Chloe23
29 juin 2015
message 26324
Gage : la fête de la musique


21 juin : fête de la musique ! Et surtout, une bonne occasion de s'amuser.

Le midi, à la cafeteria proche de la fac où nous nous retrouvions entre copines, ce fut Géraldine, la plus jeune et la plus jolie de nos profs, qui nous demanda :

-Je compte aller à la fête de la musique ce soir. Avez-vous envie de m'accompagner ?

Pour celles et ceux qui ont lu mes histoires, Géraldine était l'organisatrice de notre stage de cohésion de groupe, à la montagne. Et dans mon récit, il y avait sa photo :



J'acceptai tout de suite son invitation, certaine que cette soirée serait chaude.

Les quelques filles autour de la table étaient toutes présentes à ce stage, et avaient dévoilé - ou découvert - leur goût pour le sexe. Sandra, la « novice » qui nous avait déjà surprises à l'époque, accepta elle aussi très vite. Je ne pouvais pas oublier notre partie de jambes en l'air en public, au cours de la soirée de fin de stage.



Aline et Barbara décidèrent aussi de se joindre à nous. Elles aussi avaient gardé un bon souvenir de notre court séjour à la montagne...




Nous avons arrêté un rendez-vous vers 23h. Géraldine, prise en fin de journée par une réunion, ne pouvait se libérer plus tôt. Avant que nous nous séparions, elle nous lança :

-Et habillez-vous sexy, les filles ! Une soirée comme ça, chacune doit se trouver un homme... ou plusieurs, pour celles qui n'ont pas peur. N'est-ce-pas Chloé ?
-Pas de soutif, pas de culotte ! répondis-je en riant.

A l'heure prévue, nous nous sommes retrouvées, en ville. Le décolleté de la robe de Géraldine, déplacé dans un mouvement involontaire - mais était-ce involontaire - nous confirma qu'elle n'avait pas mis de soutien-gorge.



Il en était de même pour Aline,...



... Barbara,...



... Sandra,...



... et je ne pouvais pas, bien entendu, être en reste !



Nous avons déambulé à travers les rues et les places, écoutant les différentes formations qui se produisaient. Nous avons pris quelques verres aux terrasses des cafés. Mais nous étions déçues : nous nous étions bien fait draguer (lourdement) par des mecs, mais beaucoup avaient déjà trop bu, et aucun n'était vraiment attirant.

La musique n'avait rien de bien agréable à écouter, surtout pour Géraldine, bonne pianiste. Nous commencions à penser que nous allions rentrer chacune chez nous, et qu'il nous faudrait nous caresser pour satisfaire notre désir.

Géraldine lança une dernière proposition : elle connaissait, non loin de là où nous nous trouvions, un petit club privé, dans lequel on jouait du jazz. Nous étions toutes d'accord. Si, sexuellement, il ne nous arrivait rien, au moins nous aurions écouté de bons musiciens.

Quelques minutes après, nous sonnions à la porte du club. Un serveur vint nous ouvrir, et nous indiqua l'escalier descendant à la salle, en sous-sol. L'endroit était assez exigu, avec une scène surélevée, sur lequel un groupe était en train de jouer.



Autour des tables, la clientèle, plutôt classe, semblait avoir une trentaine d'années, et Géraldine commanda une bouteille de champagne.

Le groupe continua de jouer pendant une demi-heure, applaudi chaleureusement par la salle, puis un pianiste vint le remplacer. Il jouait un jazz lent, sensuel, que Géraldine appréciait tout particulièrement.

Après quelques morceaux, il s'interrompit, et annonça au micro :

-Suivant la tradition du club, nous proposons aux spectateurs de monter jouer sur scène, pour un ″bœuf″, en solo ou accompagnés par des musiciens qui se sont produits ce soir.

Aline, Barbara, Sandra et moi, nous avons immédiatement encouragé Géraldine à s'installer au piano. Elle refusa d'abord, mais le pianiste et des spectateurs qui nous entendaient se sont mis de la partie ; Géraldine finit par céder, et monta sur scène.

C'était vraiment une excellente musicienne, improvisant sur des thèmes de jazz avec brio. Le public en redemandait, et le pianiste, manifestement séduit, s'était approché d'elle.



Lorsqu'elle s'arrêta de jouer, il se rapprocha encore plus, posa une main sur sa cuisse, et demanda à Géraldine si ses copines - il avait du nous repérer - étaient aussi musiciennes.



Sandra et moi, nous avions joué un peu de guitare, pendant nos années au lycée. Géraldine, qui le savait, ne manqua pas l'occasion de nous faire monter sur scène, avec une idée derrière la tête.

-Il y a à la table là-bas, Chloé et Sandra, deux jolies filles qui jouent de la guitare, et qui ne détestent pas se donner en spectacle.

Le pianiste nous invita aussitôt à les rejoindre. Nous avons bien refusé - conscientes surtout de nos maigres talents de musiciennes - mais la salle scandait nos prénoms.

-Si tu y vas, j'irai après toi, me dit Sandra, qui ne me laissait ainsi pas de choix.

Je montai sur le podium, encouragée par les spectateurs, et j'allais prendre une des guitares, lorsque Géraldine corsa la situation.

-Pour bien jouer, Chloé a une particularité : elle est bien meilleure lorsqu'elle est nue.

J'avais effectivement gratté la guitare, en tenue d'Eve, dans une soirée étudiante, et mes copines avaient du raconter çà à Géraldine. J'étais piégée... d'autant plus que le champagne, et les verres que j'avais bus avant, faisaient leur effet.

Je me mis derrière le rideau de la scène pour ôter ma robe. Comme convenu, je n'avais rien dessous ! Et je revins pour empoigner la guitare et m'installer, sous les projecteurs, saluée par des cris et des applaudissements.



Mon répertoire était très limité. Heureusement, le batteur et le bassiste sont venus m'accompagner pour me soutenir. Mais j'ai décidé d'arrêter à la fin du deuxième morceau.

Pour calmer le public, qui voulait me voir rester sur scène - et sans doute pas pour ma prestation musicale - je demandai à Sandra de prendre ma place. Elle se leva, et commença à gravir les quelques marches de l'escalier menant au podium. En l'attendant, je pris une pose très sexy, et quelques flashes me firent comprendre que j'allais me retrouver aussi sur des photos.



Sandra allait choisir une guitare électrique, quand je la pris par surprise, en lui demandant :

-Si je me souviens bien, lors de la soirée dont parlait Géraldine, tu n'étais pas très habillée non plus.
-Mais non ! s'insurgea Sandra.
-Même si ce n'est pas vrai (en fait, j'avais inventé), tu m'as dit tout à l'heure que tu ferais comme moi si je montais sur scène.
-Mais il n'était pas question de jouer nue, se défendit-elle en rougissant comme une pivoine.
-Chloé a raison, tu n'as plus le choix, ajouta Géraldine pour me soutenir.

Ebranlée par l'autorité de notre prof, et par la rumeur qui montait de la salle, Sandra s'avoua vaincue. Comme moi, elle se cacha derrière le rideau pour ôter sa robe, et elle revint sous les projecteurs, en tenue d'Eve, avec la guitare.

Elle n'était guère plus douée que moi avec cet instrument, mais elle s'habituait progressivement à sa nudité.



Elle alla jusqu'à jouer trois morceaux, puis récupéra rapidement sa robe et retourna dans la salle, sous les applaudissements.

Je m'apprêtais à faire de même, quand je m'aperçus que le pianiste, sans doute émoustillé par notre nudité, faisait plus que draguer Géraldine. Nullement gêné par la présence des spectateurs, il avait remonté sa robe, découvrant sa chatte épilée, et il lui caressait les seins en lui parlant à l'oreille.



Géraldine semblait plutôt apprécier - ce qui ne m'étonnait pas vraiment.

Au même moment, le patron du club quitta le bar, monta sur scène, et prit le micro.

-Certains ici savent que, dans notre établissement, nous organisons le jeudi soir des soirées privées, réservées aux femmes et aux couples qui pratiquent l'exhibitionnisme. Celles qui le souhaitent peuvent se mettre entièrement nues, et venir à cette place pour faire l'amour en public avec des hommes, ou d'autres femmes. Nous ne sommes pas jeudi, mais seriez-vous d'accord pour une fin de soirée exhib ? Géraldine et Chloé sont déjà sur scène, et peut-être que d'autres voudront les rejoindre.

Les spectateurs approuvèrent bruyamment, et le patron déclara :

-Je déclare la scène exhib ouverte ! Géraldine et Simon, à vous l'honneur de commencer.

Le pianiste prit aussitôt l'initiative. Il s'agenouilla devant notre jolie prof, écarta ses jambes et souleva une de ses cuisses, pour dévoiler à tous sa fente déjà humide. Il plongea ensuite vers sa chatte offerte, et commença à l'exciter avec de larges coups de langue.



L'effet sur Géraldine fut immédiat. Elle se mit à gémir, en ondulant des hanches, tout en l'encourageant d'une voix forte.

-Oui, vas-y, bouffe mon abricot. Oh oui, comme ça, qu'est ce que c'est bon avec ta langue !

Poussant son avantage, Simon explora le sillon de ses fesses, excita le petit trou d'une Géraldine, totalement abandonnée à son plaisir.



J'avais beau savoir que notre prof était plus que libérée, je n'aurais pas cru la voir se faire baiser en public, sur une scène.

Lorsque son minou fut bien trempé, elle fit relever Simon, et elle s'attaqua à la ceinture du pantalon du pianiste, baissant la fermeture avec une expression gourmande.



Avec une lenteur et une sensualité étudiées, elle extirpa la queue de Simon, qui affichait déjà une érection prometteuse. Elle caressa légèrement la tige qui s'allongeait sous ses doigtes, y déposait de petits baisers, avant de se concentrer sur le gland. En regardant le public, elle donnait de petits coups de langue sur l'extrémité du phallus palpitant.



Le pianiste attendit que le désir de Géraldine soit à son comble, pour la faire se retourner, prendre appui sur le piano, et poser un pied sur le tabouret. Dans cette position, sa chatte était offerte, tant à ses assauts, qu'au regard des spectateurs.

Elle poussa un long cri étouffé, lorsque le membre dressé écarta les lèvres de son sexe, pour plonger sans difficulté dans son fourreau inondé de sa sève.



Il attendit que le dard plongé dans le ventre de Géraldine ait bien pris toute sa place, puis il commença à remuer, imperceptiblement. Elle haletait, essayant de se contrôler, mais c'est elle qui se mit à coulisser sur la bite qui la transperçait.

-Tu as envie de te faire défoncer ? Pas vrai ? demanda-t-il.
-Oui, vas-y ! Qu'est ce que tu attends ?

Il ressortit presque totalement sa verge, avant de l'enfoncer d'un seul coup de reins, qui la fit hurler. Puis il se mit à aller et venir en elle, variant le rythme et l'intensité de ses pénétrations.

Je voyais Géraldine sur le point de jouir, mais il se retira, s'allongea, et lui demanda de venir le chevaucher.

La robe toujours entortillée autour de sa taille, elle vint placer sa fente à l'aplomb de l'énorme phallus dressé, et s'empala par à-coups, en gémissant à chaque centimètre de la progression du gland dans son intimité.



Cette fois, c'est Géraldine qui imprimait le rythme de ce coït, et elle se déchaînait. Elle ne mit pas longtemps à jouir, et elle s'abandonna totalement.

C'est à ce moment que je remarquai un écran, sur le côté de la scène. Y étaient projetés des gros plans de la scène, filmés par le patron.



Simon, lui, se retenait, et voulait faire durer cette partie de jambes en l'air aussi longtemps que possible.

Il obligea Géraldine à se relever, et lui arracha littéralement sa robe. Entièrement nue, elle était encore plus belle et excitante.

Il la poussa sans ménagement sur un pouf, et lui demanda :

-Tu en veux encore ?
-Bien sur, je t'en prie, répondit Géraldine, qui sentait monter en elle l'attente d'un deuxième orgasme.
-Alors, présente-nous ta petite chatte !

Elle se tourna pour offrir son petit cul aux regards, écarta ses fesses d'une main, et gémit sans retenue lorsque Simon investit de nouveau sa fente.



Cette fois, il ne prit aucune précaution pour la pistonner brutalement. Notre prof semblait apprécier cette violence, et ses cris grimpèrent très vite dans les aigus.

-Oui, c'est génial, je jouis... Oh, çà n'en finit pas, c'est bon... Ne viens pas tout de suite, continue !... Oui, oui, encore, encore plus fort... Oooh ouiiiii ! je jouis à nouveau... Oh, j'adore.

A la limite de l'explosion, Simon se retira. Géraldine comprit ce qu'il attendait, et elle s'agenouilla.



Des filets de cyprine tombaient de sa fente, entre ses jambes, et soudain, Simon jouit à son tour, dans un grognement sourd, la tête en arrière et les yeux clos.

Sur l‘écran, apparut en gros plan le visage maculé de foutre de notre prof, comblée, suçant encore la bite du pianiste pour en extraire les dernières gouttes de sperme.



Le couple se sépara enfin, sous les applaudissements.

Toujours nue, je n'avais pas perdu une miette de ce spectacle, qui avait réveillé au fond de mon ventre un fourmillement que je connaissais bien.

Les projecteurs qui éclairaient la scène furent dirigés sur moi. Eblouie, je ne voyais plus grand-chose autour de moi, mais je devinais les regards, dans la salle, qui se focalisaient sur mon anatomie. Je pris conscience de ne pas être seule dans la lumière : le bassiste et le batteur qui avaient accompagné mes morceaux de guitare étaient là, tout près, et ils étaient nus également.



Ils m'entourèrent, et se présentèrent à mi-voix : il y avait Ken, le batteur, et Jimmy, le bassiste. Je ne pus m'empêcher de baisser les yeux pour découvrir leurs sexes, dont les proportions, au repos, étaient à mon goût.

Une musique lancinante, au rythme sourd et érotique, se mit à résonner dans la salle. Elle eut sur moi un effet aphrodisiaque, et je m'agenouillai pour pouvoir toucher les bites de mes musiciens.



Je les caressais doucement, voluptueusement, les sentant grossir et se raidir sous mes doigts. Elles étaient maintenant dans une demi-érection, et leur taille était déjà respectable.

Je devais finir le travail, et je commençais à les embrasser, les lécher, les entourer de ma langue, l'une après l'autre, alternativement. Enfin, je pris le gland de Ken, en premier dans ma bouche.



Mon désir devenait de plus en plus irrépressible. Je jetais, de temps en temps, un regard vers la salle, et le fait de m'exhiber dans ces conditions renforçait mon excitation. En sueur, je suçai les deux mecs de plus belle, retardant difficilement le moment où ils allaient me prendre sur cette scène.



Alors, Jimmy m'installa sur un canapé, qui venait d'être apporté. Il releva mes cuisses, et se mit à dévorer mon minou. J'étais maintenant dans un état second, goûtant son cunnilingus, tout en branlant Ken.

Enfin, l'instant attendu arriva. Jimmy me souleva, en me tenant par les chevilles, pour me pénétrer. Ma chatte était tellement trempée, qu'il n'eut même pas besoin de maintenir sa verge pour l'investir, et son gland s'introduisit sans effort dans ma grotte.



Je gémissais, mais ça ne m'empêchait pas d'avoir envie de sucer encore Ken. Je ne m'en privai pas. Je goûtais en même temps les mouvements de Jimmy, qui me remplissait totalement, et le contact du gland de Ken, entre mes lèvres et sur ma langue.



Jimmy accéléra le mouvement, et souleva ma jambe, pour que les gens dans la salle ne perdent rien du spectacle. Il pilonnait ma chatte de plus en plus fort, et j'avais du mal à continuer de sucer Ken en raison des plaintes trahissant mon plaisir.



La position était inconfortable, et je m'agenouillai en levrette, suçant toujours Ken, et offrant ma fente béante à Jimmy. Je sentis avec délice sa bite, dure comme de la pierre, me pénétrer de nouveau, encore plus profondément.



Il me tringlait maintenant de toutes ses forces, secouant tout mon corps de ses coups de boutoirs violents, et je ressentais avec ravissement la montée de l'orgasme.

-Oui, c'est bon ! Ooooh, continue comme ça, tu vas me faire jouir... Je viens ! Ouiiii !



Jimmy se retint, mais Ken voulait maintenant profiter à son tour de ma petite chatte. Malgré cet orgasme, je n'étais pas rassasiée, et j'avais aussi envie de m'offrir à lui.

Il resta étendu, et c'est moi qui vins m'empaler sur son pieu dressé.



J'adorais sentir un gland bien gonflé s'enfoncer en moi, et pouvoir contrôler sa progression dans mon ventre. Je m'empalais lentement, millimètre par millimètre, me redressant légèrement par moments, contractant la paroi de ma grotte autour de cette bite, pour reprendre ensuite mon mouvement.

Jimmy m'offrit son phallus à sucer, et je le pris entre mes lèvres avec gourmandise.

Un nouvel orgasme montait en moi. Lorsque je suis lancée dans une partie de sexe, et que mes partenaires savent m'exciter, j'arrive à jouir à plusieurs reprises. Et c'était le cas !

Je me mis à crier mon plaisir.

J'étais encore empalée sur la verge de Jimmy, et je ne pus voir le signe qu'il fit à Ken. Mais je sentis bientôt les doigts de ce dernier explorer mon petit trou.



-As-tu envie qu'un mec bien membré perfore ton petit cul ? me demanda Ken.
-Oh oui, répondis-je dans un souffle, incapable de maîtriser mon désir.
-Et si un deuxième prend sa suite ?
-Vous profiter de ma situation, vous devriez avoir honte, protestai-je, et retrouvant assez mes esprits pour plaisanter.

Jimmy se retira, et me fit rouler sur le côté. Dans cette position, il n'avait aucune difficulté pour accéder à ma rosette, et je sentis son gland forcer l'entrée de mon orifice étroit.



Avec une infinie douceur, il investit mon anus, finissant par introduire son membre sur presque toute sa longueur. Je ponctuais sa progression de petits cris, et il attendit que je sois totalement détendue, et que j'ai repris Ken dans ma bouche, pour commencer à bouger.



Il accélérait ses mouvements, au fur et à mesure que je me déchaînais, et je sentis de nouveau tout mon corps se raidir, sous l'effet d'un troisième orgasme.



Jimmy m'avait fait venir sur lui, et cette séance de sodomie était retransmise, en gros plan et en direct, sur l'écran, mais je ne l'avais pas encore remarqué...



-A mon tour de l'enculer, elle en veut encore ! réclama Ken.

J'étais transformée en objet, et je me retrouvais de nouveau à genoux.

C'est alors que je découvris sur l'écran que j'étais également filmée. Toute la salle pouvait admirer, en gros plan, mes fesses, au milieu desquelles le gland de Ken se glissait dans mon petit trou.



Au lieu de provoquer une gêne, cette vision me fit l'effet d'un coup de fouet !

Je lançais maintenant mon cul cambré contre le pubis de Ken, pour faire coulisser sa bite dans ma rosette distendue, en poussant des cris inarticulés.



Un dernier orgasme m'emporta.

Excité par mon abandon au plaisir, Jimmy jouit à son tour, et balança tout son foutre dans ma bouche et sur mon visage.



J'étais encore secouée par les spasmes du plaisir, quand je sentis Ken se cambrer, grogner, et sa queue trembler dans mon ventre.

Je poussai un cri de victoire au moment ou un premier jet de sperme gicla dans mon petit cul. En levant les yeux vers l'écran, je vis son gland se retirer lentement, arrosant au passage mon petit trou.



Un sentiment étrange m'envahit. Je prenais conscience de ce que je venais de faire, et du spectacle que je venais d'offrir aux gens dans la salle. Et finalement, les images des parties les plus intimes de mon corps, exposées au plus fort de mon plaisir, alors que je me donnais totalement à mes partenaires, décuplaient rétrospectivement ma satisfaction.

Pendant tout ce temps, Géraldine avait suivi mes ébats, assise sur le piano, et elle me lança un « bravo ! » en souriant.



Le patron nous rejoignit sur scène pour nous féliciter, et nous guida vers une salle d'eau, à l'étage supérieur. Avec Géraldine, nous prîmes une longue douche, tout en commentant cette soirée.

En revenant dans la salle, nous découvrîmes - à notre grande surprise - Sandra sur scène, avec une autre femme.

A la place que j'occupais il y a peu, elles étaient installées toutes les deux, en 69, et se donnaient du plaisir, tout en poussant des soupirs évocateurs.

Nous retrouvâmes Barbara à notre table, qui nous expliqua :

-Pendant que vous étiez sur scène, une nana installée à une table voisine avec tout un groupe est venue nous voir. Elle doit être bi, et elle avait flashé sur Sandra. Elle lui a demandé de venir sur scène avec elle pour faire l'amour. J'ai été vachement surprise d'entendre Sandra accepter tout de suite, mais elle était tellement excitée par ce que vous faisiez...

Aline était à la table à côté, avec un des musiciens, qui la caressait, et qu'elle embrassait à pleine bouche. En me voyant, elle m'annonça qu'elle partait chez lui, car elle avait envie de faire l'amour mais n'osait pas en public.

En regardant à nouveau la scène, je vis Sandra et sa partenaire empalées sur un double gode.



Leurs mouvements déclenchaient ceux du sex toy, filmés eux aussi pour être vus sur l'écran, et elles jouirent presque ensemble.



Lorsque Sandra descendit de la scène, elle fut longuement applaudie. Et notre soirée se termina ainsi, laissant malheureusement insatisfaite notre pauvre Barbara.

Je crois que je me souviendrai longtemps de la fête de la musique 2015 !


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