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Eloge des premières fois...ou un exercice d'écriture qui ne doit avant tout faire plaisir qu'à son rédacteur et qui peut susciter des récits similiaires chez d'autres lecteurs... De la masturbation ![]() images similaires Je ne me souviens pas des premières éjaculations nocturnes ("les pollutions) ni quand elles avaient commencées. Je me souviens bien de ces rêves avec l'envie de pisser et enfin l'urine qui s'écoule. Je me souviens de m'être réveillé à l'issue de ces rêves et d'avoir constaté que mon pyjama rouge de lourde toile était humide sans que ce ne soit de la pisse. Au début je craignait l'un ou l'autre désordre... Je crois finalement avoir compris qu'il s'agissait d'éjaculations involontaires. On prend le contrôle de son corps et finalement cela s'arrête. Des récits d'adolescents boutonneux émergeaient les légendes sur la masturbation (surdité, ou calvitie). Petit à petit se formait l'idée qu'un glissement sur le sexe tendu devait bien produire quelque chose: il faut admettre qu'il n'y avait pas de cours sur la matière et que le matériel était plutôt limité. Quelques "Playboy", le passage furtif devant les kiosques avec les photos couvertes de carrés noirs, des revues glissées sous les bancs (comme ce condisciple un peu coincé, en dessous du banc duquel une revue porno avait été glissée, et qui, après une dénonciation en bonne ét due forme de ses 'copains', s'était vu affublé du surnom de "king of the sex" pendant trois ans...Aujourd'hui l'internet permet d'assouvir son besoin sans trop d'effort... Voilà donc le contexte de ce samedi matin de mes 14 ans, seul à la maison. Je vais dans la salle de bain. J'ouvre la braguette de mon pantalon en velour et de mon slip d'extrait ma bite. Je suis à genoux, dressé sur ceux-ci. mes cuisses sont tendues. Je caresse ma bite qui se tend. Ce n'est pas désagréable. Puis, mes muscles ont des spasmes et la liqueur blanche s'écoule, épaisse, sur les carrelages. Qu'ai-je fait.Je regarde la petite flaque et sens mes doigts...Cette odeur est merveilleuse et enivrante. Je la compare à l'odeur des châtaigniers qui fleurissent au printemps...Je prends du papier toilette pour enlever ce fluide poisseux de mes doigts et j'entreprends de nettoyer la zone souillée. C'est si bon de se masturber. Culpabilité, promesses d'ivrogne de ne plus le faire. J'ai vite pris mon petit rythme. Une fois tous les deux à trois jours. J'aimais bien dans les toilettes, à genoux, dans mon lit et mon pyjama en grosse toile (qui devenait un peu plus raide). Très vite j'ai perdu le compte... Lorsque j'ai eu ma première vraie copine, j'ai amélioré la technique, en comprenant par analogie anatomique que les tétons étaient une merveilleuse zone érogène. Lorsque je me branle, j'adore caresser l'un ou l'autre téton et simplement le presse au moment d'éjaculer: mon plaisir redouble. A cet effet, je guide mes copines vers mes tétons et si elles me caressent pendant que je les baise, je jouis encore mieux... ![]() images similaires |