Elle va sans doute s'en apercevoir.
- Je ne pense pas. Depuis que je suis arrivé ici, je passe mon temps à mentir pour m'en sortir et transformer ce quartier en baisodrome géant. Soit Julia ne détecte pas les mensonges soit elle décide de les ignorer pour sauver le quartier. De plus, dans ton cas, tu souffres réellement de cette situation, de cette frustration. Elle verra ta peine qui est réelle et sincère et ne verra pas le bobard qu'on a construit autour. Va chez elle, masse là, laisse la te raconter sa soirée et ses récente découvertes puis fais comme je t'ai dit. Tu verras.
- Ok Julien, je te crois, c'est parti !
Julien salue donc Asa et se dirige vers la porte de sortie quand la jeune femme le rappelle. Il se retourne et la découvre alors de dos, entièrement nue.
- Ton investissement pour résoudre mon problème me fait réellement plaisir, Julien, dit-elle en s'approchant de sa table de massage.

Elle grimpe alors sur les coussins en cuir et se place à quatre pattes, le cul tendu vers Julien. La vue sur sa chatte et son anus est parfaitement dégagée et Julien se demande alors s'il s'agit d'une invitation. Asa tourne la tête vers lui et dit :
- Je sais que tu as très envie de me ravager, à cet instant présent. Et je sais que tu es un des rares résidents à ne pas avoir pu s'amuser avec moi ces dernières semaines. Je m'aperçois à présent que c'était sans doute un peu dur de ma part.

- Côtoyer une bombe comme toi au quotidien sans pouvoir en profiter n'a pas été simple tous les jours, en effet.
- Je sais. Mais si, aujourd'hui, je couche avec Julia, tout va changer. Et je le souhaite de tout cœur...
- Ah ?
- Oui... Vois-tu, j'ai eu à masser plusieurs de tes conquêtes ces derniers jours. Des femmes comblées, ne tarissant pas d'éloges concernant tes performances mais ayant le plus mal à se remettre physiquement des séances de sexe avec toi. Elles m'ont dit que tu étais une bête lorsque tu le voulais...
- J'admets y aller un peu fort, parfois.
- Ne te méprends pas ! Toutes ces histoires m'ont excitées comme jamais. Ce cul, tendu, qui est sous ton nez sera tout à toi si ton plan réussit. Si ce plan marche, tu pourras me faire tout ce que tu veux, quand tu veux. Et j'ai été la geisha d'un seigneur de guerre et de ses généraux : j'en ai vu des vertes et des pas mures !
- Alors... croisons les doigts pour que ça marche ! Et je peux te garantir que tu ne vas pas être déçue car, ce que t'ont raconté toutes ces femmes à mon propos, ça n'est que la face immergée de l'iceberg. Avec elles, je devais me retenir, mais toi, tu auras la vraie version de moi.
- Bordel, tu me rends dingue ! Tu sais... si tu insistes... on pourrait...
- A plus tard, Asa, tu as un rendez-vous important qui t'attend ! la coupe alors Julien qui, sachant sa victoire proche, préfère faire monter la pression et l'envie chez la belle asiatique.
Il sort du salon de massage puis se dirige vers chez lui en sachant qu'il lui suffit à présent d'être patient.
A suivre...
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