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Baiser ma patronne...

Evevincent
8 mars 2024
Baiser ma patronne...

Nous nous sommes retrouvés, avec plusieurs collègues, chez notre patronne pour fêter son anniversaire.
Elle avait les nerfs, car son mari était parti pour un voyage d'affaires quelques jours auparavant, conscient qu'il ne serait jamais de retour avant cette soirée anniversaire.

Ça c'était la version officielle, la deuxième version était qu'en réalité, même si son mari était bien en voyage pour ses affaires, pour la première fois, sa jeune et jolie assistante de direction l'accompagnait.

Bref, ma patronne n'était pas en super forme.


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De dépit, elle avait beaucoup picolé et, du coup, d'habitude un peu hautaine avec moi, elle m'a laissé l'inviter à danser plusieurs fois, des souks bien chaloupés où, me laissant emporter par le rythme lancinant de la musique, j'ai laissé mes mains s'égarer sur ses flancs, ses hanches et, très furtivement, sur sa croupe en l'attirant fermement contre moi, lui faisant sentir mon sexe dressé entre nos ventres.


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Au bout de plusieurs danses, tout en me regardant droit dans les yeux, elle me murmura :
_  C'est moi qui vous mets dans cet état ou...

Je lui rétorquai alors en soutenant son regard :
_  J'ai envie de vous. Vous m'excitez.

Surprise par mon aplomb, elle n'a rien dit, semblant réfléchir à ce qu'elle allait pouvoir me répondre ou faire.

Et puis la musique s'est arrêtée et on s'est séparé pour retourner chacun vers nos sièges.
La soirée s'est poursuivie jusqu'à pas d'heures et les collègues sont partis progressivement.

À la fin, au moment de m'en aller, je lui ai proposé de rester pour l'aider à ranger afin qu'elle ne fasse pas ça toute seule.
Elle m'a longuement regardé puis elle a accepté, un petit sourire en coin.


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À peine le dernier collègue parti, je me suis approché d'elle et là, sans perdre de temps, je l'ai enlacée, lui faisant sentir mon envie d'elle.

Elle a essayé de me repousser en me disant qu'elle était mariée et que moi aussi, et que tout cela n'était pas très sérieux.
Puis, elle a rajouté qu'en plus, elle était ma patronne et qu'il fallait se reprendre, en essayant de m'échapper.

Je l'ai alors rattrapée et on a perdu l'équilibre, pour se retrouver bêtement l'un contre l'autre, à même la moquette du salon.
On a éclaté de rire.

J'en ai profité pour l'embrasser malgré ses tentatives pour m'empêcher d'arriver à mes fins.




Et puis, elle a arrêté de se débattre en me murmurant :
_  Vincent. Ça suffit. Vous n'allez quand même pas me violer !

Je lui ai répondu d'arrêter de se mentir, car je savais très bien qu'elle aussi en avait autant envie que moi, rajoutant que d'ailleurs j'allais vérifier çà tout de suite en glissant une de mes mains entre ses cuisses jusqu'à atteindre sa culotte.

Elle était trempée.
_  J'en étais sûr. Vous êtes trempée.

Du coup, je l'ai encore embrassée et là, elle a ouvert la bouche, me laissant faire connaissance avec sa langue pour un long baiser passionné.




Dans le même temps, je m'occupais de sa chatte, de son trou, de ses lèvres et, très vite, de son clitoris, lui arrachant un encourageant petit gémissement.
_  Vincent. Arrêtez. Soyez raisonnable. Je ne veux pas tromper Simon.
_  Il vous a abandonnée le jour de votre anniversaire.
_  Oui c'est vrai mais...
_  Chuttttt. Ne lui trouvez pas d'excuses. Il a déconné grave. Laissez-moi vous faire du bien....
_  Mon Dieu, Vincent je...




Elle était en train de craquer.
Avant qu'elle ne se reprenne je me suis laissé glisser entre ses jambes, sous sa robe pour me mettre à lui dévorer l'abricot.

C'était sûrement son point faible, son pêché mignon, car presque immédiatement, elle s'est mise à gémir plus franchement, ouvrant plus largement le compas de ses cuisses au bout de quelques secondes à peine.
C'était gagné.

Je l'ai aussitôt débarrassée de sa culotte et là, je lui ai littéralement bouffé la chatte usant de ma bouche, mes lèvres et ma langue sans la moindre retenue.




Très vite, un violent orgasme l'a transpercée.

Son corps tout entier a été secoué de spasmes tandis qu'elle m'expulsait plusieurs petits jets de cyprine en plein visage, à ma plus grande satisfaction.
_  Je jouis Vincent, je jouis. Haaaaaa salaud, profiteur...

Ma patronne était en train de se tordre de jouissance en miaulant comme une chatte en chaleur.




Ensuite, profitant de ce qu'elle essayait de reprendre ses esprits, je me suis vite déshabillé pour dégager mon sexe et sans attendre je l'ai embrochée en deux coups de reins bien appuyés.
_  Mon Dieu Vincent. Vous êtes fou. Je...
_  Laissez-vous faire. Vous sentez ma queue bien dure en vous ? J'ai trop envie de vous. Et vous aussi n'est-ce pas ?
_  Oui oui mais Simon...
_  Personne ne le lui dira.
_  Mais...
_  Chuuuut. Sentez ma bite à l'intérieur de votre chatte. Laissez-vous aller. Laissez-moi vous baiser.
_  Haaaaa Vincent. Comment vous me parlez. Ça m'excite...
_  C'est vous qui êtes excitante. Votre cul. Vos gros seins qui me donnent envie de les téter, les mordre, les lécher. Et votre chatte avec votre gros clito. Un pur délice.
_  Ha mon Dieu. Ça revient déjà... Ça y est je viens encore... salaud haaaaaa......




Un vrai délice cette coquine de patronne.
Un deuxième orgasme la parcourait, lui faisant perdre complètement pied tandis que je lui décochais des coups de plus en plus rapides et puissants.
_  Haaaa Vincent, Vincent. C'est trop bon. Vous me faites perdre la tête.

Je la pistonne à grands coups de reins, profitant qu'elle reste avachie sans bouger.

Puis, je la fais basculer sur le ventre contre le bureau.
Son fessier est complètement offert à ma convoitise.


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Je l'embroche aussitôt tout en lui caressant les fesses, sa raie jusqu'à son anus que j'investis doucement.

_  Vincent non. Pas par là.
_  J'ai trop envie de te défoncer la rondelle. Il te fait ça aussi ton homme ?
_  Non. Il n'aime pas trop.
_  Moi j'adore. Tu sens mes doigts entre tes fesses. Ça rentre comme du beurre.
_  Arrêtez Vincent. Ne faites pas ça.

C'est décidé.
Elle n'est vraiment pas convaincante dans ses protestations.
Je me retire de sa chatte, pour m'intéresser à son petit trou qui palpite d'impatience.

_  Vincent, Vincent, non...

C'est trop tard.
Mon gland glisse déjà en elle.
Elle a compris que je ne vais pas renoncer.
Elle cambre les reins en écartant ses deux globes de ses mains.


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_  Doucement. Je n'ai pas trop l'habitude.
_ Relachez-vous et détendez-vous lorsque je vous le dirai.
_  Oui oui d'accord, mais doucement s'il vous plaît. J'ai peur d'avoir mal.

Je me retire doucement, recouvre une nouvelle fois mon sexe de salive, puis retourne au combat.
Ça glisse doucement jusqu'à sentir ses sphincters me barrer le passage.
J'appuie plus fort.

_  Haaaaa ça fait mal.
_ Détendez-vous, maintenant. Oui encore plus...

Ça y est c'est passé.
Je l'ai enculée jusqu'aux couilles.

Je passe une de mes mains sous ses hanches pour atteindre sa chatte et son clito.
Je la masturbe doucement sous mon doigt.

Mon sexe glisse doucement en elle, d'avant en arrière.
Elle se laisse faire en gémissant doucement.
_  Doucement...

Je lui obéis en bougeant à peine.


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Au bout d'un moment elle se met à s'empaler d'elle-même en gémissant plus franchement.

Enculer sa patronne, d'habitude si hautaine...
Un pur délice.

Très vite, mes coups de reins se font plus puissants.
Mon ventre claque contre ses fesses à chaque coup que je lui assène.
Ma patronne se laisse défoncer en m'encourageant à la prendre encore plus fort.

Je me déchaîne.

Elle m'insulte :
_  Haaaa salaud. Vous m'enculez de ouf. Je vais encore venir. Oui. Oui.

C'est énorme.
Son corps est propulsé en avant à chaque coup de boutoir.
Tout à coup, son corps se tend comme suspendu dans le vide, puis retombe, secoué de spasmes impressionnants.


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Elle jouit.
_  Haaaaaa Vincent, salaud. Je jouiiiiis !!!!

Son anus me broie la queue, déclenchant alors ma propre jouissance.
Je gicle, bien calé au fond de son magnifique fessier.
_  Ha t'es trop bonne. Ouiiiiii laisse-moi te remplir le cul de toute ma semence.




Elle ne répond pas, complètement hors service.

Je reste encore en elle, couché sur son dos, un long moment, en lui caressant les reins, ses flancs, ses cuisses, sans oublier ses deux globes bien musclés.
Elle se laisse faire sans rien dire jusqu'à ce que je me décide à la libérer.

Elle se retourne, cherchant alors mon regard.
Je lui souris en la remerciant pour ce moment tellement inespéré mais vraiment agréable.

Elle me répond, osant à peine me regarder qu'on n'avait vraiment pas été raisonnable, avant de rajouter qu'elle espérait pouvoir compter sur moi, pour que tout cela reste un secret bien gardé...

Baiser ma patronne...

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