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Se retrouver les yeux bandés au milieu d'une foule d'hommes [gage]

Lisa
10 juillet 2006
"Un soir de match de Coupe du Monde de Football, dans un bar avec télé, bondé de monde, tu aurais les yeux bandés et tu devrais me retrouver parmi la foule uniquement à l'aide de tes mains mais avec interdiction de toucher le visage. En cas d'erreur, la personne que tu viendras de tripoter aura le droit en retour de... je ne sais pas, à toi de choisir !" (proposé par Simon)

Le bar est à l'étage. Il fait chaud. Une odeur forte, un mélange de sueur et de bière. Je regarde autour de moi : que des hommes ! Une quinzaine environ. Tous les yeux sont rivés sur la télé, sur la fin du match de l'équipe de France. Tout le monde retient son souffle. Le coup de siflet final retentit et les hommes se lèvent tous pour hurler leur joie. Simon me demande :
- Tu n'es pas contente ?
- Bof, le foot, c'est vingt-deux crétins qui courent après un ballon, avoue qu'il y a plus excitant.
Quelques mecs autour s'insurgent :
- C'était pas la peine de venir si c'est pour casser l'ambiance.
Grand blanc. Tous les regards tournés vers moi. Je regrette mes paroles car je sens qu'ils veulement me lincher. Simon vient à mon secours :
- Ce comportement est impardonable d'une Française ! Je pense que tout le monde sera d'accord avec moi pour dire qu'elle mérite une punition !
Une chaude ambiance revient aussitôt. Simon se lève et passe derrière moi, armé d'une serviette de table. En me la nouant autour de la tête pour me bander les yeux, il me glisse à l'oreille :
- Ce n'est qu'un colin-maillard...
- Qu'est-ce que je dois faire ?
Simon répond assez fort pour que tout le monde entende :
- Tu dois me retrouver parmi ces messieurs... rien qu'en palpant ! Et interdiction de toucher les visages.
- Et qu'est-ce qu'il se passe si je me trompe, en croyant te reconnaître ou ne pas te reconnaître ?
Avant que Simon ne réponde, un type très aviné derrière moi répond en gueulant :
- On lui pisse dessus !!!
Simon, voyant mon visage appeuré, calme les esprits et fait une proposition surprenante :
- Et bien chacun aura le choix entre, soit tripoter ma fiancée pendant une minute mais sans jouir, soit éjaculer sur ma fiancée mais sans la toucher.
Je fis semblant d'être offusquée mais Simon me connaissait et il savait que ce ne me serait pas si difficile que ça.
Après avoir vérifié que mon bandeau était bien opaque je sentis les mains de Simon accrocher ma culotte et la faire glisser vers le bas.


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Ainsi, il donnait la possibilité à ceux qui souhaitait me tripoter de pouvoir me caresser la moule.



Dans le noir complet, j'avançai à taton. J'entendais des bruits de vêtements qui tombaient, de braguettes qui souvraient : les mecs se mettaient à l'aise. Mes mains rencontrèrent un jean. Simon porte un jean. Mais combien de personnes ont un jean ce soir ? Reconnaître Simon sans toucher son visage, j'admet que la méthode la plus rapide est de masturber son membre en érection. Mes mains remontent et rencontrent un mât de chair vaguement dressé. Je l'astique un peu et au regard du temps qu'il met à s'ériger, je suppose qu'il ne peut s'agir de Simon.



Je l'annonce, le type est déçu. Je m'éloigne mais je l'entends se branler derrière moi. Nouvelle rencontre. Une haleine de tabac. Simon ne fume pas, je passe. Je me cogne à un type très baraqué. Je sais que ce n'est pas Simon, mais j'ai envie de connaître la taille de sa queue. Mes mains fouillent. Il ne l'a pas sorti de son pantallon, mais je sens le membre palpiter sous le tissu. Il me semble énorme quand je l'extrais. Le membre est dur comme du bois et je n'arrive pas à faire le tour de la hampe avec une seule main. J'annonce "Simon", juste pour le plaisir. Je croise les doigts pour que le type choisisse de me caresser : j'en ai vraiment envie. Mais le type répond "éjac' faciale". Alors, je m'agenouille, tendant le visage vers lui, gardant la bouche bien ouverte. Je l'entends se branler de plus en plus vite. Soudain, il s'arrête net. Je sens un liquide chaud envahir ma bouche. J'essaye d'avaler, mais un second jet vient me fouetter le visage. Je rouvre la bouche juste à temps pour accueillir la troisième salve. Avant que j'ai le temps d'avaler, une quatrième arrive, faisant déborder ma bouche de sperme. Ne pouvant avaler une telle quantité, je laisse tout dégouliner dans mon cou.



Le type semble avoir fini et je l'entends s'éloigner. Un autre vient se mettre à sa place, espérant que je me "trompe" également pour lui. L'homme est en jean. Je me lève et frôle au passage son érection qu'il a déjà sorti. Une haleine de Ricard. Simon avait bu une bière. J'annonce "Pas mon Simon" et j'entends la voix devant moi répondre :
- Dommage ma chérie, tu t'es trompée.
- Mais tu as bu un Ricard ?
- Un Pastis, à l'instant...
- Que décides-tu ?
- Je crois que je vais te tripoter pendant une minute.
En quelques secondes, les bretelles de ma robe glissent et libèrent mes gros seins nus, le bas se soulève dévoilant ma moule humide et gonflée par l'excitation. Simon me caresse la poitrine d'une main et asticote mon clitoris de l'autre. Il me fait tourner lentement, cherchant à faire profiter du spectacle au maximum de personnes.


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Une minute, c'est trop court pour me laisser le temps de jouir : cet aspect est une véritable punition. Les gars se remélangent. Je reste dépoitraillée. Nouvelle tentative : jean et haleine de Pastis... Simon ? Malheureusement non. Le type veut bien me tripoter. Il me malaxe brutalement les seins, me pince les tétons.


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Soudain, il abandonne mes seins (la minute n'est pourtant pas écoulée). Un doigt s'insinue dans mon sexe, un autre dans mon cul. Il me branle violemment mais c'est terriblement bon.



Le chronomètre s'arrête et je reste encore une fois frustrée, ma jute coulant le long de mes cuisses. Je finis par perdre complètement ma robe et je déambule entre des mecs qui ont la bite à l'air.



Et la soirée se continua ainsi : je me suis trompée pour sept autres (ils avaient presque tous des jeans et prenaient tous une gorgée de Pastis à mon approche).



Je me suis "trompée" exprès une autre fois en rencontrant une bite particulièrement longue (je n'ai pas pu résister à lui lécher le gland).


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Je pense que Simon a triché aussi : je suis sûre de l'avoir reconnu mais qu'il s'est glissé derrière un autre type après mon annonce. En fait de tripotage, un type m'a enfoncé le goulot d'une bouteille de bière alternativement dans l'anus et dans la moule, ce qui n'était pas des plus délicats.

Quand enfin j'ai reconnu Simon, j'avais le visage couvert de sperme et je sentais que ça dégoulinait un peu partout.


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Mon cul, ma chatte et mes tétons étaient meurtris par les tripotages rarement raffinés de mes partenaires. Simon m'a retiré le bandeau et a demandé au patron du bar une autre serviette pour m'essuyer. Le patron était le type le plus costaud du bar et je pense que c'est le premier type que j'ai branlé.



La punition me semblait un peu disproportionnée par rapport à la faute mais je m'étais quand même assez amusée. Malgré cela, je n'avais qu'une idée en tête : rentrer, prendre une douche et que Simon me fasse l'amour avec douceur.

Lisa

Se retrouver les yeux bandés au milieu d'une foule d'hommes [gage]

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