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Petite soirée entre voisins

Femmalunettes 26 juin 2007

Bonjour, J'avais prévu une petite histoire au bureau, mais comme cela ne s'est pas passé comme je le voulais, je vais plutôt vous raconter une petite soirée de fin mai chez un ami intime. Ce soir là, après une nouvelle journée de rangement, nous profitons de la tiédeur de la nuit tombante en dégustant une coupe de champagne sur la terrasse. images similaires Je suis en nuisette et Bernard est en short, torse nu; nous nous connaissons depuis plusieurs années et nous avons eu quelques aventures; il me baise bien et il n'est pas envahissant. Soudain, la lumière de la terrasse de nos voisins s'allume. - Ils ont envie de prendre un peu l'air, eux aussi... - Oui, on dirait. Tu les as vus ? - Aperçus seulement. Ils ont à peu près notre âge. Assis côte à côte, ma main se promène sur sa cuisse. De chez nos voisins parvient une conversation étouffée puis, après quelques minutes de silence, de légers gémissements se font entendre. Bernard se tourne vers moi : - Tu entends ? - Euh, oui... tu penses à la même chose que moi ? - On dirait bien, non ? - Chut ! Plus de doute sur la nature des bruits que nous entendons ! Un moment même, la voix de la voisine est un peu plus forte et nous comprenons très distinctement : - "Pince-les un peu plus fort !" Paroles suivies d'un soupir qui ne laisse plus aucun doute sur les activités des protagonistes. - Tu crois qu'ils se croient seuls ? - Je ne sais pas. Notre terrasse est pourtant éclairée. - En tout cas, notre présence ne semble pas les gêner... - Choquée ? - Ce n'est pas le mot que je choisirais, répond-je avec un large sourire. Ma main remonte vers son unique vêtement que je découvre quelque peu déformé. - Tu as raison, ce n'est pas le mot correct... - On peut voir chez eux, tu crois ? - Je ne sais pas. Attends, je vais voir... En silence, je me lève et m'approche de la haie. Un espace providentiel m'offre une vue chez eux et je les découvre, elle allongée sur le dos sur une serviette, lui, de côté, les mains lui caressant la poitrine. Je me retourne et fait signe à Bernard de me rejoindre. Comme moi, il observe la scène avec attention. J'en profite et baisse doucement son short sans qu'il ne s'y oppose. images similaires Il atterrit sur ses chevilles et, sans quitter des yeux nos voisins, il l'enjambe, s'en débarrassant complètement. Je recule un peu et profite du spectacle de ses fesses musclées et que je caresse furtivement, lui donnant la chair de poule. Ma main descend et j'effleure ses couilles. Il écarte les jambes, me permettant de les prendre à pleine main puis, d'un signe, m'indique de regarder à côté. Notre voisine est maintenant à genoux, le membre de son mari allant et venant dans sa bouche. Leur position, de profil par rapport à nous, nous permet de ne rien perdre de leurs ébats. Le font-ils exprès ? Ce qui est sûr, c'est qu'ils ne font rien pour passer inaperçus. L'homme commente même la fellation de sa femme sans prendre soin de parler bas : - "Oui... comme ça... avale-la toute... hum... c'est bon..." images similaires Bernard tourne le visage vers moi et, tout naturellement, nos lèvres se soudent pour un profond baiser. Nous dévisageons ensuite plus attentivement le couple. Lui, mince sans être maigre, la poitrine couverte par d'épais poils noirs, le ventre plat, un membre plus fin que celui de Bernard mais plus long, les cuisses musclées. Elle, la poitrine assez imposante mais ferme, le ventre plat également, des cuisses rondes mais musclées. Nous n'avons pas encore eu la chance de découvrir ni son sexe, ni ses fesses. Bernard me caresse les fesses et appuie un doigt sur ma rondelle dont l'accès lui est toujours autorisé. Je suis une fervente de la sodomie J'adore l'exploration de mon anus par un doigt curieux, à condition de l'introduire en douceur. Ce soir, je me cambre, l'invitant à me caresser l'oeillet. images similaires Nos voisins ont une nouvelle fois changé de position. Allongé sur le dos, il lèche la fente de sa femme qui, sur lui en 69, a repris ses caresses buccales sur son membre. Les bruits de succion nous parviennent distinctement et, il faut bien l'avouer, entretiennent notre excitation. images similaires Ma main masse le sexe de Bernard qui grossit. Nous sommes nus tous les deux, nous caressant mutuellement en contemplant nos voisins faire l'amour. À côté, notre voisine est maintenant à quatre pattes et son mari présente son sexe à l'entrée de sa grotte. - "Vas-y ! Bien à fond !" Sans hésiter, il la pénètre d'une poussée énergique et elle ne peut contenir un petit cri. Un instant, il me semble qu'ils regardent dans notre direction. images similaires Je m'agenouille alors et j'aspire la verge tendue de Bernard puis mes lèvres se referment sur lui et je le fait aller et venir dans ma bouche. Je ne fais rien non plus pour étouffer les bruits de succion et même j'en rajoute. Tournant la tête, je vois alors que les voisins regardent cette fois franchement dans notre direction. images similaires C'est l'heure de vérité : ou ils se croyaient seuls et vont rentrer poursuivre leur séance à l'intérieur, ou ils connaissaient notre présence et... Pour l'instant, ils gardent la même position et l'homme poursuit ses va et vient comme si de rien n'était. Je suis de plus en plus excitée, à la fois par la situation et la fellation que je suis en train de faire. Ne désirant pas le faire jouir trop rapidement, je me relève et, m'agenouillant à mon tour, je le régale de ma fente pratiquement inondée. Mes mains sur sa tête le plaquent contre moi et sa langue explore mon intimité, du bouton saillant à l'anus. images similaires Ma position, face à la haie, me permet de contempler nos voisins et, rapidement, mes gémissements se joignent aux leurs. Me connaissant parfaitement, il devine le moment où j'atteints le point de non retour et il accentue ses caresses. Mes mains le maintiennent fermement, je sens mes jambes trembler et soudain, un flot de mouille arrose sa bouche tandis que je pousse un long feulement. Il s'abreuve avec toujours le même plaisir à ma source, dégustant le fruit de mon plaisir et j'entends la voix de notre voisine dire : - Hum... vous avez bien joui semble t-il ? - Oui, réponds je simplement. - À mon tour maintenant... Quelques secondes plus tard, elle pousse un long feulement, jouissant à son tour sous les coups de boutoir de son mari. Ainsi donc, comme je le pensais, ils n'ignoraient rien de notre présence. Quelles autres surprises nous réserve cette soirée ? Nos voisins se désunissent et approchent de la haie. Ils semblent connaître la position de l'espace permettant la vue entre les deux jardins car ils s'y dirigent sans hésiter. Nous pouvons alors découvrir l'intimité totalement glabre de notre voisine. images similaires - Bonsoir. Stéphane et Muriel. - Enchantés. Bernard et Fanny. Un court instant, un silence presque gêné s'installe, personne ne sachant comment poursuivre la conversation. - Vous êtes... ravissants, ajoute Stéphane. - Merci. Vous êtes mignons tous les deux également, réponds-je. Il nous reste un peu de champagne, cela vous tente ? - Avec joie ! Nous vous rejoignons. Je ne me reconnais pas ! C'est moi qui, faisant le premier pas, propose à nos voisins de se joindre à nous. Je regarde Bernard alors, une lueur d'inquiétude dans les yeux et demande : - Euh... j'aurais du te demander si tu étais d'accord... - Ne t'inquiète pas. Et, je ne te l'ai jamais dit, mais te voir avec un autre homme ne serait pas pour me déplaire. - Et avec une femme ? - ... Tu es sérieuse ? - Pourquoi pas ? Alors ? - À ton avis ? Nos voisins arrivent. Tout en parlant, nous avons totalement oublié de nous rhabiller et c'est nus que nous les accueillons. Ils sourient et, rapidement, se débarrassent à leur tour de leurs vêtements. images similaires Nous dégustons ensemble notre verre en faisant connaissance. Stéphane s'est assis à côté de moi et, très vite, sa main se pose sur ma cuisse sans que je ne fasse un geste pour l'ôter. Je regarde les doigts courir sur ma peau, remontant lentement vers la fourche. - Ta peau est très douce...écarte un peu les jambes ! images similaires J'obéis et ouvre le compas de mes cuisses, autorisant ainsi l'accès à ma fente. C'est maintenant mon Mont de Vénus qu'il caresse, le massant lentement, me tirant de légers soupirs. Muriel, nous regarde en souriant, sa main posée sur son propre sexe. Elle se lève alors et s'agenouille face à moi, le visage à quelques centimètres de ma fente. - Je meurs d'envie de te goûter... tu es d'accord ? - Si tu veux... Doucement, Muriel approche la bouche et sa langue dardée se pose sur mon sexe, me tirant un gémissement. images similaires Je tourne la tête vers Bernard, un sourire éclairant mon visage, et il me lance un clin d'oeil coquin. Je lui réponds avec un sourire et regarde Muriel qui s'applique à explorer mon intimité dans les moindres recoins, allant même jusqu'à déposer de légers bisous sur mon oeillet. Stéphane nous regarde puis demande à Bernard : - C'est la première fois que tu la vois avec une autre femme ? - Oui. C'est même la première que je la vois nue devant d'autres gens. - Pas trop jaloux ? - Pas du tout ! Plutôt excité... - Ça, pas besoin de le dire, répond-il en baissant les yeux vers son sexe en érection. Et toi ? - Quoi moi ? - Tu t'es déjà fait sucé par un homme ? - Non, jamais ! - Ça te tenterait d'essayer ? - Euh... je ne sais pas... - Si ça ne te plaît pas, j'arrête immédiatement et on n'en parle plus, d'accord ? - Pourquoi pas ! Comme sa femme, il s'agenouille face à Bernard, la tête entre ses cuisses. Au moment où Stéphane l'avale, je lui lance un nouveau clin d'oeil. Je baisse les yeux et regarde son membre aller et venir, pour la première fois dans la bouche d'un homme. Je dois reconnaître que Stéphane est très doué et que sa pipe est magistrale. images similaires Sa langue virevolte autour de sa hampe et ses mains, loin de rester inactives, lui flattent les bourses, s'aventurant même parfois plus bas, lui procurant des sensations aussi agréables qu'inédites. Mes yeux vont d'eux à Muriel et je remarque que je flatte maintenant la poitrine de Muriel, pinçant légèrement les tétons et les étirant, encouragée par les gémissements de notre voisine. Qui aurait cru, à peine une heure plus tôt, que nous serions en train de se faire sucer par nos voisins, qui plus est par la personne du même sexe ? La vie est décidément pleine de surprises et celle-ci n'est pas la plus désagréable ! Je surprends Bernard à caresser les cheveux de Stéphane, le faisant relever la tête : - Tu aimes ? - Hum... tu suces divinement bien... - Allonge-toi par terre ! Bernard se retrouve sur le dos et Stéphane le reprend vite en bouche. Leur nouvelle position, tête bêche, est excitante. Je vois Bernard hésiter un peu, n'ayant jamais caressé un sexe masculin puis, timidement, il avance la main et ses doigts caressent le long bâton de chair, le faisant tressauter. Il s'enhardit et referme la main avant d'entamer de lents va et vient qui, à en juger par les gémissements étouffés par son propre sexe, sont appréciés. Ils se masturbent longuement et, peu à peu, leurs corps se rapprochent. Je jouis sous les coups de langue de Muriel. Celle-ci s'exclame : - "C'est dingue ! Jamais je n'ai vu quelqu'un mouiller autant... on dirait qu'elle éjacule ! Et quel goût délicieux !" Bernard est proche de l'orgasme. Stéphane, aux soubresauts de sa verge, doit s'en rendre compte car ses mouvements de succion s'accélèrent. Très vite, Bernard le prévient qu'il va venir. Stéphane sort son sexe, le masturbe et, en trois aller et retour, le fait jouir. Les jets s'écrasent sur sa poitrine, la zébrant de traînées blanchâtres. Les yeux fermés, Bernard reste quelques instants, le souffle court, reprenant ses esprits. Puis, tournant la tête, il se retrouve la bouche à quelques millimètres de la queue raide de Stéphane. Sans plus réfléchir, ses lèvres s'ouvrent et il avale lentement son gland, goûtant pour la première fois une queue. Un long "hum" accueille son initiative et l'encourage. Il le fait aller et venir en lui comme il aime que je lui fasse, sans oublier de flatter les bourses qu'aucun poil ne recouvre. Je lui lance : - "Vas-y ! Pompe-le bien..." Je n'en reviens pas ! Cette soirée semble avoir un effet des plus inattendu sur nous ! Toujours est-il qu'il s'applique à sucer du mieux qu'il peut cette verge. Il sent bientôt que Stéphane parvient au nirvana. Gentiment, celui-ci le prévient et, comme lui tout à l'heure, il sors son sexe de sa bouche et le caresse. Rapidement, il jouit et son sperme épais arrose sa poitrine. images similaires Il ne cesse ses caresses que lorsque sa queue est molle et il le félicite alors : - Pour quelqu'un dont c'est la première fois... tu es réellement doué... - Merci... je dois avouer que j'y ai pris un certain plaisir. Muriel, la seule à ne pas avoir encore pris son pied, s'approche alors de Bernard et s'exclame : - "Ça vous dérange si je m'occupe un peu de moi ?" Sans autre forme de procès, elle le prend entre ses lèvres et le suce avec appétit. Il ne lui faut guère de temps pour afficher à nouveau une érection digne de ce nom. Elle lâche son sexe maintenant tendu et le maintenant à la verticale, le présente à l'entrée de sa grotte. Elle descend lentement, Sa verge étant plus épaisse que celui de son mari. Avec quelques minutes, leurs deux ventres se touchent enfin. Elle commence alors à monter et descendre sur Bernard, s'empalant chaque fois jusqu'à la garde en poussant de légers gémissements. images similaires Je les regarde, souriante, ma main négligemment posée sur ma fente. Stéphane me regarde également à ce moment et, voyant que je semble bien esseulée, s'approche de moi. Presque naturellement, je pose la main sur la verge encore au repos et la caresse lentement, la faisant petit à petit se redresser. Stéphane me dit : - "Mets-toi à quatre pattes !" Je me mets à genoux sur un transat puis pose mes épaules contre; j'ai le cul en bombe et Stéphane s'enfonce dans ma chatte; je l'accueille d'un long soupir. images similaires Muriel continue ses va et vient sur Bernard, ses gémissements s'amplifiant au fil des minutes. Soudain, elle s'affale contre son torse, s'empare de sa bouche et, l'embrassant voracement, jouit. Ses muscles se contractent sur sa verge et sa liqueur coule le long de sa hampe. Assez vite, elle se relève, le laissant quelque peu frustré et, s'allongeant face à moi, elle tend sa chatte vers mon visage. Après quelques secondes, ma bouche se pose, d'abord timidement, sur la fente offerte puis les coups de langue se font plus francs et je suce le sexe de Muriel avec application, la faisant gémir. Je goute leurs odeurs et récupère le sperme de Bernard mélé aux sécrétions de Muriel. Bernard regarde le trio ainsi formé, le sexe toujours tendu. S'approchant, il admire la verge de Stéphane qui va et vient profondément dans mon vagin. Ses mains, fermement agrippées à mes hanches, écartent mes fesses, dévoilant mon petit oeillet sombre. Il ne résiste pas au plaisir de le caresser, parvenant même à y enfoncer une phalange qu'il fait aller et venir, d'abord lentement puis de plus en plus rapidement. Non seulement je gémis, mais je l'incite à poursuivre la caresse : - "Hum... mon chéri... c'est bon ton doigt dans mon cul..." Il me masturbe le cul quelques minutes puis Stéphane demande : - Fanny, tu ne préfèrerais pas quelque chose de plus consistant ? - Si tu veux... encule moi fort - Sois sans crainte ! Tu vas en avoir pour ton argent. Bernard retire son doigt et empoigne lui-même la verge de notre voisin. Il présente le gland contre ma rondelle et il pousse doucement. Il regarde le gland écarteler le muscle pour s'enfoncer dans l'étroit écrin. Il faut quelques minutes pour qu'enfin ses bourses butent contre mes fesses. Il se penche vers moi et me caressant les seins, me demande si je ne souffre pas trop : - Non... il est moins épais que toi mais plus long, un vrai concombre; j'ai envie qu'il me culbute comme une trainée; tu aimes me voir comme ça ? - Depuis le temps que je rêvais de te regarder te faire prendre par un autre homme... je suis ravi ! Tu as l'air d'une belle chienne saillie par son étalon. Je lui tends mes lèvres et il m'offre un baiser. Stéphane commence à aller et venir en moi plus franchement, s'enfonçant à fond entre mes fesses et, après quelques temps, il m'arrache des soupirs d'aise. À côté, Muriel regarde elle aussi son mari me sodomiser, maintenant vigoureusement, elle propose à Bernard de lui offrir le même traitement. Comment lui refuser cela ? Elle s'installe face à moi, le visage à quelques centimètres du mien et, se cambrant, lui lance : - Vas-y ! Prends-moi le cul ! Et n'aie pas peur, Stéphane m'encule souvent. Effectivement, le sexe de Bernard la pénètre sans aucun problème et il la pilonne avec ardeur, sous les yeux de son mari qui, très volubile, ne peut s'empêcher de dire : - Elles sont bonnes du cul nos deux chéries, pas vrai ? - Oh que oui... - Fanny est toute ouvertee et j'adore cela... et toi ma chérie, tu aimes la bite de Bernard dans tes fesses ? - Oh oui... il est gros et me remplit bien jusqu'aux couilles, vas y salaud fait moi dérouiller..." images similaires Notre séance dure de longues minutes puis Stéphane, le premier, parvient à l'orgasme. Dans un râle, il se fiche au fond de moi et se déverse dans mon cul, le corps tendu. Son éjaculation provoque mon plaisir et je crie à mon tour en jouissant bruyamment avant de m'affaler, presque inerte, sur le ventre, faisant sortir le sexe de mon amant de mon trou du cul qui reste ouvert. Son sperme s'écoule lentement. Muriel, elle aussi, sent monter une vague de plaisir : - Vas-y Bernard ! Bourre-moi bien à fond ! Je vais venir ! Oh oui !!! Ça y est... je jouis !! Sous l'effet de l'orgasme, son cul serre la verge de Bernard et déclenche son éjaculation. Il se vide à longs jets en elle, lui provoquant, c'est la première fois que je vois cela, un second orgasme. Il fait encore quelques va et vient puis sort, admirant son anus d'où coulent des filets de sperme. images similaires Une pause s'impose et Stéphane file chez eux, revenant bien vite avec une bouteille : - Je crois que cette soirée mérite d'être arrosée !! En effet, en l'espace de deux heures, nous avons, Bernard et moi découvert bien des choses ! Nul doute que nous n'en resterons pas là !!! Voilà, petite histoire vécue. Je ne suis pas experte pour les photos; j'essaierai d'en mettre qui conviennent au texte. Dites moi si cela vous a plu; est-ce dans le ton du site, j'aime que tout le monde sache que sous mes airs bcbg, je suis une salope. Baisers à tous et à toutes. Fanny

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