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La punition de Sylvie

Sylvie
16 janvier 2008
La punition de Sylvie

Ce début d'été 2003 était déjà particulièrement chaud et annonçait la canicule qui allait suivre. J'avais déjà pris l'habitude de ne plus mettre de sous-vêtements et ce n'était pas pour déplaire à Axel qui ne pouvait s'empêcher de me baiser à chaque fois qu'il rentrait du travail. Comme je lui avais avoué mon penchant pour les éjaculations faciales, il ne manquait pas de jouir sur mon visage à la moindre occasion. Mais la fin de semaine avait été difficile pour moi. Axel étant en grand déplacement pour son travail, et moi restant à l'appartement pour réviser mes examens, je n'avais pas joui depuis le week-end précédent. Ce vendredi en début d'après-midi, ne pensant pas sortir, j'avais mis un petit haut léger sur mes petits seins et une minijupe sans rien d'autre.
Quand on sonna à la porte, je n'avais même plus conscience de ma tenue et j'ai donc accueilli un homme mûr (j'allais avoir 21 ans) qui souhaitait faire une enquête sur les relations de voisinage et la vie de quartier. J'ai trouvé le sujet sympa et l'ai donc invité à rentrer et à s'installer dans le fauteuil. Je lui ai proposé une bière, qu'il refusa, et j'ai pris une chaise pour m'asseoir face à lui, alors qu'il me parlait. Après avoir sorti son questionnaire, il se tourna vers moi et s'arrêta net.



C'est seulement en voyant une bosse se former à l'entrejambe de son pantalon que je compris son émoi. Il est vrai que je me tenais juste devant lui en minijupe, les cuisses franchement écartée et sans culotte... Il n'était donc pas étonnant que je le fasse bander. Aussitôt, je sentis une chaleur me parcourir le ventre et me picoter la moule. Ma cyprine se mettait à couler. Je n'ai pas réfléchi, je me suis levée et suis aller à lui. Sans le regarder, j'ai sorti son sexe du pantalon. Il était réellement imposant.



Il était déjà bandé au maximum, je n'avais même pas besoin de le sucer ou de le masturber (ce qui était un peu frustrant). Je sentis sa main sur mes fesses nues. Ses doigts jouaient avec les lèvres de ma moule inondée, mais rapidement passèrent à un autre jeu. Il me taquinait l'anus, s'amusant à le caresser, y faisant glisser un doigt, puis en y amenant deux doigts. Très vite, je fus à bout. Je me suis levée et lui ai proposeé de m'enculer.


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Il ne se posa pas de question et profita de l'opportunité de mettre un peu d'aventure dans son travail. Il posa son gland contre mon anneau et pressa doucement. Comme j'étais quand même habituée à ce qu'Axel me prenne par là, je donnai un petit coup de reins pour qu'il m'empale directement. Il sembla surpris de pouvoir me pénétrer aussi facilement et ne me besogna pas aussitôt.



Il commença lentement à me prendre, accélérant peu à peu, jusqu'à me défoncer carrément. Ce n'était pas la première fois qu'il enculait une femme et il s'y prenait bigrement bien. Il me donna un orgasme incroyable (je dois dire qu'Axel avait une queue plus modeste et me faisait rarement jouir par le cul). Je voulais ensuite lui offrir ma bouche pour qu'il s'y achève, mais je n'en eus pas le temps. Motivé par mes cris d'orgasme, il explosa dans mon cul. Je sentis sa semence se déverser dans mes entrailles. Quand il se retira, son jus s'échappa de mon cul comme s'il y était sous pression.


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C'était incroyable ! Je m'en remettais à peine que je constatai qu'il était déjà rhabillé et qu'il s'apprêtait à sortir.
- Et ton enquête ?
- Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a pris...
- C'est pas grave. C'était super !
- Je suis marié, je n'aurais pas dû...
- Oh que si ! J'ai adoré !
Il sortit et, à peine quelques secondes après, la porte se rouvrit à nouveau.
- Axel ?
- J'ai pris mes RTT pour rentrer plus tôt. J'ai pu prendre un train et...
Il s'arrêta net en me voyant, toujours à quatre pattes, du sperme me coulant du cul.


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- Putain ! Me dit pas que c'est le mec que je viens de croiser !!!
- Si...
- C'est qui ?
- Aucune idée... il venait faire un sondage et je lui ai sauté dessus. J'ai pas vu une bite depuis dimanche et je ne t'attendais pas avant ce soir...
- Tu t'emmerdes pas... Et tu t'es dit "Tiens, je vais me faire péter le cul par un inconnu en attendant mon copain" ???
- J'aurais préféré qu'il jouisse dans ma bouche...
- C'est vrai ça : tu l'as laissé jouir dans ton cul ?
- Pas eu le temps...
- Et bien je sais comment je vais te punir espèce de pute !
Vu comment il réagissait, Axel semblait prendre très bien la chose. Il faut dire qu'une relation de confiance s'était installée entre nous et que nous nous racontions nos écarts de conduite assez facilement. Le fait est que c'était la première fois que j'étais prise la main dans le sac.
J'étais toujours à quatre pattes sur le canapé, il vint se mettre devant moi. Il sortir sa bite déjà un peu raide et se l'astiqua tranquillement en me regardant. Quand elle fut bien raide, il me la mit dans la bouche pour que je lui taille une pipe.


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Il ne fut pas long à jouir. Il sortit sa queue avant d'exploser et m'envoya tout son foutre au visage. J'eus un petit orgasme qui me fit frissonner. Son sperme était épais et seule une partie avait fini dans ma bouche, plusieurs jets ayant aboutis autour.


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- Tu m'avais dit que c'était les éjaculations faciales que tu préférais...
- Et c'est vrai, mais ce crétin a été trop rapide et a joui avant que je n'aie le temps de réagir !
- Alors pour ta punition, tu vas garder mon sperme sur ton visage.
- Quoi ? ...Toute la journée ?
- Oui.
- Et si des gens le voient ?
- Ils le verront...
- Ils voudront sûrement éjaculer aussi sur mon visage !
- Et tu les laisseras faire, puisque c'est ce que tu préfères...
- Oui...
- Et tu n'essuieras rien.
- D'accords...
- Je veux qu'on aille en ville faire du shopping et que l'on passe au drive-in du fast-food avant de rentrer ce soir.
Je n'avais émis aucune protestation. D'une part parce que j'avais été prise sur le fait et qu'il me fallait bien me soumettre. D'autre part parce que ça m'excitait aussi beaucoup de me prêter à ce jeu-là. Je sortis donc. Axel m'emboîta le pas, armé de son appareil photo numérique.



Alors que j'entrais dans la voiture, un type s'approcha avec une clope à la main. Axel étant de l'autre côté de la voiture, c'était à moi qu'il demanda du feu. Comme je ne fumais pas, je lui répondis que je n'avais pas de briquet. Il remarqua le sperme sur mon visage et demanda ce que c'était. C'est Axel qui lui répondit :
- Du sperme, cette nana suce comme une reine et adore se faire gicler sur la tronche.
- Vous vous foutez de moi ?
- Pas du tout, si ça te dit...
Il me regarda interloqué. Je lui souris pour lui indiquer qu'effectivement j'étais prête à le faire. Comme il avait l'air d'accepter, je m'accroupis devant lui et lui sortis sa queue. Elle se dressa peu à peu sous mes doigts et mes coups de langue.



Je le pris ensuite franchement en bouche et lui taillai une pipe du mieux possible pour éviter que ça ne dure trop longtemps et surtout que l'on soit surpris par des promeneurs qui réclameraient aussi une participation. Le type ne put pas se retenir longtemps et m'envoya toute sa purée au fond de la bouche. Je ne pus pas tout avaler et laissai couler quelques gorgées de sperme hors de ma bouche.


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Professionnellement, je lui nettoyai proprement la bite avant de le laisser partir. Axel démarra et partit dans le centre et se gara sur les quais, à côté de deux jeunes qui discutaient le long de leur voiture. Alors qu'il allait fermer la voiture, il me demanda de récupérer son portefeuille sur la banquette arrière. Avec notre petite voiture sans portière arrière, je dus me contorsionner pour arriver à l'atteindre. Axel savait ce qu'il faisait et j'avais oublié un détail qui ne lui avait pas échappé : je ne portais rien sous ma jupe.


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Evidemment, ce spectacle était destiné aux deux garçons (probablement une vingtaine d'années). Ils n'en croyaient pas leurs yeux. Axel m'expliqua dans quelle boutique il souhaitait que nous allions, alors que nous remontions dans la rue. Arrivé en haut il se pencha sur le parapet et me demanda d'en faire autant pour regarder en bas.
- Et bien quoi ? Demandai-je.
- Tu vois les deux mecs qui ont maté ton cul tout à l'heure ?
- Bah non...
- Normal, ils sont toujours derrière toi à mater ton cul.


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Et ce connard disait vrai. Je rentrais dans son jeu sans même m'en rendre compte. Et les deux garçons avaient une nouvelle fois pu voir mon cul et ma moule. Nous sommes repartis vers le magasin que m'avait indiqué Axel. Durant tout le trajet, les deux gars nous ont suivis. Je ne prêtais même pas attention aux regards ahuris des gens qui constataient que j'avais du sperme sur le visage. Une fois dans le magasin, Axel se dirigea vers les escaliers et me demanda de le rejoindre au deuxième étage par les escalators. Bien sûr, les deux gars étaient derrière moi et en profitaient encore.


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Arrivé au second étage, celui des fringues, Axel m'amena à une cabine d'essayage et me mit dedans en me disant de me foutre à poil et d'attendre que je lui apporte des vêtements. Je m'exécutai sans broncher. Une fois nue, j'attendis bien cinq minutes avant que le rideau ne s'ouvre enfin. Mais ce n'était pas Axel ! C'étaient les deux mateurs qu'Axel m'avait envoyés. Ils rentrèrent dans la cabine, rigolards, et commencèrent à me tripoter. J'eus toutes les peines du monde à leur enlever leurs vêtements, mais une fois fait, ils me laissèrent enfin tranquille, se concentrant sur la sensation de ma bouche sur leur membre érigé.


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Je les suçai tant et si bien qu'ils ne furent pas long à éjaculer. Ils jouirent tous les deux sur mon visage, me couvrant de leur sperme chaud et épais, me faisant jouir par la même occasion. Axel choisit ce moment pour ouvrir le rideau de la cabine d'essayage et prendre une photo, alors que leur jus me coulait sur le visage et que je me remettais à peine de mon orgasme. Un monsieur derrière lui aperçut la scène et en resta bouche bée.


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Axel referma le rideau et je terminai de nettoyer les deux queues. Un des garçons me proposa son mouchoir. Je refusai poliment sans prendre la peine de lui expliquer que je devais garder leur semence sur le visage jusqu'au soir. Ils sortirent de la cabine et je les suivis peu après. Le monsieur qui m'avait aperçu attendait devant la cabine, Axel n'était pas là. L'homme me regarda des pieds à la tête et figea son regard en voyant mon visage couvert de sperme.
- Mademoiselle... vous semblez bien délurée.
- Je prends beaucoup de plaisir et j'en donne également. Il y a une loi contre ça ?
- Il n'y a pas de loi contre, mais il devrait y en avoir une pour !
Je m'étais méprise sur son jugement. Je lui souris et je rejoignis Axel qui m'attendait à la sortie du magasin. Dans la rue, je passais de moins en moins inaperçue...



Plusieurs personnes s'arrêtaient en me voyant. Un groupe de jeune repassa même devant moi pour me prendre en photo avec leur portable. Nous avons ainsi remonté la rue, retournant vers les quais où nous avions laissé la voiture. Avant d'arriver sur les quais, Axel me fit la remarque que quatre hommes semblaient nous suivre de manière assez déterminée. En me retournant, je constatai qu'il avait raison. Il me poussa dans un petit passage sur la droite qui nous mena sur une petite place avec une fontaine et quelques buissons. Une rue peu passante longeait l'autre bout de la place, mais il n'y avait pas un chat. Les quatre types nous y avaient suivis. l'un deux interpella Axel :
- Excusez-moi, monsieur. Il nous a semblé que votre amie avait comme du sperme sur le visage.
- Messieurs, répondit Axel, votre perspicacité est étonnante.
- Comment est-ce arrivé ? Vous n'avez pas pu lui faire tout ça vous même ?
- Effectivement. Elle adore les éjaculations faciales et à chaque fois qu'elle en a l'occasion, elle en fait.
- Combien là ?
- Pour le moment, elle en est à quatre.
- Et nous quatre en même temps, ça fait trop ?
- Faut lui demander à elle...
Avec Axel, tout était très simple et ne nécessitait pas de fastidieux préliminaires. Comme je soulevais ma jupe pour me caresser la moule, les quatre mecs n'eurent pas à attendre de réponse de ma part pour venir me rejoindre. En quelques instants, ils eurent leur pantalon sur les chevilles et quatre magnifiques membres en érection se dressaient pour moi. Ils me retirèrent mon débardeur et ma jupe et, à genou entre eux, je me mis à l'ouvrage.



Leurs bites étaient bonnes et je pris un grand plaisir à les sucer longuement. C'était très agréable d'en avoir autant pour moi toute seule. Axel ne perdait pas de temps et prenait des photos. Le plus petit des quatre vint soudain se placer devant moi, manifestement au bord de l'explosion. Les autres s'écartèrent et le regardèrent s'astiquer la queue frénétiquement. Il se mit à beugler en m'envoyant son jus. Tous ses jets m'atteignirent au visage mais à des endroits différents.


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Les cris du type avaient attiré du monde, non pas sur la place, mais aux fenêtres. Je crois qu'une bonne dizaine de silhouettes se distinguait aux fenêtres. Je pus même en distinguer une qui, aux gestes assez franc, trahissait une masturbation. Les trois autres types jouirent presque en même temps. Un orgasme terrible monta en moi, presque aussi fort que lors de ma sodomie quelques heures plus tôt. Du sperme me coulait dans les yeux, dans le cou, dans les cheveux. Je n'y voyais presque rien mais je sentais que j'étais entièrement couverte de foutre.


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Je n'eus l'opportunité ni de sucer les mecs pour les nettoyer, ni même de les remercier car, quand je pus rouvrir mes yeux (je fus bien obligée d'en essuyer un peu), ils avaient disparu. Je me suis rhabillée et nous sommes retournés à la voiture. J'étais à peine assise au volant qu'un type frappa à ma fenêtre. Je crus reconnaître la silhouette du mec qui se branlait à sa fenêtre mais je n'en étais pas sûre. A peine ma fenêtre fut-elle baissée qu'il me fourra un membre épais et gonflé dans la bouche. Je n'eus le temps de le pomper que trois ou quatre fois quand je sentis qu'il allait jouir. Il se retira lui-même et me cracha tout son foutre au visage. J'eus encore un orgasme.


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Alors que j'allais le sucer pour le nettoyer (c'est quand même la coutume !), il se remit la queue pleine de sperme dans le pantalon et se tira, sans même avoir dit un mot (moi non plus d'ailleurs). Axel en rigolait. Il continuait à me photographier. Je démarrai la voiture et nous traversâmes le centre ville. De l'extérieur de la voiture peu de monde se rendait compte que j'avais la tête couverte de sperme. Seules quelques personnes dans un bus qui s'arrêta à notre hauteur firent de grands yeux en me voyant. Nous avons gagné le sud où se trouvait le fast-food avec drive-in. Le serveur lui aussi resta figé, les yeux écarquillés, en constatant que le liquide blanchâtre qui me couvrait le visage ne pouvait être autre chose que du sperme.


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Après avoir récupéré la commande, Axel me demanda :
- Tu ne veux pas qu'on se gare et qu'on aille faire un tour en salle, voir la réaction des gens ?
- Tu ne crois pas que tu abuses ?
- Pourquoi ?
- On a déjà de la chance que personne n'ait appelé les flics, surtout après les quatre types de la petite place.
- On n'a pas vu un flic !!!
- Justement ! Restons en-là... si on déboule dans une foule et que ça tourne à la partouze avec la moitié des mecs présents, tu imagines bien qu'il y aura une femme jalouse pour appeler les flics.
- Ok ok ok, je n'insiste pas...



Nous sommes rentrés chez nous sans être inquiétés. Axel m'autorisa quand même à me doucher avant qu'on se mette à table. Il faut dire que les couches de sperme les plus anciennes étaient sèchent et commençaient à me tirer sur la peau (les filles, j'adore le sperme, mais en masque ça vaut rien !). J'avais donc surtout hâte de me nettoyer le visage.
Alors que je me rinçais la tête, Axel déboula à poil sous la douche, la queue déjà frétillante, et me dit :
- J'imagine que ça va mieux. L'odeur du sperme devait être très forte.
- Oui, mais ce qui était un peu pénible, c'est surtout le fait que ça sèche et que ça tire sur la peau.
- Et n'oublie pas de te laver le cul aussi...
C'est vrai que je ne m'étais pas lavée depuis ma sodomie du début d'après-midi...


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Pour bien le laver en profondeur, je me suis mis un doigt dans l'anus et ai fait quelques va-et-vient le plus profondément possible en me cambrant. Ce n'était bien sûr pas désagréable, mais je fus surprise de constater que ça excitait formidablement Axel de me voir faire ça. Je vis son sexe se gonfler et se dresser majestueusement. Je ne pus résister à ça et je me mis aussitôt à genou pour prendre son membre dans ma bouche. Je le sentais palpiter entre mes lèvres.


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Je pense que même s'il m'avait déjà honorée en début d'après-midi, tout ce qui c'était passé en ville avait dû l'exciter formidablement. Il ne fut donc pas long à venir. Au moment d'éjaculer, il sortit sa queue de ma bouche et s'astiqua. Je gardai ma bouche ouverte, le visage tendu vers sa bite. L'orgasme m'envahit juste avant la première projection de sperme. Alors que je criais mon plaisir, je recevais sa semence sur la langue et dans la gorge, sur le front et dans les cheveux, sur les joues et dans les yeux.


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Je repris mes esprits alors qu'il se lavait déjà le gland sous l'eau de la douche.
- Décidément ! Vous les mecs, vous ne voulez pas qu'on vous suce pour vous nettoyer correctement ???
- Bah si... mais je te laisse te remettre de tes émotions.
- Je suis remise !
Et pour illustrer mon propos, je lui fis une nouvelle fellation, mais cette fois-ci seulement destinée à faire disparaître toute trace de sperme.



Il dirigea le jet de la douche sur mon visage et me lava du sperme encore collant qui maculait mon visage.

S.

La punition de Sylvie

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