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Lait maternel

Sylvestreone
30 mars 2025
De SylvestreONE Lait maternel - Test

Il est 9 h 30 du matin quand Chloé, toute jeune maman, décide d'aller chercher son courrier. La petite clé métallique se glisse dans la fente pour ouvrir le casier bleu. Comme chaque début du mois, elle découvre sans surprise, son magazine Parents emballé de plastique. Une fois encore, la photo d'un chérubin trône fièrement en couverture accompagnée de gros titres accrocheurs. La jeune fille, main tremblante, fond presque en larmes en refermant la boîte aux lettres.

Au même moment, elle voit la voiture de se voisine prendre un virage serré pour s'arrêter pile devant sa maison. Julie Berthier, qui vit en face, sort avec un sac de courses rempli à ras bord. La porte claque. Elle se retourne instinctivement, pour croiser le regard trop brillant de mademoiselle Gaudin.

- Bonjour, on dirait que le vent s'est levé ce matin ! lance-t-elle d'une voix grave. La jeune fille lui répond d'un signe de tête, ses cheveux auburn cachant ses yeux rougis de chagrin.
- Eh bien, ça n'a pas l'air d'aller... Les nuits sont courtes en ce moment ? J'ai connu ça, vous savez ! dit-elle en s'avançant d'une manière amicale. Oh, vous lisez ce genre de revue ! Si vous voulez mon avis...

Chloé jeune maman en désarroi, reste muette, les larmes aux yeux. Elle relève la tête écartant d'une main ses longs cheveux.
- C'est trop dur ! En plus, j'ai décidé d'allaiter Enzo... et...
- Et rien ne fonctionne comme prévu coupe Julie ! Votre bébé ne dort pas la nuit et ne prend pas de poids, c'est normal que vous soyez inquiète... Venez chez moi dans une heure pour prendre un petit café... ça vous dit ? Une telle proposition ne se refuse pas...

À 10 h 30 précise, Chloé se présente sur le pas de porte en serrant son petit trésor contre sa poitrine qui lui fait si mal. Deux petits coups de sonnette. La porte s'ouvre comme prévu... Un quart d'heure plus tard, le petit protégé dort à poings fermés dans la chambre du haut. Une odeur de café flotte dans le salon spacieux. La maîtresse de maison décide de faire le service sur la petite table basse. En se penchant, elle laisse découvrir ses seins prisonniers d'un large pull en laine. Elle ne porte pas de soutien-gorge note Chloé qui a bien d'autres soucis en tête.
- Eh bien, avec trois enfants j'en ai passé des nuits blanches, vous savez ! Lance Julie pour briser la glace...

Voilà nos deux femmes parties à bavarder. Les difficultés d'être une femme au foyer. L'absence trop longue de leurs maris respectifs. Les baisses de moral, les problèmes financiers passagers, sans oublier l'éducation des enfants...

Chloé se détends et se sent en pleine confiance, comme si madame Berthier était devenue en un instant sa meilleure copine, sa grande sœur. Derrière ses lunettes rondes cerclées d'or, ses yeux plongent peu à peu dans ceux de sa voisine volubile. Un sentiment étrange la saisit peu à peu. Une sorte de modification de l'ambiance. Peut-être est-ce elle qui elle pense pour à cette poitrine imposante à moitié dénudée. Cela la titille tout à coup. Dans sa tête elle compare sa poitrine allaitante à celle de cette femme mure qui parle de ses trois enfants. Les a-t-elle, comme elle - allaité ?

- Ah, j'oubliais, je vais aller chercher mon tire-lait... j'ai dû le ranger quelque part dans l'armoire de la salle de bain... Désolée, je vous abandonne... Elle se lève.

Julie traverse le couloir mal éclairé et fait grincer la porte du placard de la douche. « Ah, le voilà ! Si tu savais comme j'ai pris du plaisir avec cet engin de torture, ma chérie ! », se dit-elle en saisissant le carton. Sa main passe sur ses seins gonflés comme pour se rappeler les moments de plaisirs intimes. Rien que la vue de ces cônes pourrait presque la faire mouiller sa culotte instantanément... « Hum ! Comment tu vas prendre ton pied avec ça, petite ! »

Deux minutes plus tard, elle retourne dans le salon l'esprit encore troublé par les jeux passés avec son mari Guillaume, avec ce truc. La jeune maman, un peu surprise par les cônes en plastique pousse un « Oooooh ! » de plaisir et d'interrogation.
- T'inquiète. Je vais te montrer. Je savais que ça te plairait, dit-elle doucement en oubliant d'un seul coup le vouvoiement...

Après un petit moment de gêne partagée, le « vous » oublié... les deux femmes se rapprochent sur le canapé, l'ainée enseignant à la jeune maman les secrets de l'instrument.

-Elle invite Chloé à libérer ses seins. Celle-ci masque le plus discrètement possible son excitation à cet instant intime qui la trouble et lui rappelle ses soirées avec des copines tout aussi intéressées à comparer la taille de leurs seins.

-  Plaque-les mieux que ça si tu veux que ça marche... Voilà, très bien ! Les mains de Julie pelotent littéralement la douce poitrine gonflée de la jeune ingénue, sans que cette dernière s'en rende vraiment compte. Le bout de ses tétons darde à l'extrême. Ils semblent si durs ! Julie se retient de ne pas y poser ses lèvres et se servir de sa langue pour les sucer... mais patience ! Voilà que les cônes sont bien positionnés. Les tuyaux aussi. La longue prise noire est branchée... Il ne reste plus qu'à mettre en marche. Un vrombissement du moteur se fait entendre, et les seins réagissent instantanément... Chloé se sent presque défaillir.

Elle a l'impression que quelqu'un lui masse ses globes de chair, c'est tellement surprenant au départ... Et déjà, les toutes premières gouttes de lait maternel semblent décidées à sortir... Son utérus se contracte en envoyant de petites décharges électriques très étranges... En femme avertie, Julie sait que c'est le bon moment pour les caresses. Chloé se laisse faire, sans résister, à demi consciente. Les mains baladeuses de sa nouvelle maîtresse font glisser la petite culotte humide de soie rose entre ses jambes, pour la retirer délicatement du bout des doigts.

La pièce de lingerie est très soignée, ce qui en dit long sur la petite sainte-nitouche qu'elle a en face d'elle. L'odeur si particulière de la pièce de tissu, un peu plus épaisse au milieu, réveille des pulsions indescriptibles. Sa voisine s'abandonne sur le canapé, se laisse faire alors que la bouche vorace de Julie vient lui manger un sexe déjà trempe d'excitation.
Pour elle, ancienne gérante d'un institut de beauté, ce parfum est incomparable. Elle replonge son nez avec délice, en prenant de longues respirations. Ses petites narines cherchent l'endroit où l'odeur est la plus forte. Une fois trouvé, son nez s'attarde de longues minutes à humer les effluves mélangés d'urine et de mouille de sa nouvelle complice.

Chloé, quant à elle, se laisse littéralement tomber dans le fond du canapé, elle se sent tellement bien. Le lait tiède continue de pulser abondamment contre les embouts triangulaires, remplissant les jauges de plastique transparent. En maman comblée, elle pense à Enzo qui va pouvoir se rassasier, mais son plaisir est complètement ailleurs. Julie l'observe avec délectation :  Comment te sens-tu, ma chérie ? murmure-t-elle à son oreille.

L'autre prend juste la peine de lui répondre par des gémissements, un peu éreintée par l'exercice qu'elle vient de réaliser pour la première fois. Les jauges sont maintenant pleines. Il faut les mettre au frigo. Petit temps mort... Mais la maîtresse n'en a pas fini avec sa nouvelle élève. Elle ramène deux bouteilles vides d'eau minérale. D'une main experte, voilà les nouveaux réservoirs fixés aux tuyaux courbés encore chauds. « Si tu crois, ma belle, que tu vas en rester là ! » pense-t-elle : Pitié non ! J'en peux plus ! pleurniche sa victime au bord de l'épuisement d'avoir trop jouis, son ventre trempé de cyprine.

Mais le « clac » du commutateur résonne d'un coup sec. Le petit vrombissement redémarre. Julie maintient avec fermeté les cônes du supplice. Les tétons se redressent, aspirés par les ventouses voraces de l'appareil. Cette fois, des jets puissants de colostrum jaillissent à nouveau. Son utérus lui envoie des signaux de plus en plus violents, mélangés de plaisir et de douleurs aiguës : Ne touche plus à rien, fais comme tout à l'heure, c'est compris ? lui ordonne Julie d'un ton plus sévère. Tu vas aimer et tu ne l'oublieras jamais !

Chloé se laisse faire une fois de plus prise au piège de sensations érotiques inconnues. Ses paupières, à demi clauses, elle ne voit plus Julie, cette petite cachottière. Son instinct lui dit qu'elle n'est pas au bout de ses surprises alors qu'elle sent sa voisine bouger à côté d'elle. En effet, quelques minutes plus tard, après des bruits de marche d'escalier et de froissements de sacs plastiques, la voilà de retour... Des mains presque masculines frottent énergiquement un monstrueux phallus noir avec un lubrifiant transparent. Ses yeux verts brillent tellement elle prend plaisir à masturber l'objet en question.

- Maintenant que tu te fais traire tes jolies mamelles... tu vas me prendre ça entre tes cuisses de maman en chaleur ! clame-t-elle d'un ton sec. Chloé n'a même pas le temps de réagir, qu'elle sent déjà le prodigieux dard artificiel s'insérer d'un seul coup entre ses jambes. L'effet est immédiat. Elle lâche un hurlement, comme si elle était déflorée pour la première fois. Son lait semble gicler beaucoup plus à son plus grand étonnement, chaque fois qu'elle sent le terrible engin s'immiscer en elle...

- Allez, ma belle, fais-toi prendre comme une princesse ! Tu vas voir, ça va te changer de la queue de ton mec ! Rares sont ceux qui seraient de taille avec cet engin-là, tu peux me croire !

Lors de ses études sa victime - pas si innocente - avait toujours rêvé de retrouver les sensations du chibre d'un copain de beuveries, un noir mastoc des pieds à la tête et pourvu d'un membre impressionnant. Chloé eut la sensation qu'il était encore là à la défoncer. La voilà se tortillant comme une dévergondée sur le pénis en résine, sous le regard admiratif de sa voyeuse scrutant les moindres détails : Mais on dirait que tu prends ton pied ma petite cochonne ! C'est bon chuchote Julie à son oreille. La voix est envieuse.

En vérifiant le niveau des bouteilles, n'importe qui pourrait constater que la quantité est tout à fait honorable. On dirait même que la jeune Chloé a fait beaucoup de progrès, et qu'elle prend de plus en plus de goût à l'exercice. Le colostrum fouette contre les parois coniques avec vigueur. Cette fois, le membre noir est enfoncé tout au fond jusqu'aux couilles tellement grosses. Julie n'en revient pas ! Dès la première séance ! Eh bien ! Voilà une jeune petite dame qui cache bien son jeu ! La suite lui donne raison, dans un demi coma Chloé l'interpelle d'une voix rauque : S'il te plaît, branle ma chatte avec ton machin ! implore-t-elle les yeux dans le vague.

Julie s'exécute. Le gode visqueux des humeurs de la maman s'enfonce avec une telle aisance. Il va. Il vient. Il repart. La vulve légèrement poilue mange avec gourmandise l'énorme objet cylindrique. Madame Berthier prend tout son temps, avec une exagération qui frise le supplice. Elle adore cette vision du membre phallique qui rentre et qui sort, guidé par le rythme qu'elle impose. Cette ancienne femme d'affaires aime maîtriser les choses. Surtout en matière de sexe.

Au moment d'un nouvel orgasme, Julie n'hésite plus et embrasse sa partenaire sur la bouche. Un vrai baiser de lesbienne. Leurs langues se rencontrent et tournoient ensemble dans un mélange de salives tièdes. C'est si doux. Un homme, aussi doué soit-il, aurait été incapable de faire cette petite prouesse. Julie s'octroie le luxe de lui mordiller les lèvres comme un signe d'appartenance. « Je crois bien que nous n'avons pas fini de nous croiser toi et moi ! », pense-t-elle en l'embrassant dans le cou.

Pour affirmer son autorité sur Chloé, en retirant le monstre noir veiné de l'entrejambe de sa partenaire, Julie l'oblige à lécher le liquide témoin de son plaisir, afin qu'il soit nettement plus présentable pour son prochain usage. Elle ne rechigne pas à participer au nettoyage scrupuleux de la totalité du gode, encore bouleversée par cette nouvelle expérience lubrique.

Les bouteilles sont pleines. Ses seins lui font mal. Elle se caresse pour atténuer la douleur et s'attarde sur son sexe face à une Julie qui fait de même pour apaiser son excitation. Mais celle-ci n'en a pas fini. La voilà qui remonte sa robe dégage son bas-ventre et s'avance tout contre le visage de son invité. La voilà qui se colle à la bouche de Chloé en sifflant : mange-moi, ma salope, mange-moi. L'autre obéit, prisonnière d'un érotisme qui lui enlève toute résistance. Elle mange la chatte de Julie la sent au bord de jouir et en reveuille le goût mélangé à un peu d'urine que lâche son amante vicieuse. Dans sa tête mille scénarios ... déjà.

Le cri d'un bébé retentit à l'étage. C'est Enzo. Il a sûrement faim ! La jeune maman est rassurée. Il y a de la réserve, au moins pour quelques jours... Elles se lèvent.

Elles prennent rendez-vous...


Lait maternel

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