Lovesymbol
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18 août 2006
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PARTIE 1 - par LoveSymbol
C'est l'été. Un été caniculaire. Lisa n'en peut plus d'être enfermée dans son bureau et a décidé de s'offrir un jour de congé. Et tant pis pour Simon qui n'a pas voulu faire la même chose. Son programme n'est pas établi, mais elle compte bien se balader en ville. Profiter de la relative fraicheur d'un parc. Prendre un verre à une terrasse. Regarder les gens passer. Les filles, habillées le plus légèrement possible afin de pouvoir supporter les températures de ce mois de juillet torride. Et les hommes, ne sachant plus où donner de la tête pour ne rien rater de ce que les femmes offrent volontairement ou non à leurs yeux.
Et tant qu'à faire, elle décide qu'une partie de ces regards devront être pour elle et s'habille donc en conséquence. Elle choisit d'abord ses sous-vêtements. Elle enfile un assortiment string + soutien-gorge noirs. Elle passe ensuite une mini-jupe blanche en coton, très courte (elle arrive juste au bas de ses fesses... quand elle se tient debout) et un chemisier légèrement transparent qu'elle décide de ne boutonner que jusqu'à mi-poitrine, laissant plus que deviner le galbe de ses seins à qui se donne la peine de jeter un oeil dans sa direction. Elle se regarde dans la glace et se trouve plutôt... bandante (elle ne trouve pas de meilleur mot).

Dix minutes de route et trois de plus pour trouver une place de parking et Lisa est arrivée. Elle décide de commencer par un peu de lèche-vitrine et prend la direction du quartier commerçant. Non sans lancer de larges sourires aux hommes qui écarquillent les yeux quand ils la voient passer.
Elle déambule depuis à peine quelques minutes, regardant distraitement les vitrines des magasins de vêtements et avec plus d'attention les hommes et les femmes qu'elle croise quand elle entend une voix l'appeler de l'autre coté de la rue. C'est Jessica, une amie de Lisa.
- Mais dis-moi, Lisa, tu as l'air en pleine forme.
- Huuum... en effet, je me sens bien dans ma peau, pour le moment.
- Et puis dis-moi... super sexy, hein... Tu n'y va pas de main morte quand tu veux qu'on te regarde.
Lisa rit en se regardant dans la vitrine la plus proche
- C'est vrai... mais que veux tu, j'adore sentir le regards des hommes sur moi, et imaginer ce qui doit se passer dans leur pantalon dès que leur imagination se met en route.
- Toujours aussi portée sur le sexe, je vois... Mais, est-ce que je peux me permettre un tout petit commentaire ?
- Bien sur, on se connaît depuis assez longemps.
- En fait, je trouve qu'on voit beaucoup trop ton string au travers de ta jupe. Tu n'aurais pas du en mettre un noir.
Lisa se regarde de nouveau dans la vitrine, de dos, cette fois, avant d'acquiescer.
- Tu as raison. Quelle faute de goût de ma part. Il me faut résoudre ce petit problème. Là-bas. Viens, tu va me cacher.
Quelques vitrines plus loin, un magasin a sorti deux penderies de vêtements. Lisa fait d'abord mine de s'intéresser à ce qui se trouve dessus puis demande à son amie de se mettre devant elle pendant qu'elle retire son string. Elle glisse rapidement ses deux mains sous sa jupe afin de le faire glisser, laissant apparaître le temps de quelques secondes ses jolies fesses et sa chatte bien rasée. Personne dans la rue ne remarque le manège.

Dans le magasin, par contre, le commerçant - qui s'était approché pour vérifier que les deux femmes ne volaient rien - n'en croit pas ses yeux. Son visage est devenu écarlate et il a la bouche ouverte béatement. Lisa l'aperçoit au moment où elle se redresse pour réajuster sa jupe, qui a gardé un mauvais pli et révèle son postérieur.

Elle lui fait un petit sourire gêné et tente d'enfouir rapidement son string dans son sac, qu'elle tient à l'épaule. Mais elle accomplit ce geste avec un peu trop d'empressement et sans regarder à ce qu'elle fait. Le sous-vêtement n'est qu'a moitié dans son sac et en dépasse largement. Elle fait un petit signe mutin au commerçant toujours ébahi et se retourne pour quitter l'abri des deux penderies. Le string en « profite » pour rester accroché à un des cintres et reste là, dans un équilibre instable alors que Lisa s'éloigne en riant avec Jessica de la tête que faisait le marchand. « On dirait qu'il n'a jamais vu le cul d'une femme » ironise-t-elle.
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