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Malaurie et Lisa (épisode 9) Cette nuit là, la chaleur du mois de mai m'avait conduite à dormir nue. Je l'avais fait sans trop de scrupule, Malaurie et moi ayant chacune notre chambre. Mais au matin, au réveil, j'eus une irrésistible envie de me toucher. Allongée sur le ventre, je fis passer mon bras droit sous mon ventre et, cambrant mes fesses, je laissais mes doigts s'agiter contre les lèvres de ma chatte déjà moite. ![]() images similaires Je n'entendis pas Malaurie rentrer dans la chambre. Elle se tenait devant ma porte, bras croisés et me souriant, s'amusant de me voir me satisfaire. Il est vrai que nous baisions souvent avec des mecs (souvent les mêmes d'ailleurs), mais nous faisions rarement l'amour toutes les deux. Elle quitta sa nuisette et, ainsi nue, vint me rejoindre. Elle me demanda de me mettre à genou et commença à m'embrasser les fesses tandis que je continuais à me masturber. ![]() images similaires Ses lèvres étaient très douces contre ma peau et je savais qu'elle allait bien s'occuper de moi. Je me concentrai sur l'action de mes doigts sur mon clitoris. Elle en profita pour se pencher et déposer un baiser sur les lèvres de ma chatte. Puis elle y ajouta un délicieux petit coup de langue qui m'envoya une décharge électrique. Elle dut sentir que j'appréciais car elle se mit à me sucer les lèvres comme s'il s'agissait d'une gourmandise. Elle s'arrêta soudain mais remplaça bien vite sa bouche par un doigt qu'elle enfonça profondément en moi. ![]() images similaires Cette sensation était exquise et m'arracha un cri de plaisir. Pour la laisser pleinement conquérir mon intimité, je décidai d'abandonner mon clitoris et de profiter de ce doigt qui me fouillait. Elle l'entrait et le sortait lentement, s'amusant à le tourner, à le bouger à l'intérieur, comme pour me visiter dans les moindres détails. Je me cambrais au mieux pour accueillir ce doigt. ![]() images similaires Malaurie semblait vouloir faire jouir rapidement. Elle sortit lentement son majeur, puis, tout aussi lentement, elle commença à insérer son majeur et son index. Ses deux doigts me ramonaient tranquillement. Elle savait y faire. En peu de temps, je sentis un orgasme m'envahir et me parcourir tout le corps, des pieds à la tête. Malaurie garda ses deux doigts fichés en moi, alors que je me remettais peu à peu. ![]() images similaires J'avais décidé de lui montrer qu'elle n'était pas la seule à être habile de ses doigts. Je me levai et vins me mettre à genou devant elle. D'une main, j'attrapai les lèvres de sa moule pour les écarter et ainsi dégager son clitoris. Malaurie me regardait faire, avec un léger sourire et le regard trouble. J'approchai mon visage et commençai à lui taquiner le clitoris par de petits coups de langue. ![]() images similaires Manifestement, elle adorait. Elle avait les yeux fermés et se mordait le bord de la lèvre inférieur, apparemment très concentrée sur son plaisir. Pas très à l'aise dans cette position, je lui proposai de s'alloner sur le bord du lit. Elle s'exécuta et écarta largement les jambes, me rappelant inutilement ce qu'elle attendait de moi. Me plaçant entre ses cuisses, je lui mis directement deux doigts dans la fente. ![]() images similaires Elle n'en pouvait déjà plus, l'orgasme commençant à se concrétiser. Je ne m'arrêtais pourtant pas, faisant aller et venir mes deux doigts à un rythme régulier. Malaurie semblait se concentrer autant que possible pour ne pas jouir aussitôt. J'entrepris de faire en sorte qu'elle n'y arrive pas. Elle se tortilla un peu comme pour tenter de déloger les deux doigts étrangers qui la pénétraient. L'orgasme arriva, puissant. Elle se laissa envahir complètement. Son corps se tordit en tout sens et mes deux doigts furent contraints d'abandonner leurs chaudes investigations sous la violence des soubresauts. Mais je réussis toutefois à lui remettre mon majeur dans la chatte, inondée de mouille avant que son orgasme ne s'achève. Elle jouit de plus belle, comme si un nouvel orgasme venait se cumuler au premier. ![]() images similaires Après quelques minutes affalées l'une à côté de l'autre sur mon lit, Malaurie se tourna vers moi : - C'est bien les bites, mais faire ça entre nana, c'est génial aussi ! - Tu m'étonnes... Encore essoufflée, je vins me placer tête-bêche sur Malaurie. Elle ne me repoussa pas et j'entamai donc avec elle un petit soixante-neuf destiné à montrer à quel point j'approuvais son propos. Elle se mit elle aussi rapidement à l'ouvrage et je sentis sa langue fouiner entre mes lèvres. ![]() images similaires Nous eûmes notre second orgasme ensemble. Je la laissais se remettre et remarquai que la matinée était déjà assez avancée. - On n'a rien fait de notre matinée... - C'est de ta faute tu n'avais qu'à pas te toucher ! - Si tu n'étais pas venu ça n'aurait pas dégénéré... ![]() images similaires - Heureusement que je suis venue alors ! - C'est clair. Et toi, ça t'arrive aussi de te toucher ? - Oui, ça m'arrive... surtout si je n'ai pas baisé la veille. - Et ça arrive souvent ? Malaurie ne répondit pas elle se rendormait déjà... ![]() images similaires Je restais un certain temps à l'observer dormir, une demi-heure peut-être. Alors que j'allais aller me préparer, elle sembla se réveiller. Elle avait repoussé les couvertures à ses pieds et, les yeux toujours fermés, je vis ses mains malaxer ses seins. Elle semblait toujours à demi endormie. Ses mains descendirent jusqu'à son ventre et, écartant légèrement les cuisses, je vis ses doigts se perdre sur son sexe. ![]() images similaires Soudain, elle ouvrit les yeux et me regarda en se moquant de moi : - La tronche que tu fais ! Tu croyais que je me branlais en dormant ? - Un peu oui, et ça m'a d'ailleurs bien excité. tu faisais semblant ? - Evidemment ! Après la partie qu'on vient d'avoir, je suis bien calmée. Je vais prendre une douche. Elle me laissa seule dans ma chambre. Pour ma part, j'avais encore bien envie de ma toucher, mais j'étais aussi un peu exténuée par nos multiples galipettes. Je m'allongeais donc sur le lit en me disant que je me lèverais quand j'entendrais Malaurie sortir de sa douche. Je m'endormis sur le ventre, les cuisses écartées et le moule dégoulinante de cyprine. ![]() images similaires Je me réveillai près d'une heure plus tard, réveillée par un bruit étrange : une respiration. Je m'attendais à voir Malaurie, mais il n'en était rien, c'était un des copains de Willy que j'avais déjà eu l'occasion de sucer. Il était assis et me mâtait le cul comme s'il s'agissait d'une oeuvre d'art. Mon premier réflexe fut de tenter de dissimuler ma nudité. ![]() images similaires Puis, je me dis qu'il était peut-être là depuis une demi-heure et que me cacher maintenant serait ridicule. Je l'interrogeai : - Tu es là depuis longtemps ? - Depuis dix minutes. C'est Malaurie qui m'a dit de monter... - Rappelle-moi ton nom ? - Luc. On est passé vous dire bonjour avec Willy, Marco et Tad. ![]() images similaires Je me mis assise sur le lit, ne cherchant pas à montrer la moindre pudeur. - Et Malaurie t'a dit de monter me voir ? - Oui, pour t'aider à t'habiller... - Pour m'aider à m'habiller ? - Oui... Cela semblait beaucoup l'amuser. ![]() images similaires - Bon... Et bien, passe-moi mes fringues alors ! - Où sont-elles ? Effectivement, je ne voyais pas mes vêtements. Je le vis se lever pour faire le tour de la chambre. C'est à ce moment-là que je remarquais la formidable bosse qui déformait sont pantalon. - Hey ! Tu bandes à mort ? - ...c'est bien normal, non ? - Approche... Il s'approcha et vint s'asseoir sur le bord du lit à côté de moi. - T'as vraiment des nichons incroyables ! - Caresse-les si tu veux... Il ne se fit pas prier et se mit à me palper les seins avec enthousiasme. ![]() Une voix se fit entendre en bas : "Tu as besoin d'aide, Luc ?" Luc répondit aussitôt par la négative. Je l'abandonnai pour me lever. - Tu es sensé m'aider à m'habiller. Ne voyant pas mes vêtements ni au pied du lit, ni à côté, je décidais d'en prendre de nouveaux dans l'armoire. ![]() images similaires Mais à ma grande surprise, l'armoire était verrouillée. Fermée à clé et, bien sûr, pas de clé en vue. - Cette salope m'a planqué mes fringues pour m'obliger à descendre à poil devant tout le monde. Luc me souriait, manifestement ravi de cette situation. Lisa |