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Une fin d'après-midi au parc aquatique

Dydy 2 décembre 2010

Voici ce qu'il m'est arrivé à l'Aqualibi. Je vous l'avais promis, je vais vous le raconter. Nous allions régulièrement les vendredis soirs à l'Aqualibi (parc aquatique belge) avec ma copine de l'époque une fille châtain cheveux long, la taille fine, des fesses rebondies mais bien fermes et un gros 95C (je me rappelle que malgré leurs tailles, ces seins tenaient droit et étaient bien ronds, c'était très impressionnant). Ce vendredi-là, fin novembre, S me demande si je veux bien aller chercher une de ses collègues qui a le moral au plus bas car elle vient de se faire plaquer... Ses collègues, je les connais pour la plupart et elles ne donnent pas trop envie d'être vues en maillot, mais bon c'est pour la bonne cause. Nous Nous rendons donc à l'appartement de la dite collègue et là quelle ne fut pas ma surprise de voir une fille apparemment mince et avec un très jolie visage, pour le reste son long et épais manteau ne me permettait pas de deviner plus. Direction Wavre et son célèbre parc d'attraction. Nous arrivons un peu trop tôt et décidons d'aller boire un coca au restaurant de la piscine. L'heure approchant S me demande si je veux bien aller chercher les sacs dans la voiture. A mon retour, je prends mon verre et le finis d'une traite, glaçon compris. J'avale tout. Nous payons nos entrées et nous nous dirigeons vers les vestiaires. Comme toujours c'est la cohue et pour gagner du temps je prends le même vestiaire que S tandis que sa collègue (appelons la V) trouve un vestiaire plus loin. - On se retrouve aux douches nous dit elle. Quelle ne fut pas ma surprise de trouver mon vieux maillot dans le sac je demande à S pourquoi elle n'a pas pris le nouveau qui est plus confortable, car j'avais trouvé un maillot dont la poche était plus ample. Elle s'excusa et me dit ne pas y avoir pensé. Faute de mieux j'enfile mon maillot et tente de dissimuler mes parties du mieux que je peux, ce qui ne fut pas facile car, les cabines étant petites, on est obligé de se frôler et de se frotter, ce qui avait fait naitre un début d'érection. images similaires Direction la douche où nous retrouvons V. Quel corps ! J'en reste baba : elle n'a vraiment rien à envier à S. images similaires - Tu ne m'as pas menti, dit-elle à S. C'est de belle taille, on n'aurait pas dû le mettre. Et les voilà qui gloussent comme deux dindes, alors que moi je n'avais rien compris. Nous prenons notre douche tous les trois autour d'une colonne. A plusieurs reprises, V me frôle voir me cogne franchement. S qui est habituellement jalouse ne dit rien, je suis vraiment étonné. images similaires V dit à S "allons au jacuzzi pour commencer, il va être plus que temps". Pour ma part, je les suis sans trop d'enthousiasme : je préfère les toboggans et autres attractions où je peux balader mes mains sur le corps de S. images similaires Nous descendons les marches et entrons dans le jacuzzi, imitation d'une crique avec des jets d'eau sous pression qui sortent des murs et des bancs où on s'allonge, et on est massé par les bulles et une eau très chaude. Ayant été à la salle de body, j'ai les muscles un peu endoloris et vais profiter des jets massant. Les filles, quant à elles, chahutent, se jettent de l'eau au visage, se poussent à plusieurs reprises. Elles viennent contre moi et, malgré moi, je sens convenablement leurs formes. Les seins de V sont vraiment fermes et ses fesses ne sont pas mal. Un moment où V me cogne, je sens sa main qui s'attarde sur mon bas ventre Là, pas de doute permis : il ne s'agit plus d'un accident ! Et voila que je ressens une érection de tous les diables qui commence. Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive. En général, je peux me contenir : ce n'est pas un petit pelotage qui me fait bander à ce point-là. Je vois V chuchoter à l'oreille de S. Elles se rapprochent de moi toutes les deux et S me dit : - Alors, on bande dur ? - Je ne comprends pas ce qui m'arrive : d'habitude je me contrôle mieux que ça, tu le sais bien... Et V avec un grand sourire me dit : - Nous on sait ce qui t'arrive. Tu vois, mon connard d'ex est une bitte molle et pour baiser il prenait du viagra. Ce con les a oubliés quand il est parti et avec S on voulait voir ce que ça donnait sur quelqu'un qui n'a pas de problème. Donc, quand tu es sorti chercher les sacs, on en a mis un dans ton verre... - Vous êtes connes ou quoi ? Je fais quoi maintenant ? En plus avec ce maillot, putain, je suis pas dans la merde, moi ! S glisse alors sa main le long de mon ventre et empoigne mon gland qui sort franchement du slip de bain et regarde V en lui disant : - Tu vois avec ce maillot, quand il bande, il a le gland qui sort. Je te l'avais dit. V à son tour empoigne ma bite et regarde S : - Tu avais vraiment raison : c'est une grosse bite, qu'il a. images similaires J'étais en même temps très fier et très gêné. Je ne savais vraiment pas quoi faire. C'est alors que V s'adressant à S lui dit : - Je peux ? - Mais je t'en prie, lui répondit S. Et elle plongea sous l'eau, sorti ma bite et commença à me sucer comme une folle. Lorsque elle remonta pour prendre de l'air, c'est S qui plongea et ainsi de suite. Un moment où je n'étais plus très loin de jouir S remonta. - Mais pourquoi tu remonte ? - Tu vas voir, me dit-elle. V adore avaler... Et effectivement, lorsque je jouis, je sentis les lèvres de V se refermer autour de mon gland et une aspiration incroyable se fit sentir. Je n'avais pas l'impression de jouir mais plutôt que mon sperme était aspiré : c'était démentiel. Une petite minute après, je ne bandais plus mais mon sexe gardait quand même une taille franchement impressionnante. Nous nous sommes dirigés vers la rivière sauvage sorte de toboggan plat très large avec plusieurs petites chutes. Pendant toute la descente, les filles s'amusaient à m'attraper l'entrejambe. images similaires Ce qui eut pour effet de me faire encore bander. Pendant la descente, il fallait traverser une grotte où la lumière était très tamisée. J'y fis un stop. S ne me vit pas et continua tandis que V passa à ma portée. Je lui saisis le bras et la tirai vers moi. - Mais que fais-tu ? me demanda-t-elle. - Je la retournai et collai ses fesses sur ma bite. Elle ajouta : - Je vois tu es déjà d'attaque... Elle écarta son maillot et commença à me masturber avec son vagin. Elle ne s'empala pas, elle faisait glisser ma bite entre ses lèvres. images similaires S ne nous voyant pas arriver avait compris ce qu'il se passait et avait refait une descente. - Je pensais bien vous trouver ici. Tu m'excuseras V, mais c'est mon tour. Elle se mit face à moi mais, à l'inverse de V, elle glissa ma bite dans son vagin. La position n'était pas facile et ne permettait pas beaucoup de mouvements. Je sentis bien qu'elle s'énervait. V se plaça à coté de nous et dit à S : - Je vais vous aider. Elle prit la base de mon pénis et la branla dans le mouvement inverse de ceux de S. Je ne mis pas longtemps à venir. Nous sommes restés encore une petite heure pendant laquelle j'étais vraiment mal à l'aise car, même si je n'avais pas d'érection, ma bite était très imposante et tous ces regards me dérangeaient. J'ai donc annoncé aux filles que j'allais me rhabiller et les attendrais à la buvette. Vu qu'elles en avaient marre aussi, elles m'ont accompagné aux vestiaires. Là, j'ai partagé la cabine avec V car elle voulait me voir complètement nu. images similaires Elle s'est appliquée à me sécher. Elle était la douceur même. images similaires Une érection apparut à nouveau bien vite et, là, V me susurra a l'oreille : - Fous-la moi dans le cul... - Mais je n'ai jamais ... heu... - Et bien, mets- toi à genoux et lèches-moi la rondelle. images similaires Elle se plia en deux et je sentis quelque choses de très froid sur ma bite : elle l'enduisait d'une crème hydratante. Elle se redressa, mit une main sur le banc, l'autre sur la paroi de la cabine et m'expliqua comment faire. Elle me dit : - Fait doucement : j'en ai jamais pris une si grosse entre les fesses... images similaires Je l'ai enculée et j'ai découvert la sodomie. Malheureusement, nous n'avons pas pu finir car S est venue frapper à la porte en signifiant à V qu'il ne fallait pas exagérer. Sur la route du retour V demanda à S pourquoi elle ne m'avait jamais offert son cul. Elle lui répondit : - Il est trop gros, il va me déchirer le cul. - Mais non, vous ne savez pas vous y prendre, c'est pour ça que tu as mal. images similaires Arrivés chez V, elle nous proposa de monter boire un verre et, vu le début de soirée, nous nous sommes vite retrouvés tous les trois à poil. V, à quatre pattes, me demande de continuer la sodomie. images similaires Elle s'exclama alors à S : - Tu vois, quand c'est préparé, ça rentre. Elle lécha et doigta le cul de S pendant que je la sodomisais. Elle lubrifia le cul de S avec une huile et me dit : - Vas-y maintenant, encule ta copine mais vas y doucement, c'est sa première fois. images similaires Je rentrais doucement dans son cul, restais fixe un moment et commençai lentement mon va-et-vient. Au bout d'un certain temps, j'eus la surprise de ma vie : V, qui s'occupait de me masser les couilles et de me caresser les fesses, m'enfonça un doigt dans le cul et je sentis une pression et un massage interne. images similaires Ce massage me fit éjaculer au bout de cinq minutes des quantités incroyables de sperme. images similaires J'appris plus tard qu'elle avait massé la prostate. S, elle, avoua avoir pris son pied avec la sodomie. V a éclaté de rire et nous a dit : - Voilà, je viens de vous faire découvrir l'orgasme anal à tout les deux. Depuis ce jour, je dois avouer que, même si je n'en ai pas besoin, il m'arrive de temps à autre de prendre un viagra. J'ai quitté S pour vivre avec V avec qui je suis toujours et qui me donne encore de temps à autre un orgasme anal et m'offre encore son petit trou de temps à autres.

Une fin d'après-midi au parc aquatique

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