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Legul
28 février 2024
The Good Place - Episode 14 - partie 3

- Janet ?
- Oui, maitre ? répond Janet en se matérialisant aussitôt dans le salon de Julien.

Julien, toujours surpri par ces apparitions, la trouvait superbe. Comme convenu dans leur accord précédent faisant d'elle l'esclave sexuelle du jeune homme, elle était terriblement sexy. Elle était apparue en sous-vêtement avec son énorme poitrine mise en valeur par un magnifique soutien-gorge et une sorte de nuisette noire ouverte.





- Janet, est-ce que je suis un bon maître ?
- Je ne comprends pas ta question, Julien. Peux-tu reformuler ? répond alors Janet avec une mine presque inquiète.





- Je voulais savoir si j'étais quelqu'un de bien. Si j'étais un maître qui méritait une esclave comme toi. Si je méritais une telle dévotion de ta part.
- Me mériter ? Mais... je ne comprends pas... Tu me convoques si peu que je croyais que je te décevais...
- Janet... pas du tout, je t'assure.
- Je ne suis pas assez sexy ? Je peux être bien plus provocante si tu le souhaite !

Janet claque alors des doigts et fait disparaître son soutien-gorge à dentelles pour se retrouver seins nus.

- Si tu le souhaites, je t'apparaîtrai systématiquement seins nus dorénavant !





- Janet, ce n'est pas ce que je voulais dire. Je me demandais réellement si je m'étais bien comporté avec toi depuis mon arrivée ici et surtout depuis que j'avais fait de toi mon esclave personnelle. Quand je vois la quantité d'amour que certains résidents ont les uns pour les autres, ça me travaille...
- Par tous les maîtres architectes, je ne peux pas te laisser douter ainsi de toi. Je suis la responsable du bonheur des résidents de ce quartier depuis des siècles et tu es le premier humain à avoir songé à mon plaisir à moi. Tu es le premier humain à m'avoir fait découvrir le plaisir sexuel. J'ai été créé de toute pièce pour procurer aux résidents quelque chose dont il me manquait tout une partie !

Janet se lève alors et se rapproche de Julien en se trémoussant et en se caressant.

- Julien, si tu as fait de moi ton esclave, c'est que je le voulais bien ! Je suis un être doté de connaissances et de capacités presque infinies. Je me suis offerte à toi car tu m'apportais un plaisir que personne d'autre n'étais en mesure de m'apporter. Et tu me baisais avec une intensité dont personne dans le quartier n'était capable, c'est une évidence. Alors, pour le reste de l'éternité, tu es mon maître et je suis ton esclave dévouée.





Julien rejoint alors Janet et la saisit dans ses bras puis lui masse les seins en répondant :

- Ce que tu viens de me dire me soulage et me remplit de bonheur. Mais il n'empêche : ce soir ma chère Janet, je vais te baiser comme une princesse. C'est moi qui serai ton esclave et c'est moi qui vais t'apporter le plaisir que tu mérites de ressentir !





- Tu m'as déjà baisé comme une princesse, il me semble, répond alors Janet non sans apprécier les caresses de Julien.
- Tu vas voir la différence, alors.


Le jeune homme allonge Janet, lui retire délicatement le string puis lui écarte les jambes. Puis il embrasse le sexe déjà chaud et humide de la belle brune et joue habilement avec sa langue à la faisant se mouvoir sur les zones les plus sensibles.





- C'est... c'est la première fois que tu t'occupes de moi ainsi, Julien.
- Je sais. Profite, Janet. J'espère que je serai aussi doué que Dakota...
- Oh... Par tous les architectes... ça démarre très bien en tout cas...

Julien avait accéléré la cadence et léchait Janet avec professionnalisme. Il lui suçait et titillait le clitoris, lui léchait les lèvres, lui pénétrait le sexe avec sa langue. Janet, visiblement, adorait et prenait la tête de Julien dans ses mains pour guider son mouvement et, surtout, pour lui interdire de s'arrêter.





Le cunnilingus dura de longues et merveilleuses minutes et permis à Janet de jouir une première fois. L'orgasme était divin et surtout moins violent et moins intense que ceux auxquels Julien l'avait habitué. Un orgasme normal en somme, que Janet savoura.

Une fois soulagé, l'être semi-artificiel, au service absolu des résidents, reprend alors sa fonction première : faire plaisir. Janet se redresse et sort le sexe de Julien de son pantalon pour l'embrasser, le lécher et le sucer. Le jeune homme, excité, la laisse faire, bien qu'il ait décidé de s'occuper uniquement de sa maîtresse. Mais le plaisir non feint que Janet semblait éprouver à laper la longue queue de Julien le convainc de la laisser faire et de profiter.





Désirant laisser de côté son rôle de maître, dominateur, pervers et violent, Julien laisse Janet diriger la fellation. Celle-ci, qui avait plutôt l'habitude de se faire baiser la bouche, la bite enfoncée dans le gosier jusqu'aux couilles, en profite donc pour se délecter du membre. Elle suce, lèche, embrasse, mordille la queue de Julien tout en le branlant.





Puis Janet délaisse le sexe de son maître et se place à quatre pattes sur le bord du canapé en demandant à Julien de la baiser.

- C'est ta maîtresse qui de l'ordonne, esclave ! rajoute-elle avec le sourire pour rentrer dans le jeu de Julien mais sans réellement incarner le rôle.

Julien, qui avait de toute façon bien l'intention d'obéir, place son sexe sur la vulve trempée de Janet et la pénètre doucement. La belle brune gémit aussitôt de plaisir en savourant les mouvements lents, amples et profonds que Julien décrit en elle.





Pendant de longues et savoureuses minutes, Julien baise Janet par derrière, avec puissance mais sans violence. La belle brune, peu habituée à ce rythme modéré, n'en savoure pas moins chaque instant. Pourtant, Janet semble en vouloir plus. Elle écarte outrageusement ses fesses et propose à Julien :

- Si tu veux me sodomiser, n'hésite pas, Julien.




- Une autre fois peut-être, répond le jeune homme, bien décidé à résister à la tentation et à baiser Janet de la manière la plus aimante possible.

Il décide d'ailleurs de changer de position, celle-ci étant bien trop tentante ! Il s'assoit sur le canapé et place Janet sur lui pour la pénétrer doucement tout en la prenant dans ses bras et en l'embrassant.
Janet semble aux anges. Elle rend avec passion les baisers de son maître, ou plutôt de son amant pour le moment. Elle se caresse également le clitoris, ajoutant une dose de stimulation à une pénétration déjà fabuleuse.





Mais Julien a beau chasser le naturel, celui-ci revient au galop ! De plus en plus excité par ce moment de pure passion, il ressent le besoin de changer de cadence. Délaissant les gros seins de Janet, il la saisit par les hanches et impose soudain un rythme bien plus soutenu. Sa bite entre et sort de la chatte de Janet, arrachant à celle-ci de longs gémissements de plaisir.

Julien parvient à maintenir ce rythme effréné durant de longues minutes d'affilée, si bien que les gémissements de plaisir de Janet se muent en cris de plus en plus sonores, la portant finalement vers un second orgasme délicieux.





Julien et Janet s'écroulent alors sur le canapé pour s'embrasser langoureusement et profiter ensemble de l'orgasme qui secoue encore la belle brune.





Mais Julien, surexcité et satisfait d'avoir déjà fait jouir deux fois sa maitresse ne souhaite pas en rester là. Il place Janet sur un fauteuil en position de missionnaire et la baise à nouveau avec romantisme. Mais celle-ci sourit alors malicieusement à Julien et lui dit :

- Julien, c'était absolument fabuleux. Mais maintenant je veux que tu me sodomises.





- Janet, arrête... Je t'ai dit que pour une fois, j'allais penser avant tout à toi plutôt qu'à moi.
- Et qui te dit que je ne te demande pas ça pour mon plaisir ? Je suis un être créé pour satisfaire les résidents de ce quartier, c'est ma seule raison d'être. Et je suis devenue ton esclave uniquement parce que cela te comblait de bonheur. Le plaisir que tu me procures n'est qu'une externalité positive de cela !
- Alors pourquoi reviens-tu toujours me réclamer ta dose d'orgasme ?
- Parce que tu m'as rendue accro au plaisir sexuel. J'ai vécu des siècles sans ressentir cela, sans même imaginer que cela existait. Et maintenant que je l'ai découvert, il m'est impossible de vivre sans. Tout comme il est impossible de ne pas te satisfaire en totalité.
- Mais je suis entièrement satisfait, actuellement !
- Non, c'est faux. Je sais qu'au fond de toi, tu as très envie de sodomiser Dakota mais que cela n'est pour l'instant pas possible. Mon anus est là, offert, alors prend-le. Je suis ta chose, ton esclave, un être à qui tu peux tout faire.
- Je ne veux pas te blesser !
- Tu ne me blesseras jamais, au contraire, tu me comble ! Dans tes yeux je lis l'envie de me ravager, de me détruire le cul... Alors fait-le ! Et fait le bien !

En regardant les yeux parfaitement sérieux et sereins de Janet, Julien fût certain de bénéficier d'une adoration et d'une fidélité sans faille ni limite de la part de cette femme. Elle savait pertinemment que derrière son attitude de pervers, il la respectait profondément. La retenue n'était plus nécessaire, le moment romantique pouvait s'arrêter. Julien se retire doucement de la chatte de Janet en déclarant :

- Tu as raison, esclave. C'est le cul de Dakota que j'aurais souhaité prendre ce soir. Mais elle me l'a à nouveau refusé et cela me contrarie beaucoup...

Puis, délicatement, il pénètre l'anus de Janet et reprend :

- ... c'est donc ton cul que je vais détruire. Et tu vas comprendre ce que ce mot signifie pour moi.





Cela a été la dernière chose de faite « délicatement » de tout le reste de la soirée ! A partir de cet instant, Julien s'est appliqué à détruire, comme promis, le cul de Janet. Il lui a ravagé le derrière à un rythme infernal...





Parfois il ralentissait la cadence, mais c'était pour mieux étrangler sa partenaire qui semblait particulièrement apprécier le traitement.





Entre deux défonçages en règle, Julien s'amusait également à doigter vigoureusement le cul de Janet aussi bien pour l'élargir que pour tenter de lui donner un orgasme anal.





L'anus de la belle brune n'est pas le seul orifice que Julien a malmené ce soir-là. Entre deux sodomies, histoire de faire une pause et de donner à Janet ce qu'elle voulait (un maître bien pervers comme il faut), Julien lui baise la bouche, enfonçant se queue jusqu'à la garde. Janet, en parfaite esclave soumise, avalait la totalité du membre de Julien sans bronché et lui laissait le libre usage de son gosier en restant docilement accroupie.





Évidemment, ces gorges profondes n'étaient que des interludes plutôt calmes au regard du matraquage anal qui s'en suivait. Janet était enculée dans toutes les positions mais c'est par derrière, à quatre pattes, que le couple s'attarda le plus.





Loin de demander des pauses ou une quelconque baisse de régime, Janet réclame à son maître et amant toujours plus de puissance, de brutalité, de perversité et profite pleinement de cette séance qu'elle avait tant réclamé.





Julie également savoure chaque instant et s'applique, comme avec ses anciennes maîtresses, à élargir le fion de Janet.





Même si cela était parfaitement inutile avec un être en partie artificiel et tout puissant, Julien adorait voir l'anus grand ouvert de son esclave et y retournait avec encore plus d'entrain, comme si l'orifice n'était jamais assez large pour lui.





Cependant, et malgré l'envie de Julien de ravager Janet le plus longtemps possible, ses capacités d'endurance restaient humaines. A deux doigts de craquer, il se retira du cul de Janet une dernière fois, lui baisa la bouche et lui recouvrit le visage d'une puissance et abondante éjaculation.





La belle brune joua avec gourmandise avec le foutre de Julia et s'appliqua a vider et nettoyer le membre encore dur de la moindre goutte de nectar.





Janet était aux anges, visiblement parfaitement heureuse. Mais Julien lui, avait encore envie de jouer avec elle. Alors qu'elle était encore couverte de sperme, il s'assoit sur le bord du canapé et, sans lui demander son avis, la doigte énergiquement pour lui arracher un nouvel orgasme qui la fait gicler abondement. Ayant trouvé le bouton magique de Janet, Julien ne lui laisse pas l'occasion de se reposer et reprend sa masturbation infernale jusqu'à un second orgasme, tout aussi humide.
Ce n'est finalement qu'après la troisième jouissance que Janet, enfin, demande grâce et supplie Julien d'arrêter et de la laisser se reposer après tant d'émotions.





Julien, ayant obtenu ce qu'il cherchait, laisse Janet tranquille. Il venait de pousser un être tout puissant à lui demander pitié. Il avait poussé un être artificiel au bout de ses capacités physiques et sensorielles. Julien, s'emballant quelque peu dans sa tête, se dit qu'il venait (presque) de vaincre un dieu !
La soirée, en tout cas, venait de toucher à sa fin dans une ambiance totalement perverse, à l'opposé du romantisme ambiant du début. Julien renvoie donc son esclave en l'embrassant langoureusement et en lui claquant violemment le cul, faisant ainsi la synthèse parfaite de l'heure qui venait de se passer.

Seul et nu dans sa cuisine, en train de boire un verre d'eau, Julien a soudain un doute. Il rappelle Janet qui apparaît immédiatement, totalement nue et visiblement rafraîchie et nettoyée, comme si la baise intense qu'elle venait de subir n'avait jamais existé.

- Oui, maître ? demanda-t-elle en apparaissant sur un tabouret.




- Dis-moi, esclave, ton apparence extérieure a changé dernièrement, non ?
- Oui, il me semble ! J'ai des tatouages qui sont apparus et mes seins sont plus gros je crois.
- Et si tu écartes jambes, tu verras que tu n'as plus un seul poil pubien, contrairement à avant.
- Ah oui, tiens ! Je n'avais pas remarqué, mais ça me va bien aussi.





- Tu... tu sembles dire que ce n'est pas volontaire... Tu ne changes pas d'apparence à volonté, comme Julia ?
- Non je ne maîtrise rien. L'apparence de toutes les Janets a été déterminée par les architectes mais notre morphologie s'adapte progressivement aux désirs du quartier qui nous est affecté.
- C'est la première fois que ton apparence change ainsi ?
- Oui, je n'ai pas changé en plusieurs siècles d'existence. Les résidents me regardaient à peine, en même temps.
- Et bien ils vont te regarder maintenant ! Tu étais déjà très belle avant, mais là tu deviens une bombe ! Je vais peut-être être obligé de te partager, si ça se trouve !
- Oh ? Tu laisserais d'autres résidents me faire ce que tu viens de me faire ?
- Non, ce genre de chose m'est réservé, esclave. Mais si un résident te demande une pipe ou un coup vite fait, je n'y vois pas d'inconvénient. De toute façon, tu ne pourrais pas refuser, non ?
- Hors de question de refuser une requête d'un résident. Mais rien de tel ne m'a jamais été demandé. Contrairement à toi, arrivé récemment, ils me voient depuis toujours comme un robot. J'imagine qu'ils ne pensent même pas à moi de cette manière.
- Alors je te garde pour moi sans hésiter ! Mais si tu veux découvrir les joies du sexe à plusieurs, je peux nous organiser ça si tu veux.
- Je ne connais pas... C'est bien ?
- Imagine : une queue aussi grosse que la mienne te prend par la chatte tandis qu'une autre te ravage le cul. Tu en as une troisième dans la bouche et une autre dans chaque main. Autour, d'autres hommes nus attendent de prendre leur tour dans un de tes orifices. Cela fait deux heures que tu es sollicitée en continu car les hommes se relaient autour de toi pour se reposer mais sans te laisser de répit. Et tout se finit par une avalanche de sperme sur ton corps, ton visage et dans sa bouche.
- Par tous les grands architectes ! Ça doit être incroyable...
- C'est ça !


Un grand sourire illuminant son visage, Julien revoie Janet en se disant que l'éternité va être extrêmement plaisante avec une esclave comme Janet.


A suivre...

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