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Evevincent
8 janvier 2024
10:35:39
message 35921


Offertes - 2 - Je suis voyeuse aussi


Résumé de l'épisode précédent :
Mon compagnon, Vincent, a exaucé mon fantasme d'être partagée avec un inconnu, les yeux bandés.
C'est à mon tour de partager mon compagnon.


De retour dans la voiture, je lui raconte par le menu ce que j'ai vécu et ce que cela m'a rappelé, une main entre ses cuisses pour confirmer que cela l'excite bien.
Je sens son membre dressé et je prends un malin plaisir à le masturber.




Il retire ma main peu de temps après le début de ma caresse :
- Non, chérie, je risque de tout lâcher et j'ai d'autres idées.

J'en ai la confirmation lorsque nous arrivons chez nous.
Après que je sois sortie de la douche, il m'entraîne dans la chambre, ôte mon peignoir et me guide.
Il m'installe allongée sur le ventre et ouvre mes jambes.




J'imagine sa vue sur mon cul nu et ma chatte.

Si cela m'a excitée d'avoir été à ce moment-là un objet de convoitise sexuelle, mon chéri l'est encore plus follement que moi.
Le plaisir de savoir comment il avait palpé mes seins, examiné, doigté et usé de ma vulve et le plaisir que j'avais pris à être possédée.

Je l'entends se déshabiller rapidement.
Il se place derrière moi.
Il prend connaissance de l'état de ma vulve à l'aide de ses doigts.
Je suis tellement excitée qu'il la trouve certainement très lubrifiée.

Sans hésiter, il place sa verge sur mon vestibule, comme s'il voulait reprendre possession de mon vagin, s'enfonce complètement en moi et vient me labourer par derrière.




Ces derniers temps, il adore cette position, m'indiquant que j'ai des fesses très bandantes et une chatte des plus appétissante.

Il apprécie d'être sur moi et aussi de choisir entre le vagin et le cul.
Sa longue queue fait merveille pour aller très loin en moi et c'est très bon de l'entendre grogner, y mettant de l'énergie, comme s'il voulait occuper un terrain qu'il avait perdu.
Il coulisse longuement et profondément en moi jusqu'à inonder mon vagin de son sperme.




Tandis qu'il va prendre sa douche, je change les draps avant que nous nous retrouvions autour d'un petit café.
Tout de suite, la conversation tourne autour de ce qui est censé se passer demain, mon inconnu devant livrer son épouse comme je le fus aujourd'hui.

Vincent a fait sa connaissance sur le blog du club libertin où nous nous rendons parfois.
Il écrivait qu'il avait envie de s'y rendre avec son épouse, mais il voulait essayer d'abord dans un cadre plus intime.

Il s'est longuement confié à Vincent, sur le fait que son épouse et lui n'avaient jamais été voir ailleurs et que, malgré l'aide de petites pilules, il n'arrivait plus à bander autrement qu'en se masturbant.
Il n'avait pas l'intention de la tromper, pas plus qu'elle, et comme il l'aimait toujours, ils en avaient discuté de manière à trouver une solution permettant de sauver leur couple sans aller voir ailleurs.

L'idée résultant de leurs échanges était double :
- Savoir si Monsieur pouvait toujours satisfaire une femme
- Mettre Madame en situation d'être manifestement désirable pour un autre homme.

Madame, comme Monsieur, n'ayant eu depuis plus d'un an aucune relation sexuelle, elle était sérieusement en manque, ne se satisfaisant encore moins que Monsieur des plaisirs solitaires, même partagés.
Elle avait envie de se faire consommer comme un objet sexuel.


Manifestement, Monsieur était encore capable !
En tout cas, il m'avait bien consommée !

Voilà le contexte de notre échange de partenaires, un peu particulier, car, Vincent et moi, nous pratiquons l'échangisme régulièrement dans des situations plus classiques.




Je suis censée être au boulot lundi matin.
Mon chéri, lui, ne reprend que demain après-midi, voire mardi matin, si nécessaire.

À la différence de ma mise à disposition, l'inconnu, lui, veut voir et écouter ce qui se passe à distance grâce à une visio.
J'évoque le fait que j'ai moi aussi envie de voir, et aussi de participer.
J'aime aussi m'occuper des femmes.

Vincent est très embêté, dans la mesure où ce n'est pas ce qui est prévu avec son interlocuteur échangiste, même s'il comprend très bien que ça m'excite.

Il l'appelle et après une discussion où il indique qu'il est prêt à renoncer à utiliser sa femme si en contrepartie du fait qu'il assiste via caméra interposée il n'accepte pas que je regarde sans intervenir.
Après une hésitation et un échange avec Vincent, j'ai l'autorisation de regarder par caméra interposée, mais surtout de ne pas intervenir.

Soit.
Dommage, mais il faut savoir aussi respecter les fantasmes des autres.

Je consulte mon agenda et déplace mes rendez-vous du lundi, ce qui ne pose pas trop de problèmes, si ce n'est mon dernier interlocuteur qui a fait durer le suspense jusqu'à 18 h !

Je taquine mon chéri toute la soirée, dévoilant une fesse ou un sein.




Tout en riant, il m'indique qu'il ne cédera pas à la tentation pour être en pleine forme et plein d'envies le lendemain.

Je le mets au supplice quand nous nous couchons, écartant les cuisses en grand et me touchant devant lui.




Il bande comme un âne, mais ne cède pas pour autant aux envies que déclenche habituellement l'offrande de ma chatte luisante.


Le lendemain matin, le petit-déjeuner est pris rapidement et nous installons le terrain de jeu : drap de protection sur le canapé et au sol dans le séjour, table totalement débarrassée.
Mon chéri installe l'ordinateur et sa webcam sur la desserte.
De cet endroit, il peut l'orienter comme il veut vers n'importe quel endroit de la pièce.

Légèrement en retard sur l'horaire prévu, nous entendons la sonnette.
Je m'installe dans la chambre devant mon ordinateur et me connecte à la visio.

Mon chéri va ouvrir la porte d'entrée et j'entends la voix de l'inconnu qui m'a baisée hier :
- La voici ! Elle est à toi. J'en ai pour un quart d'heure, vingt minutes pour rentrer et m'installer devant l'ordinateur. Tu ne commences pas avant.
- Si tu veux y assister ici, c'est possible !
- Non, elle ne veut pas que je sois là, du moins pas une première fois.
- C'est vous qui voyez ! J'attends que tu donnes signe de vie sur la visio.

La porte se ferme et Vincent entre dans la pièce avec une femme guidée par la main, comme je le fus la veille.




Elle est vêtue d'une robe noire moulante et décolletée, descendant jusqu'à ses genoux.
Elle a des formes voluptueuses.
Sa taille est fine et, surtout, elle a une poitrine phénoménale qui me donne l'impression d'avoir de tout petits seins.

Mon chéri l'accompagne vers le salon et elle s'assoit sur l'accoudoir d'un canapé, peut-être pour ne pas permettre à sa robe de remonter sur ses jambes ?
- Je te propose de faire connaissance avant que ton mari en prenne plein les yeux.




Le ton est donné. Vincent va l'exciter et tenter de la rassurer.
- C'est comment ton prénom ?
- Tu peux m'appeler Lisa.
- Lisa, c'est un joli prénom. Tu es bien plus jolie que sur la photo que m'a montrée ton mari.

- Comment ça ?
- Comme vous partagez le même fantasme, ma compagne et toi, nous avons échangé vos photos avec votre accord...
- Je n'étais pas au courant...

Lisa poursuit :
- C'était une photo habillée, de toute façon. Mais ça veut dire que ta compagne va être comme moi, maintenant et se retrouver en présence de mon mari ?
- Je ne sais pas quoi dire... Il n'a pas joué franc jeu, j'ai l'impression. J'ai quand même quelques craintes. Tu as bien envie, comme ma compagne, qu'un inconnu profite de tes charmes.
- Alors là, pas du tout ! C'est surtout lui que ça excite depuis quinze jours.
- Mais toi, tu n'as pas répondu, tu es excitée à l'idée de te faire baiser par un inconnu ?
- Pas du tout, je suis plutôt angoissée de ne rien voir. Aussi un peu inquiète. J'ai accepté parce qu'il n'arrive plus à me faire l'amour et qu'il pense que de me voir avec un autre va lui redonner de l'excitation.

Vincent est surpris :
- Il ne t'a pas dit qu'il avait baisé ma compagne, Ève, hier, alors ?
- Non, rien du tout, c'était prévu que j'aille voir ma sœur à cinquante bornes de chez nous.

Lisa veut en savoir plus :
- Il l'a baisée ? Baisée ou juste déshabillée, et il s'est branlé en la regardant ?
- ... Comment dire ? Non. Il l'a prise...
- Il a réussi à la pénétrer ?
- De ce qu'elle m'a dit, sans aucun souci. Elle l'a eu dans la bouche et dans le vagin.
- En tout cas, il ne bande plus devant moi. Ce qui m'agace, c'est que je l'ai déjà surpris en train de se branler devant son téléphone, sans qu'il le sache, donc je sais qu'il peut bander devant une autre femme et c'est assez humiliant qu'il n'arrive plus à me baiser, même s'il prétend que c'est juste une baisse de libido.

Vincent est agacé :
- Ça ne me plaît pas du tout, ça. Le libertinage, c'est très agréable, j'adore ça, mais à la condition que tout le monde soit au courant et d'accord, et là, c'est loin d'être le cas.
- J'ai plutôt envie de repartir.
- Je te comprends. Et tu as déjà baisé avec un autre ?

Pas de réponse de Lisa...

- Il n'est pas encore devant l'ordinateur, tu peux tout dire !
- Non, c'est indiscret, je ne vous connais pas et je n'ai pas envie d'avoir des soucis ensuite. Il est à la fois jaloux et en même temps il ne bande plus avec moi.
- C'est pour ça que tu as accepté, alors ?
- Pas pour vous ni pour moi. J'avais juste envie qu'il retrouve du désir pour moi et que cela relance notre couple... Non, je ne l'ai jamais trompé.
- Tu en as eu envie ?

Moment d'hésitation...

- Parfois.
- Tu te masturbes en y pensant ?
- Oui, ça m'arrive, en cachette...




- Tu penses à quoi lorsque tu te masturbes ?
- C'est intime, ça.
- Pas de soucis. Tu me dis ce que tu veux !
- Je pense à des inconnus croisés au hasard dans la rue et qui m'emmènent chez eux ou qui me prennent dans des endroits publics, à même le sol.




- Tu ne te masturbes pas devant ton mari ?
- Si, je l'ai fait un temps et ça lui a permis de bander, mais c'est inefficace depuis longtemps et j'ai renoncé à tout plaisir avec lui. Je me débrouille toute seule.


De mon côté, ce dialogue cru fait que je mouille.
J'ai retiré ma petite culotte et relevé ma jupe pour être à l'aise.




La voix de celui qui m'a consommée hier se fait entendre dans l'ordinateur.
- (voix off du mari de Lisa) Je suis prêt. Vous pouvez y aller.
- D'accord ! J'étais en train de discuter avec ta femme. Une très belle femme ! C'était très instructif.

- Tu as envie d'elle ?
- Objectivement oui, mais plus du tout depuis qu'elle m'a expliqué qu'elle était juste là pour te faire plaisir.
- Et alors. C'est le principe, non ?
- Pas question. Elle n'a pas envie, quoi que tu dises, je n'irai pas plus loin.
- Ce n'est pas comme ça que c'était prévu !
- Elle est inquiète et pas dans un désir quelconque... Tu as une très belle femme et moi, je ne marche pas là-dedans. Oui pour les fantasmes, mais à partir du moment où ils sont partagés et là ce n'est pas le cas. Tu m'as menti ! Reviens la chercher ! On arrête là ! Tu ne lui as pas dit non plus que tu avais baisé ma compagne. C'était le contrat !

- Tu es vraiment con de ne pas vouloir en profiter. Ta jeunette de copine, en tout cas, elle était très bonne et je l'ai dégustée avec plaisir. Elle a tout avalé quand j'ai joui dans sa bouche. Si j'avais su, j'aurais tout lâché dans son vagin qu'elle m'a offert comme la salope qu'elle est, au moment où elle a joui quand j'étais en elle. Parce qu'elle a joui avec ma queue !




- Je le sais, puisqu'elle m'a tout raconté. On est au clair tous les deux. Et ça me plaît, ça me plaisait plutôt, parce que c'est ce dont elle avait envie. Tu es vraiment un gros porc et je regrette d'avoir avalé tout ce que tu me disais de vous. Tu viens la chercher et en attendant on va gentiment prendre un café comme des personnes respectueuses des autres.

Je suis stupéfaite des propos de celui que je pensais être un libertin, mais qui n'est qu'un pervers.

La réaction deLisa me surprend encore plus puisqu'elle se lève, fait glisser sa fermeture, dégage ses bras et laisse tomber sa robe au sol.
Elle ne porte rien dessous, ayant respecté les consignes de son mari pour essayer de l'exciter.

Et elle commence à se caresser...




Elle a une belle paire de fesses, rebondies et fermes.
Ses seins sont exceptionnels, renforcés par la finesse de sa taille.

Elle prend la parole de façon autoritaire :
- Non, ça suffit. Tout le monde veut décider à ma place. Moi aussi, j'ai envie que tu découvres mon corps et, si je me sens bien, que tu me fasses l'amour comme mon mari n'en a pas été capable depuis très longtemps. C'est comment ton prénom ?
- Tu as raison, excuse-moi, Lisa, mais ton mari m'a mis en colère. Je m'appelle Vincent, ma belle.
- Je vais te faire l'amour et je veux que tu puisses voir et déguster de tous tes sens. Donc pas de bandeau.
- (voix off du mari) Pas question, ce n'est pas ça que je voulais.
- (Vincent) Je, je, je... Tu ne t'intéresses qu'à toi. Tu vas devoir t'y faire, car c'est ta magnifique femme qui va décider. D'ailleurs, je vais couper la visio...
- (Lisa) Non, surtout pas ! Il coupe si ça l'embarrasse, mais je veux qu'il voie ou plutôt qu'il se rappelle de ce qu'est un couple qui se donne du plaisir.
- (Vincent) Je suis certain qu'il ne t'a rien dit, mais ma compagne est aussi en ligne. Tu veux que je lui dise de quitter la visio et nous laisser seuls, ou bien qu'elle vienne nous rejoindre ?
- (Lisa) Ça ne me dérange pas qu'elle vienne regarder.
- (Le mari) Et je suppose que je n'ai rien à dire ! Je viens te chercher Lisa et on va régler ça entre nous !
- (Vincent) Tu ne feras rien du tout. La seule règle, c'est que c'est ta femme qui décide ce qu'elle veut, quand elle veut et je la ramènerai moi-même et où elle le souhaite. Elle est notre invitée, pas toi !

Je quitte la chambre et sa caméra et entre dans la pièce.
Lisa jette un regard vers moi et me sourit.




Nous nous faisons chaleureusement la bise et j'en profite un peu...
Ses seins sont fermes et tendus.

Je vais néanmoins m'assoir sur un siège, pour respecter son souhait.

- Vous faites un beau couple tous les deux ! Ta compagne est ravissante. (ton dédaigneux) Tu as donné du miel au cochon de goujat qu'est mon mari.

Vincent retire son t-shirt et son pantalon.
Il bande déjà totalement et c'est de bon augure.




N'ayant vu que des photos habillées de Lisa, il avait envisagé de recourir à une petite pilule qu'il utilise parfois quand une de nos aventures coquines nécessite de devoir honorer plusieurs femmes.
Il n'en a finalement pas pris.

Il pose sa main sur la nuque de Lisa, l'attire à lui et l'embrasse langoureusement.
Lisa pose la sienne sur son épaule et répond à son baiser tendre.

Mon compagnon caresse sa taille et ses épaules, prolongeant un baiser qui provoque une réaction indignée de la part de cet homme auquel je regrette maintenant d'avoir donné mon corps :
- Tu es en train de me tromper, Lisa. Arrête ça ! Je t'en prie !

En guise de réponse, Lisa passe ses mains dans le dos et retire l'agrafe de son soutien-gorge :
- Occupe-toi de mes seins, s'il te plaît.

Elle se tourne, face à la caméra pour que son mari n'en perde pas une miette, et Vincent passe derrière elle.
Elle n'est pas seulement dans le désir de plaisir, mais manifestement dans la punition de son mari.




Vincent ne se laisse pas prier pour poser les mains sur ses deux appâts de choix.
Il aime les gros seins, les miens pour commencer et tous ceux qu'il m'avoue essayer de deviner sous les tenues des dames.
Ceux d'Lisa sont magnifiques.
Ils se tiennent très bien, légèrement divergents et dotés de larges aréoles aux gros tétons.




Elle apprécie les caresses de Vincent qui commence par les soupeser, les prenant en coupe, puis les malaxant, tout en embrassant son cou :
- Tu les aimes, mes gros seins. Je sens ta queue toute dure dans mon dos... Elles t'excitent, mes grosses mamelles... Oh oui ! titille encore mes tétons avec tes doigts ! Continue, tes doigts, oui ! Tu les sens durcir ? Merde. Dire que la dernière fois qu'on m'a peloté, c'était mon gynéco.
- C'est du gaspillage ! Si j'étais ton mari, je le ferais sauter souvent ton soutif.
- Putain, c'est bon, fais-les rouler entre tes doigts, oui, comme çà. Tire dessus un peu. C'est bon d'avoir un homme qui s'occupe de son plaisir...




Quant à moi, j'ai mis mes seins à l'air et je me les caresse.
C'est très excitant de voir cette femme qui goûte au plaisir donné par l'attention de mon homme.
Elle me regarde de temps en temps et semble apprécier que je me donne aussi du plaisir.




Sur le grand écran, le mari semble avoir renoncé à convaincre son épouse de ne pas se donner à Vincent et a baissé son pantalon.
Il bande mou, c'est-à-dire presque pas, malgré l'énergie qu'il met à se stimuler de la main.
Il semble avoir peur du désir et des envies de son épouse que j'imagine très sage depuis longtemps et qui est maintenant suffisamment révoltée pour donner libre cours à ses envies trop longtemps refoulées.




Quand la main droite de Vincent quitte le sein d'Lisa pour caresser son ventre et atteindre sa chatte qui vient se plaquer contre elle, le mari jaloux arrête de se branler et hurle :
- Non, chérie, ne fais pas ça ! On arrête ! Je te promets que je vais m'améliorer. Je sais que j'ai été lamentable. Ne le laisse pas aller plus loin. J'ai eu ma leçon, c'est bon !
- Tu ne bandes même pas en me regardant me faire peloter. Lui, il bande et d'abord je ne laisse rien faire, c'est moi qui en ai envie. Ma chatte tu l'as à disposition tous les jours et pour ce que tu en fais ! (S'adressant à Vincent) Oui, viens voir dans quel état tu me mets. Va plus bas... Encore plus bas...
- Lisa, arrête, putain, merde, mais non...

Vincent s'agenouille et commence par lui embrasser les cuisses avant de faire passer sa langue dans sa fente.




Quand il place la jambe de Lisa sur un tabouret, sa vulve toute rose apparaît bien sur l'écran.
Vincent pose ses mains sur les fesses et place sa bouche entre les cuisses pour lécher ses grandes lèvres.

La caméra du mari se coupe !
Il ne veut plus rien voir de plus ?

Cela ne perturbe pas plus que ça les deux partenaires occasionnels, l'une chatte ouverte et qui se laisse dévorer, l'autre qui déguste l'intimité de sa belle du moment.

Lisa semble libérée de la « disparition » de son mari.
Elle caresse la tête de Vincent tandis que celui-ci parcourt sa vulve.

Elle ferme les yeux et se laisse aller au plaisir de la caresse buccale que lui prodigue mon compagnon.
Son plaisir monte et elle se penche sur lui, semblant peiner à rester debout.

Vincent l'emmène vers le canapé.
Elle s'y assied et écarte les cuisses largement pour prolonger son plaisir.
- Ça fait si longtemps que je ne me suis pas fait bouffer la chatte...




Vincent s'applique ; sa langue parcourt sa fente, adresse des coups de langue à son clitoris et alternativement dans son vestibule.
Lisa ferme les yeux, toute au plaisir de la sensation que procure sa langue.


Je me touche la chatte, un peu envieuse de la délicatesse et de l'attention de mon compagnon.
Pour tout dire, je suis carrément trempée et j'apprécierais que Vincent s'occupe de moi.




Lisa commence à gémir quand la sonnette retentit.
Nous savons tous les trois de qui il s'agit.
Vincent abandonne Lisa (à regret, j'en suis sûre) et revient de la salle de bain vêtu de son peignoir et du mien qu'il tend à Lisa.
Quant à moi, je repasse culotte et soutien-gorge avant de réajuster ma tenue.

Vincent se dirige vers la porte et ouvre, comme nous nous en doutions, au mari qui est arrivé en dix minutes, ayant vraisemblablement conduit de manière déraisonnable.
- Qu'est-ce que tu veux ? (Vincent a un ton agacé)
- Je viens chercher mon épouse. (D'un ton à la limite de l'agressivité)
- Elle est mineure ?
- Arrête ça tout de suite. Je ne suis pas d'humeur !
- Et moi non plus. Tu baisses d'un ton, sinon tu sors ou je te sors, comme tu veux.
- Espèce de...
- (Lisa d'un ton exaspéré) Laisse-le entrer s'il te plaît, qu'on en finisse.
- (Vincent) Comme tu veux. (S'adressant au mari) Je te préviens, au moindre écart de comportement, tu te retrouves dehors.


Il entre dans le séjour et s'adresse à Lisa, après m'avoir jeté un regard rapide.
- Allez, viens chérie. Rentrons chez nous...
- Je ne suis pas sûre d'en avoir envie.
- Je sais que je ne suis pas à la hauteur et que je t'ai déçue. Je vais travailler sur moi. À force de regarder du porno, je me suis habitué à ne bander que devant des jeunettes ou devant certaines scènes.
- Et tu penses que je vais rajeunir dans la voiture ?
- Ne sois pas stupide. Je vais me sevrer et tout va redevenir comme avant.
- Toi, toi et encore toi. Moi ça fait un an que j'attends que tu me touches, que seulement tu me regardes quand je sors de la douche. Un an que je me touche pour avoir un peu de plaisir. Alors, tu vois ? J'ai envie de penser un peu à moi. Tu ne m'as même pas dit que tu avais baisé Ève, parce que tu n'as pas eu de mal à bander, avec elle... Je dois le prendre comment ? Ou plutôt, comment elle doit le prendre ? Elle doit se considérer comme une actrice porno ? Comme une poupée gonflable ? Tu es abject. Tu sais, quand tu es arrivé, je ressentais du plaisir. Vincent me léchait avec délicatesse et envie. Tu sais, ma petite chatte qui te faisait tant envie il y a quelques années. Tu arrives et, parce que Monsieur est jaloux, au passage, moi, une femme, ta femme, il est inconcevable que je le sois, hein ? Parce que tu arrives, donc, je dois renoncer au début d'un plaisir auquel je n'ai pas eu droit depuis si longtemps. Alors, merde ! Moi je veux jouir ! Je veux que l'on me désire et là, je veux mon quotient de bonheur, de sexe. J'ai envie qu'on me désire. Tu veux me ramener à la maison, alors, d'accord, mais tu vas d'abord me baiser, ici et maintenant (elle retire son peignoir et se montre dans sa nudité totale). Alors ? Tu viens ? Je te fais bander ? Montre-moi !




- ...
- Rien ! Bien sûr que tu ne bandes pas ! Les pseudo-maris des vidéos que tu mates, ils ne bandent pas quand ils voient leur femme se déshabiller devant des inconnus ? Ce n'est pas ce que tu cherchais quand tu m'as expliqué ce que tu attendais de moi ?
- C'est compliqué pour moi ! Je ne peux pas y arriver comme ça... Rentrons et je suis sûr que ça va marcher.
- Alors là, mon petit bonhomme, même pas en rêve. Mais je vais te laisser le choix : tu rentres, tu attends dans la voiture et je verrai si je te rejoins ou alors tu t'assieds et tu me laisses prendre mon pied avec un homme qui a envie de moi. À toi de voir.

Le mari est ébahi en écoutant ce long monologue. Il était crispé en arrivant et le voilà avec les bras qui tombent et ses traits inexpressifs.
Il vient de comprendre que pour une fois, il va devoir prendre en compte les désirs de son épouse.
C'est avec de la lassitude qu'il s'installe dans un fauteuil.


Lisa se colle à Vincent.
Elle lui retire son peignoir. Il a perdu son érection, ce que l'on peut aisément comprendre.
Lisa plaque ses seins contre le torse de mon compagnon et d'une main experte, caresse ses testicules.

Lançant un regard de défi à son mari assis, elle s'adresse à Vincent d'une voix charmeuse :
- Ta langue m'avait presque fait jouir avant que l'on soit interrompus. Je vais te remettre en forme. Tu aimes que je te caresse les couilles... C'est bon... Touche mes gros seins... N'oublie pas ma chatte... Hum, tu durcis à nouveau... Attends, je vais accélérer les choses.




Elle se met à genoux et prend dans la bouche la verge de mon chéri qui commence à se redresser.

Elle le pompe tant et si bien qu'en quelques instants elle reprend toute la vigueur espérée.
- Quel beau morceau ! Je peux y mettre les deux mains dessus. De toutes celles que j'ai connues, c'est de loin la plus intéressante. Une vraie queue de mâle bien dure qui se dresse devant une femme nue (regard de défi à son mari). Tu sais ce qui me fait mouiller, là tout de suite ? C'est de l'imaginer en train de glisser en moi.
- Et moi, ce qui me fait bander c'est de penser que tu vas bientôt écarter les jambes pour la laisser entrer.
- Oui, je la veux. Viens me rendre visite. Elle est toute à toi, ma chatte.
- Le temps de la couvrir et je vais commencer l'exploration.
- Pas la peine si tu es clean. Je n'ai pas été visitée depuis longtemps, même si j'ai eu des propositions.

Ils se dirigent vers le canapé.
- Comment tu veux que je te prenne ?
- Par devant pour commencer. Je veux la voir entrer.




J'ai une furieuse envie de me toucher à voir Lisa s'installer sur le canapé, ouvrir largement ses cuisses et poser ses talons sur la banquette.
Je me retiens afin de ne pas m'offrir de nouveau en cadeau à l'abject personnage qui m'a utilisée hier.


Vincent prend les jambes d'Lisa et les fait passer au-dessus de ses épaules, renversant son bassin, et la maintient ouverte par les chevilles.
Sa vulve est gorgée et son vagin dilaté, le vestibule béant.

Vincent fait glisser sa verge sur ses grandes lèvres.
Quand il s'est assuré qu'elle est correctement lubrifiée, il la place d'une main et pénètre Lisa centimètre après centimètre.
Elle est profonde ; elle entre tout entière, suscitant un soupir de contentement de la part de sa partenaire.




Progressivement, Vincent accélère le rythme et ses cuisses claquent contre les fesses plantureuses de Lisa dont les gémissements font place à des « Oh ! Oui ! »
Quand Vincent, de son bras gauche, resserre les deux jambes de la belle, ses chevilles autour de son cou et qu'il utilise sa main droite pour stimuler en même temps son bouton, c'est l'explosion.

Lisa a un puissant orgasme qui lui fait trembler les jambes, sous les yeux de son mari dépité.




Comme c'est très souvent le cas, Vincent n'a pas joui, concentré sur le plaisir de sa partenaire et il se retire, la laissant pantelante sur le canapé.
Elle respire fort, comme anéantie par le plaisir, les yeux fermés.

Vincent se masturbe en la regardant ce dont elle s'aperçoit en ouvrant ses yeux.

- Merci, mon beau. Il y a si longtemps que l'on n'avait pas aussi bien pris soin de moi... Et tu n'as même pas joui.
- Ce n'est pas un souci. J'ai joui presque intérieurement de t'avoir vue prendre ton pied.
- Tu es trop chou. Je ne suis pas une égoïste, contrairement à mon mari. Je veux que tu jouisses de moi, toi aussi. Comment as-tu envie de me prendre ?
- Tu as un cul magnifique. J'ai envie de toi par-derrière.




Lisa se place à genoux pour offrir sa croupe, bien cambrée, exposant sa vulve détrempée et son vagin encore béant après la saillie de mon compagnon :
- Viens jouir en moi... Ne pense qu'à ton plaisir.

Mon compagnon caresse les fesses de sa belle amante, ne résiste pas au plaisir de tripoter sa chatte et plante son dard dans le fourreau doux, chaud et humide qui l'accueille à nouveau.
La main de son amante passe entre leurs jambes pour caresser les testicules de mon chéri qui ne résiste pas longtemps à un tel traitement.
Il se cabre et pousse un grognement sonore avant de prendre appui sur le dos avant de se retirer.




Lisa reste en position et j'observe le sperme de mon compagnon dégouliner de son vagin et la tête dépitée de son mari.

Je mouille, habillée, sans pouvoir me toucher et j'ai vraiment envie d'une queue, la sienne, au fond de moi.

C'est le moment que choisit son mari pour intervenir :
- Tu as eu ce que tu voulais, Lisa. Tu m'as humilié. J'ai eu ma leçon, je pense. Allez, rhabille-toi et partons.
- Tu sais, j'ai regardé l'historique de l'ordinateur et donc ce que tu regardes pour te branler de ton côté. Tu as voulu me partager alors que je n'étais pas plus enthousiaste que ça. Je ne vais pas repasser ma culotte avec la chatte dégoulinante comme ça. Il me semble que tu sais ce que font les cocus consentants dans une telle situation, non ?
- Ah non, ça suffit. C'en est trop. Pas question.
- Tu vois, c'est notre souci, ton souci en fait. Tu as des fantasmes que tu n'assumes pas et tu te complais dans tes plaisirs solitaires en les imaginant ou en regardant les autres faire en me laissant en plan toute seule pour me satisfaire. Je n'ai plus envie de ça. Tu es allé trop loin, ou pas assez avec moi. Je n'ai pas envie de rentrer avec toi.
- Lisa... Non, je t'assure... Je regrette...
- Pars, je ne veux plus te voir.

Lisa se lève et prend son peignoir.
Son mari se précipite vers elle et s'agenouille, ouvre le peignoir et passe la tête entre les cuisses de Lisa pour nettoyer sa chatte de sa langue.




Lisa repousse sa tête :
- C'est trop tard... Et pas spontané ! Tu vois, je ne ressens rien. Ou plutôt du dégoût. Va-t'en...
- Tu vas faire quoi ? Tu vas aller où ?
- Je suis majeure. Je ferai ce que je décide de faire. Un peu de dignité de ta part, ce serait bien, si c'est encore possible. Ève, je peux utiliser votre salle de bain ?

Je conduis Lisa dans notre salle de bain et quand je reviens dans le séjour, le mari est parti.

Evevincent
8 janvier 2024
10:36:08
message 35922
Et voici la suite... 🤗

Lisa
10 janvier 2024
00:11:29
message 35923
Belle histoire ! Je trouve que le ton change de d'habitude et c'est très intéressant ;)
Par contre, tu utilises mon nom pour beaucoup de tes personnages, mais je suis loin de me reconnaître dans chacune des Lisa que tu décris... Enfin, je critique, mais ma dernière histoire date un peu pour ma part et j'ai du mal à trouver du temps pour avancer les quelques projets que j'ai... :(
Merci pour le partage de ces fantasmes !

Evevincent
10 janvier 2024
09:00:22
message 35924
Lisa, pour nous et les lecteurs, c'est plus facile de se projeter avec ce prénom... mais, bien entendu, toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence 🤗

Evevincent
15 janvier 2024
14:11:23
message 35925


Saynète 01 - Tellement amusant


Enfermés dans l'intimité d'une chambre, une fille et un garçon s'amusent visiblement à des jeux d'adulte, expérimentant diverses choses qu'on découvre plutôt dans les vidéos X que dans les magazines de leur âge.




Soudain, ravie et amusée, celle-ci s'exclame sans fard :
- Waw, mais c'est super bon !! Je n'ai jamais cru qu'avoir une bite dans le cul serait tellement amusant ! Oh ouiii !
- Amusant !? Ce n'est pas le mot auquel je m'attendais !

Radieuse, elle tourne son visage poupin vers celui de son amoureux :

- Ben oui, c'est amusant de sentir ta belle bite dans mon petit trou ! Ça me procure des sentiments étranges, et ça me fait même du bien de me faire ramoner le cul !
- Tant mieux pour toi si t'aimes ça, parce que moi, ça m'arrange !
- Ah bon ? Pourquoi ?

Avide, il serre un peu plus fort les mignons seins qu'il a en main depuis le début :
- Parce que j'adore t'encuuuler ! Oh oui ! Et je veux recommencer le plus souvent possible, figure-toi ! T'en penses quoi, mon poussin ? T'es OK pour qu'on le refasse la plupart du temps ?
- Ben, si c'est comme maintenant, je suis d'accord, mais je ne sais pas ce que ça va donner quand tu auras tout mis dans mon cul... ça me fait un peu peur quand même...

Sentencieux, sans lâcher sa double prise manuelle, le garçon répond doctement :
- Tu vas te sentir bien remplie, mon poussin...

Toujours empalée, elle glousse :
- Oui, bien remplie avec ta bonne bite et ton bon sperme !
- Dans ce cas, forniquons dans la joie et la bonne humeur !




Rideau... ___________________________________

Evevincent
15 janvier 2024
14:12:09
message 35926


Saynète 02 - Pourquoi ?


Dans un parc public, assez tard en soirée, dans un coin reculé et abrité, un homme et une femme sont debout près d'un arbre centenaire.

La dame tente de répondre à la question qui vient de lui être posé :
- Pourquoi suis-je devenue une pute ? C'est une bonne question !
- Ah-hem, ce n'est pas le terme que j'ai employé...
- J'appelle un chat un chat.




Avec une pose suggestive, elle réfléchit, puis elle se lance :
- Hmm, voyons... ça remonte à sept-huit ans, quand j'étais encore mariée. Un beau jour, un soir précisément, de façon imprévue, mon homme a amené quelques amis à lui.
- Imprévue ?

Songeuse, elle se souvient parfaitement de cette fameuse soirée qui a incontestablement marqué pour elle un avant et un après :
- Oui, pour me faire une surprise très hot, qu'il m'a dit, ce salaud ! Il est vrai qu'il était torché, et moi, j'étais excédée par ses beuveries répétées. En tout cas, il a été très surpris quand je me suis prise au jeu : j'ai léché, sucé, pompé et vidé toutes les queues qu'on me proposait, puis dans la foulée, j'ai baisé avec tous ses potes, là devant lui, sans tabou, en long, en large et en travers ! Une véritable vide-couille par tous mes trous ! Je les ai tous épuisés, asséchés, et moi, j'en voulais encore, j'étais totalement déchaînée !




Hochant la tête, l'homme murmure, pensif et admiratif :
- Ah oui... carrément !
- Eh oui, carrément ! Je n'ai éprouvé aucune honte, rien du tout.
- Vous avez eu le... déclic, c'est ça ?

Elle affiche un large sourire :
- Oui, je me suis découverte comme étant une autre femme. Depuis, j'ai continué avec grand plaisir, et ça me ramène beaucoup d'argent et de plaisir !
- Je comprends...

Sans complexe, d'un geste naturel, elle pose sa main sur la bosse du pantalon de son interlocuteur :
- Au fait, est-ce que ça te dit une petite séance avec moi, pour pas cher ?




Rideau... ___________________________________

Evevincent
15 janvier 2024
14:12:59
message 35927


Saynète 03 - Anniversaire


Deux hommes et une femme, dans le salon d'un appartement situé en centre-ville.
La femme est actuellement agenouillée devant un individu fort bien bâti qui semble être un culturiste.

Avec application et ferveur, elle est en train de lui administrer des privautés buccales.




- Waow ! Ta femme met du cœur sur ma bite, tu as vu ça ?
- Oui, je vois ça, et je m'en doutais, figure-toi.
- Ah bon ? Et pourquoi ?

Placidement, le mari et spectateur explique :
- Parce que je savais qu'elle voulait baiser se faire baiser par un mec comme toi, et ce, depuis un certain temps. Et moi, je n'ai pas exactement ton profil, je suis épais comme un sandwich SNCF ! C'est pour cette raison que t'es ici dans notre salon.
- Ah OK ! Ta femme veut baiser par un mec balèze et musclé, c'est ça ?
- Oui, c'est ça. Elle veut savoir ce que ça fait, je suppose.

Verge toujours en main, l'épouse cesse momentanément de sucer l'invité :
- T'as tout compris, mon chéri !




Puis elle lève les yeux vers l'homme musclé :
- Quant à vous, votre rôle est de m'offrir le plus beau cadeau d'anniversaire, en réalisant mon fantasme. Je veux tout connaître de ce qu'un homme balèze et bien fichu comme vous et doté d'une belle queue peut faire à une femelle dévoyée comme moi !
- Tout ?




La femme ne répond pas, elle est déjà à nouveau occupée autour de la sucette qu'elle avait en bouche, il y a quelques secondes.

Relayant sa femme, le mari prend alors la parole :
- Oui, tout ! C'est son anniversaire aujourd'hui, alors fais-lui sa fête, puisque tu es son cadeau et qu'elle est ta salope.
- Waw ! C'est bien la première fois que je suis le cadeau d'anniversaire de la femme d'un collègue ! Ne t'inquiète pas, ta petite salope de femme se souviendra longtemps de ce soir, tu peux me croire !




Rideau... ___________________________________

Evevincent
15 janvier 2024
14:53:00
message 35928


Saynète 04 - Mon Dieu


Dans un club exotique de vacances situé en bord de mer, un de ceux qui font rêver sur les cartes postales, avec sable fin, mer d'azur et paillottes, une femme est joyeusement enfichée sur un énorme engin qui lui perfore le petit trou qui ne restera pas étroit très longtemps.




- Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu !
- Mais non, Isa, je ne suis pas ton Dieu, mon nom est Adil ! Mais si tu le veux, tu peux m'appeler Seigneur ou Maître.

Quasiment en extase, la jeune femme glousse :
- Oh, c'est bon de se faire empaler comme cela, Maître ! Oh oui ! Encore !!
- C'est l'effet de ma baguette magique ! Non seulement elle te remplit, et elle t'explore à fond, et tu vas bientôt te retrouver avec tes entrailles inondées de mon excellent foutre !
- Oh ouiii, faites de moi ce que vous voulez, ô mon Seigneur et Maître !

Lui saisissant les seins afin de les malaxer, Adil constate avec plaisir :
- Eh bien toi, quand t'aimes un truc, tu ne fais pas les choses à moitié ! Remarque, devenir ton Seigneur et Maître, l'idée me plaît beaucoup. Tu jures d'obéir au doigt et à l'œil à tout ce que je pourrai te demander ?
- Oh oui, je suis votre esclave et aussi votre putain ! Euh... Maître...




Toujours bien enfoncé dans les chaudes profondeurs de la jeune future soumise, pelotant les roberts offerts, l'homme ordonne d'une voix assurée :
- Dans ce cas, tu vas passer la totalité de tes vacances avec moi, jours et nuits, m'offrant tous tes trous sans limite !
- À vos ordres, ô mon Maître !


Rideau... ___________________________________

Evevincent
15 janvier 2024
14:53:42
message 35929


Saynète 05 - Stage



Dans un bureau d'entreprise aux larges vitres, un homme bien habillé, et à ses pieds, une jeune fille dont la chemisette est amplement ouverte.




- Uuhh... Émilie, je suis toujours très gêné quand tu viens me voir dans mon bureau pour... même si c'est très bon !
- Monsieur Martin, je sais que vous aimez quand je vous suce ou quand vous me baisez... J'adore ça, mais j'ai surtout le sentiment d'être soumise à mon patron...

L'homme se gratte furtivement le crâne :
- Oui, je comprends... mais je ne suis pas très à l'aise avec l'idée de bénéficier d'une sorte de droit de cuissage, ici au bureau. Je préférerais ailleurs...
- Vous vous y ferez très vite, vous verrez ! Petit à petit, vous saurez me transformer en bonne et docile secrétaire... Je ne rêve que de ça depuis que j'ai commencé mon stage, ici chez vous et surtout pour vous...

Bien qu'il soit flatté, il s'exclame :
- Mais tu es si jeune et tu as un petit ami !
- Ah, ce n'est pas la même chose ! Il ne faut pas confondre les torchons et les serviettes ! Andrew, j'ai des sentiments. Vous, c'est pour satisfaire certains de mes fantasmes et aussi mon envie de soumission...
- C'est vrai que j'apprécie de plus en plus ta volonté de devenir ma salope attitrée...




La stagiaire lui adresse aussitôt un sourire enjôleur et vicieux :
- Profitez-en, Monsieur Derijke.
- C'est prévu, ma petite, c'est prévu !

La verge bien raide de son employeur toujours en main, Émilie propose :
- Tant mieux ! Je peux vous dire qu'à la fin du stage, si vous m'embauchez, vous aurez le droit de prendre ma virginité anale, une fois la signature sèche.
- C'est un bon argument, en effet...
- Et vous serez le seul à pouvoir y enfoncer votre belle bite... Enfin... le seul de l'entreprise, avec tous les clients à qui vous me proposerez.

L'employeur s'étonne :
- Tu... tu veux baiser avec les clients ?
- Eh bien, si je suis votre petite salope, soumise et secrétaire, il me semble normal que vous en profitiez pour récompenser vos bons clients ou pour aider à la signature de nouveaux contrats ! Non ?

Monsieur Derijke affiche un large sourire radieux :
- Tu peux te considérer comme définitivement embauchée, Émilie ! Pour sceller notre accord, fais-moi une belle pipe, et avale tout, bien sûr ! Ensuite, tu te mettras à quatre pattes !
- D'accord, Patron !




Rideau... ___________________________________

Evevincent
15 janvier 2024
14:54:42
message 35930


Saynète 06 - Piscine


Dans une villa cossue un peu à l'écart, deux femmes barbotent dans une piscine, seins à l'air.




Un groupe de jeunes hommes nus et particulièrement bien faits physiquement vient d'entrer en scène sur la terrasse qui jouxte l'eau.

L'une des baigneuses s'exclame :
- Oh merde, T'as vu tous ces types ? D'où viennent-ils ? D'un film porno ou quoi ? Putain, les trucs qu'ils ont entre les jambes !
- Allons donc, Lola ! Tu ne savais pas que Sylvie avait mis ses billes dans le X ? Et qu'elle a parfois été payée en nature, si tu vois ce que je veux dire par là... Et très souvent, pour cause de non-imposition et de septième ciel...

Étonnée, sa voisine se tourne vers elle :
- Ah bon, Sylvie est dans le X ? Je savais qu'elle avait beaucoup des mecs dans sa vie et des pas moches, mais j'ignorais son... euh... investissement... Maintenant, je comprends mieux certaines choses.

L'autre jeune femme murmure à l'oreille de Lola :
- Ah, ils commencent à tourner la tête et à plisser les yeux vers nous, ou plutôt vers toi, ma chérie !
- Hein !? Pourquoi moi ?




L'explication arrive aussitôt :
- Toi, t'es nouvelle, ils ne te connaissent pas. De plus, t'as des sacrés nichons qui flottent, ça aide...
- Toi aussi, tu as de gros seins qui flottent !
- Mais les miens, ils les connaissent déjà ! Parce que, figure-toi, j'ai déjà participé à des gangs-bangs et autres sauteries, ici avec Sylvie et d'autres personnes.

Pas très rassurée, Lola écarquille les yeux :
- Sauteries !? Mais... Mais qu'est-ce qui va m'arriver ? Dis !!
- Balise pas, ma chérie : si tu dis non, c'est non. Mais ça serait bien que tu les laisses se branler entre tes gros lolos et qu'ils jouissent dessus.

Légèrement rassurée, Lola demande :
- Et... euh... Ça sera filmé ?
- Bien sûr que oui ! Tout comme moi, t'as des lunettes noires et tes cheveux mouillés sont tirés en arrière. Même moi, je ne me reconnais pas dans les vidéos quand j'ai pu voir de mes belles prestations.

Index sur la bouche, la nouvelle actrice en herbe laisse tomber à voix basse :
- Euh... Je veux bien essayer... Un peu...




Rideau... ___________________________________

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