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Voici une petite série d'histoires qui me sont arrivées quand je suis entrée à l'université. J'étais toute heureuse d'enfin prendre mon indépendance et de m'éloigner de mes parents. Majeure depuis peu, je savais que j'avais déjà un corps particulièrement sexy.![]() images similaires Quitte à prendre mon indépendance, j'avais décidé que ça allait être une grande aventure et je suis parti rejoindre ma nouvelle ville d'accueil en autostop. Pas trop habillée, je me disais que j'allais rapidement trouver quelqu'un qui m'emmènerait, avec mes sacs surchargés, jusqu'à ma location (une cousine qui finissait ses études en économie libérait justement un appartement, ce qui m'avait évité de chercher). A ma grande surprise, la première voiture à s'arrêter était conduite par une jolie jeune fille. Elle s'appelait Malaurie et était aussi blonde que j'étais brune. Elle aussi s'habillait très sexy et portait son débardeur sans soutien-gorge, ce qui dévoilait une poitrine ferme et gonflée. ![]() images similaires Elle était en seconde année en Histoire de l'Art, comme moi, et m'expliqua succinctement comment se passait la vie étudiante. Elle me déposa juste en bas de mon nouveau chez moi et elle attendit avec moi une demi-heure, le temps que mon proprio arrive pour me laisser les clés. J'étais vraiment contente d'être tombée sur elle et on s'échangea nos numéros de portable avant qu'elle ne reparte. Je ne revis pas Malaurie dès la première semaine. Ce fut la semaine suivante, lors d'un cours de dessin. Comme mon loyer n'était pas donné, il me fallait trouver de quoi compléter les allocations et j'avais trouvé une annonce pour être modèle dans des cours de dessin. Quand je suis arrivée dans le vestiaire, je fus un peu surprise d'y trouver un fort beau jeune homme intégralement nu, probablement modèle lui aussi. Je m'excusais platement (tout en admirant son membre au repos) et lui demandais où se trouvait le vestiaire pour dame. Il me répondit qu'il n'y avait qu'un unique vestiaire mais que cela ne posait pas de problème. ![]() images similaires Puisqu'il me disait qu'il n'y avait pas de problème, je n'avais pas envie de faire ma mijaurée et je commençai à retirer ma robe. Intéressé, le garçon me regarda avec insistance. Quand la première bretelle glissa de mon épaule et libéra un sein, je vis un certain émoi dans son regard. L'émoi se remarqua également ailleurs que sur son visage : je vis son sexe gonfler et se dresser peu à peu au fur et à mesure que je retirais ma robe. ![]() images similaires Il sembla un peu gêné mais ne détourna que très brièvement le regard. Il sembla surpris de constater que je n'avais aucun sous-vêtement. Voyant que je ne montrai aucune pudeur, exhibant totalement ma nudité, il se ressaisit et vint vers moi, le sexe bandé. Il me tendit la main et se présenta : "Valentin". Je lui serrai la main : "Lisa... Vous allez devoir attendre un peu avant de vous présenter devant les étudiants..." ![]() images similaires J'étais très excitée par la situation (deux inconnus totalement nus et manifestement appréciant cet état de chose). Une envie folle me prit soudain d'attraper ce sexe et de le masturber, voire de le sucer. Mais ma pulsion fut heureusement interrompu par un appel : une voix féminine m'appelait dans la pièce à côté. Je laissai donc Valentin se remettre de ses émotions et je gagnai l'autre pièce. Une jeune femme m'attendait derrière une grande planche à dessin. Elle me fit signe de m'installer et de ne plus bouger. Elle commença à dessiner. J'étais finalement assez rassurée qu'il n'y ait pas plein de monde et surtout qu'il n'y ait pas d'homme... J'aurais eu peur d'avoir ensuite à gérer pleins de lubriques demandant à me revoir. La fille était très sympa et je vis soudain qu'elle ne dessinait plus, mais se caressait la poitrine en me regardant. ![]() images similaires C'est seulement à ce moment-là que je reconnus, Malaurie. Il y eut un blanc... Puis elle me dit : - Tu es magnifique ! Tu dois te faire plein de mecs ! - Pas spécialement, je ne suis là que depuis quelques jours et je ne suis pas encore beaucoup sortie... - C'est vrai que ton appartement n'est vraiment dans le centre-ville. Tu ne paies pas trop cher, j'espère. Quand je lui dis le prix, elle sembla surprise (trouvant manifestement ça trop élevé) et garda le silence quelques instants. Sa robe avait glissé un peu et révélait sa poitrine. J'étais un peu gênée par cette situation, et aussi surtout parce que je me rendis compte que j'éprouvais de l'attirance pour une fille. ![]() Elle se rendit compte de mon trouble. Sans rien dire, elle vint se coller à moi et porta ses lèvres aux miennes, d'une manière si naturelle que je ne mis aucune opposition. C'était la première fois que j'embrassais une autre fille et je trouvais ça terriblement excitant. ![]() Une fois notre doux baiser achevé, elle s'écarta, me regarda et demanda : - Es-tu lesbienne ? - Je ne pense pas... J'ai adoré t'embrasser, mais j'aime aussi beaucoup les hommes. - Moi aussi. Ecoute, j'ai un truc à te proposer. Ton loyer est exorbitant et tu es trop loin du centre-ville pour pouvoir en profiter. J'ai un immense appartement qui appartient à ami de mon père. Viens en collocation chez moi, on partagera les frais et ce sera hyper sympa. Je n'en revenais pas. J'avais une chance monstrueuse. Cette fille, sympa, sexy, intelligente, me proposait de vivre avec elle après m'avoir embrasser ! J'acceptai bien sûr aussitôt et une semaine plus tard, mon appartement était rendu et j'aménageais chez Malaurie. J'avais peur qu'elle soit lesbienne et qu'elle me mette le grappin dessus, mais je me rendis vite compte qu'il n'en était rien. Elle aimait jouir, le plus souvent possible et n'importe comment, mais le plus souvent avec des garçons. Elle adorait les aguicher : à l'appartement, même en présence de garçon, elle n'hésitait pas à se mettre à l'aise, par exemple en ouvrant complètement sa chemise alors qu'elle ne portait jamais rien dessous. ![]() images similaires Elle même se décrivait comme une "belle salope". Mais parfois, je me demandais si elle n'était pas aussi un peu innocente. Comme elle ne mettait jamais de soutien-gorge et qu'elle portait toujours des fringues sexy, il lui arrivait souvent des accidents. Une fois, nous faisions un jeu de société avec un ami à elle. Nous étions installés par terre dans le salon. Dès le début de la partie, les bretelles de son petit débardeur glissèrent de ses épaules. Une minute plus tard, le premier téton faisait son apparition. Elle semblait ne se rendre compte de rien. Elle resta ainsi, les seins à moitié à l'air, durant tout le jeu, empêchant son pauvre ami de se concentrer sur le jeu et d'élaborer la moindre stratégie gagnante. ![]() Elle était pourtant plutôt sage car je ne la vis jamais conclure avec qui que ce soit dans l'appartement. J'en venais à me demander si ma présence ne la gênait pas pour inviter des hommes jusque dans son lit (nous avions les chambres côte à côte à l'étage avec une salle de bain et le rez-de-chaussée comprenait une cuisine et un grand salon). Une fois où je rentrai plus tôt que prévu, je la trouvais la jupe retroussée sur les cuisses, à se masturber allégrement. Trop prise par son plaisir, elle ne me vit pas. Je l'observais se donner ainsi du plaisir et ça commençait à m'exciter moi aussi. ![]() images similaires Sans me voir, elle continua à fire aller et venir ses doigts dans son intimité. Elle retira même sa jupe et ouvrit son chemisier. Enfin, elle jouit, se mordant les lèvres, poussant de petits glapissements qu'elle étouffait comme elle pouvait. Quand elle commença à se remettre de ses émotions, elle me vit enfin, statufiée devant la porte, ma culotte toute trempée de mouille. Incapable de dire un mot. Elle se leva. ![]() images similaires Elle s'approcha de moi et m'embrassa langoureusement. Nos langues se mêlèrent. C'était aussi doux que la première fois lors du cours de dessin. Puis, elle m'amena dans le salon et me fit asseoir sur le canapé. Elle fit glisser la bretelle de ma robe et dévoila un sein. Elle marqua une pause et s'éloigna pour admirer (ce n'était pourtant pas faute d'avoir déjà pu admirer ma nudité lorsque je posais pour elle). ![]() Une fois qu'elle eut complètement retiré ma robe et ma culotte trempée, elle se pencha à nouveau sur moi. Elle posa une main sur ma nuque et attira ma bouche contre la sienne. Ce baiser fut particulièrement efficace car je sentis rapidement la mouille commencer à me couler le long des cuisses. ![]() images similaires Quand je sentis sa main sur ma moule, je comprends qu'elle veut me faire jouir. Mais je voulais juste profiter de ses caresses sans forcément que cela aboutisse à un orgasme. Je la fis donc lever et je la fis s'appuyer au mur. Passant ma main entre ses cuisses, je découvris une fontaine : elle était encore plus excitée que moi. Je m'accroupis derrière elle et enfouis mon visage entre ses fesses écartées, cherchant sa moule avec ma langue. Au premier contact avec ses lèvres, elle tressaillit. Cela sembla lui procurer beaucoup de plaisir. ![]() images similaires Remontant ma langue jusqu'à son anus, elle eut à nouveau un frémissement lorsque ma langue commença à s'insinuer dans sa rondelle. Elle était en sueur, prête à jouir. Elle marmonna : "Putain, il me faudrait une bonne bite !" N'ayant pas ça sous la main (!), je lui mis deux doigts dans la chatte. C'était la première fois que je donnais du plaisir à une autre femme et je dois avouer que j'étais assez fière de moi. En quelques minutes, elle se mit à gémir en balançant son bassin à la rencontre de mes doigts. Puis cela devint des cris et presque des hurlements au moment où l'orgasme la gagna totalement. ![]() images similaires Une fois remise, elle m'embrassa, puis me dit, encore essoufflée : - C'était terrible, tu es douée ! - C'était pourtant la première fois... - C'est vrai ? J'espère que ce ne sera pas la dernière... Mais, dis-moi, tu n'as pas joui ? - Ne t'inquiète pas, nous aurons sûrement d'autres occasions. - J'espère ! En tout cas, tu m'as divinement léchée et masturbée. - Désolé, je n'avais pas de bite à t'offrir... - Tes doigts faisaient très bien l'affaire. Mais c'est qu'une bonne grosse queue de temps en temps, je ne suis pas contre... - Tu ne fais jamais venir de mecs ici ? - C'est que... je ne veux pas te gêner... - Arrête, tu es chez toi ! Tu fais ce que tu veux, tu peux t'envoyer en l'air ici comme ça te chante que je sois là ou non. Ne t'inquiète pas pour moi... - D'accord, mais promets-moi que, de ton côté, tu n'hésiteras pas non plus à ramener tes amis ici. - Pour que tu en profites aussi, petite vicieuse ?!? - Pourquoi pas ?... Et nous partîmes dans un fou rire qui dura cinq bonnes minutes. Ce fut le début d'aventures particulièrement agréables. Mes premières semaines de fac commençaient terriblement bien. |