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4.Souvenir Comme je tachais maladroitement de cacher cette excroissance indiscrète, Chantal surprit mon geste : - Eh bien, que t'arrive-t-il me lança-t-elle en riant... On dirait que tu as quelques ennuis... Ce n'est quand même pas moi qui te met dans un tel état ? - Je m'excuse, murmurais-je terriblement confus... - Ce n'est pas grave, tu sais... C'est normal à ton âge... Tu me trouves si... séduisante ? ![]() images similaires - Oh oui ! M'exclamais-je soudain rassuré. - Tu es un amour ! Viens là que je t'embrasse ! Et comme pour me prouver qu'elle ne m'en voulait pas de mon indécente et inconvenante érection, Chantal m'enlaça tendrement, comme l'aurait fait une mère vis-à-vis de son fils. Mais, alors qu'elle déposait ses lèvres contre mes joues, dans un tendre baiser, je sentis avec émoi son bas-ventre se plaquer et onduler imperceptiblement contre ma virilité gonflée. Ce qui ne fit qu'aggraver un peu plus mon état. Mais avant que je ne puisse faire le moindre geste déplacé, ce que j'aurai bien été incapable, Chantal se recula précipitamment, m'abandonnant, moi et mon érection. ![]() images similaires Me souriant tendrement devant mon embarras, Chantal me reconduisit jusqu'à la cuisine, où Luc nous attendait en grignotant une biscotte. Ce jour-là, en me disant au revoir, la mère de mon ami me tendit la main que je m'empressais de serrer amoureusement. Chantal, elle me pressa les doigts avec insistance en me demandant : - Demain matin, si tu veux tu peux venir plus tôt, on pourrais prendre un café ensemble... Luc n'en bois pas, et comme je déjeune toujours toute seule, ça me ferait plaisir d'avoir un invité, qu'en penses- tu ? |