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(Miss Camping - épisode 11) Après cette matinée torride, le début d'après-midi s'annonçait plus maussade : des nuages assombrissaient le camping et un petit vent frais commençait à se lever. Avec ce temps triste, je me dis que j'aurais moins de regrets à rentrer à la maison, mais en même temps, j'avais un petit pincement au coeur à l'idée de quitter le lendemain ce lieu où j'avais fait tant de découvertes sur ma sexualité. Cela fait maintenant quelques semaines que je n'ai pas enfilé le moindre vêtement (au mieux une serviette pour me sécher sur la plage ou en sortant des douches) et je me demandais quel effet cela me ferait d'en remettre. Les autres, dans le camping, seraient sûrement surpris de me voir habillée tant ils étaient habitués à pouvoir contempler ma nudité en permanence. ![]() images similaires En ce début d'après-midi, Jean m'avait demandé d'aller lui acheter quelques bières à la superette du camping. En passant devant le petit rayon des surgelés, je me surpris à frissonner. L'air ambiant était beaucoup plus frais et je pris conscience que je n'avais jusqu'à présent jamais eu froid même si j'étais tout le temps nue. La fraîcheur me donna la chaire de poule et les pointes de mes seins s'érigèrent illico. Je trouvais cela presque excitant. ![]() images similaires Quand je sortis, je vis deux garçons s'approcher de moi avec un sourire béat. Je savais que j'allais devoir me soumettre à leurs caresses et je leur rendis leur sourire en signe d'approbation. Aussitôt arrivés sur moi, ils commencèrent à me peloter sans ménagement et sans m'avoir adressé la parole. Leurs mains étaient glacées et ils me pinçaient les tétons et les fesse d'une manière vraiment peu délicate. Je n'appréciais pas du tout ce qu'il me faisait et, machinalement, je me dégageai et me cachai la poitrine. ![]() images similaires Aussitôt, ils m'adressèrent enfin la parole : "Eh ! Salope, t'as pas le droit de t'barrer. Tu dois nous laisser faire." "Je vous ai laissé faire, mais maintenant ça suffit ! Vous me faites mal !" "Oh ? Ben, j'vais t'montrer que j'peux aussi être délicat, moi." Le plus grand s'approcha de moi et posa ses mains, toujours froides, sur mes seins. Ce contact ne fut finalement pas si désagréable. Les pointes de mes seins s'érigèrent sous la paume de ses mains. Il sentit que j'appréciais et continua à me masser doucement la poitrine, tout en caressant mes mamelons excités. ![]() images similaires J'eus le malheur de laisser échapper un feulement de plaisir. Le type devint odieux : "Ah, t'aime ça grosse pute ? Mais j'ai mieux à te proposer que mes mains. Je suis sûr que tu rêves de me sucer la queue. On a entendu dire avec mon pote que tu t'étais offerte une douche de sperme ce matin, ça te tente de recommencer ?" Certes, renouveler l'expérience du matin ne m'aurait pas déplu, mais il était hors de question que ce soit avec ces deux brutes qui ne pensaient qu'avec leur bite. A peine eut-il terminé sa phrase qu'il reçut une claque magistrale qui le repoussa à un bon mètre de moi. J'en profitai pour tourner les talons et, sous leurs insultes salaces, je filai aussi vite que possible (avec mon pack de bières) jusqu'à la tente. Jean n'était pas là. J'entrai donc dans la tente histoire que les deux gars ne se doute pas que Jean n'était pas là. Manifestement, ils s'éloignèrent. J'avais eu un peu peur et là... j'avais froid. J'ai alors décidé de me rhabiller, juste le temps que la météo s'améliore. Je pris mon petit bikini rouge et le mis rapidement. Puis je passai un petit haut moulant et une minijupe. Puisque j'étais dans la tente personne n'étais sensé savoir que je n'étais pas nue. ![]() Quelques minutes plus tard, j'entendis Jean m'appeler à l'extérieur. Je lui dis d'attendre une minute (je voulais me déshabiller), mais il me dit de sortir tout de suite. Je sortis donc habillée. Les deux types sont derrière lui, le sourire aux lèvres. "Ces gars m'ont dit que tu avais refusé de te laisser caresser... Franchement, on part demain, ce serait dommage qu'on doive payer le séjour alors que tu as réussi à tenir ta promesse jusque là..." J'étais comme une gamine qu'on gronde. Je n'osait pas répondre, pourtant sûre de mon bon droit. Puis, tout à coup, il me regarda de haut en bas : "Eh ! Mais tu es folle, tu veux vraiment annuler ta promesse ? Le patron du camping va nous tomber dessus si quelqu'un lui dit que tu t'es rhabillée !!! Enlève ça immédiatement !" Pendant que j'enlève mon haut, il me retire ma jupe. ![]() images similaires J'apparais en bikini rouge et je vois que les deux gars derrières ont les yeux qui pétillent. Manifestement, ils avaient déjà contemplé ma nudité et m'avaient déjà tripotée, mais me voir faire un strip-tease les excitait au plus haut point. Je me dis que, au moins, si après ça ils me foutaient la paix, ce serait toujours ça de gagner. Je me pris donc au jeu et retirai mon soutien-gorge en me cambrant pour faire saillir mes nichons. ![]() images similaires Puis, lentement, sans les quitter des yeux, je me tournai, leur permettant de contempler le profile plein de mes seins, ma chute de reins et mes fesses musclées. Un pouce de chaque côté du string, je le fis glisser tout doucement, tout en admirant l'effet sur Jean et les deux garçons. Jean souriait, il paraissait fier. Les deux mecs se caressaient carrément la bite à travers leur caleçon. L'un d'eux dit "Putain, le cul qu'elle a !" L'autre répondit "Et les nichons sont vraiment super !" ![]() images similaires Entendant ces mots, Jean me demanda de me retourner pour qu'ils puissent voir à nouveau mes seins. Je continuais inexorablement à baisser mon string, révélant ma moule qui devait commencer à perler de mouille. Un des mecs n'avait pas hésité à se mettre une main dans le caleçon pour se masturber franchement. De temps en temps, son caleçon se baisse un peu et je peux voir que le gaillard est rudement bien monté. Dommage qu'il soit si con ! ![]() images similaires Une fois le string à mes chevilles, je les regarde, souriante : "Alors, personne n'ira cafter au patron du camping ?" Un des mecs répondit : "Pas si tu ne te fais pas la malle dès qu'on veut te tripoter". Jean intervint : "Si on l'attache pour la punir, vous promettez de ne pas aller vous plaindre ?" Les deux gars échangèrent des regards convenus et partirent dans une grasse rigolade. Je voyais très bien ce qu'ils avaient en tête et j'avais plus de mal à savoir pourquoi Jean voulait m'offrir en pâture à ces deux gars-là. Jean me conduisit aux douches et, avec de la corde à linge, m'attacha les deux mains à un gros tuyau qui traversait le milieu du plafond de la pièce. je trouvais la punition un peu raide, mais je me dis que Jean n'allait sûrement pas faire durer ce petit jeu. ![]() images similaires Mais Jean m'abandonna, me laissant avec les deux brutes. J'étais totalement offerte à eux, soumise aux moindre de leurs désirs. Je me rassurais juste en me disant que dans cette position, au moins, ils ne pourraient pas obtenir de fellation ni m'éjaculer au visage. Maigre consolation. Ils me tournaient déjà autour, comme des lions autour d'une proie. Sans me toucher, ils inspectaient mon corps, comme pour évaluer la marchandise. Ils restèrent un peu à admirer mon cul, ma position me faisait cambrer la croupe et leur offrait une vue imprenable. ![]() Puis ils firent le tour, observant mon ventre et surtout mes seins. Mes bras, en l'air, faisaient saillir ma poitrine de manière à tendre mes tétons vers le haut. Je commençais à sentir la cyprine me couler des cuisses. La situation m'excitait au plus haut point. J'étais offerte, totalement soumise et cette nouvelle expérience commençait à me plaire aussi. ![]() images similaires Puis ils repassèrent derrière et commencèrent à me caresser les fesses. Ils me firent écarter les jambes et je compris rapidement qu'ils voulaient accéder à mon sexe par derrière. Cambrée comme j'étais, il ne leur était pas difficile de voir et d'atteindre les lèvres de ma chatte. Ils m'écartèrent les fesses pour mieux la voir. Ils remarquèrent certainement la fontaine qui s'en échappait car l'un d'eux dit "Wah ! Regarde un peu ça ! Elle en veux cette chienne !!!" ![]() images similaires Un doigt me pénétra sans peine tant je mouillais. Le type commença à faire des aller-et-venus en moi et commentait "Regarde, ça me coule sur la main ! Quelle salope ! C'est tout chaud là-dedans... Eh ! Regarde ! Quand j'arrête mon doigt, c'est elle qui se met à bouger du cul. Elle aime ça cette pute !" ![]() images similaires Son copain le remplaça et me mit directement trois doigts. Ils me fouillaient à l'intérieur, c'était assez bizarre mais pas désagréable. Puis, je sentis qu'il se relevait. Quelques secondes plus tard, son gland était à l'entrée de ma moule et faisait pression. Il rentra sa tige d'une traite. Elle était longue et froide. Sans perdre de temps, il me ramona à un rythme effréné, soufflant comme un boeuf dans mes oreilles. ![]() Soudain, il s'arrêta, se retira. "Essaye, elle est super". Et son copain le remplaça, avec une queue beaucoup plus imposante, qui me donna beaucoup plus de plaisir. Lui aussi me pistonna allégrement, comme s'il voulait en finir vite. L'autre passa devant. Il se mit à me caresser les seins et m'épargna toute tentative de baiser avec la langue. Je sentais sa bite contre ma cuisse. Son copain se retira quelques instants pour reprendre son souffle. Il en profita pour me prendre devant. Son copain ne fut pas frustré longtemps : sans me préparer, il appuya son large sexe sur mon anus et pressa. Ce sont les coups que m'assénaient mon partenaire frontal qui firent peu à peu rentrer la tige dans mon cul. La sensation de cette double pénétration était divine. ![]() images similaires Sentir ces deux bites aller et venir en moi était absolument extraordinaire, mieux que les deux types qui m'avaient prise ainsi la veille. L'orgasme nous prit tous les trois dans un concert de râles et de cris. Dès qu'ils eurent fini de se répandre dans mes entrailles, les deux gars se retirèrent et filèrent chacun dans une douche pour se laver. Pendue par la corde à linge, je me remettais de cette fabuleuse expérience, même si j'étais déçu que cela se soit fait avec deux gros bourrins. Je me rendis compte que Jean était dans un coin de la pièce, un appareil photo à la main. Quel salaud ! Simon |