|
Salut tout le monde Voila une petite histoire qui j'espère vous fera de l'effet. J'avais un ami, Luc, avec qui je me rendais au lycée tous les jours. J'avais l'habitude d'aller chercher mon ami à son domicile tous les matins, il habitait très près de chez moi, et nous nous rendions ensemble au lycée. Cependant Luc avait la fâcheuse habitude d'être souvent en retard. Aussi quand je me présentais à la porte de sa maison, c'était toujours sa mère, Chantal, qui venait m'ouvrir. Son père, routier, était absent la plupart du temps, ne rentrant chez lui qu'a la fin de la semaine seulement. Lorsqu'il lui arrivait d'avoir une journée de repos, il en profitait pour la passer en compagnie de son fils, qu'il amenait généralement à la pèche. Ce qui me déplaisait car cette journée là je me sentais abandonné et ne savais comment passé mon temps. Lors de mes visites matinales, la mère de mon camarade se montrait toujours très gentille avec moi, me complimentant sur mes habits, ma coupe de cheveux, et même sur mes yeux bleus. Chaque matin elle me recevait toujours vêtue du même peignoir vert olive, qui lui arrivait juste au-dessus des genoux. ![]() À quarante-cinq ans, elle avait l'âge de ma propre mère, Chantal était une très belle femme pour l'adolescent que j'étais. De souche italienne, elle possédait de soyeux cheveux noirs qui lui descendaient jusqu'aux épaules, de grands yeux vert irisés, une grande bouche aux lèvres charnues. Et surtout, le plus important à mes yeux, elle possédait une poitrine fort ronde qui déformait le devant de son peignoir. ![]() images similaires Lorsqu'elle me tournait le dos pour me précéder jusqu'à la cuisine, je ne pouvais détacher mon regard de ses larges hanches qui mettaient en valeur sa croupe rebondie. ![]() images similaires Chaque matin je m'arrangeais pour me présenter largement en avance, afin de demeurer quelques instants, seul avec la mère de mon ami. Au fil des jours je m'étais pris d'une véritable adoration pour cette femme si séduisante. Dans ces moments privilégiés, Chantal me parlait comme si j'étais un ami intime, se confiant aisément, comme si je pouvais comprendre ses problèmes personnels. Tout en l'écoutant d'une oreille attentive, je profitais des moindres mouvements qu'elle faisait, pour essayer de distinguer par l'ouverture de son peignoir, un coin de chair nue. Parfois lors d'un geste un peu plus brusque qu'elle faisait, son vêtement s'ouvrait assez largement pour que je puisse entrevoir une bonne partie de ses seins. ![]() images similaires Quelques fois, plus rarement, c'était un peu de ses cuisses que je pouvais entrapercevoir, pour mon plus grand bonheur. Comme j'étais persuadé que la mère de mon ami ne portait aucun sous-vêtement sous son peignoir, je me sentais rougir comme une tomate chaque fois que le bas du vêtement s'écartait plus qu'il n'aurait dû. ![]() |