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Femmalunettes
7 août 2007
Suite de l'arrivée de ma soeur . . .

Après nous être rajusté nous allames ouvrir la porte et accueillir ma soeur Valérie et son amant.
"Bonjour, Je vous présente Abou."
Il serra la main de Bernard et m'embrassa sur les joues en se collant contre moi; il était musclé de partout et je revoyais son sexe n'arrêtant pas de se retirer de ma soeur.
"Vous devriez venir vous rafraîchir un peu, vous devez en avoir besoin." dis je.
Valérie répondit :
"Pour le spectacle, c'était vraiment fabuleux, ça a donné des idées à mon chéri."
Bernard rit de bon coeur.
"Venez profiter de la piscine, cela nous calmera un brin" dit il en enlevant son short et son tshirt et se jetant à l'eau nu.


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Abou en fit autant et je pus admirer son corps d'athlète et sa bite de cheval. Valérie me pinça le téton droit et en souriant me dit :
"Mouille, grande soeur, mouille, tu vas en avoir besoin."
Nous nous déshabillâmes et suivimes ces messieurs. Nous pataugions dans une eau délicieuse, mélant nage, calins et effleurements pas toujours avec notre conjoint respectif. Valérie prit la bite de Bernard dans sa main et la branlant lentement lui donna sa rigidité et son volume maximale. Me regardant dans les yeux, elle me dit :
"Tu as du courage de l'avoir introduite dans ton anus, il est gros, mais tu verras Abou va te déchirer le cul !"


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Comme entrée en matière, je reconnaissais bien là ma soeur toujours aussi directe pour ne pas dire directive. Un peu exaspérée je lui dis que pour
la dilatation je ne craignais personne et qu'elle avait pu voir le résultat tout à l'heure. Les enchères commencèrent à monter et j'acceptais de me faire enculer par Abou si elle se faisait fister par Bernard.

Je marquai une pause, puis enchaînai :
"Ça t'as excitée ce que tu as vu tout à l'heure ?"
"Beaucoup et Abou aussi, on a baisé en vous regardant, encore maintenant j'ai la chatte en feu." dit Valérie.
"Alors c'est peut-être le moment d'essayer, tu as l'air dans de bonnes dispositions" dis je en me plaquant contre elle et lui caressant les seins avec les miens. Valérie rosit et bredouilla un "tu crois ?".
"Mais bien sûr." affirmai-je péremptoirement.
Valérie n'était pas convaincue à cent pour cent, mais elle ne voulait pas avoir l'air de se dégonfler. Je pense que c'est pour trouver une échappatoire honorable, pensant qu'après les exercices qu'elle venait de voir, je refuserais de remettre ça, qu'elle proposa :
"Bon d'accord, mais tu me tiens compagnie, on le fait en même temps pour que tu me soutiennes."
Je répondis :
"C'est une affaire qui marche. on s'installe sur les chaises longues dans le jardin"
Ni Abou, ni Bernard n'avaient placé un mot, peut-être étaient-ils aussi surpris du comportement de leurs chères et tendres. Ils se levèrent et Bernard rabattit le dossier des chaises longues pour mettre celles-ci en position allongée. Valérie est assez mince, avec des hanches plutôt larges. Sa poitrine sans être forte, montre deux seins ronds, aux aréoles d'un rose vif, qui se tiennent bien. Ils sont juste de la bonne taille pour tenir dans la main, les miens sont plus lourds.


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Nous nous levâmes et contournâmes la table. Nous avons à peu près la même taille, la même morphologie et nos toisons aussi peu fournies. A bientôt trente-huit ans mon corps n'a rien à envier en grâce et en fermeté à celui de Valérie qui a vingt-neuf ans. Comme plus personne ne bougeait, Bernard pris l'initiative de me pousser légèrement vers la première chaise longue. J'y tombai assise. Il s'agenouilla devant moi, m'écarta les genoux en les soulevant pour la faire basculer en arrière. Il passa un doigt le long de ma fente. C'était doux, chaud, glissant, mes lèvres congestionnées s'écartaient toutes seules. Il avança la tête entre mes cuisses, jusqu'à ce que ses lèvres rencontrent les miennes. Il léchait, mordillait, enfonçait un peu la langue, aspirait mon petit bouton qui pointait fièrement, s'arrêtant de temps en temps pour regarder ma vulve ouverte, où sa salive se mêlait à ma cyprine. Valérie s'était allongée à côté et se faisait aussi bouffer la chatte.



On n'entendait que succions, léchouilles et glouglous et en basse nos respirations un peu hachées. Bernard s'arrêta et dit à Abou : "On échange"
Abou répondit : "Oui" et ils échangèrent de place. Bernard et lui se remîrent à l'ouvrage.
J'étais très chaude. Abou me demanda :
"Veux-tu rester comme ça ou te mettre à quatre pattes pour la suite des opérations."
Je restai allongée sur le dos, mais écartai encore plus les jambes et me tournai vers Valérie en disant :
"Allez, c'est parti."
Valérie, qui avait les joues empourprées, s'appliqua elle aussi à écarter les jambes encore plus. Je m'ouvrai aussi facilement que tout à l'heure.
Les doigts d'Abou se rejoignaient l'un après l'autre pour plonger dans ma grotte d'amour, et tous s'y retrouvèrent, même le pouce qui d'habitude est opposé aux autres. Bientôt sa main entière fut engloutie.


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Il me pistonnait doucement, j'avais la tête qui oscillait d'un côté, de l'autre. Je l'arrêtai en m'emprisonnant son poignet de mes deux mains. Je voulais m'assurer de la réalité de cette intromission. Je lui dis :
"Ne bouge plus, je vais me mettre à quatre pattes."
Et je me mis à rouler doucement sur moi-même, tournant autour de sa main fichée en moi. Abou m'aida à faire passer mes jambes par-dessus et par-dessous lui. Je réussis mon demi-tour et me mis à quatre pattes. Il était à côté de moi et je ne pus résister à prendre son membre dans ma main. Il me sourit et me dit:
"Tu en as envie de ce braquemard, hein, branle-le, fais-toi plaisir, soupèse-le"
J'empoignais son gland dans ma main et toute sa hampe se durcit; j'avais du mal à le garder tellement il était gros. La manoeuvre m'avait rapprochée de Valérie et elle regardait comment ça se passait de ce côté. Bernard et Valérie n'avaient pas chômé de leur côté. Bernard avait déjà mis quatre doigts et essayait d'ajouter le pouce, mais visiblement ça avait du mal à passer, elle avait presque les larmes aux yeux et demandait à Bernard d'arrêter un peu.


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Je lui pris la main et me mis à lui parler tout bas à l'oreille :
"Je vais me faire mettre par toute la bite d'Abou dans le cul et toi tu pleures pour une petite main de rien du tout dans ta chatte de salope si souvent ramonée. Rappelle-toi nos fists réciproques, petite soeur!"
Je commençai à remuer un peu les fesses pour imprimer un petit mouvement de va-et-vient à la main d'Abou dans ma chatte. Il comprit l'invite et participait à ce mouvement. Valérie s'est détendue, elle a même ri de mes suggestions grivoises où je lui rappelais les queues des ânes de la ferme nos parents. Nous adorions ces bêtes et leurs attributs virils que nous avons quelques fois flattés. Bernard avait repris, avec délicatesse sa progression. Mais malgré tout cela continuait de coincer. Je me redressai un peu, fis signe à Bernard de s'approcher et lui murmurai à lui aussi à l'oreille d'attendre mon signal, puis je recommençai à chuchoter avec Valérie pour lui raconter comment il m'avait enculé pendant qu'elle lui parlait au téléphone. Après quelques instants je me rapprochai encore plus de la jeune femme, passai un bras de l'autre côté de son corps et enjambai une jambe qui se retrouva ainsi entre les deux miennes. Je me retrouvais comme cela un peu au-dessus de Valérie. Je me penchai, collai mon buste à celui de Valérie et l'embrassai à pleine bouche.


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Bernard en profita pour enfoncer sa main d'un geste rapide. Valérie eut un sursaut, mais sa bouche clouée ne put émettre aucune protestation. Je me redressai, Valérie était tétanisée, elle ne bougeait pas. D'une petite voix elle demanda :
"Tout est-il entré ?"
Tout le monde lui répondit : Oui !
"J'ai cru que mon sexe allait exploser. J'ai l'impression d'un accouchement à l'envers. Est-ce que je n'ai rien de déchiré ?"
Tout le monde la rassura, elle se détendit un peu et se décida à se redresser un peu pour regarder son intimité envahie. Après avoir contemplé le spectacle quelques secondes, elle déclara :
"Je savais que toute la main était entrée, je l'avais sentie, mais de le voir, ça me fait tout drôle."
Elle se rallongea sur le dos en disant à Bernard :
"Essaie de la faire bouger un peu."
"De toute façon je ne pouvais pas la laisser là jusqu'à demain." dit-il en commençant à reculer doucement son bras.
"Doucement, j'ai l'impression que tu vas tout emmener avec ta main."


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Bernard fit de petits mouvements, qui petit à petit prirent un peu d'ampleur. Je m'était éloignée de Valérie. Abou m'avait laissé sa main dans la chatte mais ne la bougeait plus pour assister au spectacle, je lui dis en prenant un ton très offensé :
"Hé bien je ne t'intéresse plus, tu ne t'occupes plus de moi ?"
Il revint à moi et s'occupa de moi activement. Ma respiration haletante, les mouvements de ma croupe et quelques soupirs lui apprirent que l'envahissante caresse qu'il me prodiguait était appréciée. Après quelques minutes, je me tournai vers Valérie :
"On pourrait changer d'exercice, ne crois-tu pas ?"
"Je veux bien."
Abou et Bernard retirèrent leurs mains des chauds et humides étuis qui les accueillaient. Je demandai à Valérie :
"Alors comment as-tu trouvé ?"
"Au début c'était dur, j'allais dire à Bernard d'arrêter quand tu m'as embrassée, et là quand il est entré complètement j'ai cru que j'explosais, que j'étais déchirée et puis ça s'est calmé. Quand il a commencé à bouger ça n'a pas été aussi difficile que je le redoutais et à la fin cela se passait plutôt bien, mais je n'ai pas pris mon pied."
"Je pense que le plus difficile est fait. La prochaine fois tu verras cela devrait bien mieux se passer. Peut-être même que le plaisir sera au rendez-vous. Et maintenant on passe à la suite du programme."
"Je suis un peu fatiguée." répondit Valérie.
"Pas tant que tu le crois, et puis on a passé un contrat toutes les deux, on fait le parcours toutes les deux en même temps."
"Hé bien ! Banco, messieurs la partie continue" enchaîna Valérie en caressant le sexe de Bernard déjà fièrement érigé. Abou me fit remettre à quatre pattes par terre.


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Il alla prendre de la mouille dans ma chatte pour en enduire mon petit trou et le masser, enfonçant de temps en temps un doigt, lui donnant un petit mouvement circulaire, puis quand mon anneau fut bien assoupli, il risqua un deuxième doigt, sans entendre de protestation. Il se redressa et s'installa derrière moi. Il prit sa queue d'une main, après l'avoir enduite d'huile d'amande douce et la fit glisser le long de ma chatte, remonta jusqu'à mon anus pour le flatter mais sans insister. Je posai une joue au sol et de mes mains écartai mes fesses pour bien dégager ma rondelle. Il continua, un peu, à faire parcourir par sa bite toute ma zone intime, avant de positionner son gland sur ma porte étroite, il lâcha sa queue et me prit par les hanches.



Il appuya doucement, son gland m'écarta la rondelle à tel point que je me sentis écartelée; je criai. Il marqua une petite pause et me dit :
"il n'y a que la moitié du gland dans ton oeillet."
Je paniquai un peu mais il reprit sa progression sans se soucier de moi. Il était très gros et je commençais à lacher une plainte continue qui dura tout le temps de sa poussée dans mon cul. Bientôt il fut fiché complètement en moi. Bernard et Valérie suivaient un parcours parallèle au notre. Abou et Bernard avaient presque fait disparaître leur pieu dans nos culs en même temps et avaient de concert commencé à ramoner nos étroites cheminées.


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Ce n'étaient que miaulements de la part de Valérie et moi entrecoupés de cris de "oh non! arrête! je t'en supplie!" Mais les hommes nous pistonnaient sans vergogne en nous disant qu'on l'avait bien cherché.
Visiblement Valérie dégustait autant que moi, elle m'avoua plus tard qu'Abou n'avait jamais pu la sodomiser. Après quelques minutes je proposai :
"Nous pourrions changer de position ?"
Abou décula et s'allongea sur la chaise les jambes pendantes, je l'enjambai en lui tournant le dos et m'agenouillai. je me penchai en avant, pris sa queue d'une main, la pointai vers le ciel, vers ma lune. Il m'aida des mains en séparant les deux moitiés du globe. Quand son gland entra en contact avec sa cible, je commençai de m'abaisser doucement et bientôt je me retrouvai assise sur ses cuisses.



Je me penchai en arrière, pris appui sur un bras, tandis que l'autre bras restait devant moi, à son mouvement il comprit que je m'astiquais le bouton. Il m'attrapa par la taille et commença alors à me pistonner doucement le cul, puis de plus en plus fort, au point à la fin de presque me désarçonner. Mais je réussis à rester en selle et après quelques minutes endiablées et de hurlements de démente, il se répandit en moi. Valérie ne changea pas de position et elle se lâcha complètement et explosa sur la queue de Bernard qui la défonçait comme une brute; Abou n'en pouvait plus et regrossit dans mon cul en voyant Valérie se faire enculer à grands coups de reins; elle était complètement dégoulinante de transpiration et braillait des invites pour Bernard : "je suis ta truie, ta chienne; saillis-moi ! je veux que tout le monde me voit"



Sans bouger, Abou éjacula en moi de nouveau lorsque Valérie empala son anus sur le membre de Bernard pour jouir. Je me levai et allai au dessus de Valérie pour qu'elle voit l'oeuvre de son amant, c'est à dire mon anus grand ouvert et j'expulsai une quantité de foutre incroyable sur ses seins,fruit des deux éjaculations d'Abou; j'y goutai et étalai cette semence gluante sur ma soeur; nos langues se mélèrent puis elle fit de même sur moi. Enfin nous nous collâmes poitrine contre poitrine en regardant nos mâles avec des yeux de salopes.


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Ce n'était pas terminé.

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