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Beaucoup de monde, ce soir dans le RER, il fait chaud. Devant moi, une femme en tailleur essaie de lire sans succès. Jolie brune, d'une quarantaine d'année, elle est classe et charmante. Dos à moi, je peux lire par dessus son épaule. ![]() Trop de monde, elle range son livre dans son sac en disant "impossible de lire, je passe à autre chose !". Personne ne prête attention à ses paroles. Elle se retourne et me sourit. Ses mains disparaissent. Placebo chante dans mes oreilles. "Someone call the ambulance !" Tout à coup, je sens ses fesses se coller à ma cuisse. C'est agréable. Je sens alors des doigts qui se déplacent le long de mon autre jambe. Nouvelle station, les gens descendent d'autres montent. Nous ne bougeons pas coincés au fond du wagon. Aucun doute, la belle brune sophistiquée devant moi, me caresse la cuisse. Son dos se plaque contre mon torse. Nous sommes littéralement collés. Mon sexe commence à se réveiller dans mon caleçon. J'avance ma main vers sa hanche. Nouvelle station. Dans deux stations, je descends. Sa main se rapproche petit à petit de mon sexe, qui durcit de plus en plus. Mes deux mains sont sur ses hanches. Rapprochant encore sa main, elle me caresse maintenant le sexe fermement sur toute sa longueur. J'ai remonté ma main vers ses seins que je caresse doucement sous sa veste. Seuls un léger bustier et son soutien-gorge me séparent de ses petits seins dont les tétons pointent déjà. ![]() Nouvelle station, elle profite du va et vient des autres passagers qui ne remarquent rien pour se retourner et me faire face. Nos regards se croisent. Ses yeux brillent de plaisir et d'envie. Elle reprend sa caresse le long de mon pantalon. De son autre main, elle guide ma main dans sa jupe. Ma main glisse le long de son ventre. Difficile de rester discret. Rapidement je glisse mes doigts dans son string, dans les poils et le long de ses lèvres. ![]() Un de mes doigts entre en contact avec son clitoris et se glisse entre ses lèvres. Elle me souffle dans le coup. De sa main libre, elle ouvre ma braguette, y glisse sa main et rapidement recherche mon gland. Délicatement, du bout des doigts, elle me branle le gland. Quel pied ! Nouvelle station ! Je devrais descendre. Je reste. Encore plus de monde monte. Je glisse alors un doigt dans son sexe trempée et brûlant. Mon sexe est dur comme un pieu. Si elle continue, il va jaillir de mon pantalon et je vais jouir au milieu des passagers. De ma main libre, je lui ralenti les doigts qui me caressent toujours. Mon autre main s'active rapidement. Je glisse un deuxième doigt. ![]() images similaires Elle pose sa tête sur mon épaule et jouit en silence. Délicatement, je retire alors ma main. Elle me remercie d'un sourire. Nouvelle station, quasi tout le monde descend. Nous sommes en banlieue. Elle retire elle aussi discrètement sa main de ma braguette et m'attire hors de la rame. Je la suis. Elle se dirige rapidement vers le bout du quai. "Assied toi "me dit-elle "nous serons tranquille ici." Personne à proximité. Je m'assieds. Elle sort alors mon sexe toujours dur et me branle gentiment. "C'était super" me dit-elle" tu caresses bien !" Un train entre en gare. Elle pose son sac sur mon sexe et continue à me caresser doucement. Le train et les gens repartent sans prêter attention. Elle retire alors le sac et me branle alors généreusement. "Je vais jouir" lui dis-je. Délicatement elle sort alors un mouchoir de son sac et accélère sa caresse. Je jouis alors dans son mouchoir en la fixant du regard. ![]() images similaires "Merci" dis-je. "J'adore" dit-elle. Discrètement et rapidement, elle m'embrasse alors le gland, se lève, me sourit et s'en va en disant "à bientôt sur la ligne !" Je me rhabille, reprend mes esprits et rentre chez moi. |