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Souvenir d'étudiant. Durant ma période universitaire, j'ai eu la chance d'entretenir une relation de réelle amitié avec Pascale. Nous étions le plus souvent assis l'un près de l'autre dans les auditoires, nous allions régulièrement à la bibliothèque pour étudier ensemble et tentions autant que possible de pouvoir être réunis pour les travaux de groupes. Pascale était une fille mignonne sans être un véritable canon. Cheveux châtains mi-longs, yeux noisettes, style vestimentaire passe-partout. Elle disposait néanmoins d'un sourire éclatant et d'une poitrine généreuse, qui incitait les garçons à se retourner sur elle.. ![]() images similaires Elle disposait d'un petit studio d'étudiant pas très loin du campus, où nous passions régulièrement du temps à travailler ou à discuter, refaire le monde, écouter de la musique, etc. Nous étions très proches et nous ne nous cachions pas grand-chose. Elle me parlait régulièrement de ses aventures et moi des miennes (et je dois bien reconnaître que les siennes étaient plus nombreuses et plus... « vivantes » que les miennes). Une amie d'enfance de Pascale louait le studio voisin du sien. Elle s'appelait Christine. Elle était inscrite dans une section tout à fait différente de la nôtre et nous n'avions donc pas l'occasion de travailler ensemble... et heureusement pour mes résultats car je crois que travailler avec une telle bombe m'aurait posé un problème de priapisme. Quelle beauté que cette blonde au corps athlétique, aux jambes infinies, aux longs cheveux blonds ondulés, aux yeux bleu azur, à la taille fine et aux seins pas trop gros mais qui semblait bien fermes, malgré le peu de soutien vestimentaire qu'ils recevaient. ![]() Christine n'était pas à l'université pour étudier, mais pour s'amuser. En tout cas en cette première année d'étude. Elle sortait souvent et rendait fou tous les mâles du campus avec ses minijupes et ses débardeurs ultra moulants. Tous le site universitaire la connaissait... de vue. Et j'avais la chance et la fierté de pouvoir dire « je la connais », vu mon amitié avec Pascale. Nous allions régulièrement au resto tous les trois, par exemple. Et, je dois bien l'avouer, j'étais secrètement amoureux de Christine... ou tout au moins j'avais bien envie de faire l'amour avec elle. Il ne s'est jamais rien passé, ni avec Pascale, ni avec Christine. Rien avec la première parce que l'amitié m'interdisait de tenter quoi que ce soit. Rien avec la seconde parce que la timidité m'en empêchait. Il ne s'est jamais rien passé. Sauf une fois. Une seule fois. Mais quelle fois. Après nos sorties, lors de soirées, je raccompagnais Pascale à son studio. Je le faisais chaque fois. Je ne supportais pas l'idée de la laisser seule dans la ville en pleine nuit. Nous terminions alors la soirée chez elle, à discuter encore et encore. J'y logeais de temps en temps, quand j'étais trop fatigué pour retourner jusque chez moi. Nous partagions son lit, mais sans que jamais il ne se passe quoi que ce soit de sexuel. Sauf une fois. C'était au mois de mai et il faisait encore relativement chaud quand je l'ai raccompagnée. Arrivée devant chez elle, je me préparais à retourner directement vers chez moi, mais Pascale m'a attrapé la main en me disant « j'aimerais que tu restes ». J'étais un peu étonné de sa demande, mais j'acceptai évidemment tout de suite. Sans arrière pensée et sans m'imaginer le moins du monde que nous allions faire l'amour. Son studio était au deuxième et, alors que nous montions l'escalier, elle juste devant moi, elle s'est retournée, m'a sauté au cou, à coller ses lèvres aux miennes et à darder sa langue dans ma bouche. J'ai hésité à répondre à son baiser. J'ai hésité, au moins... 2 secondes. Puis ma langue a rejoint la sienne est nous nous sommes embrassés longuement, avidement. A la fin de ce baiser, elle m'a regardé droit dans les yeux et m'a dit « Ce soir, j'ai envie de toi. J'ai envie de te baiser et j'ai envie que tu me baises ». « Je vais te sucer, te faire jouir et avaler tout ce que tu m'offriras ». « Tu t'enfonceras en moi et tu me feras jouir ». « Tu seras doux et tendre, je le sais. Je te connais trop bien ». « Nous allons faire l'amour et prendre notre pied tout les deux. ». « Ce soir et seulement ce soir ». « Demain, nous serons de nouveau des amis, mais ce soir je veux du sexe, de plaisir, des orgasmes, et je le veux avec toi ». J'étais abasourdi. Et ravi. Je n'ai rien répondu. J'ai simplement fermé les yeux et recommencé à l'embrasser. Plus avidement encore. Tout en commençant à la caresser de manière plus exhaustive à travers ses vêtements. Je pelotais ardemment ses fesses d'une main et caressais son entrejambe de l'autre. En retour elle malaxait mon membre bien rigide au travers de mon pantalon. Je bandais. Dur. Très dur. ![]() Nous étions toujours dans la cage d'escalier à nous embrasser et nous caresser quand j'ai commencé à déboutonner son chemisier. Elle m'a dit : « attends, pas ici »... et nous avons gravi quatre à quatre les dernières marches. A peine la porte du studio refermée, elle m'a dit de me déshabiller. Elle s'exécutait de même et en moins de 30 secondes, nous étions nus, l'un devant l'autre. ![]() images similaires Elle était belle. Pure. Ses seins lourds pointaient vaillamment leurs mamelons vers moi et ma bite faisait de même vers elle. Il y eut un léger moment d'hésitation, puis elle s'est mise à genoux devant moi, et a commencé à branler ma queue avec énergie, comme pour tenter de la faire durcir encore, si cela était possible. ![]() images similaires Elle m'a ensuite gobée d'une pièce, faisant directement plonger mon gland au plus profond de sa bouche. Puis elle a fait remonter sa bouche tout au long de mon membre, avec une lenteur calculée et un jeu de langue expert. Au bout de sa remontée, mon gland juste au bout de ses lèvres, elle m'a dit : « je sais que tu aimes qu'on te suce. Tu me l'as déjà dit. Et moi, j'adore sentir les veines d'une belle bite palpiter dans ma bouche. Je peux faire tenir un homme des heures sans qu'il éjacule, si je veux. Il parait que c'est à la limite de la torture. Mais toi, je t'aime trop. J'ai juste envie de nous offrir un moment... différent. Tu jouiras quand je le voudrai, mais je ne te ferai pas attendre ». Et l'anneau de ses lèvres reprit sa place autour de mon pieu de chair, pour commencer réellement sa fellation ». Quel régal que le travail de cette bouche sur mon sexe. ![]() images similaires Pascale est une vraie suceuse. Elle ne le fait pas seulement pour faire plaisir et du bout des lèvres, elle suce car elle aime ça. Et elle a tenu parole. Elle a contrôlé ma jouissance avec talent et, quand elle a senti que je n'en pouvais plus et que je ne souhaitais qu'une seule chose, lâcher mon sperme, elle m'a fait venir. Lèvres soudées à moi. Langue hyper active. Elle a tout pris dans la bouche. Elle a tout avalé. Avec délectation. ![]() images similaires Une fois remis de ce moment de délice, je l'ai prise par la main et je l'ai emmenée vers le bureau. Je l'ai fait s'y asseoir puis me suis installé sur le siège, la tête en avant. Entre ses cuisses. Et pour la remercier de la magnifique pipe qu'elle m'avait prodiguée, je lui ai léché le sexe. Longuement. Lentement. Tout en douceur. Tantôt je titillais du bout de la langue son clitoris légèrement saillant, tantôt je parcourais l'ensemble de son sexe avec la langue bien à plat, tantôt encore j'enfonçais le plus profondément possible ma langue dans son canal, comme l'aurait fait une petite bite. Et je ne voudrais pas me vanter, mais au vu de la mouille qu'elle a produit et des gémissements qu'elle poussait, je me débouillais plutôt bien. ![]() images similaires Je ne voulais rien d'autre que lui offrir un premier orgasme, une première vague de plaisir avant les autres, que j'espérais nombreux, durant le reste de la nuit. Elle ne fut pas longue à succomber. Et le gémissement qu'elle poussa alors relança mon chibre au garde-à-vous, tant le plaisir se sentais dans ce long cri étouffé. « Wouaw » me dit-elle. « On m'a déjà bien léché la chatte. Mais tu fais partie du top des gars qui m'ont fait minette.... Haaaa.... Quel pied ». J'étais toujours assis sur le siège de bureau. Elle s'est alors levée pour venir s'empaler sur mon sexe qui avait repris une belle vigueur. Puis elle a commencé à monter et descendre. Doucement d'abord, puis de plus en plus vite. ![]() images similaires Elle s'était positionnée face à moi et tournait le dos à la porte. Elle ne la vit donc pas s'ouvrir, ni Christine entrer. Elle était entièrement nue et avait le regard d'une fille qui avait envie de sexe. Pascal a du sentir qu'il se passait quelque chose - sans doute ma queue avait-t-elle encore pris un peu de diamètre à la vision de cette apparition divine - et elle se laissa descendre afin de me plonger en elle jusqu'à la garde. Elle a vu que mon regard était fixé derrière elle et s'est retournée. Elle a alors souri à sa copine. ![]() images similaires - « et bien quoi ? On empêche sa voisine de dormir en se faisant baiser et en gémissant à réveiller tout le quartier et on ne l'invite même pas à venir profiter d'une belle queue qui semble en valoir la peine ? ». Incroyable. Je n'en croyais pas mes oreilles. Non seulement la nuit allait être vouée à la pratique de l'art sexuel, mais j'allais vraisemblablement sauter la fille la plus convoitée de l'université, en plus de ma meilleure amie. Pascale s'est alors retirée de moi et s'est levée, tout en disant « Tu as raison, elle en vaut la peine cette bite. Viens, nous allons lui offrir une nuit qu'il ne sera pas prêt d'oublier ». Christine avait un corps sublime. Des seins bien fermes, des fesses galbées, une taille de guêpe. Une fille comme on n'en voit que dans les magazines de mode. Sauf que là, elle était bien réelle devant moi, nue, et avide de se faire tringler. Par moi. Et, en prime, une seconde fille a peine moins jolie et tout aussi gourmande. Il était clair pour moi qu'a partir de maintenant, la situation m'échappait et que je ne pourrais que répondre à leurs demandes, qu'il me serait impossible de prendre la moindre initiative. Elles m'ont entrainé vers le lit, et se sont couchées contre moi, une a gauche, une a droite. Pascale m'a embrassé, puis Christine a fait de même... puis elles se sont embrassées à pleine bouche. Longuement. Elles avaient chacune posé une main sur mon bas ventre. ![]() L'une d'elle jouait avec mon épieu pendant que l'autre me malaxait les bourses... ensuite les mains se croisaient pour inverser les rôles. Ce petit jeu a duré quelques minutes, avant qu'elles ne décident de m'offrir ce qui reste encore aujourd'hui un de mes meilleurs souvenirs sexuels. Une pipe à deux bouches qui avalaient tour à tour ma hampe dressée bien haut. A quatre lèvres qui se réunissaient pour enserrer mon vit. A deux langues, qui jouaient à cache-cache autour de mon chibre. Un rêve. L'extase. Le nirvana. ![]() images similaires Elles s'étaient placées de telle manière que mes mains pouvaient accéder à leurs sexes. Et j'essayais de leur offrir moi aussi un peu de plaisir, en ayant de chaque coté, un doigt enfoncé dans une chatte et un doigt plongé dans un cul. ![]() images similaires Je voulais mettre une cadence régulière à ces attouchements, mais c'était impossible, tant le plaisir provoqué par leur bouche me faisait perdre le contrôle. Quand je fus au bord de l'explosion, elles calmèrent le jeu. Elles ne voulaient apparemment pas perdre tout de suite le bénéfice de mon érection. Pascale est revenue s'empaler sur moi tandis que Christine se positionnait face à elle, jambes écartées, au dessus de ma bouche. Pascal entama sa chevauchée. Cadence de pas dans un premier temps, puis assez vite à un rythme de trot. Et moi, je visitais tous les recoins du con aux poils blonds de Christine. ![]() Elles se mirent rapidement à gémir toutes les deux. Des gémissements parfois étouffés, parfois bruyants. J'ai supposé qu'elles s'embrassaient de nouveau. Pascale était maintenant lancée en plein galop, bien décidée à me faire exploser en elle. Christine m'envoyait des « je vais jouir, je vais jouir » et déversait dans ma bouche une quantité assez étonnante de sa liqueur interne, au goût suave et au parfum envoutant. Puis nous avons joui. Tous les trois. En même temps. Pascale a plongé son bassin vers le bas pour que je m'enfonce le plus profondément possible en elle au moment du premier jet de sperme, en laissant échapper un cri venant du fond de la gorge. Christine a plaqué son sexe sur ma bouche alors que j'aspirais goulument son clitoris. Elle criait aussi. Sublime concert à deux voix de chiennes en chaleur bien baisées. Puis le calme est revenu. Un peu. Pas longtemps. Elles se sont réinstallées à mes cotés et Christine, en me regardant droit dans les yeux m'a dit simplement : « encore !». J'avais un peu débandé et je n'avais pas récupéré mes esprits. « Tu veux souffler un peu, sans doute », dit-elle. « Pas de problème, on va t'attendre ». Je me suis déplacé vers le bord du lit et les deux filles se sont lancées dans des jeux à la gloire de Sapho, déesse du lesbianisme. Elles se sont positionnées face à face, ou plutôt chatte à chatte, mettant en contact leurs deux sexes détrempés. ![]() images similaires Elles glissaient chacune à leur tour un ou plusieurs doigts dans ce petit réceptacle improvisé, Visitant tour à tour les coins et recoins de leur propre sexe ou de celui de l'autre. Quelle beauté que ce spectacle. Voir ces deux filles se satisfaire m'a troublé au plus au point. L'homosexualité masculine ne m'a jamais attiré mais voir des femmes se tripoter m'a toujours fait penser que seul une femme peut connaître les secrets pour bien faire jouir une autre femme, car elle seule connaît les sensations de ces attouchements. Elles ont continué ce petit jeu longtemps. Jetant de temps en temps un oeil vers ma masculinité, qui reprenait petit à petit du service. Quand je fut de nouveau bien bandé, droit comme un I, elles se sont couchées. Christine sur le dos et Pascale sur elle, face à face. Jambes écartées, toutes les deux. « Nous t'offrons un corps à quatre trous », me dit Christine... Visite-les et n'en oublie aucun. ![]() images similaires Demandé comme ça, je ne pouvais qu'obéir. Je me suis placée entre leur jambes et j'ai plongé bite la première vers ces jardins secrets. Ce fut le vagin de Christine qui reçu la première visite. Quelques allées et venues puis je rendis visite à celui de Pascale. Quelques coups de pistons, et retour chez la première. A chaque changement, je regardais mon sexe. Il luisait tant il était mouillé. J'ai continué ainsi pendant quelques minutes, passant d'une chatte à l'autre et provoquant à chaque pénétration un râle de plaisir, à chaque retrait un gémissement de frustration. Puis pascale, d'une voix ferme, m'a dit « on a parlé de quatre orifices ». J'ai simplement répondu « je sais, ne t'inquiète pas... j'arrive ». ![]() images similaires Tout en continuant avec régularité mes visites vaginales, j'ai commencé à humecter les boutons de roses de mes camarades de jeu. Je salivais sur mes doigts et enduisais leurs anus, faisant pénétrer de plus en plus un puis deux doigts afin de bien les ouvrir. Quand les préparatifs me semblèrent bons, je pointai mon gland à l'entrée du cul de Pascale, placée au dessus et donc facile d'accès... et je me suis enfoncé comme dans du beurre. Elle n'en était pas à sa première sodomie et savait contrôler son ouverture pour que ça passe sans lui faire mal. ![]() Je l'ai ramonée ainsi pendant quelques instants puis j'ai voulu passer au trou de Christine. Malheureusement l'angle d'attaque offert par la position ne me permettait pas de la visiter plus que du bout du gland. Elles quittèrent donc la position à regret, pour se mettre l'une à coté de l'autre, à quatre pattes. Tout était prêt pour leur offrir deux belles sodomies bien profondes. Il me restait une seule chose à choisir... dans laquelle jouir. ![]() Puisque Christine ne m'avait pas encore accueillie correctement dans cette voie là, j'ai commencé par elle. Et s'est ouverte aussi facilement que Pascale et a rapidement perdu de contrôle de ses mouvements quand j'ai lancé les mouvements de piston. Je la tenais fermement par les fesses, pour bien la tirer vers moi quand je m'enfonçais. C'était profond. C'était délicieux. Quelques secondes en Christine, puis retour chez Pascale...et vice et versa. ![]() images similaires Elles avaient l'orgasme facile. Elles ont joui plusieurs fois. Toutes les deux. Après une nième jouissance, Pascale s'est laissée retombé et à dit à Christine : « je te le laisse, je n'en peux plus »... Christine a répondu « merci » à son amie, et a resserré son anneau anal pendant que je la besognais... « On va jouir tous les deux, cette fois » a-t-elle dit. ![]() Et vu l'étau dans lequel elle emprisonnait mon membre, la semence ne fut pas longue à jaillir. Elle a crié en sentant ma laitance brulante se déverser dans ses profondeurs intimes. Un mélange de douleur et de plaisir. Surtout de plaisir. Je n'en pouvais plus. Je me suis effondré et nous nous sommes endormis tout les trois, dans les bras l'un de l'autre. Je me suis réveillé un peu plus tard en sentant une langue tenter de redonner à mon sexe flasque de la rigidité. C'était Christine. Pendant mon sommeil, elle avait délicatement nettoyé l'engin, qui avait quand même visité deux culs, et commençait à me sucer les couilles. Quand elle croisa mon regard, elle se mit le doigt sur la bouche pour m'intimer le silence, en montrant Pascale qui dormait. ![]() images similaires Je l'ai laissé faire. Et elle m'a sucé en experte. J'étais trop fatigué pour faire encore le moindre geste et je me suis juste laisser aller au plaisir qui montait graduellement en moi. Je lui ai offert ma liqueur, qu'elle a dégustée en connaisseuse. ![]() images similaires Elle est ensuite venue se blottir dans mes bras, et nous nous sommes rendormis. Le lendemain, au réveil, nous nous sommes embrassés. Avons pris un bain à trois. Sans Sexe. Juste quelques caresses. ![]() images similaires Puis nous nous sommes habillés... et nous avons décrété d'un commun accord que le moment magique s'arrêtait là. Que nous redevenions des amis et rien d'autres. Que sinon, nous risquerions de nous perdre dans une relation trop dangereuse pour rester viable à trois. Nous sommes restés inséparables durant toutes nos études. Nous racontant tout sur tout. Les sujets les plus intimes de l'un n'avaient pas de secret pour les deux autres. Mais plus jamais nous n'avons couché ensemble ni à deux, ni à trois. Sans remord, ni regret de cette fabuleuse nuit. Juste un souvenir... mais quel souvenir ! |