Lisa
|
8 juillet 2015
message 26372
|
|
Insémination
Ce matin-là, il faisait une chaleur incroyable dès le réveil. Aussi quand Simon me demanda si j'acceptais d'aller à la piscine, j'acceptai aussitôt.
- Et à quelle piscine veux-tu m'emmener ?

- Un nouveau collègue, Frank, m'a proposé hier. Je lui ai parlé un peu de toi et il semblait avoir envie de te rencontrer...
- Qu'est-ce que tu lui as dit ?
- Juste que tu adorais t'exhiber.
- C'est tout ?
- Et j'ai peut-être mentionné aussi le fait que j'aimais bien te partager avec d'autres gars...
- Espèce de salaud !
- Tu ne veux pas y aller ?
- Bien sûr que si !

Une heure plus tard, nous étions chez Frank. Les présentations furent rapides et Frank nous conduisit directement à sa piscine. C'était un bassin assez grand avec une demi-douzaine de chaises-longues réparties tout autour. Il y avait même sur un côté un petit jacuzzi. Quand je retirai ma robe, Frank sembla très déçu de voir que j'avais passé un maillot de bain. Mais je n'allais quand même pas me mettre à poil chez un gars que je ne connaissais pas, à peine cinq minutes après l'avoir rencontré. Je me suis installée sur ma serviette, en adoration aux rayons du soleil.

Simon me mit en garde :
- Mets-toi de la crème solaire, ça cogne ce matin !
Il m'apporta la bouteille de lotion et me la tendit.
- Tu ne m'en passes pas toi-même ?
- J'aurais bien voulu, mais il faut que j'aille expliquer deux trois trucs à Frank.
Je ne savais pas ce qu'il manigançait mais il était évident que j'allais être concernée par la suite de la matinée. Je commençais donc à me mettre de la crème en attendant que les deux garçons reviennent.

Ma surprise fut grande quand je découvris Frank et Simon revenir, accompagnés de quatre autres gars : Alain, Bernard, Claude et Daniel. Tous étaient en caleçon de bain et vinrent me faire la bise en se présentant. Puis chacun se dispersa autour de la piscine. Simon s'approcha de moi défit le nœud de mon soutien-gorge. Il me retira le bout de tissu et exposa ainsi mes seins. Les cinq gars semblaient bien apprécier et je voyais déjà les caleçons commencer à se déformer. Simon me fit lever et baissa aussitôt mon string. J'étais totalement nue, offrant les parties les plus intimes de mon corps aux regards de cinq personnes qui m'étaient totalement étrangères. Je me remis sur ma serviette sans montrer la moindre pudeur.

Simon avait une gaule d'enfer et son caleçon était tendu comme un chapiteau. Il m'abandonna pour descendre dans la piscine et se rafraîchir un peu. Un silence incroyable régnait et je me demandai comment la suite allait pouvoir s'enchaîner. Mais Simon donna le ton : il baissa un peu son caleçon et exhiba son érection en me regardant :
- Il n'y a pas de raison que tu sois la seule à faire du nudisme...

La vue de sa belle queue libérée, se dressant à la surface de l'eau, me fit mouiller presque instantanément. Je resserrais les cuisses pour ne pas montrer aux cinq autres à quel point j'étais excitée. Ils s'en rendraient compte par eux-mêmes bien assez tôt. Je m'allongeai de côté sur ma serviette et demandai à Frank :
- Et toi ? Tu gardes ton maillot ?

Frank sembla gêné et je devinais qu'il l'était à l'idée d'exhiber son érection. J'insistai :
- Oh mais tu sembles bien excité ! Tu me montres ça ?
Jetant un coup d'œil à Simon qui se masturbait sans gêne en me regardant, Franck se décida à quitter son caleçon et je pus enfin voir son sexe nu. Sa bite n'était pas gigantesque mais avait des proportions plus que raisonnables.

Très excitée, je me levai et regardai les autres. Alain s'était allongé sur une bouée au milieu de la piscine. Bernard, Claude et Daniel s'étaient assis sur le bord du bassin mais sur des côtés différents, avec les pieds dans l'eau. Tous bandaient manifestement mais il n'y avait que Simon et Franck qui s'étaient débarasser de leur maillot. J'encourageai donc les autres à ne pas avoir peur :
- Allez, les gars ! Je vous laisse profiter de ma nudité, alors soyez sympa et montrez-moi vos queues, d'autant qu'elles m'ont toutes l'air à l'étroit dans les caleçons...

Alain, toujours sur sa bouée, fanfaronna :
- C'est qu'on ne veut pas te faire tourner la tête. Nos bites sont si bonnes que tu ne pourras pas t'empêcher de venir les sucer !
Je rigolai devant tant de vantardise :
- Chiche !
Sans pudeur, Alain baissa son maillot et exhiba son sexe.

Je dois avouer qu'il était magnifique et qu'il donnait bien envie à sucer. Je vins m'asseoir sur le bord de la piscine avec l'idée d'aller le rejoindre mais Simon m'arrêta :
- Chérie ! Montre-toi forte, ne succombe pas à la tentation ! Et il y a encore trois gars que tu dois convaincre d'exhiber leur queue.
Simon avait raison : Bernard, Claude et Daniel avaient encore leurs maillots.

- Alors les garçons, on est timide ? On ne veut pas montrer son engin à la dame ? Ne me dites pas que je vous fais peur...
Je me laissai glisser dans l'eau et regardai Bernard qui était le plus près de moi :
- Si tu ne quittes pas ton maillot, je viens te l'arracher moi-même !

Il me répondit aussitôt :
- L'idée est tentante, mais je vais t'éviter de le faire car là ma queue est si tendue dans mon maillot que c'en est presque douloureux.
D'un bond, il se leva et retira son caleçon pour exhiber fièrement son sexe en érection :
- Alors ? Ma bite te plaît ?

- Elle est superbe... Je peux quand même venir t'arracher ton caleçon, même si tu l'as déjà enlever ?
Il rigola alors que je me glissai dans l'eau pour le rejoindre mais je me fis à nouveau rappeler à l'ordre par Simon :
- Lisa, Claude et Daniel n'ont pas encore montré leur potentiel. Bernard peut parfaitement se masturber en attendant.
- Sauf que maintenant, plus personne ne voit mon corps.
Je me redressai pour sortir ma poitrine de l'eau.

Cela fit son petit effet car Claude saisit son érection à travers le tissu du caleçon et commença à se masturber. Je le rappelai à l'ordre :
- Si tu aimes te branler en regardant mes seins, aie au moins la gentillesse de le faire sans ton caleçon !
Je levai les bras par dessus ma tête pour faire saillir ma poitrine.

Claude se mit quelques secondes dans l'eau, le temps de se débarrasser de son caleçon de bain. Quand il se rassit sur le bord, je fus stupéfaite par la taille de sa bite. Il s'agissait d'un véritable colosse et Claude, voyant mon trouble, n'hésita pas à se masturber :
- Si tu la veux, elle est pour toi !

J'étais dans un état second. J'avais déjà cinq bites qui m'étaient destinées. Il ne restait plus que Daniel à convaincre de nous imiter. Il était descendu dans l'eau, peut-être pour se calmer. Quand il me vit s'approcher de lui, il se dirigea vers l'échelle avec l'intention manifeste de m'échapper. J'étais en train de me hisser sur le bord quand je me rendis compte qu'il y avait un caleçon de bain par terre.

Daniel avait enfin quitté son caleçon. Mais ce qui me surprit le plus était qu'il se tenait debout juste au-dessus de moi et qu'il exhibait fièrement son érection.
- Lisa, Simon nous a dit que tu aimais beaucoup ce genre de préliminaires.
- Quels préliminaires ???
Daniel se mit à se masturber en voyant mon expression de surprise.

Il ne semblait pas décider à m'en dire davantage sur ce que Simon leur avait dit à leur arrivé. Je me hissais un peu sur l'échelle et je lui attrapai la bite pour la branler un peu. Le regardant droit dans les yeux, je tentai d'en savoir plus :
- Tu penses qu'exhiber ta bite est un préliminaire ?

Daniel se recula, m'obligeant à lâcher son érection. Je ne comprenais pas cette réaction. Puis me vint l'idée que Simon ait pu manigancer tout cela. Je remontai à l'échelle en disant :
- Simon, tout ceci ne serait-il pas un coup monté : vous m'excitez en exhibant vos bites au compte goutte en me laissant croire que c'est moi qui vous y contrains, puis quand je suis dans un état avancé d'excitation, vous vous refusez à moi pour qu'ensuite je ne refuse rien de ce que vous voudrez me demander.

Simon souriait. Il était sorti de la piscine et venait me rejoindre. Je le connaissais bien et il savait bien comment me manipuler. Je me tins face à lui :
- Qu'est-ce que tu veux me faire faire qui puisse nécessiter que tu mettes en place une stratégie aussi avancée ?
- Ma chérie, c'est de la paranoïa. Tu sais bien qu'on ne te ferait rien sans ton consentement ?
Tout cela était étrange mais continuait de m'exciter davantage.
- Mon consentement ? Vous me manipuler depuis toute à l'heure pour justement l'obtenir. Qu'est-ce que tu veux me faire faire ?

Simon prit une voix très douce :
- Ma chérie, il fait beau, on est entre adultes consentants et je veux que tu prennes du plaisir, rien de plus...
Il se tenait devant avec le sexe toujours dressé. J'en avais assez de ces mystères et décidai de m'agenouiller pour lui sucer la bite.

Il ne s'y opposa bien évidemment pas. Il gémissait et vantait mon talent pour tailler les pipes :
- Oh oui, ma chérie ! Tu es la meilleure ! Tu vas me faire jouir et après tu t'occuperas des cinq autres gars, d'accord ?
J'avais sa queue en bouche et ne pouvais pas lui répondre que le programme de cette matinée me convenait parfaitement.

Après quelques minutes, je le sentis au bord de l'explosion. Il sortit sa queue de ma bouche et m'indiqua ce qu'il désirait :
- Garde la bouche ouverte mais surtout n'avale pas la moindre goutte, d'accord ?
Là encore, je ne lui répondis pas, mais il pu voir que je répondais positivement à sa demande. Son sperme se mit à gicler et envahit rapidement ma langue et ma bouche. Simon semblait faire très attention à ne pas en mettre à côté.

Quand il eut fini. Il me fit lever et attrapa un grand verre qu'il avait derrière lui :
- Maintenant, crache tout là-dedans.
C'est en laissant tout le sperme de mon mari couler dans le verre que je compris enfin ce que Simon préparait. Le gage de FrancVirion ! Ils allaient tous mettre leur jus dans ce verre pour me le fourrer en une fois dans le vagin.

Quand FrancVirion avait proposé ce gage, j'avais dit à Simon que j'étais un peu dégoûtée de ce projet. Il avait rétorqué que c'était donc un vrai gage, pas comme ceux où il n'y a aucune difficulté. Simon avait donc organisé cette matinée pour m'obliger à réaliser ce gage. Si cela me révulsait toujours un peu, les garçons avec leurs bites dressées m'avaient mise dans un tel état que je n'avais de toute façon qu'envie de les faire tous jouir. Alain était installé tout près sur une chaise longue et se masturbait.

Comme un robot, je vins le rejoindre et me mis à quatre pattes entre ses cuisses pour me pencher sur son sexe et le prendre en bouche. Il était bien gros et bien raide, c'était un véritable délice à sucer. Il m'attrapa les cheveux par derrière et appuya sur ma tête pour me forcer à le prendre encore plus loin.

J'entendis la voix de Simon à côté :
- Attention, Lisa. Si tu le fais jouir, il faut que ce soit dans le verre.
Tout en continuant à sucer Alain, je tournai la tête vers mon mari pour lui indiquer que j'avais bien entendu la consigne.

Alain m'attrapa sous les épaules et me fit me redresser, m'obligeant à abandonner ma fellation :
- Viens par là, je veux que tu me mettes entre tes seins.
Je vis au regard qu'il portait à ma poitrine qu'il s'agissait d'un fantasme qu'il avait dû nourrir dès le premier instant où il avait vu mes seins nus.

Je pris donc sa queue et la plaçai entre mes deux globes mammaires que je resserrai en avançant les épaules et mes avant-bras. Son gland, tout humide de ma salive, glissait parfaitement entre mes seins.

Pour agrémenter le tout, je me penchai un peu plus, essayant de mettre le plus de longueur possible entre mes mamelles. En me contorsionnant un peu, je pouvais même lui sucer le bout à chaque fois que sa bite remontait dans le fourreau constitué par le sillon de mes seins.

Je le sentis venir et levai la tête pour demander à Simon d'apporter le verre. Prévenant, celui-ci était déjà derrière moi avec le verre et attendait patiemment la nouvelle éjaculation. Je fis mettre Alain à genou et continuai en le branlant. Son sperme s'écoula lentement, épais, et vint se mélanger avec celui de Simon dans le verre.

Déjà, je me tournais alors vers Bernard qui s'était rapproché. Il me sembla qu'il avait décidé que ce serait son tour. Moi, j'étais tellement excitée que j'avais surtout envie qu'il me baise, ne comptant pas passer ma matinée à faire des fellations. Aussi, je m'allongeai sur une chaise longue et écartai largement les cuisses pour l'inviter à venir me prendre.

Mon message fut manifestement très clair. Bernard vint se positionner entre mes cuisses et plongea son dard dans ma fente trempée. Il n'eut aucune peine à me pénétrer jusqu'à la garde. Aussitôt, il commença de longs va-et-vient et je ne pus réprimer de profonds gémissements trahissant mon plaisir tant attendu.

Je l'aurais bien laissé me donner un orgasme ainsi mais mon rabat-joie de mari en avait décidé autrement :
- Bernard, fais attention que tu ne dois pas jouir en elle. N'oublie pas qu'on doit tout récupérer dans le verre.
A regret, mon amant sortit sa queue et vint se mettre à ma tête pour me fourrer sa grosse tige dans la bouche.

Dans cette position peu confortable, je me contentai de lui sucer le gland, ne voulant pas qu'il se serve de ma bouche comme d'un sexe car, en s'enfonçant dans ma gorge, il m'aurait certainement étouffée. Je m'appliquai donc à faire tourner ma langue autour de son bout et le pomper.

Soudain il s'arrêta. Simon se précipita avec le verre. La bite de Bernard était enfoncée dans ma bouche et je le sentais palpiter entre mes lèvres comme jamais. L'éjaculation semblait imminente. Pourtant, il ne bougea pas et resta figé dans cette position. Je m'attendais donc à recevoir un flot de foutre dans la bouche qu'il m'allait falloir restituer dans le verre ensuite.

Heureusement, si Bernard ne bougeait plus, c'est justement qu'il se concentrait pour ne pas éjaculer dans ma bouche. Il se mit alors à râler et Simon approcha aussitôt le verre pour recueillir la précieuse semence.

Sauf que je n'avais toujours pas eu d'orgasme et mon sexe réclamait encore une bite. D'un air un peu désinvolte, je me suis éloignée des garçons et suis allée m'allonger sur le ventre sur une chaise longue qui était libre. Écartant bien les cuisses, je pris un brumisateur pour m'en asperger la raie. J'étais si excitée que l'eau fraîche me calma un peu. Tous les gars me regardaient sans comprendre.

Simon vint me rejoindre :
- Qu'est-ce que tu fais, chérie ? Ce n'est pas terminé...
- Oh mais moi, je veux bien continuer, mais il faut aussi répondre à mes besoins.
- Tes besoins ?
- Oui, une queue dans ma chatte, tu comprends ?
Je me redressai à quatre pattes en faisant saillir ma croupe.

Simon rigolait en comprenant enfin ce que je voulais. Il appela Claude :
- Claude, c'est ton tour. Par contre, il va falloir montrer tes talents à Lisa avant de jouir car la dame exige un orgasme.
L'homme ne semblait pas contrarié par cette nouvelle et son érection semblait me signifier qu'il était ravi de pouvoir investir mon sexe avant de jouir. A peine fut-il arrivé qu'il plongeait déjà son érection dans ma chatte qui ne demandait pas mieux.

C'était délicieux de sentir une bite me limer la moule. J'en avais déjà fait éjaculer trois et je trouvais quand même bien normal d'avoir un orgasme, même si cette petite séance de sexe devait constituer un gage. Claude me baisait très bien et je gémissais de plus en plus. J'essayais de ne pas trop bouger pour le laisser contrôler et éviter qu'il ne jouisse en moi.

En tout cas, il semblait bien s'éclater et régulièrement, il me caressait les seins en faisant tourner ses doigts sur mes mamelons. Simon l'exhorta à continuer :
- Vas-y Claude, tu vas l'avoir ! Continue à lui caresser les nichons, elle adore ça.
Claude ne se priva pas et en quelques minutes, il me donna un bel orgasme qui me fit crier de plaisir.

Claude avait réussit à se retenir, mais il s'en fallut de peu pour qu'il ne vide ses bourses en moi. Simon me tendit le verre tandis que je reprenais mes esprits. Je tenais le verre et Claude vint éjaculer dedans en contrôlant le débit pour que ça ne risque pas de gicler au-delà du verre.

Quand Claude eut fini d'éjaculer, je rendis le verre à Simon qui admira de le voir à moitié plein. Je me relevai et me tournai vers Claude :
- Ah, merci Claude ! C'était très bon.
- Pas de quoi. Tout le plaisir a été pour moi...
Je m'étirai sous les regards des garçons et même ceux qui avaient déjà joui n'en perdaient pas une miette.

C'est Daniel qui m'appela ensuite :
- Lisa, si tu veux, je veux bien essayer de te donner un orgasme, moi aussi.
Il était assis sur une chaise longue et son érection était prête à être enfourchée.

Je ne me fis pas prier devant une offre si généreuse et je vins le rejoindre :
- Dommage que j'ai réclamé cela aussi tard, sinon j'aurais pu accumuler une belle succession d'orgasmes.
Simon répondit :
- Oui, mais nous t'aurions épuisée, ma belle. Et comme ça, l'excitation t'a permis de mettre toute ton énergie à nous faire éjaculer...
- Ah ? Parce que tu crois que je manque d'énergie après un orgasme ?
Sans attendre, je vins chevaucher Daniel en m'enfilant sa queue entre les cuisses, presque jusque à la garde.

Cette fois-ci, étant dessus, c'était moi qui menais la danse et il fallait vraiment que je fasse attention à ce qu'il n'éjacule pas en moi. En tout cas, Daniel avait une bonne grosse bite qui me remplissait bien et me donnait déjà beaucoup de plaisir. Je prenais un pied d'enfer et, tournant la tête je découvris que, contrairement aux autres qui avaient déjà joui, Frank se masturbait encore en me regardant. Je ressentis un sentiment de pitié pour notre hôte qui se trouvait être le dernier à jouir :
- Frank, je crois qu'il reste une place...
Tout en continuant à chevaucher la formidable queue de Daniel, j'écartai mes fesses pour inviter Frank à venir me sodomiser.

Il ne me fit pas attendre bien longtemps. Je sentis son gland appuyer sur mon anus et je me penchai en avant pour me cambrer et lui faciliter la pénétration. Daniel en profita pour me lécher les mamelons que j'agitais juste sous son nez. Frank s'enfonça lentement en moi, m'arrachant déjà des gémissements.

De sentir ces deux bites coulisser en moi fut un véritable délice et il ne me fallut pas plus de trois minutes pour atteindre un orgasme magistral qui me fit vibrer tout le corps. Je craignais que cela ne déclenche l'éjaculation des deux gars, mais ils se montrèrent très endurant et continuèrent à me pistonner de concert jusqu'à ce que mon orgasme se calme.

Si je les avais laissés faire, sans doute auraient-ils éjaculé en moi. Mais je leur échappai vivement dès que j'eus repris assez de force et me levai, abandonnant quand même à regret ces deux belles bites qui m'avaient donné tant de plaisir.
- Désolée, les gars. Mais là il faut que ce soit dans un verre...

Daniel et Frank ne semblaient pas fâchés et s'approchèrent de moi. Frank me dit :
- Prends-nous un peu dans ta bouche avant qu'on ne jouisse.
J'avoue que j'avais bien envie de sucer ces deux belles bites. Je me mis donc accroupie et les pris en bouche l'une après l'autre.

Sentant que Frank allait jouir, je fis un signe discret à Simon qui vint se précipiter avec le verre. Frank joua le jeu et présenta sa bite au-dessus avant de commencer à jouir. Maintenant la pression à la base de son sexe, il laissa s'écouler le sperme en un filet épais et continu.

A peine eut-il fini que Daniel se mit à jouir à son tour. Mais Simon n'eut pas le temps d'apporter le verre que le sperme jaillissait déjà et s'écrasait sur la chaise longue en de petites flaques blanchâtres.

Il était hors de question que, après tout ça, je doive recommencer le gage depuis le début, juste pour quelques gouttes tombées par terre. Instinctivement, je me penchai sur la chaise et me mis à laper le sperme de Daniel avec ma langue pour le recueillir dans ma bouche.

Quand j'eus nettoyé toute la semence sur la chaise longue, je me relevai et fis signe à Simon qui se précipita alors pour m'apporter le verre. Je le voyais sourire fièrement en me regardant recracher le sperme dans le verre tandis que les autres n'en revenaient pas du spectacle que je venais de leur offrir. Je m'assis ensuite sur la chaise longue le temps de reprendre un peu mon souffle.

En rouvrant les yeux, je vis Simon s'approcher avec le verre plein de sperme dans sa main. Il affichait un sourire satisfait et il bandait encore un peu. Les autres nous regardaient avec attention.
- Alors, ma chérie ? Tu es prête ?
- Je crois que je ne peux pas échapper à ce qui constitue l'essence-même de ce gage...
- Effectivement, tu sais comment on procède ensuite ?
Il fallait maintenant qu'il m'injecte tout ce sperme dans la chatte à l'aide d'une grosse seringue. Je me mis un doigt dans la fente pour lui montrer que je connaissais la suite.

- Oui, ma chérie. C'est bien cela.
Il tenait dans son dos quelque chose que je devinais être la fameuse seringue dont la taille était certainement conséquente puisqu'elle devait contenir la totalité du sperme présent dans le verre. Simon dut lire mon appréhension sur mon visage car il me rassura :
- N'ai pas peur, ce n'est pas vraiment une seringue, c'est mieux que cela.
Il me présenta alors un long godemiché dans lequel avait été aménagé un système de seringue. J'ouvris grand les yeux, tout excitée à l'idée que ce serait finalement ça qui allait servir à me fourrer.

Tandis qu'il posait le verre par terre et qu'il commençait à faire monter tout le sperme dans la seringue, il donna quelques explications :
- Je savais ce que je voulais et j'ai mis un peu de temps à trouver cet accessoire mais sur Internet on finit toujours par trouver.
Il me présenta l'imposant godemiché rempli de semence :
- Vas-y. Tu vas procéder toi-même à ton insémination.
Je pris le jouet et me le fourrai entre les cuisses sur presque la moitié de la longueur sous les regards fascinés des six garçons.

C'était très excitant, à la fois de considérer qu'il s'agissait d'une seule bite qui allait se vider en moi et me remplir de foutre, mais aussi d'avoir ces spectateurs en érection qui m'observaient. Avant d'appuyer sur le bouton enclenchant la pression, je ne pus résister à faire quelques allers et retours avec ce bel engin. Je me dis même que personne ne m'en voudrait si je me donnais ainsi un orgasme en même temps que je déchargerais la seringue.

Mon plaisir ne fut pas long à venir et je ne retenais pas mes gémissements. Soudain, les muscles de mon sexe se contractèrent. L'orgasme était là. Avant de succomber à mon plaisir, j'actionnai le piston et emplis mon vagin d'un incroyable flot de foutre encore tiède. Je criai de plaisir sous cette sensation inédite. Dans une demi-conscience, je vis quelques uns des gars se mettre à se masturber. Je lâchai la seringue. Celle-ci s'éjecta sous la pression et tomba au sol alors qu'un flot de sperme s'échappait de ma moule béante.

Les garçons se mirent à applaudir alors que la semence continuait de s'écouler de ma fente sans discontinuer, inondant la chaise longue. Simon s'approcha et admira mon entrejambe souillée :
- Alors, ma chérie ? Quel effet ça fait ?
- Etrange, mais jouissif.
- Tu serais prête à réitérer l'expérience ?
- Pas certaine, non... L'intérêt de ce genre de gage est qu'il doit justement rester unique, non ?

Frank s'approcha de nous :
- Merci Lisa pour ce spectacle unique !
- Merci à toi de nous offrir ce cadre unique, Frank.
- D'ailleurs, si ça te tente, tu peux aller dans le jacuzzi pour te laver un peu. Je vais mettre en marche les remous.
Frank s'éloigna. Je me levai avec quand même la désagréable sensation d'être incontinente car la semence de mes amants continuait à me couler le long des cuisses alors que je rejoignais le jacuzzi.

Les remous étaient actionnés et je m'installai avec plaisir dans le petit bassin. Les nombreux petits jets et les bulles firent merveille pour me nettoyer les cuisses et l'entrejambe. En relevant la tête, je vis les six garçons, toujours en érection, qui me regardaient avec admiration.

- Hey, les gars, il faut vous en remettre ! C'était un gage, mais là vous n'obtiendrez plus rien de moi, je suis vidée !
Je ne m'étais pas rendu compte de ce que je venais de dire, mais mon dernier mot déclencha un fou-rire de la part de tous.
|