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Boris
15 mars 2025
Angela - épisode 36 : Double plaisir

Jeudi 4 août 9:02


Lionel est resté dormir à la Villa, mais nous étions si fatigués que nous avons passé une nuit presque sage. Malgré un soleil très matinal, nous sommes restés à lézarder au lit jusqu'à 9h. Les garçons ont été les premiers à se lever et cela m'a presque vexée qu'ils n'aient pas profité du réveil étiré pour me tripoter.
- Dites donc, les gars. Vous êtes bien sages, ce matin.



Luc sourit :
- On te doit bien un peu de répit... Après tout, on est deux, voire même trois hier soir, à te solliciter, donc c'est normal que tu puisses avoir un peu de temps pour toi.
- Et quand est-ce que j'aurais pu exprimer cela ?



Lionel rigole :
- Mademoiselle a dormi et est donc prête pour s'envoyer en l'air dès le réveil ?
- Je ne dis pas non. Mais je suis étonnée que vous ne l'ayez pas envisagé avant de vous lever. Seriez-vous repus, messieurs ?



Luc hoche la tête :
- Oh, je ne dis pas que ça ne m'a pas traversé l'esprit. Mais, je ne voulais pas passer pour un sauvage assoiffé de sexe dès le réveil.
- Aux yeux de qui ? C'est la présence de Lionel qui t'a arrêté ?



- Je ne sais pas. Tu es vexée que je me sois levé sans te faire l'amour ?
- Un peu, oui... Avec Angela, vous vous seriez levés le matin sans rien tenter ?
- Avec Angela ?
Luc lève les yeux au ciel comme si cela n'avait rien à voir avec notre situation.
- Avec Angela, c'est surtout elle qui ne nous aurait pas laissés nous lever.
- Ah oui ? Donc tu me reproches de vous avoir laissés vous lever sans vous solliciter ?



Lionel rigole :
- Eh ! On se calme. Juliette, je crois qu'on ne peut pas non plus être en permanence des machines sexuelles. Après si tu as des besoins, et c'est l'impression que tu nous donnes, il te suffit de les exprimer et on se pliera en quatre pour les satisfaire.
Luc s'est glissé de l'autre côté du lit et, lorgnant sur mon cul, ajoute :
- Quand tu es ainsi pliée en deux, moi je veux bien effectivement me plier en quatre.



- Fais-toi plaisir, mon chéri. Je ne demande pas mieux.
- Mmmmm, je vais essayer de m'excuser de t'avoir négligée au réveil...
Il s'agenouille derrière le lit et place son visage entre mes fesses pour plonger sa langue dans ma fente humide.



- Ah putain que c'est bon...
Lionel s'amuse de me voir prendre mon pied :
- Il suffit de peu de chose pour la satisfaire, la petite Juliette.
- Ooooh... mais une bite de quinze centimètres serait plus efficace qu'une langue de cinq centimètres...



Mais Luc s'interrompt et se relève. Je tourne la tête pour savoir s'il se prépare justement à me prendre en levrette, mais je le vois rigoler en m'observant :
- Putain ! Tu fais quoi ? Tu ne vas pas me laisser comme ça ?



- Hihi... C'est dingue que tu sois aussi impatiente ! Tu ne veux pas faire monter l'excitation ?
Je me redresse et m'agenouille sur le lit :
- Mince, tu as raison. Je deviens folle.
Je prends une profonde inspiration :
- Désolée, les gars. C'est vrai qu'on a tout notre temps... Autant en profiter pour faire durer le plaisir.



Luc sourit :
- Voilà, ça me semble être un meilleur état d'esprit plutôt que de faire de nous tes esclaves sexuels.
- Sans doute, mais ça me plairait bien aussi que vous obéissiez à tous mes ordres et accédiez à tous mes fantasmes.



Lionel dit, presque tout bas :
- C'était plus l'état d'esprit d'Angela, effectivement.
Je me tourne vers lui :
- Et à elle, vous ne lui refusiez pas ?



- Tu n'es pas Angela. Ne cherche pas à te comparer à elle. C'était différent.
- Elle était mieux ?
- Non. Différente. Et nous t'aimons en tant que Juliette et certainement pas en tant qu'ersatz d'Angela.
Pour appuyer les propos de son copain, Luc vient s'allonger à côté de moi et m'embrasse les seins tendrement.



Il se redresse et sa main vient caresser mon entrejambe :
- Lionel à raison. J'espère que tu ne fais pas tout ça à cause d'Angela...
Je ne peux que mentir :
- Non. Je... Peut-être un peu au début... Maintenant, j'avoue que j'ai pris goût à cette débauche de sexe...
Lionel vient nous rejoindre :
- Et nous aussi !



Leurs sexes sont déjà au garde-à-vous et je les saisis pour les caresser.
- C'est indéniable. Vous bandez toute la journée.
Je me redresse et me retourne pour les masturber tous les deux :
- Vous savez comment ça s'appelle, les gars ?



- Comment s'appelle quoi ? demande Luc.
- Comment s'appelle le fait d'avoir une érection permanente.
- Non...
- Du priapisme. Et moi j'adore le priapisme. Vous voir bander en permanence, ça me met en appétit.



- Et nous te voyons là, effectivement, bien affamée, belle Juliette.
Je m'installe entre les cuisses de Lionel et me penche vers son sexe dressé magnifiquement :
- Tu m'autorises à te sucer, Lionel ?
- Seulement si tu en as envie.
- Tu penses que j'en ai envie ?



- Je ne sais pas. Je me dis que si tu m'as demandé l'autorisation, c'est que tu en as envie, non ? Un gamin ne demande pas l'autorisation de prendre en bonbon s'il n'a pas envie d'en manger un.
- C'est juste. Mais est-ce que j'ai envie de commencer par toi, ou par Luc ?



Luc râle :
- Rhaaa, Juliette ! Arrête ton cirque, il va finir par débander !
- Non, le priapisme l'en empêche...
Je me penche et lèche son gland du bout de la langue.


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Lionel rejette la tête en arrière :
- Aaaah, Dieu que c'est bon !
Luc rigole :
- Il me semble que c'est plus la bouche d'une déesse que celle d'un dieu, Lionel.
Je glisse son gland entre mes lèvres et en excite l'extrémité avec ma langue.



Lionel soupire de plaisir :
- Une déesse, oui. C'est divin !
Je me recule et fais descendre ma bouche jusqu'à ses testicules pour lui sucer les boules. Il redresse la tête.



Luc se moque de lui :
- Surpris par cette attaque ?
- Hhhhh... Oui... C'est bon...
Après quelques secondes de ce traitement, je me redresse pour le prendre en bouche.



Mon chéri me caresse les fesses :
- Mmmmm, Juju. Ne te mets pas à quatre pattes ou je crois que je ne résisterai pas.
La remarque est purement rhétorique puisqu'il me signifie ainsi ce qu'il attend de moi. Je redresse donc ma croupe pour me mettre à genoux, tout en continuant ma fellation appliquée sur la queue de Lionel.



Lionel, sourcils froncés, me dit :
- Tu ne sais pas à quoi tu... Hannnn !
Je plonge son sexe au fond de ma gorge, l'empêchant de me dire ce que je sais déjà, tandis que Luc se lève pour passer derrière moi.



Je sens son sexe sur ma vulve. Il caresse mes lèvres avec son gland quelques secondes, humectant son sexe de ma cyprine. Quand il juge que nous sommes suffisamment lubrifiés, il appuie son gland et me pénètre. Cette délicieuse intromission devrait me faire crier de plaisir, mais ma bouche est trop occupée à sucer Lionel et je me mets à le pomper avec encore plus d'ardeur.



Lionel implore Luc d'y aller doucement :
- Hey, doucement ! À chaque pénétration, elle plonge encore plus loin... Je ne vais pas tenir, moi.
La réponse de Luc est laconique :
- T'inquiète ! Priapisme...



Mais le priapisme, même s'il permet de conserver une belle vigueur longtemps, n'empêche pas l'éjaculation et ce pauvre Lionel le sait parfaitement puisqu'il sent déjà ses couilles se contracter et sait ce qui va suivre, ce que je sens déjà dans ma bouche : une effusion de sperme chaud et épais. Lionel râle de plaisir. Je décide de ne pas avaler et laisse la semence s'écouler sur mes doigts et le long de sa hampe.



Quand la fontaine se tarit, je relève la tête :
- C'était pas mal, apparemment ?
- Divin !
- Attention... aaaah... à ne pas débander, sinon... aaaah... tu ne seras plus le Priape sur... aaaah... sur lequel je souhaite encore compter.



- Je... Je ferai au mieux, Juliette.
Il s'effondre en soupirant comme s'il venait de courir un cent mètres. Je m'affale sur son ventre, le visage contre son sexe gluant de sperme. Luc continue à me pistonner. Encore une fois, je le trouve particulièrement gros en moi, signe d'une excitation intense.



Lionel s'échappe. Je contrôle au passage qu'il ne débande pas. Ouf ! Son érection semble conserver toute sa vigueur.
- Reprends des forces, on n'en a pas fini...
Il acquiesce de la tête. Je me retourne vers Luc :
- Tu... aaaaah... tu tiens le coup, mon chéri ?



- Han ! Oui... Tu n'as laissé... Han ! aucune chance à ce pauvre Lionel... Han !
- Tu aurais... oooooh... tu aurais fait mieux ?
Luc interrompt ses assauts et se penche sur moi pour me caresser les seins. Est-il sur le point d'éjaculer ?



- Hhhhhh... Je tiens le coup... Hhhhh... Et toi ?
- Je ne suis plus très loin... Mais si tu marques une pause, c'est que c'est imminent pour toi, non ?
Lionel nous interrompt :
- Il ménage sa monture...
Je ne sais pas si c'est la queue de Luc ou moi, la monture... Je constate que Lionel semble encore très excité par ce qu'il voit lui aussi, car il bande encore comme un beau diable.



Si cela l'excite de nous regarder, j'avoue que cela m'excite aussi qu'il nous regarde. Et Luc, reposé, reprend ses assauts avec entrain. Il me fait de longues et lentes intromissions qu'il accélère peu à peu. Il est si gros ! C'est un vrai délice et l'orgasme me gagne en quelques minutes, intense, magnifique.



Je m'affale, la tête sur le lit, tandis que Luc me besogne, prolongeant ma jouissance, l'accentuant. Je cris :
- Oh Ouiiii ! Encore !!!
Lionel vient alors s'asseoir juste devant moi et me dit :
- Tu en réclames une autre, Juliette ?
Son sexe bandé, énorme, se pose sur mon visage.



Alors qu'il est prêt lui aussi de jouir, Luc m'exhorte :
- Oh oui ! Vas-y ma chérie ! Suce-le !
Sans me faire prier, dès que j'ai pu reprendre un peu de souffle, je tourne un peu la tête pour prendre la queue palpitante de Lionel entre mes lèvres. Luc s'immobilise alors en râlant de plaisir.



- Hannnnnn !!!
Je sens son membre turgescent déverser en moi un flot de semence chaude. Lionel, que je n'ai sucé qu'une minute, semble lui non plus ne pas être en mesure de contenir son éjaculation et je sens soudain plusieurs salves de son jus gluant se répandre dans ma bouche. Je ne veux pas avaler et je garde tout en bouche, queue et sperme jusqu'à ce que je doive reprendre ma respiration. La semence s'écoule sur l'oreiller et Lionel sort son sexe de ma bouche pour me gratifier de deux dernières giclées qui s'écrasent sur ma joue et mon menton.



Quand je reprends mon souffle, je me redresse et m'essuie le visage du dos de la main, en me le léchant ensuite, à la manière d'une chatte.
- Et bien, les garçons ! Je ne sais pas auquel de vous deux le titre de "corne d'abondance" s'applique le mieux ! J'en ai eu plein la bouche par Lionel, mais je sens que Luc a été généreux lui aussi.
Luc regarde ma croupe et sourit en voyant son sperme s'écouler de ma fente.



Luc s'écarte et Lionel se relève. Je constate qu'ils sont encore en érection tous les deux :
- Bon sang, mais vous avez pris un truc pour garder une gaule comme ça, même après avoir éjaculé ?
Luc rigole en sortant de la chambre :
- C'est toi, notre came, Juju.
- Où vas-tu ?



Sans me répondre, il revient quelques secondes après être passé dans la salle de bain avec une serviette dans la main :
- Un petit nettoyage s'impose...
Il m'essuie l'entrejambe et, voyant la queue pleine de sperme de Lionel qui s'allonge sur le lit, il ajoute :
- Je te la passe après.
Je me tourne alors un peu pour attraper le sexe de Lionel :
- C'est bon, je m'en occupe.



Lionel sourit :
- Ce cher Priape avait-il donc à sa disposition une Juliette pour lui maintenir une érection permanente ?
- Je suis nulle en mythologie...
Je commence à lécher sa tige toujours dressée.



Luc prend son portable et pianote dessus avant de nous dire :
- Sur internet, ça dit qu'il s'agit du dieu phallique des jardins chez les Grecs, assurant la prospérité, qui en vint à l'époque romaine à personnifier la virilité dans l'amour physique. Il était apparemment réputé pour avoir un phallus démesuré.



Lionel rigole :
- Comme nous, héhé !
Luc nous regarde, amusé, alors que j'ai évidemment repris une fellation réglementaire sur la queue de Lionel.



Luc poursuit :
- Pour le priapisme, ils disent aussi que si l'érection dure plus de quatre heure sans discontinuer, cela devient une urgence médicale... Bon, je te fais confiance pour nous soulager, Juju, avant qu'on en arrive là.
La bouche déjà bien occupée, je ne lui réponds que par un clin d'œil.



Je remarque que, même s'il est toujours en érection, il n'est pas au top, ce qui, finalement me rassure après ce qu'il vient de me dire. Il n'empêche que c'est étonnant qu'il n'ait pas débandé davantage après son éjaculation. D'ailleurs, Lionel a lui déjà joui deux fois et, vu ce que j'ai dans la bouche, il semble être sur les rails pour une troisième tournée.



Luc me dit :
- Peut-être que tu peux lui offrir autre chose que ta bouche pour sa troisième éjaculation ?
Luc aussi tient les comptes, même pour son copain. J'avoue que ça me convenait bien puisque mon partenaire profite de ma position à quatre pattes pour me doigter l'anus et la moule.



Je relève la tête vers Lionel :
- Tu en dis quoi ?
- Ta bouche me convenait, mais je suis ouvert à toute proposition.
- Alors, tu vas avoir ma chatte...


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Je l'enjambe et, cuisses écartées au-dessus de sa lame, je le laisse la guider dans mon fourreau. Lentement, je me laisse empaler sur le délicieux barreau.
- Oooooooh... C'est bon, ça...



Je commence à monter et descendre sur son pieu. Luc s'allonge à côté de nous pour nous regarder et se caresse les testicules :
- Oh, ma Juju, que c'est bon de te voir prendre du plaisir. C'est quand même pour toi plus agréable qu'une pipe, non ?



- Ouiiii...
J'écarte au mieux les jambes pour que Luc puisse bien voir la bite de son pote aller et venir entre les cuisses de sa petite copine.



- Mmmm... Tu aimes ce que tu vois, Luc ? Hhhhh...
- Oh oui. Tu n'es jamais si belle et si excitante que quand tu prends du plaisir.
Stimulé par le spectacle, il se masturbe d'une main et se caresse les couilles de l'autre.


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- Et mon cul... Ooooh... il t'inspire aussi ?
- Oh que si !
- Tu n'aimerais pas... Hhhhhh... qu'une grosse queue... Mmmmmm... vienne le remplir pendant... Hhhhh... que Lionel me baise ?



- Oh putain, si ! Tu voudrais en plus une bite dans le cul ?
- Hhhhh... Oui... Ce serait top... Hhhhhh...
Luc s'astique frénétiquement et je vois alors, effarée, qu'il se met à éjaculer.



C'est malin ! C'était à la bite de Luc que je pensais... Du coup, c'est foutu :
- Ooooh Luc, je voulais que tu... Oooooh... Que tu me prennes en sandwich...
Lionel se déchaîne sous moi. Je sens un nouvel orgasme arriver.



- Ooooh Ouiiii ! Luc ! Je vais jouir, moi aussi ! Aaaaaaah...
Et les râles que pousse Lionel nous indiquent qu'il est mûr lui aussi. Je suis encore sous le coup de mon orgasme quand je le sens se déverser en moi. Nous jouissons tous les trois en même temps, c'est magique ! Même Luc continue à inonder son ventre et ses cuisses de sa semence épaisse.


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Reprenant mon souffle, je me redresse un peu pour libérer le sexe de Lionel et laisser s'échapper ce qu'il m'a envoyé dans la chatte.
- Les garçons ! C'est génial, on a tous les trois joui en même temps.



Quand nous sommes à peu près calmés, je me lève et gronde Luc pour n'avoir pas compris mon invitation :
- Tu exagères, je t'invite à venir me sodomiser et, toi, te masturbe jusqu'à exploser...
- Désolé, ma chérie...
- Maintenant, tu vas commencer à débander...



Voyant ma déception, il me dit :
- Tu rigoles ! On n'en a pas terminé avec toi et, si veux être prise en sandwich, tu vas obtenir gain de cause.
- Oh, tu te sens assez en forme pour investir ce côté-là, maintenant ?
Je me retourne pour présenter ma croupe aux garçons.



- Évidemment ! Tu trouves que j'ai débandé ?
- Il m'avait pourtant semblé...
- Héhé, observe un peu la bête ! Elle est au top pour te satisfaire.
J'avoue que s'il avait un peu débandé, la perspective d'une sodomie semble lui avoir redonné de la vigueur.



Je viens donc le rejoindre et l'enjambe pour lui faire l'amour comme je viens de le faire avec Lionel.
- Tu es sûr, mon chéri ?
- Oui, ma Juju. Vas-y.
Même si j'ai la chatte en feu de tant de pénétrations, l'introduction de la queue de Luc est un vrai délice.


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Luc semble aussi apprécier. Il accompagne mes montées et descentes avec ses mains sous mes fesses, même si une main ne peut s'empêcher de venir régulièrement me malaxer les seins.
- Dis, Juliette. Tu es toujours tentée par... ?
C'est la voix de Lionel. Il bande dur et observe avec envie mon petit trou.


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- Oh ouiiii ! Aaaaaah... Viens...
Pas besoin de le supplier. Il vient s'agenouiller entre les cuisses de Luc et guide sa tige raide et humide dans mon petit trou. Lentement, celui-ci s'écarte pour laisser passer le gland, puis le reste suit, presque naturellement.



Une fois bien introduit, il commence doucement à aller et venir. Je bouge moi aussi sur Luc. Quelle sensation incroyable de se sentir ainsi remplie par deux queues qui palpitent en moi. Peu à peu, nous nous synchronisons et les deux pieux vont et viennent en moi en suivant le même rythme. C'est le nirvana ! Je me penche sur Luc pour l'embrasser.


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Et puis l'harmonie disparaît peu à peu. Lionel prend un rythme propre, essayant peut-être même volontairement de jouer sa partie à contretemps. C'est finalement encore plus fort. J'ai l'impression de ne pas avoir de répit ! Du plaisir en continu et l'orgasme monte, puissant, alors que Lionel m'empoigne les seins comme s'il s'agissait de poignées pour me pilonner avec plus d'intensité. Je hurle ! Peut-être même que je perds connaissance quelques instants tant le plaisir est inouï.



Et puis, j'ai conscience de râles, de queues qui vibrent en moi, de sperme qui inonde mes entrailles. Cela me semble durer plusieurs minutes, mais j'imagine que ça ne dure finalement que quelques secondes en réalité. Lionel se dégage avec un "Plop !" accompagnant la libération d'une grande partie de sa semence de mon anus. Je m'avance un peu pour libérer le sexe de Luc, là aussi, laissant s'écouler la semence de ma fente. Je tourne la tête vers Lionel. Je lis sur son visage une extase.



Je me décale sur le côté, laissant Luc se lever, et je m'agenouille sur le matelas :
- Oh, les gars. Merci. Je crois que c'était une de mes plus belles jouissances !
- Nous aussi, Juliette, dit Lionel.
Je suis ravie de pouvoir entrer dans leur palmarès. Peut-être suis-je devenue meilleure qu'Angela ?
- Tu nous as épuisés, complète Luc.
- Moi aussi. Il va falloir que je fasse une pause de quelques heures car j'ai la chatte en feu...



Les garçons rigolent. Je m'offusque :
- Quoi ? Vous trouvez ça drôle ?
- Non, répond Luc. Juste que c'est amusant que tu n'envisages une pause que de quelques heures. Tu es devenue vraiment accro au sexe.
- En tout cas, je suis venue à bout de votre priapisme, les gars. C'est le principal.
Les garçons rigolent en constatant qu'ils ont effectivement bien débandé.



- On te laisse te reposer, Juju ?
- Non, je vais prendre une douche et après j'irai bien à la piscine me rafraîchir.
- Te rafraîchir ?
- Oui, j'ai besoin de m'aérer la chatte !
Nous rigolons à nouveau.



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