Chloe23
1er décembre 2016
message 30122
Sex and computer (gage)


La fin des vacances m'avait réservé une mauvaise surprise : trois semaines après mon retour chez moi, mon ordinateur tombait en panne : écran noir, aucune possibilité de le redémarrer. Je le portai donc au service après-vente d'une grande enseigne, dans laquelle je l'avais acheté quatre mois plus tôt.

Quelques jours plus tard, une femme me rappela, pour m'annoncer que mon ordinateur était réparé, et que je pouvais passer le récupérer.

Il faisait encore très chaud, en ce mois de septembre. Mais j'avais quelques scrupules à m'habiller trop sexy, compte tenu de la clientèle familiale du centre commercial, même si j'avais très envie de montrer mon bronzage intégral. J'optai pour une minijupe et un petit débardeur. Seule concession à mon penchant pour la provoc : ni slip, ni soutif...



En arrivant au guichet SAV du magasin, je fus reçue par le technicien responsable de l'informatique. Son prénom, Cédric, était inscrit sur son badge. C'était un très beau mec, tout à fait à mon goût ; mais je n'étais pas là pour ça...



L'air gêné, il examina un long moment le bulletin de prise en charge que je lui tendais.

- Mademoiselle Chloé G., ah oui..., dit-il enfin. Nous avons rencontré quelques surprises lors de la réparation. Je dois vous en parler, voulez-vous venir dans mon bureau ?

Un peu surprise, mais sans méfiance, je le suivis à travers les longs couloirs du dépôt, jusqu'à un bureau ouvert sur un local encombré d'appareils électriques et de meubles divers, dans lequel déjà se trouvait une jeune fille, très mignonne.



- Je vous présente Samantha, notre stagiaire. Elle est élève en BTS informatique, et elle a participé à la réparation de votre ordinateur.
- Bonjour, mademoiselle G., me lança Samantha en rougissant légèrement. Cédric, mon responsable, m'a demandé de vous informer de ce que nous avons trouvé. Le problème venait de Windows 10, et nous avons fait une sauvegarde pour ne pas perdre vos fichiers.
- Donc ça y est, tout fonctionne ?, demandai-je, étonnée par la gêne que je sentais chez elle.
- C'est-à-dire..., bredouilla-t-elle en regardant une clé USB, nous sommes tombés sur des fichiers... surtout des photos...

Je compris en un éclair : Samantha et Cédric avaient ouvert les dossiers contenant mes photos d'exhib, les images de sexe glanées sur le net, les histoires que j'écris pour les poster sur Lisastory !!

- Mais ça ne vous regarde pas, m'exclamai-je en colère. Je suis majeure, celles et ceux qui apparaissent sur mes photos le sont aussi, cela n'a rien de répréhensible ! C'est plutôt votre indiscrétion qui...
- Ne vous fâchez pas, mademoiselle, intervint Cédric. Simplement, nous voulions juste vérifier qu'il s'agissait bien de vos photos et de vos textes - ce que vous semblez me confirmer. Et vous éviter qu'ils tombent dans de mauvaises mains, ajouta-t-il en baissant la voix, l'air menaçant.

J'étais déstabilisée, et il brancha la clé USB sur son ordinateur, en me souriant. Il déplaça avec rapidité sa souris, à la recherche d'un fichier bien particulier, et une photo apparut à l'écran.

- Il y a, dans vos dossiers, beaucoup d'images téléchargées sur internet, mais je pense que ce n'est pas le cas de toutes. Celle-ci, par exemple : même si le visage est flouté, il ne fait pas de doute que c'est vous.



- Je ne vois pas ce qui peut vous rendre si sûr de vous, objectai-je.
- Eh bien, reprit-il, il y a votre messagerie, où vous vous vantez de bronzer nue sur les plages, souvent non naturistes. Je suppose aussi qu'un certain nombre des histoires que vous écrivez sont fantasmées. Seulement, dans vos messages, notamment à une certaine Carine, vous racontez dans les détails votre vie amoureuse, et elle est agitée ! Votre récit d'une de vos expériences avec deux partenaires est particulièrement détaillé...



- L'exhib avec d'autres filles ne vous fait pas peur non plus, poursuivit-il.
- Qu'est ce qui vous permet de dire ça ?, répondis-je, de plus en plus mal à l'aise.
- Cette photo avec votre amie Carine, par exemple, répliqua aussitôt Cédric, en tournant vers moi l'écran de son ordinateur.



- Vous voulez que je continue ? reprit-il, savourant ma défaite.
- Dites-moi plutôt ce que vous voulez, lâchai-je, en cherchant à mettre un terme à ce déballage en présence de Samantha.
- Je voudrais juste éviter que tout ça arrive sur les réseaux sociaux, et que les internautes surfant sur Lisastory puissent faire le lien entre Chloé23 et mademoiselle Chloé G., numéro de téléphone 06...
- Ca va, j'ai compris ! Vous allez me faire chanter ! Mais je vous préviens : mon compte bancaire est dans le rouge, ne vous faites pas trop d'illusions.

J'étais folle de rage, mais je savais que j'étais piégée. Dommage, car ce Cédric me plaisait beaucoup physiquement.

- Mais... je n'ai jamais parlé d'argent !, s'étonna Cédric, et je pouvais lire effectivement sur son visage son incompréhension devant ma réaction.
- Alors quoi ? Dites-moi où vous voulez en venir.
- Vous ne devinez pas ? Je vous trouve très attirante, physiquement, et on a rarement l'occasion de rencontrer des filles aussi libérées...
- Je vois, répondis-je, réprimant un sourire.



La tournure prise par les événements commençait à me plaire, mais je ne voulais pas le laisser paraître. Je décidai de continuer à jouer la fille soumise à un chantage. Cédric avait toutefois compris que j'étais prête à me plier à ses exigences, et il passa au tutoiement.

- J'ai parié avec Samantha que tu ne porterais pas de culotte, reprit Cédric.
- Samantha a perdu, avouai-je, mais celle-ci rentra à son tour dans le jeu.
- C'est trop facile, protesta-t-elle auprès de Cédric, elle peut dire ce qu'elle veut pour te faire plaisir.

En guise de réponse, je me penchai en avant en remontant ma minijupe, offrant en spectacle mes fesses nues et ma chatte épilée.



- Très jolie, et j'admire ton bronzage, sans la moindre trace de maillot, commenta Cédric. Et je devine que tu te passes aussi de soutif ?
- Si c'est ça, ses nichons sont sacrément fermes, ajouta Samantha. Je veux voir !

Je ne les déçus pas, et je remontai mon débardeur, au-dessus des pointes de mes seins, dardées par le plaisir de m'exhiber.



Si l'excitation qui s'emparait de Cédric ne m'étonnait pas, j'avais plus de mal à comprendre l'attitude de Samantha. Où était passée la solidarité entre nanas ? Je devais réaliser un peu plus tard sa situation : la réussite de son stage dépendait de l'avis que donnerait Cédric, qui profitait de cet avantage. Mais, malgré sa jeunesse (elle avait juste 19 ans), elle était très portée sur le sexe, et elle ne trouvait pas l'expérience désagréable.

- Tu es vraiment canon, reprit Cédric. Ce serait dommage de ne pas te mettre nue, pour nous permettre d'apprécier ta plastique. Ca ne devraiit pas te gêner beaucoup.
- Oui, renchérit Samantha, je me demande si tu es aussi exhibitionniste que tu le racontes.
- Avant, j'aimerais que Samantha réponde à une question : tu es bi ?, demandai-je.
- Euh... oui, avoua Samantha en rougissant, et je vis que Cédric était un peu surpris.
- Alors, je veux bien me mettre à poil, si tu fais comme moi ensuite. Je suppose que Cédric n'y verra pas d'inconvénient...
- Au contraire, s'enthousiasma Cédric.

Sous les yeux d'une Samantha médusée, je me débarrassai en quelques gestes sensuels de ma minijupe et de mon débardeur, et je m'allongeai, entièrement nue, sur le bureau de Cédric, en le regardant en souriant.



- Alors, tu as vu ce que tu voulais ?, lui lançai-je, provocante.
- Oui, mais on ne va peut-être pas en rester là, répondit-il, avec un regard malicieux.
- Avant toute chose, je te rappelle que Samantha doit m'imiter.

En disant cela, je m'étais retournée à demi, en caressant ma chatte, et je fixai maintenant Samantha dans les yeux, en suçant mes doigts légèrement parfumés par ma cyprine.



- Mais... je n'ai jamais promis de me déshabiller, moi, protesta-t-elle, paniquée.
- Je crois que tu n'as pas le choix, ma chérie, intervint Cédric, avec autorité. Tu ne peux pas contredire ton maître de stage, tu le sais...
- Allez, Samantha, ajoutai-je, tu vas voir comme c'est bon de se mettre nue et de se faire mater. Est-ce que j'ai l'air gênée, sur les photos ?

La jolie stagiaire comprit qu'elle ne pouvait pas reculer. Elle nous tourna le dos, et commença à baisser sa jupe en jean, dévoilant un joli petit cul mis en valeur par un string. Elle hésita, se retourna vers nous et, dans un réflexe de pudeur, chercha à cacher ses fesses.



- Continue, Samantha ! Tu es bien partie, lui dis-je pour l'encourager. Moi aussi, je pourrais parier :je suis certaine que tu ne portes pas de soutien-gorge.

Elle était maintenant écarlate, et ne savait plus où se mettre. Les yeux baissés, elle tortillait son débardeur, découvrant la naissance d'une superbe poitrine.



Cédric la regardait avec une expression sévère, et elle réalisa qu'elle n'avait pas d'autre choix que de continuer son strip. Soudain, elle fit passer le vêtement par dessus sa tête.



- Bravo, Samantha, m'écriai-je. Tu as des seins magnifiques, n'est-ce pas Cédric ?
- Bien sur, renchérit l'intéressé. C'est dommage de les cacher.
- Toi Cédric, je suis sure que tu les as déjà regardés... et même touchés. Vas-y, ma chérie, tu n'as plus qu'un string à ôter pour être entièrement nue.

Comme elle hésitait, je l'attirai vers moi. J'étais assise, et je commençai à baisser lentement l'élastique, découvrant progressivement sa chatte.

- Mais... tu es entièrement épilée, c'est vachement sexy, m'extasiai-je, tout en la regardant en souriant.



Je la poussai vers un canapé, dans un angle de la pièce, sur lequel nous nous retrouvâmes assises ;

- Tu m'as bien avouée tout à l'heure que tu étais bi ?
- Oui, c'est vrai, murmura-t-elle, et je voyais ses seins gonfler de désir, pendant que je tirais sur le string descendu sur ses chevilles.

J'approchai mes lèvres de sa bouche, et elle s'abandonna.



Ma langue partit à la rencontre de la sienne, et elle me rendit mes baisers avec fougue. Je la poussai sur le canapé, et mes mains commencèrent à explorer son corps, qui vibrait sous mes caresses comme un instrument de musique.



Samantha réagissait au quart de tour, et elle poussa très vite ses premiers gémissements. Une voix s'éleva dans le bureau.

- Eh bien, les filles, il faudrait peut-être penser à moi.

C'était Cédric, qui nous observait, chemise ouverte et ceinture dégrafée, tout en se caressant.



- Un peu de patience, lui répondis-je. Tu ne vois pas que ta jolie stagiaire a besoin de mes caresses, pour la récompenser de s'être mise à poil ?
- Ca ne faisait pas partie de mes plans, grommela Cédric.
- Il faut savoir improviser ! Et puis, tu peux nous regarder : tu serais bien le seul homme à ne pas être excité par le spectacle de deux nanas qui font l'amour.
- Oh oui, Cédric, Chloé a raison, renchérit Samantha. Et après, on fera tout ce que tu voudras.

Vaincu, Cédric s'installa confortablement, pour profiter de nos ébats, et j'étais bien décidée à ne pas le décevoir ! Samantha était sans doute une néophyte, dans le domaine de l'exhib comme dans celui des plaisirs saphiques, mais j'étais certaine qu'elle ne demandait pas mieux que d'être initiée. En appui sur un bras, ma main parcourait son corps, mes doigts se glissant maintenant entre ses petites lèvres.



- Ca te plait, ma chérie ?, lui demandai-je.
- Oh oui, répondit-elle, le souffle court. Continue, fais-moi tout ce dont tu as envie.
- Alors, j'ai envie de déguster ton petit abricot.
- Oui, oui, supplia-t-elle, je veux sentir ta bouche, ta langue.

Samantha s'abandonna totalement, allongée sur le canapé, la tête renversée en arrière, ses cuisses largement ouvertes. Ma tête plongea entre ces jolies jambes musclées. Je bloquai ses chevilles, pour m'assurer qu'elle ne pourrait pas se dérober, et je commençai à lécher sa fente, remontant progressivement vers son petit bouton gonflé.



Le goût et l'odeur de son minou étaient enivrants, un mélange de son parfum aux fragrances délicatement fleuries, et de cyprine. Elle poussait un petit cri, chaque fois que ma langue touchait son point sensible, mais je prenais mon temps et je la faisais languir, pour exacerber son désir, et la débarrasser de ses derniers tabous.

- Tu veux mes doigts dans ton minou ?, murmurai-je.
- Oui, vas-y, bredouilla-t-elle, fouille ma chatte, elle est à toi.
- Et ça ne te dérange pas que Cédric te mate ?
- Non... Au contraire... Ca m'excite... Comme c'est bon, avoua-t-elle, lorsque je glissai deux doigts entre ses petites lèvres, luisantes de sa sève.



En reprenant ma respiration, je jetai un regard vers Cédric : il s'était entièrement déshabillé et se caressait en nous regardant. Il me gratifia d'un grand sourire, pour m'encourager à poursuivre, mais je n'avais pas vraiment besoin d'encouragements...



Samantha était dans un état second. Je sentais son corps secoué de spasmes, au rythme de la pénétration de mes doigts dans sa grotte, et ses feulements ponctuaient les mouvements de ma langue autour de son clito.



Les réactions de la jeune et jolie stagiaire m'émoustillaient, autant que Cédric, et les pointes de mes seins se dressaient, une humidité familière gagnait le creux de mes cuisses.

Je restais suffisamment maîtresse de moi-même pour ne pas oublier mon projet de faire découvrir à Samantha toutes les ressources de son corps.

- Est-ce qu'on t'a déjà fait jouir par ton petit trou ?, lui demandai-je.
- Non, jamais, me répondit-elle, et le timbre de sa voix traduisait sa réticence devant une telle question.
- Ne te fâche pas, repris-je d'une voix suave. Tu découvriras que tu peux prendre aussi du plaisir de ce côté... Laisse-moi t'initier, j'arrêterai si tu me le demandes.

Samantha se redressa sur le canapé, le dos en appui sur le dossier, et elle replia les jambes contre sa poitrine. Roulée sur elle-même, sa moule et son anus étaient offerts. Je posais mes lèvres sur sa chatte pour un long baiser, et je laissai descendre la pointe de ma langue jusqu'à sa rondelle toute serrée.

Je la tournai un long moment dans le creux de ses fesses, avant de l'insinuer doucement dans son petit trou.

- Ose dire que tu n'aimes pas ce que je fais.
- Si, j'adore... C'est bon... Tu me fais ça si bien, confessa-t-elle en souriant.



Très vite, Samantha se détendit complètement. Elle ondulait des hanches, en criant :

- Aaaah, putain ! C'est bon.... C'est trop bon !... Continue, continue... Avec tes doigts.... Oui, là, comme ça...

De plus en plus excitée, j'introduisis un doigt dans son anus, tout en continuant de lécher son petit bouton.



Elle écartait maintenant elle-même de ses mains les globes fermes de ses fesses, pour s'offrir à mes caresses. Elle se tordait de plaisir, roulait sur le canapé, et se masturbait furieusement, sous les yeux exorbités de Cédric.



L'orgasme finit par la submerger.

- Je jouis, oui, je jouis !... Oh mon Dieu, je n'ai jamais joui aussi fort.

Pendant une longue minute, tout son corps fut secoué de spasmes, ponctués par ses gémissements. Elle était étendue sur le canapé, la tête renversée en arrière, savourant les vagues du plaisir qui se retirait lentement, et j'en profitais pour couvrir de baiser son sexe encore palpitant.



Petit à petit, elle revint à elle, et me fixait de ses yeux remplis de reconnaissance.

- C'était si bon, murmura-t-elle. Tu m'as procuré tant de plaisir... Je ne sais pas si je serais capable de t'en donner autant...
- Il n'y a qu'une façon de le savoir, répondis-je, c'est d'essayer. J'ai très envie de m'offrir à toi, et tu m'as excitée à mort.
- Tu veux vraiment ?, me demanda-t-elle, en embrassant et mordillant la pointe de mon sein.



Elle n'en avait sans doute pas conscience, mais son attitude était chargée d'une sensualité torride.

- Bien sur, avouai-je. J'ai besoin de tes mains, partout sur mon corps, de sentir ta bouche sur la mienne, ta langue sur mon petit bouton...

Je l'attirai contre moi, je lui offris mes lèvres, et je guidai sa main vers mon sexe en feu.



Elle commença à me caresser, d'abord timidement, puis avec de plus en plus de fièvre et d'audace, pendant que nous nous embrassions à pleine bouche, furieusement. Elle semblait deviner maintenant ce dont j'avais envie, et je sentais que je perdais le contrôle de mes réactions, emportée par le désir.

- Tu veux que je dévore ta petite chatte ?, me demanda-t-elle, avec une expression gourmande.
- Oui, oui, vas-y !

Je n'eus pas le temps d'en dire plus : sa langue se glissait déjà entre mes petites lèvres, délogeait sans peine mon clito dardé, et je me mis à feuler en caressant ma poitrine, la malaxant bientôt à pleine main.



- Comme ça, tu aimes ?, s'enquit-elle, comme si mes cris et mon corps qui se tordait de plaisir pouvaient laisser un doute.
- Oui ! Tu le vois bien... Continue, fais-moi jouir... ooooh, oui ! C'est bon.

Elle bouffait maintenant littéralement mon petit bouton, l'aspirait entre ses lèvres dans un bruit humide, le mordillait... J'avais l'impression d'être un jouet entre les bras de Samantha. Me voir dans cet état l'excitait, et emportait ses tabous.



Pour mieux plonger sa tête entre mes cuisses, elle était maintenant agenouillée à côté de moi, ses hanches à côté de mon visage. J'avais une folle envie de lui rendre son cunni, mes bras entourèrent sa taille, et nous roulâmes sur le côté.

Nous nous sommes retrouvées en 69, moi sur Samantha, et sa bouche n'avait pas quitté ma fente trempée de salive et de mouille. A mon tour, je plongeai entre ses cuisses, et la pointe de ma langue se perdit de nouveau dans sa grotte.



Nous étions trop absorbées pour faire attention à Cédric, hypnotisé par notre exhibition saphique. Un autre nous aurait déjà sauté dessus, mais il avait réussi à résister à ses pulsions pour mieux profiter du spectacle, avant de...

Il se leva, s'approcha de nous sans bruit, et je sentis soudain une chose dure et palpitante pousser à l'entrée de mon minou. Samantha poussa un petit cri de surprise, mais reprit aussitôt ses coups de langue, pendant que Cédric s'enfonçait en moi tout doucement.



Je ne m'étais même pas retournée. Les yeux clos, je goûtais cette pénétration toute en douceur, sans abandonner l'abricot gonflé de Samantha. Mais lorsque Cédric se fut complètement introduit, lorsque je sentis ses hanches toucher mes cuisses, je me laissais aller à mon plaisir, et il se déchaîna.

- Oui, vas-y ! Baise-moi, bourre-moi la chatte !, hurlai-je.

Il allait et venait en moi, comme un taureau en rut. Il avait saisi les chevilles de Samantha, pour s'en servir d'appui, et celle-ci avait abandonné mon clito pour sucer ses couilles.



Je n'avais pas remarqué auparavant la taille de son gland, mais je le sentais maintenant labourer ma chatte, coulisser en moi à un rythme effréné, et je criais sans retenue.

Soudain, il se retira, s'allongea, et me fit venir sur lui. Je me ruai sur son dard dressé pour m'emmancher dessus moi-même, sous le regard plein d'envie de Samantha.



Prise d'une sorte de rage érotique, je m'empalais sur l'énorme bite, me soulevant et me laissant retomber de tout mon poids, jusqu'à ressentir des crampes dans mes cuisses.

- Putain ! C'est bon !... Je vais jouir, criais-je, sans ralentir mon rythme. Aaaaah ! Ca vient... ça vient... Quel pied !

Cédric n'avait pas éjaculé. Samantha, ivre de désir, le chevauchait, sa fente sur son visage. Sans cesser d'aller et venir sur la queue de Cédric, je caressai la jolie stagiaire, embrassant et léchant les pointes de ses seins gonflés.



Petit à petit, je sentais le plaisir monter de nouveau dans mon ventre, au creux de mes reins. Voir Samantha frotter sa fente sur la bouche de Cédric, sentir ses aréoles claires de dresser sous mes caresses, la tige de Cédric palpitant dans mon intimité... J'allais jouir une seconde fois.

Cédric aussi, ne pouvait plus se contrôler. Tout alla très vite : je me retrouvai sur Samantha en 69, et il me prit de nouveau en levrette. Au moment où j'atteignais l'orgasme, il gicla dans mon ventre.

- Oui, ouiiiii ! Je sens ton foutre qui m'inonde !... Je jouis ! Je jouiiiis !

Il avait tant attendu ce moment, que c'est un torrent de sperme qui emplit ma grotte, et quand il se retira, la semence se mit à couler sur le visage de Samantha.



Au lieu d'être dégoûtée, Samantha ouvrit la bouche, et recueillit le liquide chaud sur sa langue.

Le souffle court, Cédric s'écroula sur un canapé, mais maintenant, c'était Samantha qui avait envie de sexe ! Nous nous assîmes à notre tour toutes les deux, entourant notre mâle.

- Je crois que tu as réussi à allumer un incendie, et que tu ne vas pas t'en tirer à si bon compte, lui dis-je.
- Je ne demande pas mieux que de continuer, répondit-il en souriant. Il me faut juste le temps de recharger la batterie.
- On peut t'aider ?, proposa Samantha, en offrant ses lèvres.

Cédric caressa ses jolies fesses, en l'embrassant, pendant que je le branlais.



Notre homme rebandait tout doucement.

- Je crois savoir ce qu'il lui faut, lançai-je. Cédric, que dirais-tu des bouches de deux timides jeunes filles pour s'occuper de ta queue ?
- Tu le demandes ?, répondit l'intéressé, mais je ne vois pas ici de jeunes filles « timides »...
- Et moi alors ?, répliqua Samantha.

Nous éclatâmes de rire, tous les trois en même temps. Cédric nous conduisit jusqu'à un lit entreposé dans un coin du local, et nous fit allonger sur le ventre, côte à côte, Samantha et moi. Rien que d'imaginer la suite, sa verge se dressait.



J'avais décidé de laisser Samantha se faire baiser la première : elle le méritait bien ! Même si nous sucions Cédric toutes les deux, à tour de rôle, c'est elle qui garda le plus longtemps le gland gonflé dans sa bouche, aspirant, léchant, mordillant l'engin avec gourmandise.

- Mmmmh ! C'est génial, finit par dire Cédric, entre deux grognements. Ma bite est prête pour défoncer une petite chatte.
- A toi l'honneur, dis-je à Samantha, en la forçant à s'allonger.

Elle n'avait manifestement jamais fait l'amour dans ces conditions, et semblait un peu crispée. Pour la détendre, je l'embrassai sur la bouche en murmurant :

- Détends-toi, il va te faire grimper aux rideaux, vu ce qu'il m'a fait tout à l'heure.

Elle poussa un petit cri, quand Cédric la pénétra avec douceur.



Il s'enfonça en elle, par petits coups de reins, puis marqua un temps d'arrêt. Lentement, le plaisir envahissait tout le corps de Samantha, qui se mit à gémir. Pour exacerber son désir, je plongeai ma tête entre ses cuisses, pour lécher son clito.



Ce fut comme si une digue cédait : elle se mit à onduler des hanches, en suppliant :

- Vas-y, baise-moi, laboure moi la chatte... Oui !... C'est ça... Encore plus fort !

Cédric n'attendait que ça. Il commença à aller et venir dans la fente de la jolie stagiaire, dont les cris remplissaient le dépôt. Tout en caressant le petit bouton de Samantha, j'embrassai Cédric, qui me félicita.

- Eh bien, Chloé, c'est grâce à toi si nous baisons tous les trois comme des fous. Tu n'es pas jalouse de me voir tringler Samantha ?
- Non, répondis-je, car j'espère que tu as assez d'endurance, car je te réserve une surprise.



Indifférente à tout ce qui n'était pas les sensations irradiant à partir de son minou, Samantha se tordait sur le lit, à la recherche d'un orgasme qui ne tarda pas à venir. Elle se mit à hurler, tétanisée, mais Cédric ne lui laissa pas le temps de reprendre son souffle.

En un éclair, elle se retrouva à genoux, et il la prit en levrette. Cette fois, il n'était plus question de douceur. Il la défonçait à grands coups de reins. Ce spectacle m'excitait tant que je ne pus m'empêcher d'offrir ma chatte à Samantha.



C'était fabuleux de sentir la langue de cette fille, si jeune, s'activer dans ma fente, alors que tout son corps était secoué par les coups de boutoir de Cédric. Ce coït dura de longues minutes. Samantha extériorisait son plaisir dans de longs feulements, et je finis par me glisser en-dessous d'elle, en 69.



A peine avais-je commencé à sucer son petit bouton, qu'elle se mit à crier :

- Oh, ça y est ! Je vais jouir une deuxième fois.... Ooooh, ça vient.... Je jouis, je jouis !...

Cette fois, Cédric continua à pénétrer doucement Samantha, jusqu'à ce qu'elle redescende sur terre. Mais il se retira sans avoir éjaculé...

- Alors ? Cette surprise ?, demanda-t-il en se tournant vers moi, qu'est-ce que c'est ?
- Tu n'en as pas une petite idée ?, répondis-je en faisant durer le suspens pour l'exciter.
- Si... Tu t'es exhibée devant moi avec Samantha, tu m'as sucé, tu m'as offert ta jolie petite chatte... Il reste un de tes orifices que je n'ai pas exploré... Je me trompe ?
- Non, espèce de salaud, avouai-je. Mais il va falloir que tu sois à la hauteur !
- Tu vas... te faire sodomiser par un engin pareil ?, s'affola Samantha.
- Mais oui, ma chérie. C'est vachement bon, on jouit avec une force inouïe de ce côté-là. Il faut que tu essaies aussi.
- Je n'oserais jamais !!!, s'exclama-t-elle.

Ce n'était plus le moment de discuter. Voir Samantha jouir avait décuplé mon désir. Je me mis à genoux, et je profitai de sa position pour plonger ma tête entre ses cuisses, en me cambrant pour offrir mon petit trou.



Cédric se plaça derrière moi, et commença à me préparer à son assaut. Je sentis ses doigts, qu'il avait enduit de salive, masser doucement ma rondelle. Il prit un peu de ma cyprine en guise de lubrifiant, et introduisit un doigt, puis un deuxième, un troisième... dans mon petit cul qui se dilatait lentement sous leur pression. Il les faisait tourner, aller et venir, avec douceur, et je commençais à gémir sans aucune discrétion, tout en poursuivant mon cunni sur le petit bouton de Samantha.

Il fit durer le plaisir, jusqu'à ce que je craque.

- Vas-y ! Qu'est-ce que tu attends ? J'ai envie de ta bite...

Je ne pus finir ma phrase, car je sentis aussitôt l'énorme gland forcer l'orifice niché entre mes fesses cambrées.



- Oooooh ! Oui, c'est bon.... Mais enfonce-toi doucement... Oh, quelle queue !

Il ne voulait pas que cette sodomie devienne pénible pour moi, et il entra progressivement dans mon anus, par petites poussées, en marquant des pauses, sous les yeux écarquillés de Samantha. Très vite, je me détendis, et ses coups de reins se firent plus énergiques. Je commençai à crier de plaisir et, sans que je lui demande et comme je l'avais fait lorsque Cédric la baisait, Samantha se glissa sous mon corps secoué de spasmes.



- Caresse ma chatte, mon clito, la suppliai-je, tout en essayant de lécher son minou.

Lorsque je sentis ses doigts partir à la découverte de ma fente dégoulinante de mouille, ce fut comme une décharge électrique. Je me mis à onduler des hanches, pour décupler le plaisir que faisaient naître dans mon ventre les mouvements du gland turgescent qui le remplissait.

Cédric restait parfaitement maître de lui, et faisait grimper mon désir, ralentissant le rythme, l'accélérant brutalement. Chaque fois qu'il plantait brutalement sa bite dans mon cul, je hurlais, et je finis par atteindre l'orgasme.

Comme si de rien n'était, il continuait de pilonner mon petit trou, et me demanda :

- Alors, Chloé, tu en veux encore ?
- Oui, répondis-je, toute essoufflée. Allonge-toi et... laisse-moi faire.

Il obtempéra, et je vins m'asseoir sur lui. Il empoigna mes cuisses, pour m'aider à venir m'empaler sur lui. Une idée me passa par la tête, pour l'exciter.

- Samantha, déclenche la webcam, et montre ma chatte.



La jolie stagiaire posa sa main sur mes petites lèvres et, abasourdie, les écarta pour dévoiler ma fente luisante de cyprine, en regardant l'écran sur lequel apparaissait la scène enregistrée.

Cette fois, c'était moi qui imprimait la cadence, la faisant varier en fonction de mon plaisir. J'avais beau déployer toutes les ressources que m'avaient apportées mes expériences, Cédric n'éjaculait pas. La position devint inconfortable pour moi, et je me retournai pour continuer à le chevaucher.

Je dus m'avouer vaincue : je ne pouvais me retenir davantage, et je m'abandonnai en hurlant à la tempête qui m'emporta.

Je restai quelques instants empalée sur l'énorme dard, et je tendis mes lèvres à Samantha.



- Tu as vu, ma chérie ?, lui demandai-je en l'embrassant à pleine bouche. J'ai pris un pied d'enfer. A toi d'essayer, je crois qu'il reste quelques forces à ton chef !
- Tu es folle !, protesta-t-elle. Je ne suis pas comme toi, je ne l'ai jamais fait, je ne pourrai pas !
- Mais si, insistai-je. Il y a toujours une première fois. Et tu aimes la baise, ça se voit !
- C'est sur ! Renchérit Cédric. Laisse Chloé te préparer. Et je te jure que j'arrêterai dès que tu voudras.

Vaincue, Samantha s'abandonna entre mes mains. Je la fis mettre à genoux sur le canapé.

- Cambre-toi, montre bien ton cul, lui ordonnai-je.

Je plongeai ma langue entre les globes doux et fermes de ses petites fesses, allant et venant entre sa fente et son petit trou, autant pour l'exciter que pour lubrifier celui-ci.



Je pris tout mon temps. Quand elle commença à se détendre et à émettre des petits gémissements de plaisir, Cédric fit glisser un doigt du creux de ses reins jusqu'à son anus, qui se dilata sous la pression. Elle ne semblait pas se refuser à la sodomie, et nous poursuivîmes nos caresses, pendant que Cédric enduisait son gland d'un lubrifiant.

Lorsque le moment me parut venu, je poussai Samantha sur le côté, sa hanche appuyée sur l'accoudoir, et la maintint dans cette position, pendant qu'il la pénétrait. Cette fois, elle poussa un cri de douleur, et eut un mouvement pour se dégager.



- Ne t'en fais pas, lui dis-je à l'oreille pour la rassurer. C'est normal, tu vas avoir mal quelques secondes, mais détends-toi, le plaisir va venir.

Cédric fit preuve de beaucoup de patience et de sensualité, bougeant à peine. Il contractait doucement sa tige pour provoquer des sensations agréables dans l'étroit fourreau de Samantha, et bientôt celle-ci poussa quelques gémissements.

- C'est bon ?, lui demandai-je. Tu commences à éprouver du plaisir ?
- Oui, avoua-t-elle, d'une voix rauque.
- Si tu veux, tu vas changer de position. Je pourrai m'occuper de ton minou en même temps.

Soumise, elle me laissa l'allonger, relever ses cuisses, et Cédric plongea de nouveau sa bite dans son petit trou, sans difficulté cette fois.



Elle regarda, incrédule, le gland gonflé disparaître dans son cul, pendant que ma langue s'activait dans sa fente.

- Tu aimes ?, lui demanda Cédric.
- Oh oui ! Je te sens bien... Ooooh ! J'adore ça !
- Tu as envie que je pilonne ton petit trou à fond ?
- Oui, oui ! Vas-y... Oh, non, pas trop fort.... Ouiiii, comme ça, c'est trop bon !

Il se mit à coulisser avec force dans sa rondelle dilatée, s'enfonçant de plus en plus profondément, jusqu'à ce que ces couilles viennent battre contre ses fesses.

- Putain ! Je jouis ! Ooooh, je n'avais jamais joui comme ça !, criait Samantha, surprise par un orgasme fulgurant.

Cédric n'avait toujours pas déchargé ! Il continuait à tringler doucement sa jolie stagiaire, dont les yeux brillaient.

- J'ai envie d'essayer dans la même position que Chloé, demanda-t-elle soudain, à notre stupéfaction.

Il s'allongea, Samantha vint sur lui, comme elle m'avait vu faire, et je la guidai pour qu'elle s'empale sur le pieu dressé.



- Oui, je sens bien ta queue dans mon petit trou ! s'exclama-t-elle. C'est encore meilleur comme ça... Vas-y, défonce-moi !

Samantha prenait appui sur ses jambes pour soulever son bassin et se laisser retomber sur la bite, dure comme du bois. Elle criait, feulait, ses seins pointaient vers le plafond, et des filets de salive coulaient sur ses joues.

Elle était trop excitante, enculée à fond, et je m'agenouillai entre les cuisses de Cédric, pour lécher de nouveau l'abricot de la jolie blonde.



Elle soulevait elle-même ses jambes, pour s'offrir à ma bouche, et la jouissance la terrassa dans cette position. Elle était épuisée, et Cédric ne pouvait pas se contrôler plus lontemps. Il se remit debout précipitamment.

- Je veux vos bouches, les filles, demanda-t-il d'une voix sourde, je vais vous couvrir de foutre.

Nous nous agenouillâmes toutes les deux, sans discuter, fixant, hypnotisées, la tige secouée de spasmes. Et enfin, le sperme jaillit, avec une violence folle, giclant dans nos bouches ouvertes et sur nos visages.



- Ouah ! Qu'est-ce que c'était bon, murmura Cédric, pendant que des jets de sperme continuaient de sortir de son gland violacé. Je n'ai jamais baisé avec des filles aussi chaudes.

Pendant que les dernières gouttes de sa semence coulaient maintenant doucement, nous léchâmes sa longue bite pour les recueillir sur nos langues.



Enfin, nous nous séparâmes, les yeux cernés après de tels efforts. Nous nous sommes rhabillés, à regret, mais je pensai soudain à ce qui se serait passé, si des collègues de Cédric - ou son patron - étaient rentrés à l'improviste...

Samantha m'embrassa langoureusement, en me confiant :

- C'était inoubliable. J'ai adoré faire l'amour avec toi, et merci de m'avoir initiée à la sodomie.
- Tu ne regrettes pas ?, lui demandai-je avec un sourire complice.
- Oh non ! J'ai plutôt envie de recommencer.



Cédric me rendit mon ordinateur.

- Voilà, il fonctionne maintenant parfaitement. Mais j'ai presque envie qu'il retombe en panne...
- Moi non ! Mais ça ne veut pas dire que je n'ai pas apprécié ce moment, je t'appellerai peut-être plus tard, dis-je en l'embrassant à son tour.



- Et je voudrais récupérer la clé USB, où tu as copié mes photos et mes textes, ajoutai-je.
- Dommage ! J'espérais que tu l'oublierais. J'aurais aimer me branler en les visionnant et en pensant à toi.
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