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L'étudiante préférée du prof d'Histoire

Jonath
6 mars 2008
Voici une nouvelle histoire pour le plaisir de vos yeux (elle m'a été inspiré par une amie assez chaude):

Comme d'habitude, je suis arrivée en retard à mon cours d'histoire, à la fac. Mais je ne m'en soucie pas puisque mon prof ne comptabilise pas mes arrivées en retard ni mes absences, je suis son élève préférée, tout le monde le sait.

Heureusement pour lui que je suis bonne élève sinon les excellentes notes de mes épreuves seraient suspectes, et mes copains se plaindraient auprès du directeur d'établissement.

De toute façon, je m'en fous, c'est mon dernier semestre à la fac avant de devenir licenciée et ce cours, étant donné l'emprise que j'ai sur mon professeur, je l'ai validé d'avance.

C'est la première fois que j'ai un prof qui m'excite au point de me faire mouiller en classe. Il s'appelle Valentin et j'adore sa façon de me faire rester longtemps après que le cours est fini, pour essayer de m'aborder.



J'aimerais bien me le taper mais je préfère le faire attendre pour augmenter ses envies et le rendre fou. J'adore jouer avec les mecs car ça m'excite beaucoup, surtout quand ils désespèrent.

Le pauvre Valentin a l'habitude de chercher mon regard, en classe, et de rougir à chaque fois que je lui réponds avec un sourire complice, qui fait pâlir de jalousie les salopes de mes copines.

Je le regarde se déplacer au devant de la salle et lancer des regards aux élèves qui, systématiquement, finissent par se poser sur moi. J'adore son manque de maîtrise de lui-même, car il me désire et ne peut pas le dissimuler.

Je suis sûre que je pourrais faire tout ce que je veux avec lui. En fait, je suis très chaude aujourd'hui et je trouve que c'est bien le moment de le récompenser.

Le cours est fini et je sors la première en lui adressant un regard coquin. Je laisse tomber une feuille pour qu'il la ramasse où j'ai écrit ça : « salle des professeurs dans 5 minutes ».

Il arrive aussitôt et me fait entrer. La salle des professeurs est vide, comme d'habitude à midi et, une fois dedans, je ne peux m'empêcher de rire en voyant qu'il n'ose pas me sauter dessus.

Je prends l'initiative et sans crier gare l'embrasse sur les lèvres. Mon baiser est si profond qu'il s'active tout de suite et ses mains glissent sous ma jupe pour enlever ma culotte, toute trempée de mouille.



«T'as mouillé pendant tout le cours?»- me dit-il d'une voix étonnée.

«Oui, comme d'habitude, tu me fais craquer, mon petit prof...»
lui dis-je consciente que ces mots le rendraient fou et qu'il allait me plaire et m'obéir jusque dans les moindres détails.

Je sens son sexe palpitant, qui tape doucement sur ma jambe droite et je m'agenouille pour le laisser sortir.

«Voyons donc, qu'est-ce que j'ai trouvé là...» il semble aimer ce jeu coquin et, oubliant son rôle d'enseignant universitaire, il me répond avec des mots crus et vulgaires, comme je l'aime.

«C'est une grosse matraque pour que tu t'en goinfres, ma petite salope!» et, sans plus attendre, il me prend par la tête et enfonce son pénis bien au fond de ma gorge.


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Toute surprise mais très excitée, je me laisse faire et ses mouvements appuyés me font baver abondamment. Ma salive chaude le rend fou et il gémit pendant que je le suce de plus en plus vite.

Ma chatte en feu est inondée de mouille et mes seins ont tellement durci qu'il me semble que je porte deux pierres sur la poitrine. Je voudrais qu'il me pénètre sur le champ et, lâchant sa bite, je le supplie de me prendre en levrette sur le sol.


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Je me mets à quatre pattes pour endurer des coups que j'imagine très brusques et durs, mais il semble hésiter et, pendant quelques instants, ne fait rien du tout.

Au moment où je vais me retourner pour lui demander ce qui arrive, il glisse son dard dans mon anus, à sec, sans me prévenir. Je pousse un cri.


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Loin de me déplaire ses va-et-vient augmentent encore plus mon excitation et j'atteins deux orgasmes de suite, au milieu de saccades musculaires très puissantes.

«Oh ouiii, continue, encore, encore!!» lui dis-je sans pouvoir me retenir.

Il continue à limer mon petit trou jusqu'à me balancer un jet de sperme chaud qui me procure une sensation de soulagement indescriptible.


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Bonne lecture

Jonath

P.S.: deso si je ne met pas d'image mais je n'en ai pas encore bcp de stock

L'étudiante préférée du prof d'Histoire

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