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La suite, la voilà. Shomari se coucha sur le dos entre mes cuisses et me suça les grandes lèvres tandis que Bahia me léchait les seins pour les nettoyer du sperme de son frère. La langue du beau noir écartait mes lèvres et cherchait mon clitoris que je lui refusais encore. ![]() images similaires Par contre je me liquéfiais sous ses caresses et Bahia abandonna ma poitrine pour recueillir mon nectar que ne parvenait pas à boire Shomari; son sexe regonflait et se tendait lentement; j'étais hypnotisée par celui-ci. Bahia passa sous mes fesses et titilla ma rondelle puis introduisit un doigt dans mon anus. Vous savez que j'aime l'amour anal et mon plaisir est grand quand on m'encule. ![]() Il n'y avait pas de doute, Bahia préparait mon oeillet pour le pieu de son frère. Au point où il en était, je commençais à craindre pour mon intégrité physique et je le dis à Bahia. Celle-ci ricana et me répondit que mon mari et moi ne nous étions pas trop posé de questions quand c'était elle qui s'était faite sodomisée. Je dus reconnaitre qu'elle avait raison et me détendis pour mieux préparer mon petit cul. Bahia pris un petit tube d'onguent et en enduisit le gland et la hampe du sexe de son frère puis elle revint vers moi pour m'en introduire un bonne quantité. Quand elle considéra que j'étais prête, elle se releva et dit à Shomari : "elle est à toi". ![]() images similaires Il me prit par les hanches et sans effort me leva. Il me déposa doucement sur le sommet de son gland. Bahia me fit face, prit mes chevilles dans ses mains et écarta mes jambes à angle droit. Shomari, tout en me maintenant à la taille, me laissait glisser doucement pour que son gland presse sur mon petit trou de tout mon poids. Lentement je sentais mon anus se dilater et son gland pousser dans mon cul. La sensation était exceptionnelle et la dilatation ne semblait jamais s'arrêter; je gémissais et il fallait toute la force de mes amants pour me maintenir. Tout d'un coup, son braquemart fut happé dans mon anus ; je ressentis une douleur intense et hurlai. ![]() images similaires Shomari me tenais par les épaules et je continuais à descendre sur sa bite; le supplice du pal, lent et sans fin. Aidé de sa soeur il changea de position ; il se releva en me tenant par le ventre ; je me retrouvais le corps à l'horizontale et les jambes dans le vide; je ne touchais pas terre, entièrement embrochée sur son pal de chair palpitante. ![]() Je criais, je gémissais, je bavais ; il n'en avait rien à faire et me posa sur la table en teck de la terrasse pour pouvoir me défoncer les reins. La douleur diminuait et ses va et viens très longs, à la limite du déculage me rendaient folle ; je le voulais, j'avais envie d'être sa chienne, qu'il me bourre et je lui dis; il ne se fit pas prier et accéléra la cadence. ![]() L'orgasme vint d'un coup comme un éclair, il fut long et douloureux et magnifique; je m'empalai de moi même pour que ses couilles soient pressées contre mes fesses. Il se dégagea et me laissa pantelante sur la table. Il fit le tour et Bahia vint m'embrasser puis elle ouvrit ma bouche pour que je reçoive les puissantes giclées de semence de Shomari. ![]() Je les déglutis au fur et à mesure et je restai épuisée sur la table ouverte au deux extrémités de mon corps. Je dus m'assoupir et lorsque je me réveillai, j'étais seule, enfin presque parce que j'entendis la voix de mon mari me demander :"Tu peux m'expliquer ?". ![]() images similaires |