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Angela - épisode 31 : Petit déjeuner tardif Mercredi 3 août 9:53 Avant de descendre, je regarde dans la penderie ce que je peux me mettre. Descendre toute nue alors qu'il y a quatre garçons dans la maison me semble inconvenant, malgré la soirée et la nuit que nous avons passées. Je trouve une petite robe de chambre orange, très fine, transparente. Cela se porte normalement sur autre chose, mais je me dis que, puisque les garçons s'attendent à ce que je reste nue, autant que je m'habille avec quelque chose qui soit plutôt... déshabillé. La villa est calme. Pourtant tout le monde semble levé, puisque Damien et Cédric ne sont plus sur les canapés du salon. J'entends le bruit de la douche. Chacun se prépare. Je sors sur la terrasse encore à l'ombre à cette heure, mais où la chaleur du soleil commence déjà à se faire sentir. J'entends du bruit dans mon dos. ![]() - Bonjour Juliette. C'est la voix de Damien, dans la cuisine. Il n'est vêtu que d'un boxer et dépose sur la table la cafetière et quelques tasses. - Bonjour. Merci pour le café. - Tu as bien dormi ? - Dormir est un bien grand mot... Il me semble avoir eu la visite de plusieurs personnes pendant la nuit... ![]() - Heu, oui, c'est vrai que tu as été sans doute beaucoup sollicitée... - Je ne me plains pas, note bien. - Oui, tu avais l'air assez satisfaite de nos visites. En appuyant sur le "satisfaite", Damien pose sa main sur son entrejambe où son sexe semble déjà réagir aux souvenirs de la veille au soir... ou à mon déshabillé orange. ![]() - Je t'avoue que je ne me souviens plus de tout en détail... mais je crois me souvenir que tu t'es autorisé à me mettre ton machin dans un endroit peu conventionnel. - Oui... Tu regrettes ? - Pas du tout, mais je ne t'aurais certainement pas laissé faire si je n'avais pas été dans cet état. - Fatiguée ? Bourrée ? - Non, excitée par vos assauts successifs... ![]() Damien sourit, manifestement plutôt fier de lui. Et son outil, qui m'a donné tant de plaisir hier soir, semble aussi réagir et grossit encore significativement dans le boxer. - Oh, tu bandes en permanence. - Si c'est l'impression que je te donne, c'est que je bande à chaque fois que je suis en ta présence. - Flatteur ! ![]() - Non, réaliste. Tu sembles représenter tout ce dont un homme peut rêver : intelligente, compréhensive, superbe physiquement. Luc a une chance inouïe. Je crois que je rougis un peu. - C'est gentil, mais il faut justement prendre Luc en considération dans cette équation. C'est grâce à lui si je m'autorise toutes ces découvertes. ![]() En prononçant ces mots, je me rends compte que si Luc est aussi "ouvert", c'est probablement grâce à son expérience avec Angela qu'il partageait avec Lionel. Damien hoche la tête et ajoute : - C'est en tout cas une aubaine que vous soyez venu passer vos vacances ici. - C'est effectivement le paradis ici. Il y a plein de garçons en érection, hihi ! - Oui... ne te moque pas, s'il te plaît. - Si tu te sens à l'étroit, n'hésite pas à adopter l'uniforme réglementaire de la villa. - Pas bête ! Et Damien, sans la moindre pudeur (mais pourquoi en aurait-il ?), abaisse son boxer et libère la bête. ![]() - Impressionnant ! - Cela ne te choque pas ? - Pourquoi le serais-je ? Ne suis-je pas la cause de cette magnifique rigidité ? ![]() - C'est injuste, nous les mecs, ça se voit comme le nez au milieu de la figure quand une fille nous plaît. - Oui, nous c'est plus discret. - Et d'autant plus si tu restes habillée alors que moi je suis nu. - Oh, voyez-vous ça ? Je suis trop habillée pour monsieur ? Je laisse glisser le déshabillé de mon épaule, dégageant un sein. ![]() - Ah oui, c'est vrai que les tétons tendus sont aussi une marque d'excitation. - Sauf qu'ils réagissent aussi au froid... Là, j'ai peut-être froid... - Vu comment la température monte, je ne pense pas, mais ce n'est pas à cela que je pense. - Je sais bien à quoi tu penses. Je libère mon autre sein et glisse une main entre mes cuisses pour constater que je mouille effectivement. ![]() - Si tu savais comme tu es excitante. - Je le vois, mais d'ailleurs, je me dis que tu ne bandes pas tant que ça... - Quand tu auras tout dévoilé, elle se dressera pour toi. ![]() - Ah oui ? - Essaie. J'ouvre mon déshabillé, et me retrouve ainsi presque totalement... déshabillée. Je constate que son sexe se dresse effectivement lentement tandis que ses yeux semblent caresser mon corps. - Oh, mais c'est vrai que c'est aussi réactif que des mamelons. ![]() - Je t'avoue que toutes les filles ne me font pas cet effet-là... - C'est agréable à entendre. - Tu es agréable à regarder. Son sexe continue à se dresser et à se gonfler doucement. ![]() - C'est dingue ! Et qu'est-ce qu'il se passerait si je m'approchais de toi et que je te caressais les couilles ? - Je... je... - Et si j'empoignais cette magnifique hampe pour la masturber tranquillement ? Il ne répond pas, comme si le fait de me répondre pouvait le faire jouir. J'ai laissé le déshabillé tomber. Je suis nue et je m'offre à son regard comme il m'offre le spectacle de son sexe qui se dresse. ![]() Même si son sexe est maintenant tendu à l'extrême, je continue à l'exciter : - Une main à te masser les couilles, une autre coulissant sur ta hampe, combien de temps tiendrais-tu ? - ... - Et si ma bouche venait s'enrouler autour de ta queue ? Que ma langue faisait le tour de ton gland ? Est-ce que... Oh ! Je découvre avec stupeur qu'il commence à éjaculer. ![]() Pris de soubresauts, son sexe expulse le sperme doucement, par saccades. L'épaisse semence s'écoule lentement sous la tige et goutte par terre avant d'atteindre les bourses. - Waouh ! Je n'aurais pas cru pouvoir faire éjaculer un homme rien qu'en lui suggérant des caresses, sans même un contact. ![]() Le pauvre Damien est tout penaud, comme un enfant pris à voler un bonbon. - Je... je suis désolé, Juliette. - Oh, mais ne le sois pas ! C'est très gratifiant pour moi de savoir que je suis excitante à ce point. - Ce n'est pas que toi. C'est aussi ta voix, tes mots... ![]() - Ma voix est excitante ? - Elle est douce et chaleureuse. Oui, elle est excitante. - Hihi, tu es adorable. Allez, va te doucher. Je vais finir de préparer la table du petit déjeuner pour les autres. ![]() - Tu ne veux pas que je te rende la pareille ? - Hé ? Tu crois pouvoir me donner un orgasme en me décrivant le cunnilingus que tu me ferais ? - Ou la manière dont je pourrais jouer avec ton anus... - Ah ce serait peut-être plus efficace effectivement, mais ça ne suffira pas. Allez, file. Damien part à la salle de bain, apparemment à contrecœur. Je m'affaire donc à préparer une petite salade de fruits improvisée. ![]() Une voix derrière moi se fait entendre : - Magnifique spectacle ! Il s'agit de Cédric qui trouve mon séant plutôt à son goût, si j'en crois son érection. ![]() - Bonjour, Cédric. Bien dormi ? - Comme un loir, après notre petit câlin de cette nuit. C'était bien agréable et je trouve tout aussi agréable la coutume naturiste de cette villa. Tu es particulièrement appétissante. - Je ne fais pas partie du petit déjeuner. ![]() - Dommage... Je profite de sa présence pour tenter d'en savoir un peu plus sur Lionel : - Dis-moi, tu connais bien Lionel ? ![]() - Tu sais que ça pourrait être vexant que tu t'intéresses plus à mon pote qu'à moi alors que je suis à poil devant toi. - Pardon... Je t'assure que je ne suis pas insensible à ton... état. Il sourit et scrute mon entrejambe : - C'est ce que je crois observer. Je prends conscience qu'il doit voir que les lèvres de mon sexe sont humides, trahissant mon excitation. J'y porte les mains pour soustraire à son regard cette évidence. - Hey, ça ne se fait pas de regarder le sexe d'une femme ! ![]() - Mais ça se fait pour une femme de regarder celui d'un homme ? - Sans doute pas, mais ce serait dommage que je n'en profite pas... - Cela ne me gêne pas. Et est-ce que je peux regarder tes seins ? ![]() - J'aurais tendance à dire que si ça t'aide à rester en érection, ce serait même encouragé. Il me sert une tasse de café qu'il me tend : - Alors, je vais profiter de ce petit déjeuner pour me rincer l'œil. - J'espère que tu n'auras pas les mêmes déboires que Damien... ![]() - Ah ? Que lui est-il arrivé ? - Le pauvre, rien qu'à me regarder, il s'est mis à éjaculer... - Rien qu'à te regarder ? C'est possible ? - Oui... Bon, je l'ai peut-être un peu excité en lui décrivant quelques petites choses salaces que je pourrais lui faire... Je bois une gorgée de café et observe la réaction de Cédric. ![]() images similaires Il sourit et dit : - Je suis prêt à tenter l'expérience. - Ah oui ? Tu n'as pas peur que cela te fasse éjaculer ? - J'ai envie de tenter l'expérience. - Même si tu passes après pour un éjaculateur précoce ? ![]() - Tu sais qu'il n'en est rien. Damien n'en est pas du tout un et moi non plus. Ce qui me rend d'autant plus curieux de tenter l'expérience. Comment de simples mots peuvent faire cet effet ? - Sans doute comme quand on lit une histoire érotique et que la tension monte... ![]() - Oui mais là, tu lui as parlé combien de temps ? - À peine deux minutes... - Alors soit tu es une sorcière, soit il était déjà sacrément excité. Que lui as-tu fait ? - Bon, peut-être que je l'ai excité avant en m'effeuillant devant lui... Je bois une gorgée de café. ![]() - Ahah, je m'en doutais ! - Et peut-être qu'il avait en tête ce qu'il m'a fait cette nuit... - Sans vouloir t'offenser, je crois qu'on est tous venus te rendre visite cette nuit. Je pose ma tasse sur la table. - Oui, mais Damien a visité un endroit que ni Lionel, ni toi n'avez envisagé. Cédric me rejoint, intéressé : - Quoi, il t'a... ? - Sodomisée, enculée, oui. Et il n'a effectivement pas été précoce du tout. ![]() Cédric s'écarte, stupéfait par cette révélation : - Le salaud ! Je ne me serais pas permis. Je tire une chaise pour m'asseoir et reprends mon café : - Lui, il l'a fait... ![]() - Quoi ? C'est toi qui lui as demandé ? - Même pas. C'était son initiative, mais je n'ai pas regretté. - Et moi ? Tu me laisserais faire ? - Tu n'en as pas eu l'idée cette nuit... ![]() - Cette nuit, non. Mais là, maintenant, j'avoue que l'idée me travers l'esprit. Je regarde son sexe parfaitement tendu : - Et pas que l'esprit, j'ai l'impression... Je me lève et retourne ma chaise pour m'y installer à cheval, offrant ma croupe de manière éloquente à Cédric. ![]() - Je... tu... Là ? Dans la cuisine ? - Bah, oui, là on est seuls. Et ça ne t'a pas dérangé de me baiser cette nuit avec Damien, alors que Luc dormait à côté. Même si Cédric était moins bien monté que Damien, j'avais très envie d'essayer une nouvelle queue dans mon cul. ![]() Cédric s'approche. Je le surveille du coin de l'œil. Après ce qui vient d'arriver à ce pauvre Damien, je m'attends presque à ce qu'il commence à éjaculer avant même d'être arrivé jusqu'à moi. Je me cambre sur la chaise et recule pour dégager mes fesses de l'assise, libérant ainsi l'accès à mes trous intimes. Autant lui laisser le choix... ![]() Il pose une main sur mon épaule et murmure : - Je crois que ça va être le meilleur petit déjeuner de ma vie... Je sens alors son sexe s'engager dans ma fente humide, sans la moindre difficulté. ![]() - Oooooh putain, c'est déjà bon par là... Aaaaaah ouiiii... - Attends, je prépare le terrain... Han... Il commence à aller et venir lentement avec pour objectif apparent de bien lubrifier sa queue à ma fontaine. ![]() Le salaud prend son temps. Finalement, il me prépare autant qu'il se prépare. - Haaaaan Haaaaan... - Aaaaaaah Ouiii... Ooooooh... Il sait qu'il peut me donner un orgasme ainsi, mais il va sans doute investir l'autre voie dès qu'il sentira que je suis au bord de l'orgasme. ![]() Il n'a pas besoin que je lui dise que je sens que j'y suis presque. Il se retire doucement, puis appuie contre ma rosette son gland tout poisseux de ma cyprine. - Tu es prête ? - Oui... Il est moins gros que Damien, mais, dans cette position, je le sens quand même passer. ![]() Une fois bien engagé, il commence à me limer, s'enfonçant un peu plus loin à chaque assaut, d'abord doucement, puis, une fois le passage bien préparé, avec une cadence de plus en plus soutenue. En rythme avec ses pénétrations, je me mets à ahaner, puis rapidement à gémir et enfin à crier mon plaisir. - Vous en faites un bordel, dès le petit déjeuner. Je tourne la tête, reconnaissant la voix de Lionel. ![]() J'ai à peine conscience qu'il est nu, lui aussi en érection, et qu'il prend une chaise pour s'asseoir à côté de nous comme s'il s'agissait d'un repas tout à fait normal. Cédric ne semble pas perturbé le moins du monde par la présence de son ami et, poursuivant son ramonage méthodique, il finit par me donner un terrible orgasme que mes organes vocaux expriment en même temps que tout mon corps. ![]() Alors que je suis au septième ciel, Cédric s'immobilise et laisse sa semence chaude envahir mes entrailles et râlant de plaisir. Il reste fiché en moi presque qu'une minute à finir de se vider tandis que je reprends peu à peu mon souffle. J'ouvre les yeux. À côté de nous, Lionel rigole : - Dis donc, Juliette, te voilà devenue insatiable ! ![]() - Je... J'avoue que c'est une découverte... intéressante... - Alors ? Ton avis, maintenant que tu les as toutes essayées ? Je mets quelques secondes à comprendre. Lionel a fait le compte que chacun des gars fréquentant cette villa avait pu investir mon petit trou. Je réfléchis à ma réponse et lui sourit : - Je crois que j'aime bien varier. ![]() Il rigole : - Luc a vraiment beaucoup de chance. - Tu te trouves moins chanceux, alors que tu possèdes cette villa de rêve ? - Elle est à mes parents. Et oui, je suis moins chanceux puisque c'est avec lui que tu es. Je vois tout de suite qu'il aimerait que je lui propose un ménage à trois, comme ils l'ont fait avec Angela. Je lui fais un clin d'œil : - Je ne peux pas être avec tout le monde en même temps... ![]() - Ce serait pourtant envisageable. - Je ne suis pas Angela, Lionel. - Par certains aspects pourtant... Il s'interrompt en me voyant grimacer parce que Cédric est en train d'extraire sa queue de mon anus. Je sens sa semence encore chaude qui s'écoule et goutte sur l'assise de la chaise. ![]() Je me rassois : - De quels aspects parles-tu ? - Excuse-moi, ce n'est pas un jugement, juste un constat, donc ne le prends pas mal... - Accouche ! ![]() Lionel semble un peu gêner de devoir me dire ce qui semble être mes quatre vérités. - Et bien que tu sembles avoir une certaine addiction au sexe. - Ah oui ? J'ai une addiction au sexe, et c'est vous, pauvres mâles, qui en subissez les conséquences ! Je viens le rejoindre, lui caresse le cou, l'embrasse dans la nuque et lui chuchote à l'oreille : - Branle-toi... Sans discuter, Lionel s'exécute. ![]() Je me redresse : - C'est moi qui ai une addiction ? Aucun de vous quatre qui ne manquez pas une occasion pour me faire profiter de vos queues et qui éjaculez à tout va tout au long de la journée ? - Ne... ne le prends pas comme ça... On est tous un peu déréglés par cette villa. - Ah oui ! J'oubliais : c'est cet endroit magique qui nous enflamme la libido. C'est à cause de la villa si tu bandes comme un âne. ![]() - Non, c'est à cause de toi... - Ah merci de le reconnaître. Il n'y a pas de villa magique. Juste des situations que vous avez créées pour me le faire croire, m'inciter au nudisme, jouer avec mon excitation. Vous m'avez manipulée. Je saisis son érection et me mets à le masturber frénétiquement. Le pauvre n'ose plus rien faire. En moins d'une minute, je l'amène à l'éjaculation. J'interromps la course de mon poignet pour laisser le sperme s'écouler lentement du canon. ![]() images similaires Lionel souffle comme un bœuf. Je continue à lui dire ce que je pense de cet endroit : - Lionel, je pense que vous m'avez manipulée, toi et Luc. - Quoi ? Mais c'est faux ! Jamais de la vie. - Ne m'avez-vous pas parlé d'Angela dans le seul but que je me compare à elle et que je fasse tout pour essayer de l'égaler ? L'épanchement de sperme semble se tarir. ![]() images similaires Lionel me regarde, éberlué : - Mais pas du tout ! Luc aurait préféré que tu n'en saches rien... Et je te jure qu'on n'a jamais eu l'intention de t'inciter à lui ressembler. Luc arrive à ce moment-là dans la cuisine : - Ressembler à qui ? Je prends mon courage à deux mains et lui pose directement la question : - Est-ce que tu veux que je ressemble à Angela ? ![]() - Quoi ? Tu délires ! Je t'aime comme tu es. - Mais tu ne m'aimes pas davantage depuis que je suis une salope comme Angela ? - Ma Juju, je t'ai aimé avant cet incroyable changement et je t'aimerai tout autant après quand on reprendra pied avec la réalité en rentrant à la maison. - Et tu apprécies quand il y a le sperme d'un autre qui dégouline de mon cul ? Je me tourne pour lui montrer la semence de Cédric. ![]() Cédric voit que je suis un peu perdue : - Ma Juju, je t'aime. J'aime quand tu jouis, car tu sembles rayonner comme un soleil. J'aimerais qu'il n'y ait que moi qui te fasse briller comme ça, mais, tu l'as vu cette nuit, on n'est pas trop de quatre pour te donner du plaisir. Tu m'en veux de laisser faire ça ? Tu m'en veux de ne pas être jaloux ? - Non, je suis à toi, même quand je prends du plaisir dans d'autres bras. Il se colle à moi, m'embrasse dans le cou, caresse mes seins. Je me rends compte que j'ai failli faire une crise d'hystérie. Les bras de Luc et ses baisers me ramènent à la raison. ![]() Je lui murmure : - Je... je suis désolée, Luc. - Tais-toi... J'ai envie de toi. - Moi aussi... Il me relève une jambe sur la table et s'accroupit derrière moi. Son majeur vient alors caresser ma fente offerte et il commence à me masturber tendrement. ![]() Puis, je sens ses doigts remplacés par sa langue. Il doit nécessairement avoir du sperme de Cédric. Je lui dis : - Luc... Mmmmm... C'est... C'est du sperme de Cédric. - Tant pis... Il semble s'en ficher et continue à me lécher délicieusement la moule. ![]() Comment ai-je pu faire une telle scène alors qu'il est si attentionné avec moi ? Je veux qu'il me prenne, être à lui rien qu'à lui. Même devant son pote Lionel. Surtout devant Lionel. - Luc, prends-moi, s'il te plaît. Il se redresse et guide son érection magistrale dans ma grotte d'amour. ![]() Lentement, il s'engage jusqu'au fond. - Oh Luc... - Oui ma Juju, je t'aime. Tranquillement, il commence à aller et venir en moi. ![]() Puis il se penche pour me dire à l'oreille : - Tu vois, ce que je vais regretter, c'est que je serais dans un état second dans quelques secondes et que je pourrais pas apprécier ta beauté rayonnante au moment de ton orgasme. - Tant pis. Jouissons ensemble, c'est le plus important. ![]() Tout en me prenant, il me sourit, comme amusé. Je lui demande : - Quoi ? - Rien, juste qu'il m'a semblé que le sperme... de Cédric, c'est cela ? Haaan... Ce sperme sortait plutôt de ton petit trou... je me trompe ? - Non... Ooooooh... Cédric m'a divinement sodomisée... ![]() J'observe ses yeux pour y déceler une pointe de jalousie, mais j'y vois l'étincelle d'une idée lumineuse. Il me dit : - Tu veux que... han... moi aussi ? - J'aimerais... oui ! Beaucoup... Il se retire et me fait descendre la jambe pour reposer mon pied par terre. Il appuie alors son gland sur ma rosette. ![]() Lentement, il me pénètre. Bien sûr, Cédric a déjà fait le passage et cela est d'autant plus agréable, pour moi comme pour lui. Je l'encourage : - Oh Luc, tu es si gros... Ouiii... Il me redresse et s'enfonce loin en moi. ![]() - Hannn... Juju... Juju... Je sens le sperme goutter sur mes cuisses. Je sais que ce n'est pas celui de Luc puisqu'il n'a pas encore joui, mais c'est probablement la semence de Cédric qui, sous la pression du braquemart de Luc, est expulsée en pluie épaisse. ![]() L'orgasme arrive soudainement, tel un ouragan. Un tsunami envahit mon corps et je sens alors les chaudes effusions de Luc en moi. Son sexe expulse à chaque soubresaut un flot de sperme, ce qui décuple mon plaisir. Je ne saurais par dire combien de temps nous avons joui tous les deux, mais quand il est sorti, j'ai senti que j'avais tout l'entrecuisse beurré de sperme, sans doute celui de Cédric et celui de mon Luc. ![]() Reprenant mes esprits, je me rends compte du ridicule de mes réactions précédentes : - Oh Luc, je suis désolée... - Non, c'est moi. J'aurais dû te parler plus franchement d'Angela depuis longtemps... Je ne pensais pas que tu essaierais de te comparer à elle. Tu es mille fois mieux qu'Angela. Sa bouche trouve la mienne et nous échangeons un baiser passionné. ![]() Lionel est un vrai gentleman. Il reste silencieux à nous observer. Il a compris que ce moment était à nous, rien qu'à nous. Mais il sait sans doute qu'il y aura d'autres moments où il pourra participer. |