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Petite fête de travail

Batta
28 juin 2007
Je traversais une période étrange : ras-le-bol général. Un boulot à hautes responsabilités, un poste qui me valait la reconnaissance de mes pairs, un mari gentil mais plus vraiment de flamme entre nous. Nous cohabitions gentiment, par habitude, sans heurts je fermais les yeux sur ses jeunes maîtresses, il faisait semblant ne pas voir qu'il m'arrivait de rentrer très tard, mettant cela sur le compte de mon travail il s'agissait souvent d'un moment agréable mais sans passion passé avec l'un ou l'autre de mes collaborateurs, qui en me baisant croyaient atteindre le pouvoir que leur fonction leur interdisait. Avec Philippe mon mari nous n'avions pas eu d'enfant, pas le temps dans nos emplois du temps chargé, et pas l'envie de renoncer à nos vacances, trop rares... Et depuis quelques mois cette langueur qui m'envahissait et que j'avais essayé dans un premier temps de chasser. J'avais cru d'abord à une fatigue passagère j'avais alors choisi de recadrer mon rythme de vie, mangeant plus sainement, dormant plus et multipliant les séances de sport le coach personnel de la boîte. Nous avions eu une aventure, mais je m'ennuyais souvent durant ces ébats : il jouissait souvent vite, je gémissais par politesse. J'avais eu des moments stressant au travail : la sortie d'un nouveau produit. Le soir du lancement, après les mondanités j'avais réuni mes plus proches collaborateurs pour fêter cela de façon plus intime. Il y avait ce soir là mes 4 adjoints, ainsi que Franck mon responsable financier et amant occasionnel, Franck n''était pas un amant encombrant : il était toujours disponible. Il me prenait souvent sauvagement à même le bureau, préférant la levrette parce que selon lui c'était la position qui froissait le moins les vêtements, et qui permettait de mieux sentir son sexe pour les femmes.



Franck était très attaché à la beauté (justifiée) de son sexe, qui était en outre dune taille très avantageuse : il est vrai qu''il savait très bien l''utiliser et qu''avec lui j''atteignais l''orgasme très rapidement. Il savait parfaitement bien m'exciter en plaçant son sexe juste à l'entrée de mon trou et en le rentrant et le sortant à peine, ce qui m'obligeait à le supplier de me le mettre au plus profond, ce qu'il attendait, se retirant parfois pour promener son gland autour de mon anus, et alors que j'étais prête à le laisser venir entre mes fesses, il s'enfonçait totalement dans mon sexe ruisselant d'envie, m'arrachant un cri que je réprimais pour ne pas alerter ma secrétaire.



Ses à-coups ne s'interrompaient plus avant que nous ayons joui l'un et l'autre, et il terminait toujours par un rituel étrange mais que j'adore. Il se retirait, essuyait son sexe à laide d'un mouchoir en papier dont la présence d''une boîte sur mon bureau ne servait qu'à cela, puis, il s'agenouillait devant mes fesses et lapait d'un coup de langue ma chatte dégoulinante de son jus sa langue fraîche sur mon sexe brûlant de ses assauts prolongeait mon plaisir et semblait être pour lui une satisfaction.


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Franck mettait parfois des usages dans notre relation qui compensait la bestialité : par exemple il ne m'embrassait jamais sur la bouche, y compris lorsqu il me sautait car pour lui c'était le comble de l'engagement dans un couple. Mais revenons à notre soirée. Parmi mes invités il y avait aussi Nadia une jeune assistante, très belle aussi ; je la connaissais peu mais l'appréciais beaucoup, elle était d'une grande douceur ... Franck lui tournait autour depuis son arrivée. Après quelques verres de trop, il me murmura à l'oreille "Purée, ce n'est pas possible, elle doit être lesbienne, c'est pas possible, j'ai la queue raide rien que la voir". J'ai ri, mais cette réflexion éveilla quelque chose d'imperceptible en moi. Je regardais Nadia un peu différemment tout à coup et perçus également ses regards pleins de douceur un peu d'une autre manière. Elle me sourit. Je me mis alors à l'imaginer avec une autre femme et cette impression éveilla en moi quelque chose de nouveau une sorte d'envie au creux du sexe, de la voir nue, de découvrir son corps. Je n'étais pas lesbienne. J'avais eu une rapide et furtive étreinte quand j'avais 15 ans. L'idée de son corps nu me poursuivait, et je me sentais de plus en plus étrange. Elle sembla sen apercevoir car elle me demanda si tout allait bien. Troublée, je prétextais la fatigue pour mettre fin à la soirée. Les autres collaborateurs s'en allèrent. Ils voulaient me raccompagner mais je déclinais l'offre, et m'éclipsais aux toilettes, attirée et intriguée par la présence de Nadia. Je la croisais dans le couloir, elle me sourit, je lui dis combien j'avais apprécié son travail, elle me remercia, me félicitant également. Nous étions un peu bêtes toute deux à échanger nos compliments mais je ressentais un profond bien-être face à elle, je lui pris la main, ce qui la fit sursauter et lui dis "je vais dormir ici, je ne peux pas rentrer après avoir bu , accepteriez-vous un dernier verre entre femmes dans ma chambre ?" Elle sourit en serrant ma main "Volontiers Madame". Je récupérais rapidement la clé et me retrouvais avec Nadia dans l'ascenseur. Elle entra dans la chambre et je lui servis un peu de champagne j'ôtais ma veste et mes chaussures et m'assis sur le lit.


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Elle était face à moi, posa sa coupe de champagne et me sourit, elle commença à déboutonner son chemisier délicatement, et ses seins m'apparurent superbes et dressés, elle ne portait pas de sous-vêtements.



Je lui souris et murmurai "c'est la première fois que..." Elle posa son index sur ma bouche et dit "chuuuut" et promena son doigt sur mes lèvres, doigt que je suivis de ma langue. Je caressais ses seins merveilleusement fermes.


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Sa peau était d'une douceur de lait, ses tétons durs et tendus. Les miens aussi s'étaient formés sous les mains de ma nouvelle amie qui avait dégrafé mon soutien-gorge. Je me levais et nos langues se retrouvèrent dans un baiser de miel qui inonda ma culotte. Nos pointes de seins se frôlaient, c'était divin.



Nadia fit tomber sa jupe et ouvris la glissière de la mienne qui laissa apparaître mon porte-jarretelles. Elle ne portait pas de culotte : son corps était très beau, très doux, je caressais ses fesses rondes et galbées, sa peau sentait la rose. Elle m'allongea sur le lit et fit glisser sa langue le long de mon cou, sur mes seins dont elle mordilla les pointes.



Je commençais à gémir d'envie et de plaisir. Elle revint à ma bouche et dans un ballet incessant passa de ma bouche à mes seins, mon ventre, s'approchant un peu plus à chaque fois de mon sexe que je lui ouvrais, elle finit par y venir avec une douceur exquise. Je ruisselais excitation, et elle recueillit avec son doigt un peu de ma mouille, elle écarta de l'autre main mon sexe et commença à lécher et mordiller mon clitoris qui était gonflé.


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Elle le pinçait en même temps quelle pinçait mes tétons et je sentis l'orgasme m'envahir. Un orgasme immense, tandis quelle engloutissait mon sexe dans sa bouche, fourrant sa langue dans ma fente, j'y glissais également mes doigts je voulais lui rendre ce plaisir, je lui dis "viens, je veux te faire jouir aussi". Elle releva le visage, sa bouche trempée et dégoulinante à la commissure des lèvres de mon flot de plaisir, je l'embrassais, et nos corps s'attirèrent comme des aimants, nos sexes s'écrasaient, nos sexes se cherchaient. Je glissais ma main sur sa douce toison et de mon majeur trouva son clitoris elle était toute mouillée et à peine je le titillais quelle se mit à jouir.


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J'enfonçais le plus délicatement possible mes doigts dans son trou, il était chaud. Je descendis alors pour goûter ce sexe, connaître sa saveur et sa texture : c'était si bon, un goût exquis que je voulais garder le plus possible. Je la léchais longtemps, longtemps, elle aimait ça, tantôt doucement, tantôt en plus fort, n'hésitant pas à enfoncer mes doigts en rythme dans sa chatte délicieuse. Elle vint se mettre sur moi et prit à nouveau mon sexe dans sa bouche.



Nous avons joui ensemble. Notre étreinte dura jusqu'à très tard dans la nuit et nous nous endormîmes comblées de plaisir, après que je lui eus dit "Nadia vous m'avez fait jouir comme je ne pouvais pas l'imaginer". Elle m'embrassa sur les lèvres et me sourit. Je ne rentrais pas chez moi ce soir-là.


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