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Encore un excellent épisode ! Si Vincent et moi avions chacun notre compte, nous voterions deux fois 5* ! ***** ***** |
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Ah c'est chouette de pouvoir suivre aussi cette série ! Merci :) Et voici la suite également de "Angela". Bonne lecture ;) |
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Baiser ma patronne... Nous nous sommes retrouvés, avec plusieurs collègues, chez notre patronne pour fêter son anniversaire. Elle avait les nerfs, car son mari était parti pour un voyage d'affaires quelques jours auparavant, conscient qu'il ne serait jamais de retour avant cette soirée anniversaire. Ça c'était la version officielle, la deuxième version était qu'en réalité, même si son mari était bien en voyage pour ses affaires, pour la première fois, sa jeune et jolie assistante de direction l'accompagnait. Bref, ma patronne n'était pas en super forme. De dépit, elle avait beaucoup picolé et, du coup, d'habitude un peu hautaine avec moi, elle m'a laissé l'inviter à danser plusieurs fois, des souks bien chaloupés où, me laissant emporter par le rythme lancinant de la musique, j'ai laissé mes mains s'égarer sur ses flancs, ses hanches et, très furtivement, sur sa croupe en l'attirant fermement contre moi, lui faisant sentir mon sexe dressé entre nos ventres. Au bout de plusieurs danses, tout en me regardant droit dans les yeux, elle me murmura : _ C'est moi qui vous mets dans cet état ou... Je lui rétorquai alors en soutenant son regard : _ J'ai envie de vous. Vous m'excitez. Surprise par mon aplomb, elle n'a rien dit, semblant réfléchir à ce qu'elle allait pouvoir me répondre ou faire. Et puis la musique s'est arrêtée et on s'est séparé pour retourner chacun vers nos sièges. La soirée s'est poursuivie jusqu'à pas d'heures et les collègues sont partis progressivement. À la fin, au moment de m'en aller, je lui ai proposé de rester pour l'aider à ranger afin qu'elle ne fasse pas ça toute seule. Elle m'a longuement regardé puis elle a accepté, un petit sourire en coin. À peine le dernier collègue parti, je me suis approché d'elle et là, sans perdre de temps, je l'ai enlacée, lui faisant sentir mon envie d'elle. Elle a essayé de me repousser en me disant qu'elle était mariée et que moi aussi, et que tout cela n'était pas très sérieux. Puis, elle a rajouté qu'en plus, elle était ma patronne et qu'il fallait se reprendre, en essayant de m'échapper. Je l'ai alors rattrapée et on a perdu l'équilibre, pour se retrouver bêtement l'un contre l'autre, à même la moquette du salon. On a éclaté de rire. J'en ai profité pour l'embrasser malgré ses tentatives pour m'empêcher d'arriver à mes fins. Et puis, elle a arrêté de se débattre en me murmurant : _ Vincent. Ça suffit. Vous n'allez quand même pas me violer ! Je lui ai répondu d'arrêter de se mentir, car je savais très bien qu'elle aussi en avait autant envie que moi, rajoutant que d'ailleurs j'allais vérifier çà tout de suite en glissant une de mes mains entre ses cuisses jusqu'à atteindre sa culotte. Elle était trempée. _ J'en étais sûr. Vous êtes trempée. Du coup, je l'ai encore embrassée et là, elle a ouvert la bouche, me laissant faire connaissance avec sa langue pour un long baiser passionné. Dans le même temps, je m'occupais de sa chatte, de son trou, de ses lèvres et, très vite, de son clitoris, lui arrachant un encourageant petit gémissement. _ Vincent. Arrêtez. Soyez raisonnable. Je ne veux pas tromper Simon. _ Il vous a abandonnée le jour de votre anniversaire. _ Oui c'est vrai mais... _ Chuttttt. Ne lui trouvez pas d'excuses. Il a déconné grave. Laissez-moi vous faire du bien.... _ Mon Dieu, Vincent je... Elle était en train de craquer. Avant qu'elle ne se reprenne je me suis laissé glisser entre ses jambes, sous sa robe pour me mettre à lui dévorer l'abricot. C'était sûrement son point faible, son pêché mignon, car presque immédiatement, elle s'est mise à gémir plus franchement, ouvrant plus largement le compas de ses cuisses au bout de quelques secondes à peine. C'était gagné. Je l'ai aussitôt débarrassée de sa culotte et là, je lui ai littéralement bouffé la chatte usant de ma bouche, mes lèvres et ma langue sans la moindre retenue. Très vite, un violent orgasme l'a transpercée. Son corps tout entier a été secoué de spasmes tandis qu'elle m'expulsait plusieurs petits jets de cyprine en plein visage, à ma plus grande satisfaction. _ Je jouis Vincent, je jouis. Haaaaaa salaud, profiteur... Ma patronne était en train de se tordre de jouissance en miaulant comme une chatte en chaleur. Ensuite, profitant de ce qu'elle essayait de reprendre ses esprits, je me suis vite déshabillé pour dégager mon sexe et sans attendre je l'ai embrochée en deux coups de reins bien appuyés. _ Mon Dieu Vincent. Vous êtes fou. Je... _ Laissez-vous faire. Vous sentez ma queue bien dure en vous ? J'ai trop envie de vous. Et vous aussi n'est-ce pas ? _ Oui oui mais Simon... _ Personne ne le lui dira. _ Mais... _ Chuuuut. Sentez ma bite à l'intérieur de votre chatte. Laissez-vous aller. Laissez-moi vous baiser. _ Haaaaa Vincent. Comment vous me parlez. Ça m'excite... _ C'est vous qui êtes excitante. Votre cul. Vos gros seins qui me donnent envie de les téter, les mordre, les lécher. Et votre chatte avec votre gros clito. Un pur délice. _ Ha mon Dieu. Ça revient déjà... Ça y est je viens encore... salaud haaaaaa...... Un vrai délice cette coquine de patronne. Un deuxième orgasme la parcourait, lui faisant perdre complètement pied tandis que je lui décochais des coups de plus en plus rapides et puissants. _ Haaaa Vincent, Vincent. C'est trop bon. Vous me faites perdre la tête. Je la pistonne à grands coups de reins, profitant qu'elle reste avachie sans bouger. Puis, je la fais basculer sur le ventre contre le bureau. Son fessier est complètement offert à ma convoitise. Je l'embroche aussitôt tout en lui caressant les fesses, sa raie jusqu'à son anus que j'investis doucement. _ Vincent non. Pas par là. _ J'ai trop envie de te défoncer la rondelle. Il te fait ça aussi ton homme ? _ Non. Il n'aime pas trop. _ Moi j'adore. Tu sens mes doigts entre tes fesses. Ça rentre comme du beurre. _ Arrêtez Vincent. Ne faites pas ça. C'est décidé. Elle n'est vraiment pas convaincante dans ses protestations. Je me retire de sa chatte, pour m'intéresser à son petit trou qui palpite d'impatience. _ Vincent, Vincent, non... C'est trop tard. Mon gland glisse déjà en elle. Elle a compris que je ne vais pas renoncer. Elle cambre les reins en écartant ses deux globes de ses mains. _ Doucement. Je n'ai pas trop l'habitude. _ Relachez-vous et détendez-vous lorsque je vous le dirai. _ Oui oui d'accord, mais doucement s'il vous plaît. J'ai peur d'avoir mal. Je me retire doucement, recouvre une nouvelle fois mon sexe de salive, puis retourne au combat. Ça glisse doucement jusqu'à sentir ses sphincters me barrer le passage. J'appuie plus fort. _ Haaaaa ça fait mal. _ Détendez-vous, maintenant. Oui encore plus... Ça y est c'est passé. Je l'ai enculée jusqu'aux couilles. Je passe une de mes mains sous ses hanches pour atteindre sa chatte et son clito. Je la masturbe doucement sous mon doigt. Mon sexe glisse doucement en elle, d'avant en arrière. Elle se laisse faire en gémissant doucement. _ Doucement... Je lui obéis en bougeant à peine. Au bout d'un moment elle se met à s'empaler d'elle-même en gémissant plus franchement. Enculer sa patronne, d'habitude si hautaine... Un pur délice. Très vite, mes coups de reins se font plus puissants. Mon ventre claque contre ses fesses à chaque coup que je lui assène. Ma patronne se laisse défoncer en m'encourageant à la prendre encore plus fort. Je me déchaîne. Elle m'insulte : _ Haaaa salaud. Vous m'enculez de ouf. Je vais encore venir. Oui. Oui. C'est énorme. Son corps est propulsé en avant à chaque coup de boutoir. Tout à coup, son corps se tend comme suspendu dans le vide, puis retombe, secoué de spasmes impressionnants. Elle jouit. _ Haaaaaa Vincent, salaud. Je jouiiiiis !!!! Son anus me broie la queue, déclenchant alors ma propre jouissance. Je gicle, bien calé au fond de son magnifique fessier. _ Ha t'es trop bonne. Ouiiiiii laisse-moi te remplir le cul de toute ma semence. Elle ne répond pas, complètement hors service. Je reste encore en elle, couché sur son dos, un long moment, en lui caressant les reins, ses flancs, ses cuisses, sans oublier ses deux globes bien musclés. Elle se laisse faire sans rien dire jusqu'à ce que je me décide à la libérer. Elle se retourne, cherchant alors mon regard. Je lui souris en la remerciant pour ce moment tellement inespéré mais vraiment agréable. Elle me répond, osant à peine me regarder qu'on n'avait vraiment pas été raisonnable, avant de rajouter qu'elle espérait pouvoir compter sur moi, pour que tout cela reste un secret bien gardé... |
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Et voilà une petite aventure pour égayer un peu le site, je l'espère... Ève a aimé que je la lui raconte... |
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Comme baiser par un handicapé qui veut juste essayer mais fini par jouir dans le jeune infirmière qui était venu l aider chez lui. |
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cette queue doit pénètrer jusqu'au fond. |
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Et voici un nouvel épisode :) |
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Angela - épisode 17 : Quiproquo Lundi 1er août 11:48 Tandis que nous remontons, Luc garde le silence. Est-il un peu tendu, comme moi, à l'idée de croiser en haut Bernard ? Arrivée en haut de l'escalier, nous scrutons le jardin et nous rendons compte qu'il est désert. Nous rentrons dans la villa, finalement satisfaits de ne pas avoir rencontré Bernard. Je me rends compte que Luc sourit bêtement : - Quoi ? - Rien. Je suis juste surpris que tu n'aies pas remis ton bikini pour remonter... Mince ! Il a raison... Après ce qu'on venait de faire, j'étais si obnubilée sur la manière de gérer une discussion avec Bernard que j'en avais oublié ma nudité. Je ne montre pas qu'il s'agit d'un oubli : - Pourquoi, tu crois que ça aurait choqué Bernard après ce qu'il vient de voir ? - Oh non ! Il aurait sûrement apprécié. - Je suis certaine qu'il est resté caché dans le parc pour continuer à nous observer. Luc s'assoit dans le canapé : - Je ne pense pas, je n'ai pas vu sa voiture. - Elle n'était pas là non plus quand on est sorti. Il est sans doute garé à l'extérieur. - Je ne pense quand même pas qu'il ait pu rester. Tu aurais aimé le croiser ? Luc a encore le sexe bien gonflé et bien tendu. - Toi, en tout cas, l'idée semble t'exciter. - Pfff, non, c'est toi. Tu m'excites, je n'y peux rien. - Mais on vient de faire l'amour ! - Je sais, mais voilà, tu me fais bander. Désolé. - Ne le sois pas ! Moi, ça me convient parfaitement. - Je te rassure, j'ai débandé un peu en revenant de la plage... - Et ça t'a repris quand ? - Quand j'avais ta croupe qui ondulait sous mes yeux pour remonter l'escalier. Radical ! - Mmmm, ça m'excite de savoir que je t'excite... - Oui et du coup, moi aussi ça m'excite de... - Arrête ! C'est sans fin. Si on refait l'amour, l'excitation retombera ? - Rien n'est moins sûr... - Mais ça vaut le coup d'essayer, non ? - Oui. De toute façon, je n'ai pas l'impression de pouvoir débander facilement... - J'avoue que ta queue est splendide et que j'ai bien envie de m'en occuper. - Elle est à ta disposition, tu le sais. - Oui... Je viens m'asseoir à côté de lui et saisis son membre tendu pour le masturber doucement. Luc regarde alternativement ma main sur son sexe et mes seins dont les mamelons s'érigent plus que de raison. Son regard se pose pourtant dans mes yeux et il me demande : - Tu crois qu'on va passer toute notre semaine de vacances à faire l'amour ? - Pourquoi ça t'inquiète ? Ce serait un problème ? - Oh, je ne pense pas, non... Je m'avance sur lui positionnant sa tige entre mes seins. - Tant mieux, j'ai envie de jouir et de te faire jouir sans discontinuer... - Oh ma Juju, ce programme me va à ravir ! - Je vois ça... Son sexe est bandé au maximum, je me redresse pour le masturber. Son attention est soudain attirée vers la porte, derrière moi. Il sourit. Je sens le subterfuge à plein nez. - Quoi ? Tu vas me faire croire que Bernard ou mieux, Lionel, vient d'entrer ? - Lionel ? Tu aimerais que Lionel soit là ? - Allez, dis-moi ce qui se passe derrière moi. - Ah ? D'accord... Bon, alors... heu... il t'observe. - Il est nu ? - Pas encore, mais ça semble en bonne voie puisqu'il déboutonne son short. - Oh. Il va donc s'exhiber devant nous. Cela ne te gêne pas ? - Ma foi, c'est curieux, mais... Je prends conscience qu'il a nécessairement déjà vu Lionel à poil quand ils étaient tous les deux avec Angela : - Je suis conne... C'est vrai que tu as déjà eu l'occasion de le voir nu. Il fronce les sourcils. Je me penche sur lui pour lui lécher le gland. Luc regarde toujours derrière moi pour me faire croire à la présence d'un visiteur. Il sait que ce petit jeu m'excite. - Il commence à abaisser son short. Je redresse la tête : - J'espère au moins qu'il bande à voir mon cul ! - De ce que j'en vois pour le moment, tu ne le laisses pas indifférent. - Tant mieux, il faut qu'il soit en pleine forme. - Tu veux qu'il nous rejoigne ? - Tu penses sincèrement qu'il pourrait se contenter de regarder mes fesses ? Je reprends à lui sucer le sexe. Il est apparemment ravi à l'idée que je puisse proposer à Lionel de participer. Luc semble bien apprécier ma langue sur son gland. Il poursuit sa description : - Il est nu. - Sa queue est belle ? Bien dressée ? - Je ne sais pas si je peux émettre un avis sur la beauté d'une bite, mais en revanche je peux te rassurer sur son érection pleine et entière. - Mmmmh, alors je l'attends. J'engouffre le sexe de Luc et le suce franchement. Il a de plus en plus de mal à me raconter la suite de ce qu'il imagine : - Il... Il s'approche... Il admire ta croupe. Tu es certaine de vouloir qu'il te prenne ? Je me redresse et lui souris : - C'est bien ce que tu veux toi aussi, non ? Je replonge sur son membre dressé, creusant mes reins pour faire ressortir ma croupe pour le visiteur imaginaire. Il se passe alors quelque chose de surprenant. Alors que je suce Luc, j'ai dans mon champ de vision ses deux mains de chaque côté de son corps. Mais alors, à qui sont ces mains qui viennent de se poser sur mes fesses et qui les écartent pour dégager mon abricot humide ? Est-ce que j'aurais tellement fantasmé Lionel qu'il aurait pris corps derrière moi ? J'interromps ma fellation et je veux confirmer visuellement que je ne rêve pas, mais Luc a posé sa main sur ma tête et ne souhaite apparemment pas que j'abandonne son pieu turgescent. Je laisse donc faire, puisque ces mains m'explorent plutôt délicatement. Je relève les yeux. Luc me sourit. Il semble satisfait que je laisse faire son pote. J'ai même l'impression que son sexe gagne en volume dans ma bouche. Nous y voilà donc. Je me retrouve à la merci de ces deux gars comme Angela avant moi. Mais Angela l'avait décidé. Moi, je subis leurs petits jeux pervers. Bien volontairement et avec beaucoup de plaisir, il faut bien l'avouer. Les mains quittent ma croupe. Un souffle chaud sur mon anus me fait alors frémir et, l'instant d'après, une langue se pose sur ma moule et semble se délecter de ma cyprine. Il est doué le bougre. Il n'a même pas encore effleuré mon clitoris, mais c'est terriblement bon. Ma cyprine semble affluer au fur et à mesure qu'il me lape la moule. La bouche pleine du gland frémissant de Luc, je pousse des gémissements de plaisir. Sa main ne me contraint plus, mais il me caresse tendrement la nuque, m'encourageant à poursuivre. Je redresse la tête et lui souris : - Tu aimes ? - Oui... Que tu me suces et qu'il te suce. Tu sembles encore plus gourmande quand tu te fais bouffer la moule. - Oui... il est doué. Mon bienfaiteur ne réagit pas au compliment, mais il s'écarte, sans doute pour apprécier le résultat de son cunnilingus. La suite ne se fait pas attendre. Une main vient me prendre en écharpe et l'autre se pose entre mes cuisses. C'est le pouce qui vient se glisser entre mes lèvres et débusque sans peine mon clitoris. Je feule de plaisir à ce délicieux contact. Luc me sourit : - Il est doué ? - Oui, autant de la langue que des doigts... Mmmmmh... Et comme en réponse à ma remarque, la pointe de sa langue vient accompagner le pouce sur ma fente trempée. Puis, c'est une nouvelle surprise : - Oh ?! - Quoi ? - Aaah... Il me lèche l'anus... - Tu aimes ? - Oh Ouiiii... - Oh ma Juju, il a découvert tout seul que tu aimais cela... - Tu... tu ne lui as pas dit ? - Bien sûr que non ! Je ne crie pas sur tous les toits que tu as découvert récemment le plaisir anal. Un pouce continue de me taquiner le clitoris tandis que l'autre vient remplacer la langue et s'immisce petit à petit dans mon fondement. Luc me dit : - Raconte-moi ce qu'il te fait, ce que tu ressens. - Oooooh... Tu ne vois pas ? - Si, mais je veux aussi t'entendre me le dire. - Aaaah... Tu ne préfères pas que... Ooooh... que je te suce ? Mmmmmh... - Tu n'as qu'à alterner. - Ok... Alors, là... Ooooh... il me met apparemment... Aaaah... deux doigts et me branle... - Tu crois qu'il va te faire jouir comme ça ? - Non... Il me prépare... Mmmmmm... Je prends conscience qu'en disant cela, c'est comme si j'autorisais ouvertement Lionel à me sodomiser. Surexcitée, je replonge sur le sexe de mon homme et lui caresse les testicules de mon autre main. Là, c'est lui qui râle de plaisir. Et puis la branlette de mon œillet s'interrompt. L'homme se redresse et je sens sa colonne de chair chaude se caler entre mes fesses. Luc réclame la description : - Alors ? - Il... Il se frotte entre mes fesses... - Tu aimes ? - Oui, ses couilles viennent frotter contre ma moule, c'est bon... Réaction à ma remarque, le membre semble s'appuyer davantage entre mes fesses. Je me cambre pour mieux sentir contre ma moule. Ses couilles entrent même en contact avec mon clitoris. Je feule encore. Luc veut savoir : - Alors ? Dis-moi. - Il appuie... - Tu vas le laisser te pénétrer ? Je m'étonne de la question de Luc : - Oui... Tu es contre ? - Oh non... Je m'étonne juste... Lionel semble s'écarter. Je sens sa main sur ma croupe. Peut-être hésite-t-il entre les deux passages ? Je sens que ma moule ruisselle de cyprine. Luc se cambre pour me donner un coup de gland dans le menton : - Raconte. - Il... Il présente son gland... - Où ça ? Lui aussi se pose la question... - Contre ma moule... Je n'ai pas besoin de dire à Luc qu'il me pénètre, il voit forcément que le ventre de son ami se rapproche peu à peu de mes fesses. Pourtant, il veut que je lui dise : - Raconte. - Aaaaah... Il... Il entre... Aaaaah... Il est en moi... Je tente de sucer Luc, mais c'est difficile tant je gémis et tant mon souffle me devient indispensable. Je tente malgré tout : - Il... va et vient... Oooooh... - C'est bon ? - Ouiiii... Il est gros... Ooooooh... Il me doigte le clito en même temps... Aaaaaah... Lionel se redresse et me saisit aux hanches. Luc veut entretenir le dialogue : - Il te baise bien ? - Ooooooh ouiiii... - Suce-moi un peu, ma Juju. Il me demande ça alors qu'il semble déjà être prêt à éjaculer... Je me plie à ses désirs. - Il ne te caresse plus la moule. Fais-le, ton orgasme n'en sera que plus intense. Et quoi ? Il décide de tout maintenant ? Et après, il va demander à son pote de m'enculer ? Pourtant, en bonne salope (SA salope), je m'exécute et passe une main entre mes cuisses pour me caresser le bouton d'amour. Je sens alors une main quitter mes hanches et un pouce s'immiscer à nouveau dans mon anus. Quel délice ! J'abandonne la fellation : - Aaaaah... Il me branle le cul ! Ooooh... Sentir le pouce s'introduire en même temps qu'il me baise est purement divin. Luc semble aux anges, même si je ne le suce plus. - Tu crois qu'il va te donner un orgasme ? - Avec un pouce, il va mettre un peu plus de temps... Luc rigole et je l'accompagne, puisque j'invite explicitement Lionel à remplacer son pouce par son sexe. Pourtant, il ne change pas de voie. Il continue à me branler l'anus et à me besogner la moule sans relâche. Bien sûr qu'il va me donner un orgasme, et il le sait sans doute. Peut-être qu'il est aussi trop tard pour lui et qu'il risquerait d'éjaculer s'il sortait maintenant. - Aaaaah... Oh ouiiii ! C'est bon... Luc est ravi de mon enthousiasme : - Je t'aime, ma Juju. Je suis sur le point de jouir, je ne m'occupe plus de Luc. Il empoigne son sexe tendu et se masturbe lentement, ce qui contraste avec le rythme effréné avec le lequel Lionel me baise. L'orgasme est là ! Je jouis... - Oooooooooh Ouiiiiiii ! Luc est béat. Je saisis à nouveau son sexe alors que je suis terrassée par l'orgasme. Lionel s'est arrêté, probablement aussi sur le point d'éjaculer. Je reprends mon souffle. Luc semble en attente. Je lui demande : - Je le laisse venir en moi cette fois-ci ? Luc fronce les sourcils : - Comment ça, cette fois-ci ? Un doute me submerge et je tourne la tête, pour me rendre compte qu'il ne s'agit pas de Lionel. Le gars qui me prend en levrette et me doigte l'anus, c'est Bernard ! Les yeux mi-clos, le visage tordu par le plaisir, il semble sur le point d'éjaculer. J'éructe de surprise : - Merde, pas lui ! D'un mouvement vers Luc, je me dégage du sexe turgescent de Bernard juste au moment où celui-ci commence à éjaculer. Il gueule son plaisir : - Rhaaaaa... C'était moins une ! Dans un réflexe, il a saisi son sexe et le masturbe frénétiquement pour propulser dans mon dos et entre mes fesses plusieurs puissantes giclées de sperme. Luc, pas démonté, me demande : - Qu'est-ce qui s'est passé, Juju ? - Je... je pensais que c'était Lionel... - Quoi ??? Mais non ! C'est... - Bernard, oui merci, je viens de m'en rendre compte. Et il vient de me beurrer la croupe de son sperme gluant. J'entends alors la voix de Bernard : - Excusez-moi Juliette, si j'avais su qu'il y avait méprise, je ne me serais pas permis tout cela... Malgré son repentir, il frotte son sexe contre mes fesses, comme pour l'essuyer. Encore sous le choc, je regarde Luc et je m'aperçois qu'il a du sperme plein le ventre : - Tu as joui ? - Oui, au moment où tu as repris mon sexe pendant ton orgasme. Tu étais magnifique. Bernard semble confus : - Bon bah, je vais vous laisser. Je suis désolé, Juliette... Comme Luc s'apprête à se lever, je saisis son sexe encore bandé et le maintiens assis. Je le regarde droit dans les yeux et m'adresse à Bernard : - Ne vous en faites pas Bernard. C'était un quiproquo, mais un délicieux quiproquo. - Merci, mademoiselle. Et il quitte la pièce en s'étant habillé rapidement. Je m'adresse à Luc cette fois : - Pourquoi ne m'as-tu rien dit ? - Mais je te l'ai dit que Bernard était là ! - Oui, mais je pensais que c'était un jeu de rôle, comme samedi soir... Et on avait évoqué Lionel. - C'est toi qui as évoqué Lionel. - Mouais... Je me demande quand même jusqu'à quel point tu étais complice de ce quiproquo. - Mais en rien, ma chérie. J'ai été stupéfait que tu t'offres ainsi à Bernard. Mais... ça veut dire que tout ça, tu l'aurais autorisé à Lionel ? - Si tu veux savoir, j'étais même partie pour le laisser me sodomiser, tellement j'étais excitée. Luc bande à nouveau. Avec un sentiment de colère et d'excitation mélangées, je reprends ce que je n'avais pas achevé moi-même. |
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Toujours excellente cette histoire, à la fois torride et réaliste ! J'adore, merci pour ce partage ;) |