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Agathe Hélène et moi >>> Episode suivant

Milan
4 juin 2011
Bonsoir tout le monde,

Voici une histoire que j'ai trouvé sur internet et que je ne résiste pas au plaisir de vous la faire partager :-))
"Dans l'intimité d'Hélène" par Yann (2007)
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb117/reve11719.html


Agathe Hélène et moi


Nous venions juste d'entrer dans le superbe appartement d'Hélène. Agathe promenait son regard inquisiteur sur le moindre recoin de la pièce. Visiblement, de tapis en napperons et autres bibelots, les lieux étaient un peu trop chargés, un peu trop « mémère » à son gout.
Mais je lisais dans son attitude que c'était précisément ce qui l'excitait.
Agathe portait un ensemble de laine très confortable, qui enveloppait son corps avec douceur et élégance. Parfaitement coiffée et maquillée, elle ressemblait à ce qu'elle était : une très belle femme de 30 ans, plutôt sophistiquée, occupant des fonctions de responsabilités qui la mettaient au contact du monde. Une belle urbaine élégante et distinguée.

En face d'elle, Hélène demeurait silencieuse. Tout en elle trahissait l'attente résignée, mais aussi... le plaisir. Le délicieux plaisir de l'attente. C'était une femme de la cinquantaine épanouie. Bien mariée, elle ne travaillait plus depuis longtemps et occupait son ennui et la vacuité de sa vie en activités de dame patronnesse, de bénévole de banlieue chic, et de sorties au musée avec ses amies semblables.
Mais elle occupait aussi son oisiveté en se livrant à d'autres activités bien moins conventionnelles, pour une quinquagénaire bourgeoise à la vie rangée.
•- Il semblerait, Hélène, lui lâcha finalement Agathe sans cesser de scruter son intérieur, que vous adorez les situations insolites et... les photos pornographiques...
Agathe laissa flotter sa phrase dans l'appartement luxueux. Dehors, le ronronnement des voitures indiquait un flot tranquille d'après-midi, dans ce quartier bourgeois. La jeune femme fixa alors du regard celle qui aurait pu être sa mère, et la dévisagea. Hélène ne disait toujours rien. Mais l'expression de son visage exprimait l'attente, à présent. Sous l'impeccable chemisier, la lourde poitrine de notre hôtesse pointait sans équivoque. Agathe sourit avec gourmandise :
•- Hummm, je constate que vous avez bien compris ce que nous vous avions demandé. Vos seins semblent magnifiques. Et j'adore les femmes isolées trop sages qui ne portent pas de soutien-gorge.

Hélène était une belle femme. D'allure effectivement très sage et classique, elle portait ses cheveux blonds en carré impeccable. Jupe, ceinture, bas, escarpins... son collier de perles sages, son serre-tête de velours noir, rien en elle ne suggérait la débauche ou la luxure, au contraire. Excepté cette provocation savamment orchestrée par Agathe : de magnifiques seins lourds et libres sous un chemisier parfaitement amidonné.

Agathe profitait de l'instant. Je savais que rien ne l'excitait plus que ce type de situations. C'est elle qui menait le jeu. Elle pouvait exiger ce que bon lui semblait, au moment qui lui semblerait le plus opportun.
Hélène avait entrepris de nous servir des rafraîchissements. Elle s'affairait à déposer verres, boissons, douceurs sur la table basse de son salon. Ses gros seins dodelinaient sous son chemisier, tendu à craquer. Elle nous offrit plusieurs fois le spectacle de sa croupe ronde parfaitement moulée dans sa jupe, en se baissant pour dresser la table, pour réajuster un coussin. En toute innocence, apparemment.

•- Oh, Hélène, si vous le permettez.... Agathe avait interpellé Hélène avec courtoisie, comme n'importe quel convive s'apprêtant à demander à son hôtesse le chemin des lavabos.
•- Je pense que mon mari aimerait beaucoup se faire sucer la queue. Pourriez-vous avoir l'amabilité de lui offrir votre bouche ?
Hélène, souriante, accepta chaleureusement.
•- Oh, mais bien entendu, Agathe. Je vous avoue que j'y avais pensé, mais en me disant qu'il me le demanderait sans doute un peu plus tard. Comment voulez-vous que je procède ? Je l'emmène un instant dans ma chambre ?
•- Non, je vous en prie, pas de chichis, répondit Agathe. Venez donc vous agenouiller devant lui, ici même. J'ai vraiment très envie de vous voir le pomper. Ça ne prendra que quelques minutes, et nous pourrons passer à autre chose ensuite.
Comme convenu, je devais juste me laisser faire. Hélène, prévenante, sourit à Agathe, et s'agenouilla juste devant la fermeture éclair de mon pantalon de flanelle. J'étais dur, et elle n'eut aucune difficulté à extirper mon pénis de mon caleçon de soie. Elle le laissa quelques instants à l'air libre, puis le décalotta délicatement, et entreprit de me branler très doucement, d'une main très légère.

•- La queue de votre mari est tendue, fit-elle poliment remarquer à Agathe. Il ne devrait pas être long à jouir dans ma bouche. Comment souhaitez-vous que je m'y prenne ? Voulez-vous que je vous réserve son sperme ? N'hésitez pas à me le dire, vraiment, je trouverai ça normal !
•- Non, je vous remercie, Hélène, répondit Agathe avec chaleur. Je préférerai au contraire qu'il arrose votre visage et vos seins de foutre. Mais vous pouvez également le boire...
Cette rapide conversation courtoise s'interrompit fatalement lorsqu'Hélène me prit dans sa bouche, sans cesser d'ailleurs de faire coulisser sa main manucurée le long de ma hampe. De sa main gauche, elle dégrafa les boutons de son chemisier, pour offrir sa poitrine à nos regards, et préparer sa douche de sperme. Puis elle entreprit de me caresser voluptueusement les bourses.

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Ses seins étaient très excitants : lourds et pleins, ils présentaient de larges aréoles brunes, surmontées de tétons gonflés de désir. Agathe la complimenta.
•- Hélène, vos superbes gros seins sont très appétissants... Et vous semblez sucer comme une vraie professionnelle. C'est très agréable à regarder. Mais où avez-vous donc appris à si bien pomper les queues ? Je vous avoue que c'est une très belle surprise...

Sans cesser de me branler doucement, Hélène laissa sortir de sa bouche ma queue luisante de salive, et fit à ma femme un très beau sourire, visiblement touchée par le compliment.

•- Oh, ce n'est pas grand-chose, souffla-t-elle. J'ai toujours adoré ça. J'ai surtout été bien éduquée par mes initiateurs, dès l'âge de 18 ans.
•- Des initiateurs ? hummm, comme c'est intéressant, Hélène. Agathe semblait de plus en plus excitée. Je savais qu'elle mourrait d'envie de se doigter, mais qu'elle ne le ferait sans doute pas maintenant.
•- Et qui étaient-ils ?
•- C'était une amie intime de ma mère et son mari, répondit Hélène en se massant les seins. Ils étaient délicieusement vicieux. C'est elle qui m'a tout appris. D'abord à bien faire jouir une femme, puis à l'art de bien sucer une queue...


•- Quelle situation ambigüe et excitante, ma chérie... Une amie de votre mère ? demanda Agathe.
•- Oui, acquiesça poliment Hélène en laissant planer le silence, et sans cesser de me branler la queue. Mais si vous le permettez, je vais terminer de pomper la queue de votre mari. Le pauvre attend sa libération, et il me tarde de recevoir mon petit cadeau...

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•- Oh, bien sûr, souffla Agathe. Où avais-je la tête. Poursuivez, je vous en prie.
Elle se mit alors à me sucer en experte. Sa délicieuse bouche m'enveloppait de douceur, et sa langue agile m'enrobait de chaleur. Sa main légère et ferme à la fois me branlait avec application, en souplesse mais avec fermeté. Elle gémissait doucement en accompagnant sa masturbation d'un très délicat mouvement de la nuque, et me laissait parfois sortir de sa jolie bouche discrètement fardée pour mieux m'aspirer alors dans un très excitant bruit de succion. Agathe appréciait visiblement, les yeux fixés sur la croupe tendue de l'agenouillée, et surtout sur sa poitrine si lourde, si pleine, qui oscillait au rythme de sa prestation. Je ne fus pas très long à venir. La langue de notre hôtesse, ses lèvres, ses mains... Sa posture soumise, ses seins dardés de désir, je fus tout à coup secoué de spasmes, pour le grand ravissement d'Agathe.
•- Oh, vous êtes belle et bonne, Hélène, souffla ma femme, dont la voix trahissait l'excitation.
Un premier jet de sperme s'était écrasé dans la gorge Hélène. Je grognais de satisfaction, en sentant mon jus s'échapper de ma queue si tendue, si grosse, si impudiquement gonflée. Sans cesser de me branler, elle orienta mon phallus en direction de son visage, et laissa trois autres jets onctueux s'y répandre en soupirant, avant, pour terminer, de frotter mon gland tuméfié sur ses seins,

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l'un après l'autre, où il laissa de belles trainées humides et blanchâtres. Le visage d'Hélène dégoulinait de sperme.

Elle dardait sa langue sur ses lèvres et sur mon gland avec gourmandise, pour y recueillir les dernières gouttes de mon nectar, sans cesser de me branler voluptueusement.

•- Avez-vous bien joui, Monsieur ? me demanda-t-elle finalement avec courtoisie, tandis que mon membre, gluant, ramollissait dans sa main soignée.
•- Oui, je vous remercie, lâchai-je en contemplant mon sperme coulant sur ses seins. Agathe n'avait rien manqué du spectacle, et son silence s'expliquait sans doute par la violente excitation qu'elle ressentait alors.
•- Levez-vous, ma belle, finit par lâcher ma femme d'une voix altérée. Et donnez-moi votre bouche.

Hélène obtempéra sans sourciller. Agathe enlaça la belle quinquagénaire, plongea voluptueusement sa langue dans sa bouche, et l'embrassa longuement et passionnément. Sans cesser de laper les lèvres et la langue d'Hélène, Agathe se mit à lui pétrir les seins, s'ingéniant à les badigeonner du sperme qui y ruisselait. Hélène soupirait discrètement, s'offrant docilement aux caresses de ma femme, attendant visiblement d'être récompensée, espérant sans doute sentir les doigts de mon épouse s'insinuer sous sa jupe.

J'étais absolument ravi de ce préambule. Ma femme, très féline, malaxait sans aucune retenue les superbes globes de chair de sa proie docile. Elle donnait libre cours à toutes ses pulsions sur un sujet consentant et totalement offert à ses moindres envies. Depuis toujours, Agathe, si sage dans la vie quotidienne, se consumait en réalité de désirs inassouvis sur les femmes. Elle m'avait confié quelques mois après notre mariage, après que j'aie surpris quelques-uns de ses regards, qu'elle ne se croyait pas lesbienne, mais qu'elle avait toujours été sexuellement attirée par les femmes, et particulièrement par les femmes aux attributs féminins très marqués : les seins lourds, les hanches rondes la bouleversaient depuis son adolescence.

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Elle n'avait pourtant eu sa première expérience lesbienne qu'à trente ans révolus, avec la femme d'un couple que nous avions contacté sur un site de rencontre. J'avais beaucoup insisté pour que nous tentions l'expérience. Agathe préférait remiser ses envies dans la catégorie des fantasmes qu'elle ne concrétiserait jamais, et se montrait même parfois agressive lorsque je relançais le sujet. Puis elle finit par m'autoriser à chercher une complice. J'avais pris beaucoup de contacts avant qu'elle ne cède, de mauvaise grâce, à se laisser entraîner dans une rencontre. Il avait fallu que je trouve des partenaires parfaits : nous avons vite renoncé à l'idée de trouver une femme seule. J'ai donc orienté ma recherche sur un couple au mari plutôt contemplatif (elle n'avait pas vraiment envie de se donner à un autre homme), et surtout dont l'épouse serait bisexuelle expérimentée, au corps voluptueux, et enfin pas trop vulgaire (même si cette idée m'excitait beaucoup, personnellement).

Le soir venu, Agathe s'est au départ juste laissée faire, d'assez mauvaise grâce. Comme une femme qui aurait juste eu un défi à relever, une corvée dont il fallait s'acquitter. Et lorsque Christelle, notre complice, a commencé à se montrer entreprenante, Agathe s'est juste laissée embrasser, puis caresser par cette partenaire très compréhensive. Le déclic s'est produit ce soir-là lorsque Christelle lui a doucement dévoilé puis offert ses seins. C'étaient, comme Hélène ce soir, de beaux seins lourds en poire, aux tétons effrontément dressés et gonflés de désir. Comme elle me l'a confié plus tard, ma femme avait été surprise par un violent orgasme juste en malaxant ces superbes seins qui lui étaient offerts, et alors que Christelle n'avait que commencé à lui doigter la chatte.

Nous avions revu ce couple trois ou quatre fois. Plus tard, elle avait beaucoup apprécié de me voir posséder cette autre femme, ainsi que (contrairement à ce qu'elle aurait cru) de s'offrir à son mari sous mes yeux, et surtout sous les yeux de sa propre femme.

Dans les mois qui ont suivi, nous avons également pu nouer contact avec une femme célibataire. Une quinquagénaire très coquine dont j'avais fait la connaissance sur un salon professionnel. Une authentique cochonne sans tabous, qui adorait obliger Agathe à s'exhiber dans des postures et des tenues équivoques. L'éducation de ma femme se poursuivait. Elle apprenait à bousculer ses tabous un à un. Je ne la reconnaissais d'ailleurs plus, tant Françoise la tenait sous son emprise. Il lui arrivait par exemple parfois d'appeler Agathe sur son lieu de travail pour lui fixer un rendez-vous urgent dans un hôtel en plein milieu d'après-midi.

•- J'ai juste envie de me faire lécher la chatte par une belle petite bourgeoise, ma chérie, expliquait-elle crûment, en sachant que ce discours excitait ma femme au plus haut point.

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Françoise avait fini par se lasser d'Agathe, et vice-versa. Et c'est là que mon épouse, si empruntée, si réservée, s'était mise elle-même à chercher d'autres partenaires. Elle s'interdisait juste de « prospecter » dans son milieu professionnel. Pourtant, chargée d'affaires dans un grand cabinet de conseillers financiers, elle rencontrait régulièrement de très bonnes candidates, ainsi qu'elle me le rapportait parfois. Comme l'épouse d'un investisseur, qui s'ingéniait, m'expliquait-elle, à porter de magnifiques décolletés en sa présence, et qui lui avait même un jour fait du pied sous la table en suçotant un stylo à bille. Il y avait aussi eu une stagiaire très motivée qui ne faisait aucun mystère de ses mœurs très libres et de sa bisexualité. Ou encore cette secrétaire intérimaire dont tout le bureau savait qu'elle s'absentait aux toilettes plusieurs fois par jour pour s'y masturber. Tout ceci émoustillait beaucoup ma femme, qui assumait désormais parfaitement ses pulsions. Mais elle ne voulait surtout pas mélanger les genres, même si l'idée de caresses furtives avec une belle coquine (elle disait même désormais « salope ») dans les toilettes du bureau la plongeait à chaque fois dans un incroyable état d'excitation. Et je dois dire que d'imaginer ma femme agenouillée entre les cuisses d'une belle stagiaire dans les toilettes des dames me produisait les mêmes effets.
Agathe avait donc décidé de « chasser la bourgeoise » à son tour. Comme tout ce qu'elle faisait, elle s'y était mise avec application. Elle avait deux ou trois fois tenté le contact direct dans des bars, à l'occasion de ses déplacements. Sans réel succès cependant, à part un long baiser avec une touriste américaine éméchée, qui s'était enfuie lorsqu'Agathe avait commencé à passer sa main sous sa jupe.

•- Dommage, m'avait-elle confié à son retour. C'était une belle bourgeoise à la croupe évasée et aux gros seins laiteux... Hummmm...

Une autre fois, inscrite sur un site de rencontres, elle m'avait demandé la permission de rencontrer seule un couple.

•- Je crois que cette femme attend juste que je suce son mari pour m'offrir son cul. Et ce cul en vaut la peine.

C'est précisément ce qui s'était produit. Agathe avait fait jouir le type en quelques minutes, avant de réclamer son dû. Elle s'était ensuite régalée de sa femme, qui malheureusement, n'avait pas été très ouverte à lui rendre la politesse. Elle s'était donc résignée à se doigter en rentrant à la maison car, comble de malchance, j'étais moi-même sorti ce soir-là.

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Il y avait aussi eu de belles réussites : la patronne d'une boutique de lingerie qu'elle fréquentait depuis toujours, qu'Agathe, sur une impulsion, avait embrassée à pleine bouche alors que l'honnête femme venait juste l'aider à dégrafer une guêpière.

•- Hummm, elle, c'était une refoulée, avait-elle commenté en rentrant, les meilleures. Tu aurais dû voir avec quelle frénésie elle m'a lapé le clitoris... hummmmm. Mais elle, mon pauvre chou, je ne pourrais jamais te la prêter : elle est totalement lesbienne. La pauvre est pourtant mariée depuis 20 ans, et elle vit un enfer.


A suivre... si ce début vous plait

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