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Angela - épisode 20 : Coutumes locales Lundi 1er août 18:08 Une fois ma douche terminée, je reste quelques minutes au bord de la piscine pour profiter du soleil de cette fin d'après-midi et me laisser sécher à ses rayons brûlants. Quand je sens que ma peau commence à chauffer, je me relève. Je cherche du regard Joann dans le parc, mais ne parviens pas à le voir. Soit il se trouve de l'autre côté, soit il est reparti. Dommage, puisqu'on avait prévu avec Luc de lui offrir un petit spectacle dont il aurait pu profiter à travers la baie vitrée. ![]() Quand je fais coulisser la baie vitrée, Luc découvre sur mon visage ma déception : - Eh bien ? Tu n'es plus motivée ? - Joann est apparemment parti. - Ah... Et l'absence de spectateur fait que tu n'as plus envie de faire l'amour ? ![]() - Mmmm, si quand je te vois, assis, nu, tel un dieu grec, j'ai bien envie quand même. - Tu ressembles également à Aphrodite. - Ah oui ? Je suis ta déesse de l'amour ? Mais toi, quel dieu es-tu ? ![]() - Ah, je ne sais pas... Zeus le Puissant, Priape le fertile ou le bel Apollon ? - Apollon, bien sûr. - Je suis quand même mieux doté que les représentations masculines de ces dieux. Ces statues ont toujours des sexes minuscules. ![]() - Priape est représenté beaucoup mieux doté que tu ne l'es actuellement. Ceci dit, tu n'es pas au mieux de ta forme. Aphrodite pourrait se vexer. - Ah oui ! Tu crois ça ? - Bah oui. La beauté de la déesse de l'Amour devrait te motiver. ![]() En me souriant, Luc pose une main sur sa cuisse et son index se glisse sous son membre ramolli pour en caresser les testicules. Il ne faut pas très longtemps pour la tige se gonfle et se redresse : - Alors ? Aphrodite est rassurée sur son pouvoir ? ![]() - Oui, mais tu as un peu aidé. - Une très légère stimulation, mais je t'avoue que c'est bien la beauté de ton corps qui m'excite. - En tout cas, je suis heureuse de voir que tu as un peu de contrôle sur ton sexe. ![]() - Tu en doutais ? - Disons que j'ai été surprise par Joann, tout à l'heure. Tu as vu ? Il a éjaculé deux fois sans que je le touche. - Évidemment, mais lui te touchait. L'alchimie de l'excitation passe par le contact, dans un sens comme dans l'autre. ![]() - Mmmm. Et un homme pourrait-il éjaculer sans le moindre contact ? - Juste avec ce qu'il voit ? - Ou ce qu'il imagine, s'il a une imagination fertile. Je m'approche de Luc, comme pour le défier. ![]() - Il faudrait un sacré niveau d'excitation. Cela nécessiterait un mental extraordinaire. - Et tu n'as jamais éjaculé dans tes draps la nuit quand tu étais plus jeune, juste par des rêves érotiques ? - Si, mais je ne sais pas lequel est la cause de l'autre... Là, ce que je sais, c'est que notre petite conversation m'excite drôlement. Son sexe est effectivement joliment tendu, prêt à l'emploi. ![]() - Tu penses que le plaisir d'une érection pendant le sommeil pourrait orienter le rêve vers l'érotisme ? - Cela ne me semblerait pas incongru. - Mais qu'est-ce qui déclencherait l'érection ? ![]() - Un excès d'excitation durant la journée, peut-être une trop forte accumulation de sperme dans les testicules... - Donc si je t'excite ce soir, sans te soulager, tu serais en mesure d'éjaculer durant ton sommeil ? - Bon sang, tu serais prête à tenter l'expérience ? Gâcher tout ce bon sperme ? ![]() images similaires - Ce serait de la simple curiosité. Et ce serait effectivement dommage. - Alors qu'attends-tu ? Un spectateur ? - Oh, non. Je suis bien trop pudique pour cela... ![]() - Ce n'est pas ce que tu m'as dit tout à l'heure. Cela ne serait-il pas de la fausse pudeur ? - Sans doute. Aphrodite a le droit de se montrer pudique. Les jeux de l'amour passent par une diversité de sentiments. Et là, la déesse souhaite se donner à un dieu sans que les humains en soient témoins. - Alors, puisque nous sommes tranquilles, viens profiter de ton Apollon. ![]() Je viens enjamber cette superbe promesse de plaisir en souriant : - Aphrodite elle-même n'aurait sans doute pas résisté à un tel phallus. Je me laisse empaler sur l'énorme pieu. Il est particulièrement gros et parfaitement raide. Une fois le gland engagé dans ma fente dégoulinante, le reste suit lentement. ![]() Luc me guide. Cela semble lui plaire. Je le sens palpiter en moi. Pourtant, il bouge peu. Sans doute craint-il d'éjaculer trop vite. - Mmmmmm Juliette... Il me caresse les fesses, tandis que je commence à monter et descendre lentement sur son mandrin. ![]() Toute l'excitation de cette journée semble se concentrer dans le plaisir de cette pénétration et j'ai l'impression, à voir l'expression de Luc, qu'il éprouve la même sensation. Je sens soudain un léger courant d'air tiède dans mon dos, suivi d'un bruit de porte. J'interromps ma chevauchée et tourne la tête vers l'entrée : - Tu as entendu ? ![]() Luc écoute : - Quoi ? - Quelqu'un est entré, non ? - Et alors ? Si c'est Joann, c'est ce que tu voulais, non ? Il accompagne ma chevauchée par des coups de reins pour aller plus loin en moi. Je me redresse pour me cambrer. Luc en profite pour me sucer le mamelon que je lui mets à portée de bouche. ![]() Dans un concert de gémissements, nous reprenons notre folle cavalcade sans nous soucier de savoir si Joann nous épie ou non. Je sens à la respiration de Luc, à son rythme cardiaque, à la tension dans ses mains, qu'il n'est plus très loin de l'ultime plaisir, celui qui le fera se déverser en moi. Et je sais que je suis moi-même sur le point de non-retour. Le plaisir monte au creux de mes reins et m'envahit toute entière. ![]() - Oooooh Luc... Les spasmes de mon plaisir déclenchent l'éjaculation de mon homme. Il stoppe tout mouvement du bassin. Ses mains se contractent sur mes cuisses. Je le sens se tendre en moi, puis libérer un flot de semence chaude. - Rhaaaa Juliette ! Je me redresse pour lui donner mes seins à sucer. Son sexe s'échappe du fourreau. ![]() Sans doute a-t-il déjà tout déversé en moi. - Oh, Luc, c'était si fort... - Quelle chevauchée ! - Oui, tu m'en as encore mis beaucoup... Sa semence s'écoule doucement de ma fente béante. ![]() Une voix rieuse retentit derrière nous, pas celle de Joann : - Joann m'avait dit qu'il y avait des abricots à venir récupérer, mais je vois, Luc, que tu as déjà fourré le plus beau d'entre eux... C'est Lionel, apparemment plutôt fier de sa blague. Surprise, je me redresse précipitamment en cachant mes parties intimes. ![]() - Lionel ? Excuse-nous... On ne pensait pas que... - Oh, mais ne vous excusez pas. C'est à moi de vous présenter mes excuses pour cette entrée intempestive. Lionel s'approche de moi pour me faire la bise. Je trouve surréaliste d'être nue entre les bras d'un homme habillé, un copain de Luc. ![]() Il reste collé à moi, comme si nous dansions. Luc rigole : - Ah oui, c'est possible que le rituel de la bise soit un peu court pour Lionel. - Comment cela ? - Eh bien, il a l'habitude de ne pas se contenter de déposer un baiser sur la joue. - Ah oui ? ![]() Lionel acquiesce : - Oui, surtout si la fille est nue est qu'elle me présente d'autres surfaces à embrasser. J'aurais imaginé un baiser passionné avec la langue, mais le garçon semble plus s'intéresser à mes seins qu'à ma bouche. Il se penche et me lèche un mamelon. ![]() - Heu... Luc, techniquement, ton copain, il me lèche le téton, il ne l'embrasse pas vraiment. - Ah oui, effectivement. J'imagine qu'il s'agit d'une coutume locale. - Ah d'accord. Je m'amuse de ce petit jeu et laisse Lionel empoigner mes seins à pleines mains pour sucer alternativement mes deux pointes déjà bien érigées. ![]() Je demande à Luc : - Et je vais devoir aussi lui sucer les mamelons en retour ? - Je ne connais pas vraiment cette coutume. Je pense qu'il t'indiquera lui-même ce qu'il attendra de toi en retour. J'imagine déjà que ça ne s'arrêtera pas à lui lécher le torse. Je dois avouer que cette coutume me plaît beaucoup, car ses caresses et ses coups de langue commencent à faire leur effet. ![]() Mais Lionel ne semble pas vouloir se contenter de mes seins. Sa bouche descend peu à peu sur mon ventre. - Luc ? Ton copain semble s'effondrer. - Oui, j'imagine que cette façon de dire bonjour est un moyen de découvrir plus intimement son partenaire. - Tu diras aussi bonjour comme ça aux demoiselles de la région ? ![]() images similaires Luc rigole : - Je ne suis pas contre. C'est important de respecter les coutumes locales. Contre toute attente, Lionel se redresse. Je l'interroge : - Ah ? Pas de petit bisou entre mes cuisses. Lionel me sourit : - Si, c'est un baiser qui se prépare... Ses doigts se posent sur ma fente et débusquent mon clitoris tandis que sa bouche réinvestit un mamelon. ![]() - Mmmmmm, cette façon de dire bonjour est originale, mais j'avoue que c'est très... agréable. Luc s'étonne : - Seulement "agréable" ? Je veux lui répondre pour lui dire que je veux réserver un vocabulaire plus intense à la suite de la cérémonie, mais Lionel s'écarte pour retirer son tee-shirt, me révélant son corps d'athlète, puis il s'accroupit devant moi et sa langue vient remplacer ses doigts. ![]() Luc commente : - Ses lèvres contre les tiennes... Je complète : - Et surtout sa langue contre mon clito... Lionel se relève et passe derrière moi, me caressant au passage. Sa bouche vient se lover dans mon cou. ![]() Tout en faisant glisser ses mains douces sur mon corps, il me contourne et approche son visage du mien : - Juliette, j'aimerais aussi goûter à ces lèvres-là, mais ça ne fait pas partie de la coutume locale. - Ah ? Je ne sais pas trop. Il faudrait demander à Luc ce qu'il en pense. ![]() Je tourne la tête vers mon copain, pour me rendre compte qu'il a enfilé un jeans. Serait-il pudique face à son copain ? Ou bien est-ce pour me dissimuler son érection et me laisser me concentrer sur Lionel ? Luc nous rejoint. - Ma Juju, s'il a déjà goûté à tes lèvres intimes, il peut légitimement goûter à celles de ta bouche. Pendant que nous dissertons, Lionel s'amuse avec un de mes mamelons et le malmène gentiment, m'arrachant un petit gémissement de plaisir. ![]() Sans trop de surprise, quand ma main se pose sur l'entrejambe de notre propriétaire, je sens une franche érection. Je dis à Luc : - Mais ma bouche n'est qu'à toi, non ? - Ta bouche ne peut pas être réservée qu'à moi. Elle est magique. Tous ceux que tu apprécies peuvent en profiter. - Oui... comme le reste de mon corps ? - Exactement, ma Juju. ![]() Luc retourne s'asseoir. Je me tourne vers Lionel : - Je crois que nous pouvons dépasser ta coutume locale... Il pose sa main sur ma nuque et m'attire tendrement à lui jusqu'à ce que nos bouches se joignent. ![]() Nos langues se cherchent et se trouvent. Il a les yeux fermés. Je ferme les miens, goûtant à cet instant magique. Quand la baiser s'interrompt, Lionel se penche pour couvrir mon buste de baisers tandis que sa main caresse doucement mon entrejambe. Luc s'amuse : - Je crois qu'il reprend la coutume locale. Lionel, il faut que tu expliques la suite à Juliette. Même si je me doute que nous n'allons effectivement pas en rester là, je le laisse dire, préférant me concentrer sur les attentions de Lionel. ![]() Lionel se redresse et sourit à Luc : - Tu connais la suite de la coutume locale ? - Disons que je l'imagine assez bien. Déjà il me semble que tu dois te mettre dans la même tenue que la demoiselle. - Héhé, bien sûr. Je regarde avec intérêt Lionel déboutonner son jeans. ![]() Il en surgit une belle érection, telle un diable sortant de sa boîte trop étroite. - Mon pauvre Lionel, cette coutume t'a mis dans un état où il est effectivement préférable que ton membre soit libéré. - Oui, c'est une coutume compliquée à gérer. ![]() images similaires - Et ça doit l'être encore plus quand il y a plein de jeunes filles à honorer, car cette cérémonie d'accueil me semble bien longue... Les garçons rigolent, mais Lionel précise : - Cette coutume ne s'applique que lors d'une rencontre avec une seule demoiselle. - Oh, je suis donc particulièrement chanceuse. ![]() Luc ajoute : - Et tu ne sais pas jusqu'à quel point ! - Ah oui ? Devrais-je maintenant saisir ce mât et le palucher comme pour une poignée de main, ou bien le couvrir de baisers ? Lionel sourit : - La coutume veut que tu choisisses, mais certaines lient les deux pratiques... Son sexe en érection est si attirant, je pense effectivement me laisser tenter par les deux propositions. ![]() Je m'accroupis devant Lionel et je saisis son membre d'une main presque timide. Luc réagit : - Allons, ma chérie, ça ne va pas te manger. C'est d'ailleurs à toi de le gloutonner. - Gloutonner ? Amusée par le terme choisi, je me penche et lèche le gland de Lionel. ![]() images similaires Luc a finalement retiré son jeans et il exhibe une érection phénoménale. Le coquin apprécie de me voir sucer son copain. Sans doute que cela lui rappelle l'époque où ils étaient avec Angela. Cette salope devait s'amuser à en faire patienter un pendant qu'elle s'occupait de l'autre et à alterner, les gardant dans un état d'excitation permanent. Et moi, en découvrant ces deux sexes qui se dressent, seulement pour moi, je me sens aussi salope qu'Angela. ![]() Dans un état second, comme gargarisée par ces deux sexes magnifiques, je prends l'initiative de caresser les testicules de Lionel. Luc me dit : - Oui, tu as raison, il adore ça. Et surtout de se les faire sucer. Comme je ne pense pas que Luc ait jamais sucé les couilles de son pote, j'imagine que c'est Angela qui le faisait. Ma bouche abandonne alors le gland pour venir lécher les bourses de mon partenaire. ![]() images similaires Lionel pousse un profond soupir de satisfaction, puis il tourne la tête vers Luc : - Waouh... Elle gloutonne délicieusement bien... - Ah, non. Là, elle ne gloutonne pas encore vraiment. Je souris aux commentaires des garçons, qui sous prétexte de blagues, m'encouragent à aller plus loin. Je fais remonter ma langue le long du membre turgescent jusqu'au gland. ![]() images similaires Je m'attarde un peu à sa base, car j'ai repéré que c'est une zone particulièrement sensible pour Luc et il n'y a pas de raison que ce soit différent pour d'autres garçons. Lionel demande : - Mmmmmm... C'est donc ça gloutonner ? - Toujours pas. Elle prépare juste le terrain... Quel vicieux ! Je me vois donc dans l'obligation de prendre la tige frémissante entre mes lèvres, mais je garde ma langue sous le gland pour continuer à le cajoler. ![]() images similaires Lionel gémit de plaisir : - Hannn... Je crois que là elle y est... - Oui, elle y est presque. Ok, donc Luc ne veut pas seulement que je le lèche, mais que je lui pompe carrément le dard. Lionel semble vouloir m'y encourager aussi : il passe une main sur ma nuque et rassemble mes cheveux pour les empoigner afin d'accompagner mes pompages. ![]() Lionel est aux anges : - Mmmm, quelle gloutonne tu fais ! Sur le côté, j'entends un râle de la part de Luc. J'ai juste le temps de tourner un peu la tête pour me rendre compte qu'il est en train d'éjaculer. Le salaud ! Sans que je le touche ! ![]() Lionel se moque de lui : - Haha, petit joueur Luc ! C'est moi que ta copine gloutonne et c'est toi qui jouis en premier ? Pas très cool de la part de Lionel de le mettre en concurrence. J'aurais imaginé qu'ils avaient dépassé ça depuis... Angela. Je repousse Lionel sur le canapé et je m'agenouille à côté de lui pour continuer à lui tailler une pipe que j'espère inoubliable. ![]() - Haaann, Juliette, laisse-moi venir dans ta bouche. J'abandonne ma friandise et me redresse en souriant : - Tu n'aurais pas dû te moquer de mon copain... Le sentant sur le point d'éjaculer, je la masturbe doucement. Malgré sa déception, il n'est plus en état ni de réagir, ni d'exiger quoi que ce soit. Le sperme se met à jaillir. ![]() images similaires À mon tour, je me moque : - Oh, tu n'as pas su retenir ta liqueur... - Haaaaan, diablesse ! J'empoigne fermement son manche encore tremblant et je l'astique pour que ça gicle le plus possible, envoyant des gouttes de sperme sur ses cuisses et son ventre. ![]() images similaires Mais comme je ne suis pas si méchante que ça, dès que l'effusion s'éteint, je me penche sur Lionel et lui lèche consciencieusement chaque perle et flaque de semence qui jonche son aine. Luc semble s'en amuser : - Waouh, je te savais gloutonne, mais pas à ce point... - Pour me rattraper de ne pas l'avoir laissé éjaculer dans ma bouche. Et le reste étant assez propre, je m'attaque à nettoyer méticuleusement de ma langue sa hampe encore raide, pour achever mon périple par un nettoyage fin de son gland, prisonnier de mes lèvres. ![]() Luc me sourit : - Et moi ? - Toi ? J'ai l'impression que tu préfères l'observation à l'action. - Du coup, je veux bien te voir lécher aussi mon sperme. ![]() - Merci. J'ai eu mon compte de crème avec ton copain. - C'est gâché. - Demande à Lionel s'il peut le faire. ![]() Les garçons rigolent, mais je vois qu'ils se forcent un peu : l'idée-même semble les déranger un peu, ce qui m'amuse beaucoup, surtout en sachant tout ce qu'ils ont pu partager quand ils étaient avec Angela. Je monte à la salle de bain, les laissant tous les deux à poil dans le salon. |