|
Miss Camping (épisode 14 - fin) L'après-midi, pour le retour, j'avais le droit de m'habiller. J'avais beau avoir pris une longue douche, je sentais le sperme à plein nez. J'ai passé un débardeur et une jupe sans rien dessous, mais je n'étais pas très à l'aise. Remettre à nouveau du tissu sur ma peau me sembla comme une expérience nouvelle. J'étais bien consciente que, même si j'adhérais maintenant totalement au nudisme, il allait me falloir remettre des vêtements en société, mais cela me semblait alors comme une épreuve, autant que j'avais ressenti comme une épreuve de devoir me mettre nue au début du séjour au camping. ![]() images similaires J'ai passé beaucoup de temps à dire au revoir à pas mal de monde. Presque tous les mecs du camping avaient profité de mes charmes et la plupart avait joui sur moi, il était compréhensible que certains tiennent à assister au départ. Beaucoup m'ont fait la bise, sagement. Certains ont laissé une main se promener sur mon postérieur ou sur les seins. Quelques-uns se sont autorisés à glisser une main sous ma jupe pour me doigter une dernière fois la moule. Les adieux durèrent près d'une heure et nous reprîmes ensuite la route avec Jean. "Alors, ma chérie, comment as-tu trouvé cette lune de miel ? - Extraordinaire. Je pense que ça va être difficile de revenir à la vie normale. - Ça s'est sûr... Et qu'as-tu préféré parmi tout ce que tu as découvert ? - Mmmm... sans doute le plaisir que je pouvais prendre par mon cul. - Ça j'avais remarqué ! - Mais aussi le fait de m'exhiber. J'étais hyper mal à l'aise au début et maintenant je me sens totalement exhibitionniste, aucune gêne à m'exposer. - J'avoue que ce n'est pas pour me déplaire... Tu supportes tes vêtements ? - Non ! - Moi non plus..." Et sur ces mots, il baissa son pantalon et exhiba fièrement son érection. Je m'en saisis aussitôt. ![]() images similaires Je relevai mon haut pour dégager mes seins. Jean profitait de la branlette dont je le gratifiais. On dépassa un autocar et on vit les yeux exorbités des touristes collés aux fenêtres. Le sexe de Jean gonflait à vue d'oeil. ![]() On roulait depuis environ deux heures et je masturbais mon mari depuis quelques minutes quand le moteur commença à cahoter. J'arrêtais aussitôt de branler Jean et, voyant que de la fumée commençait à sortir de sous le capot, je me garai sur le bas-côté. Nous étions en rase campagne, pas la moindre habitation à proximité. Nous rajustâmes notre tenue avant de sortir. Quelle poisse ! Il nous restait moins d'une heure de route avant d'arriver à la maison. Jean regarda le moteur, mais s'y connaissant aussi peu que moi en mécanique, il referma le capot, dépité, et commença à faire du stop pour arrêter une voiture. Il y avait très peu de passage sur cette route (une ou deux voitures toutes les cinq minutes) et les trois premières qui passèrent ne s'arrêtèrent même pas ! Jean commençait à s'énerver et j'eus l'idée de lui donner un petit coup de pouce pour faire s'arrêter quelqu'un. Je retirai mon débardeur et ma jupe en quelques secondes et me mis au bord de la route. ![]() images similaires Par malchance, deux voitures passèrent en sens inverse, lentement, profitant du spectacle que j'offrais. Puis enfin arriva une voiture qui allait dans la même direction que nous. Elle s'arrêta juste devant moi et, surprise ! ce fut Thomas qui en sorti !!! "Et bien ! C'est difficile de se débarrasser des habitudes, à ce que je vois !" Jean lui expliqua qu'on était en panne et que j'avais trouvé cette astuce pour faire arrêter quelqu'un. Il se trouva fort chanceux d'avoir été le premier à passer dans ce sens et proposa de nous reconduire chez nous. Nous nous sommes rendu compte seulement à ce moment-là que nous habitions dans la même ville. Jean expliqua à Thomas la route à prendre pour nous reconduire, mais celui-ci, trop occupé à m'admirer pendant que je me rhabillais, ne comprit rien aux explications de mon mari. Jean proposa donc de prendre le volant et de nous laisser nous "reposer à l'arrière". Thomas et moi ne nous fîmes pas prier, trop contents de cette proposition. Nous savions tous ce que Jean entendait pas "se reposer à l'arrière". Aussitôt reparti, Jean régla le rétroviseur pour voir ce qu'il se passait derrière. Thomas retira son pantalon et afficha une magnifique érection, longue et bien raide. Je m'en saisis avec gourmandise. ![]() images similaires Thomas trouva ma branlette tout à fait à son goût et se laissa aller sur la banquette. Son sexe palpitait entre mes doigts et je tenais bien à le remercier de sa gentillesse. Au bout de plusieurs minutes, je le sentis prêt à jouir. J'accélérai donc la masturbation jusqu'à ce qu'il éjacule avec de grands râles, laissant un flot de sperme s'échapper et me couler sur les mains. ![]() images similaires Après cela, Jean proposa à Thomas de prendre un verre à la maison quand nous y serions. Il accepta de bon coeur et je fus ravie de savoir que Thomas allait venir chez moi. Quand nous fûmes à la maison, Jean nous laissa monter avec les bagages et décida de trouver un garagiste pour aller chercher la voiture et la ramener. Un peu fatiguée par le voyage, je proposai à Thomas de s'installer au salon en attendant le retour de Jean. "Sers-toi quelque chose à boire dans le bar, je vais prendre une douche rapide." Je rejoignis la chambre et retirai mes vêtements, avant de regagner la salle de bain. En traversant le couloir, je vis Thomas debout dans le salon qui ne pouvait manquer de me voir passer, nue. Il me souriait. Je n'avais aucune gêne : il connaissait déjà très bien mon corps et m'avais quand même sodomisée au camping, sans compter le nombre de fois où il m'avait balancé son foutre au visage. J'entrai donc aussitôt dans la douche et fis couler l'eau tiède. ![]() images similaires L'eau coulant sur ma peau nue me lava autant de la sueur que de la fatigue du voyage. Je sentais que l'énergie me revenait. Je fus soudain surprise de sentir des mains sur mes fesses : Thomas était entré discrètement et se tenait à côté, en dehors de la douche. ![]() images similaires "Tu me laisse finir ma douche ?" Il me répondit d'un signe de tête. Pendant que je me rinçais, il resta là à m'observer, passant parfois une main dans la douche pour attraper un sein, caresser une fesse ou laisser un doigt glisser sur les lèvres de ma moule. ![]() images similaires Dès que j'eus coupé l'eau, il m'attendait déjà avec une serviette pour me sécher. "Sécher" n'était pas exactement ce qu'il faisait. En réalité, il me caressait d'avantage avec la serviette (ou sans !) qu'il ne me séchait. Il semblait toujours fasciné par mes seins et, eux, furent vite secs. ![]() images similaires J'étais passablement excitée et je voyais que lui aussi. J'allais m'accroupir pour le débarrasser de son pantalon quand il me devança et s'accroupit devant moi. En une seconde, sa langue était sur ma moule et il commençait à me sucer le clitoris. Je crus avoir un orgasme aussitôt et pris le parti de me concentrer pour faire durer le plaisir. ![]() images similaires Mais comme le bougre s'y prenait très bien, je sentis qu'il allait me faire jouir un peu rapidement à mon goût. Je le fis donc lever et nous échangeâmes les rôles. Je pris une chaise et, tout en m'installant, je sortis son membre turgescent et le pris en bouche. J'adorait sucer ce sexe long au gland palpitant sous ma langue. ![]() En entendant la porte de l'entrée, Thomas préféra que nous nous arrêtâmes là et se rajusta avant de regagner le salon. J'étais extrêmement frustrée et je me demandais si je n'allais pas me masturber avant de les rejoindre au salon. Jean déboula dans la salle de bain en disant : "Mets un peignoir et viens au salon. Thomas bande comme un âne rien qu'à penser à toi. - Ah oui ? (je n'osai pas lui dire que sa bite était dans ma bouche quelques minutes auparavant). - Ce serait sympa qu'on lui offre un peu plus qu'un apéro pour le remercier... - Tout à fait d'accord !" J'enfilai un peignoir et les retrouvai au salon. ![]() Mon peignoir baillait nonchalamment sur mon opulente poitrine. Thomas et mon mari ne me quittaient pas des yeux. Le pantalon de Thomas était tendu comme un chapiteau : il ne semblait pas vouloir débander. Il me semblait que Jean bandait nettement moins. Je me levais. ![]() images similaires "Dis donc, Thomas, je t'excite comme ça ? - Il faudrait être aveugle pour rester insensible à une telle beauté. - Charmeur ! Et toi, Jean, tu ne bandes pas ? - Pas trop, c'est ton peignoir qui me fait drôle. Je suis tellement habitué à pouvoir te contempler sans vêtement que le moindre bout de tissu me gêne. - Je dois avouer que moi aussi." ![]() images similaires A la vue de mes seins, Jean sembla suffisamment excité pour nous exhiber sa fière érection. Il déballa tout et commença à s'astiquer. Je me trémoussai pour le motiver encore un peu plus. Je vis que Thomas n'osait pas se masturber comme Jean. ![]() "Thomas, si tu veux te mettre à l'aise, n'hésite pas. Tu vois bien que mon mari ne se pose pas de question de pudeur." Il s'exécuta enfin, sortant sous mes yeux cet incroyable sexe qui me faisait mouiller instantanément à chaque fois que je le regardais. Je laissai tomber mon peignoir et je m'approchai de Thomas. ![]() images similaires Dès que je fus devant lui, il se leva, me retourna et s'empara aussitôt de mes seins. Il les malaxa, les pressa, les enserra et joua avec mes tétons, les faisant tourner entre ses doigts ou les pinçant gentiment. Je sentais la cyprine couler le long de mes cuisses. ![]() images similaires Jean se leva et demanda à Thomas : "Tu veux la prendre au cul comme l'autre fois ou tu veux essayer autre chose ?" Thomas, un peu troublé par la brutalité de la question en arrêta ses jeux sur ma poitrine. J'en profitai pour aller m'asseoir. ![]() images similaires Jean sentis le léger malaise de Thomas : "Excuse-moi, la question est peut-être un peu abrupte... Je n'aurais pas dû t'interrompre. - C'est pas grave... Mais c'est vrai que j'aimerai bien refaire comme l'autre fois... - Et moi ? intervins-je, cambrée sur le canapé. On ne me demande jamais ce que je veux ? ![]() images similaires - Oh si, ma chérie, dis-nous ce que tu veux ! - Je veux que vous fassiez tous les deux un soixante-neuf." Devant leurs mines déconfites, je partis dans un grand fou rire et ils comprirent que je disais cela pour plaisanter (même si ça m'aurait drôlement excité de voir ça !!!). "Moi je suis d'accord pour que vous me preniez tous les deux en même temps. Un dans ma chatte et un dans mon cul, comme l'autre fois." Jean vint s'asseoir sur le canapé et m'attrapa pour m'empaler sur sa bite dressée. Thomas s'approcha aussitôt pour appuyer son gland contre mon anus. ![]() images similaires Il s'enfonça peu à peu, malgré l'étroitesse et la longueur de son engin. Arrivé au bout, il commença à aller et venir en moi lentement. Jean se mit au même rythme que lui et je sentis leurs deux queues me pénétrer en même temps. J'étais complètement prise et ne pouvais contrôler la montée de mon orgasme. ![]() images similaires Ils me firent hurler de plaisir. L'orgasme dura une éternité. C'était divin. J'avais l'impression qu'ils se concentraient pour retarder au maximum leur éjaculation afin de me faire jouir le plus longtemps possible. C'était encore mieux que la précédente fois. ![]() images similaires Ils finirent par exploser tous les deux en moi, l'éjaculation de Thomas provoquant celle de Jean dans la foulée et me procurant un dernier orgasme extrêmement puissant. Nous nous affalâmes tous les trois dans le canapé, exténués. Depuis, Thomas passe souvent à la maison (même quand Jean n'est pas là)... Jean m'oblige à mettre uniquement des fringues sexy : des nuisettes transparentes en journée (j'ai accueilli Thomas dans cette tenue la première fois qu'il est revenu à la maison). ![]() images similaires Quand j'ai le malheur de mettre un soutif, il me le fait enlever aussitôt (même si on est dans un lieu public ou chez des amis) et si je rechigne ne serait-ce que quelques secondes, il me l'arrache lui-même (ce qui m'amuse souvent beaucoup). ![]() Les robes qu'il me fait mettre sont parfois beaucoup trop courte pour ne pas mettre de culotte. Mais comme Jean me l'interdit (pour mon plus grand plaisir), il suffit de très peu de chose pour que les gens voient ma moule : qu'il y ait un peu de vent, que je sois en hauteur, que je me penche, que je m'accroupisse ou même simplement quand je marche... ![]() images similaires Et quand je porte des minijupes, je sais que, si je me penche, tout le monde verra mon cul et ma moule. je ne me prive alors pas de me pencher souvent ! ![]() images similaires Au boulot, c'est un vrai plaisir (d'autant que, dans mon service, je suis la seule nana avec une trentaine de mecs). Tout le monde se bat pour venir déjeuner avec moi et j'ai la visite de nombreux collègues toute la journée. Ma plus grande surprise fut de découvrir qu'un des stagiaires pris dans la boîte en octobre avait été au même camping que nous l'été précédent. Il eut la délicatesse de ne pas raconter mes exploits à mes collègues mais me demanda quelques faveurs en contrepartie. Nous passâmes de très bons moments ensemble mais, ça, c'est une autre histoire... FIN |