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Angela - épisode 26 : Jeu de plage Mardi 2 août 16:11 Ma remarque sur le manque d'endurance des garçons semble avoir blessé Damien dans son amour propre. Il se lève et défend sa virilité : - Juliette, ne remets pas en cause nos capacités physiques. Si nous avons tous joui si vite, c'est que tu es particulièrement excitante... - Le compliment me va droit au cœur, mais en attendant, je vous imaginais plus sportifs Cédric et toi. - Nous le sommes ! - C'est vrai que vous semblez plutôt musclés, les garçons. Vous faites du sport ? - Course, natation et un peu de salle. - C'est sûr que ça aide à être bien gaulé... Je dois admettre que Damien et Cédric sont bien foutus. Damien capte mon regard sur lui : - Oh, j'ai l'impression que je suis à ton goût, n'est-ce pas ? - C'est toujours plus agréable un mec un peu musclé qu'un gringalet chétif. - Yeah ! Je ne me plains pas. Luc me demande en souriant : - Et tu me classes dans quelle catégorie, ma chérie ? - Ne dis pas de bêtises. Avec le vélo et la natation, tu sais que tu as un corps de rêve. - C'est toujours agréable à entendre, surtout de la part d'une fille au corps parfait. - Hihi, tu me gênes... Luc fait une proposition : - Et si on faisait un peu de sport ? - Qu'est-ce que tu as en tête ? J'imagine déjà que le sport en question ne sera pas si innocent que ça et que j'y jouerai un rôle particulier. Luc expose son idée : - J'imaginais profiter de la plage pour faire un genre de baseball. - Baiseball ? - Oui, si tu veux, Juju. Mais laisse-moi expliquer. On n'a pas de batte, mais on pourrait partir du principe que l'important c'est d'envoyer loin quelque chose. On peut donc envoyer une pomme de pin en guise de balle, lancée à la main. Cédric intervient : - Moi, je suis sûr de pouvoir lancer super loin. J'étais hyper bon en javelot au lycée. Il fait saillir ses biceps et je m'amuse de voir qu'il est encore en érection. Luc l'arrête : - Sauf que c'est Juliette qui va lancer. - Ah oui ? Mais je ne pense pas pouvoir lancer très loin. - La crique n'étant pas grande, tu peux aussi la lancer dans la mer. La pomme de pin flotte, elle restera visible. - Et après, une fois la pomme de pin lancée ? - Après, tu devras faire un tour de plage avant que l'un d'entre nous récupère la balle et vienne te toucher. Si tu fais le tour avant, tu as gagné. Si on te rattrape, tu perds. Sachant pouvoir lancer assez loin et ayant de bonnes capacités de courses, je suis plutôt confiante. - Mais c'est hyper facile, je cours très vite, même sur le sable. - C'est pour ça que tu devras faire le tour à quatre pattes. - À quatre pattes ? Là, par contre, je n'aurais aucune chance. - Sauf qu'on ne va pas travailler en équipe de notre côté. Nous serons nécessairement en compétition pour attraper la pomme de pin et celui qui l'attrapera en premier sera forcément ralenti par les deux autres. - Hihi, je vais voir des garçons à poil se battre pour une pomme de pin ! Luc me sourit avec un regard qui m'inquiète. J'y décèle une sorte de perversion que je découvre peu à peu chez lui (et qui n'est pas pour me déplaire) : - Ma Juju, ne te réjouis pas trop vite. Un dernier détail de règle : celui qui apportera la pomme de pin jusqu'à ta position, avant que tu aies achevé ton tour, aura le droit de... - De ??? - Puisque tu seras à quatre pattes, de te prendre en levrette. - Je m'oppose à cette règle ! - Faisons cela démocratiquement : qui est pour ? Damien, Cédric et Luc lèvent évidemment la main. - Je m'incline... Damien et Cédric sont subjugués que j'accepte cette règle. Je pars en quête de la pomme de pin. Luc s'inquiète : - Juju, tu vas où ? - Il nous faut une pomme de pin, non ? J'en trouve une belle, bien ouverte, au pied de la falaise. Je me penche pour la ramasser, mais tournant le dos aux garçons, je place ma main entre mes cuisses pour leur dissimuler mon coquillage. Armée de ma pomme de pin, je demande quand même quelques clarifications de règles à Luc : - Si je suis rattrapée, combien de temps doit durer la levrette ? - Jusqu'à ce que ton vainqueur ou toi ayez un orgasme. - OK. Et si je parviens à faire un tour sans être rattrapée ? - Tu pourras faire de nous ce que tu veux. La perspective est alléchante et j'envisage déjà plusieurs options. Pendant que j'étais en quête de mon projectile, les garçons ont matérialisé, avec nos serviettes et des branches, les angles d'un grand carré qui me servira de parcours sur la plage. Je me positionne donc sur un angle qui constitue mon point de départ et d'arrivée et je lance de toutes mes forces la pomme de pin à la limite entre la falaise et la mer, espérant ainsi que ce sera plus compliqué pour eux. Ma pomme de pin arrive exactement où je le voulais. - Yes ! Les garçons se mettent à courir aussitôt. Je suis tellement fascinée de les voir courir à poil avec leurs quéquettes qui se balancent de droite à gauche que j'en oublie de commencer mon parcours à quatre pattes. Luc est dernier, car il n'était pas du bon côté par rapport à mon lancer. En passant devant moi, il me dit : - Ne perds pas de temps ! Nous, on n'en perdra pas ! Quelle conne ! Il a raison. Je suis si captivée par leur course et leurs fesses musclées en action que j'en ai oublié de partir. Je me dépêche de me mettre à quatre pattes et commence à cavaler sur le sable chaud en direction de l'angle suivant. Je tourne régulièrement la tête pour voir où ils en sont. - Prenez votre temps les garçons, de toute façon vous n'y arriverez pas. Quand je parviens au premier angle, je constate qu'ils sont tous les trois les pieds dans l'eau et se tirent les uns les autres, brassant les bras dans les vagues pour éloigner la pomme de pin, la perdant parfois de vue quand elle se retrouve immergée sous l'eau temporairement. - Ne vous fatiguez pas, j'entame déjà le deuxième côté. J'arrive à la deuxième étape, la moitié de mon parcours. Je sens que ça va quand même être tendu, car dès qu'un gars aura récupéré la pomme de pin, il viendra me couper la course juste avant l'arrivée pour s'assurer de ma défaite. Et c'est Damien qui parvient à attraper le précieux projectile. Il repart en courant et la brandit pour la mettre hors d'atteinte des mains batailleuses de ses concurrents. Heureusement pour moi, Luc et Cédric ne le lâchent pas et s'interposent entre moi et lui pour l'obliger à faire des détours. J'entends pourtant Damien crier : - Elle est à moi ! Comme il reluque ma croupe, je me demande vraiment s'il parle de la pomme de pin ou de moi ! Malgré les efforts des deux autres, Damien parvient à me rattraper alors que je viens à peine de franchir le troisième angle et qu'il ne me reste plus qu'un côté à parcourir pour rejoindre l'arrivée. Damien me pose une main sur l'épaule pour formaliser sa victoire, puis se recule et admire ma croupe : - Je crois que j'ai gagné, Juliette... - J'en ai bien l'impression. Son sexe est déjà bien gonflé par l'excitation, mais n'est pas parfaitement dressé : - Oh, mais tu ne sembles pas si motivé que cela Damien ! - Tu peux me donner un coup de main ? Ou de langue... - Dans tes rêves. Ce n'est pas dans les règles. Un peu déçu, mais malgré tout beau joueur, il se masturbe un peu pour donner à sa tige la consistance nécessaire à une pénétration efficace. Je garde ma position à quatre pattes sur le sable, les cuisses assez écartées pour qu'il puisse venir prendre position. Il engage son gland en moi sans la moindre difficulté (il faut dire que je suis particulièrement excitée moi aussi) et lâche un profond soupir de soulagement, comme s'il attendait ce moment depuis longtemps : - Aaaaaaah ! Quel pied. Tandis qu'il commence à aller et venir en moi, je tourne la tête pour constater que Luc et Cédric observent attentivement. - Attention, Damien, les deux juges vérifient que l'on ne triche pas. - Je n'en ai pas l'intention. Il me pistonne efficacement et je sens l'orgasme monter peu à peu. Il m'abandonne soudain, mais c'est pour se relever et me prendre debout. C'est apparemment réglementaire (les arbitres ne s'y opposent pas) et c'est surtout terriblement bon. Mon orgasme arrive très vite. Mon corps est secoué de spasmes. Luc attend que je reprenne mes esprits pour annoncer à Damien que c'est terminé. - J'ai l'impression que tu n'as pas joui, Damien, mais c'est terminé puisque Juliette a eu un orgasme. Plutôt frustré, Damien se retire. Malgré mon orgasme, le fait qu'il me laisse sans avoir éjaculé me frustre moi aussi. J'interroge Luc : - Combien de manches ? - Trois, pour qu'on puisse chacun tenter notre chance. Je me relève, un peu pantelante, et je prends conscience que cet orgasme ne va pas m'aider pour la manche suivante. Je ramasse la pomme de pin et, sans trop réfléchir, je la lance le plus loin possible au fond de la crique. Je commence mon périple à quatre pattes, mais me tournant régulièrement pour voir où en sont les garçons, je dévie et me retrouve devant les vagues qui viennent lécher le sable. Luc se moque de moi : - Tu fais des détours exprès pour être sûr qu'on t'attrape ? - Tu ne cherches pas à récupérer la pomme de pin ? Le prix ne mérite pas quelques efforts à tes yeux ? - Bien sûr que si, mais Damien est frustré de n'avoir pas pu jouir et Cédric est encore plus frustré de n'avoir pas pu essayer... Effectivement les deux garçons paraissent presque se battre pour être le premier à atteindre le projectile qui à leurs yeux doit être un véritable trésor. C'est Cédric qui semble l'avoir attrapé et il accourt vers moi. Merde ! Je me suis laissée distraire... Cédric semble ne pas se presser. Il sourit, même ! Il voit que je me suis écartée de mon chemin et que je n'atteindrai pas l'angle suivant avant qu'il n'arrive sur moi. Je décide de m'enfoncer dans les vagues tout en gardant à l'esprit qu'à quatre pattes je ne pourrai pas progresser tant que ça... Luc se moque encore de moi : - Tu ne peux plus lui échapper, ma Juju... Fuir ne te mènera nulle part. Il faut accepter l'inéluctable. Effectivement, Cédric ne prend même pas la peine de venir me chercher dans l'eau. Il attend sur la plage que je revienne. Je sors de l'eau et garde la position à quatre pattes, lui exposant ma moule : - Bravo, tu as été rapide... Cédric tend la pomme de pin à Luc en souriant. Le sexe déjà en érection, il vient s'agenouiller derrière moi et me pénètre en râlant : - Haaaannn ! Damien commente : - Oui, moi aussi, ça m'a fait le même effet... Comme s'il était blasé, Luc ajoute : - Eh oui... Cédric me saisit aux hanches et entame de vigoureux va-et-vient, m'arrachant des cris de plaisir. Je ne suis pas loin d'avoir un second orgasme quand Cédric semble avoir une idée lumineuse. De voir mon petit œillet lui faire l'œil alors qu'il me pénètre lui remémore probablement le plaisir que m'avait procuré une introduction anale. Tout en continuant à me prendre en levrette, il enfonce doucement son pouce dans mon petit trou et m'envoie au septième ciel. J'ai l'impression que je dégouline de mouille. Je crie mon plaisir. Cédric accélère. Je crois qu'il veut jouir avant la fin de mon orgasme. Un peu salope, je me concentre pour me remettre aussi vite que possible de mes émotions. Et parviens à articuler : - Merci... c'était délicieux. Luc, en juge vigilant intervient : - Terminé, Cédric. Juliette a joui. Tu dois te retirer. Il s'exécute, frustré lui aussi. Je sens du liquide couler de ma moule. Je mets ma main, mais je constate qu'il ne s'agit que de ma cyprine. Encore un peu dans les vapes, je me redresse. Mon ventre et mes cuisses ont encore quelques spasmes qui pourraient trahir ma tricherie et le fait que mon orgasme n'était pas tout à fait terminé, mais les garçons semblent heureusement se concentrer sur mon visage qui exprime ma satisfaction : - Cette petite séance sportive est vraiment une excellente idée, les garçons. Je prends la pomme de pin que me tend Luc et cherche un endroit stratégique pour la lancer de manière à la rendre difficile d'accès. Voyant la falaise, je me dis que si je parviens à la coincer contre un rocher en hauteur, cela constituera une certaine difficulté pour les garçons. Je tente. - Merde ! Mon lancer est trop fort et la pomme de pin rebondit sur la paroi avant de retomber à quelques mètres devant les pieds de Luc. Les trois garçons se mettent aussitôt à courir. Damien se plaint : - C'est pas juste, c'est Luc qui est juste à côté. Luc n'a effectivement que quelques mètres à parcourir pour atteindre le projectile. Voyant que je ne vais pas gagner encore cette manche, je me dépêche quand même de partir à quatre pattes en direction de l'avant-dernier angle. Luc est déjà sur le chemin du retour : - Inutile de te fatiguer, ma belle... tu es à moi. Tournant la tête, je constate qu'il vient vers moi en marchant, tranquillement, admirant ma croupe. Quand il arrive à moi, j'interromps ma progression. - Je crois que je vais devoir me soumettre... Penses-tu réussir à jouir avant moi ? - Ce n'est pas mon objectif. J'ai surtout envie de tester quelque chose. - Ah oui ? - Oui... De voir Cédric t'enfiler son pouce dans le fondement, forcément, ça donne des idées... J'ai compris son idée et surtout, je sens son idée quand elle se presse, turgescente, contre mon anus. Oh mon Dieu ! Qu'est-ce que c'est bon ! Il appuie, il force, il me déchire, mais qu'est-ce que c'est bon. - Aaaaaah salaud ! - Je te fais mal ? - Mmmm, tu me fais surtout du bien... Luc progresse lentement, prenant son temps pour investir mon canal étroit. - Oh putain, Luc ! Tu vas me faire jouir... Et tu vas devoir t'arrêter... - Tu... tu veux que j'arrête ? - Oh putain, non ! Continue... Je le sens soudain se contracter. Il a atteint le point de non-retour. Il se retire et, râlant comme un âne, il dirige plusieurs jets de foutre sur mes fesses. - Salaud ! Tu as triché. Ta règle n'a parlé que de levrette, pas de sodomie. - C'est vrai, tu as raison. Qu'en pensent les juges ? Il se tourne vers Cédric et Damien qui répondent à l'unisson. - On valide ! Ils ont apparemment beaucoup apprécié de voir Luc m'enculer et semblent fascinés par son sperme qui macule mes fesses. Je me relève : - Bon, vous êtes passés tous les trois, je pense que ça suffit, non ? Damien et Cédric s'insurgent : - Bah, tu n'as même pas fait un tour complet sur trois lancers... Cela mérite que tu réessayes. - Et tu n'as pas encore envoyé dans la mer. Peut-être que ça te laisserait plus de temps ? Si Luc a un peu débandé, Cédric et Damien affichent encore une érection impeccable et cela me fait bien envie : - OK, une dernière. Préparez-vous ! Les garçons se positionnent rapidement tous les trois entre moi et l'océan, convaincus que j'allais opter pour l'option proposée par Damien. Je me recule, comme si je voulais lancer la pomme de pin loin au-dessus d'eux, mais au lieu de faire ce qu'ils attendent fébrilement, je me retourne et lance la pomme de pin tout en haut de la falaise. Luc est subjugué : - Wahou ! Là, ça va être chaud... - Rappelle-moi la règle si je fais un tour complet avant que vous ne retrouviez le projectile ? - Faire ce que tu veux de nous... - Mmmmh, je vais faire le parcours en réfléchissant à ce que je vais faire de vous. Damien commence à escalader les rochers. Cédric le met en garde : - Ne va pas te rompre le cou. - T'inquiète, le jeu en vaut la chandelle et je suis un excellent grimpeur. Luc observe l'ascension de Damien : - Ma chérie, tu devrais quand même ne pas trop traîner, car Damien semble effectivement plutôt à l'aise à escalader ces rochers... - Tu as raison, il faut je m'y mette. Je me mets à quatre pattes et commence mon tour de piste. À mi-parcours, je regarde où Damien en est. Il est presque en haut de la falaise, mais semble mal pris pour achever son escalade. Luc et Cédric n'ont même pas tenté l'ascension. Je suis presque vexée de me dire que seul Damien a encore envie de moi... - J'ai l'impression que c'est moi qui vais gagner, non ? Damien est dégoûté : - Je t'assure que ce n'est pas la motivation qui me manque. Mais là, impossible de me hisser plus haut. Bravo pour ton tir, princesse. Damien commence à redescendre. Je me relève : - Tu abandonnes ? Vous déclarez donc forfait, les garçons ? Luc me rappelle à l'ordre : - Tant que tu n'as pas terminé ton tour, tu n'as pas gagné. - Tu dis ça juste parce que tu veux encore me reluquer le cul, non ? Cédric rigole : - Oui, on serait tous ravis de te voir continuer à te trémousser sur le sable avec le cul en l'air, mais j'avoue que, pour ma part, j'ai aussi envie de savoir ce que tu nous réserves. Donc j'accepte la défaite, même si tu ne termines pas le tour. Nous diras-tu à quelle sauce tu comptes nous manger ? - Hihi, tu ne crois pas si bien dire ! Damien arrive en bas de la falaise. Je lui fais signe d'approcher : - Les garçons, pendant que j'étais à quatre pattes, je me suis dit que certains de mes orifices avaient besoin d'un peu de repos, mais qu'il était fort injuste que Damien et Cédric n'aient pas éjaculé alors qu'ils m'ont tous les deux donné un bel orgasme. Je vais donc vous masturber pour vous faire jouir. Damien vient me rejoindre : - C'est très charitable de ta part, mais n'as-tu pas d'autres envies nous concernant ? Je sens bien qu'il est déçu et qu'il aurait espéré davantage. Je lui réponds honnêtement : - Si, mais là, comme je l'ai indiqué, certaines parties de mon anatomie ont besoin de se mettre en veille. Je saisis son membre déjà raide et commence à le masturber doucement. Je le vois grimacer : - Un problème ? - On pourrait aller dans l'eau ? - Pourquoi ? Tu as trop chaud ? De mon autre main, je lui masse les testicules. Il frémit, mais finit par me dire : - Désolé, Juliette, mais ça fait un peu mal, car tu as du sable sur les doigts. Merde ! Quelle conne ! Il a raison. Je ne vais pas parvenir à le soulager si je suis en train de le torturer. - Oups ! Désolée ! J'ai une autre option, dans ce cas. Je m'agenouille alors devant lui et embouche son gland. Là, même si j'ai laissé quelques grains de sable, mes lèvres et ma langue nettoient efficacement la hampe tendue. Cela semble lui convenir : - Oh putain ! Tu sais y faire... Je ne réponds pas, mais prends ça comme un compliment. Et je sais apparemment si bien y faire que je sens soudain Damien se tendre et ses couilles se contracter. L'explosion est donc imminente. Je ressors son sexe de ma bouche en ne laissant que le gland posé sur le bout de ma langue. Soudain, un premier jet arrive et m'explose au niveau de l'œil. Tandis que cette première salve coule sur ma joue, une autre vient s'écraser sur ma langue et je la laisse s'écouler lentement de ma bouche. Je regarde Luc. Il semble ravi. - Tu as vu, Luc ? Damien a de la ressource ! - Et malgré son éjaculation, il ne débande pas... - Oui, je sais, c'est gâcher de ne pas profiter de ce sexe magnifique. Luc hoche la tête de droite à gauche : - Tu en as déjà profité, il me semble. Tu te souviens ? Il t'a fait jouir en te prenant en levrette il y a moins d'une heure... - Oui, je me souviens. Justement... Je me lèche les lèvres pleines de sperme pour lui montrer que j'ai encore un certain appétit. Je relève les yeux : - Et toi, Damien ? Satisfait de ton gage pour n'avoir pas réussi à ramener la pomme de pin ? - Non, j'avoue que c'est délicieux et c'est la première fois que je vois mon sperme sur la poitrine d'une fille. - Ah ? Et ça te plaît ? Damien louche sur mes seins et hoche la tête en signe d'approbation. Son copain s'approche alors de moi : - Je pense que c'est mon tour, maintenant. - Oh, voyez l'animal ! Il bande déjà comme un taureau avant même que je m'occupe de lui ! Je saisis son sexe dressé qui semble raide comme du bois. Je commence à le masturber doucement et je lui demande : - Toi aussi, tu trouves que ce n'est pas très agréable le sable collé à mes doigts ? - J'avoue que ce serait certainement mieux sans... - En tout cas, ça ne te fait perdre ta vigueur. - Tes mains sont douces malgré le sable... - Mais je ne suis pas chienne et tu vas aussi avoir le droit à ma bouche. Cédric sourit en me voyant m'agenouiller devant lui pour gober son membre tendu. Luc aussi semble apprécier de me voir sucer Cédric : - Alors, Cédric ? Elle est douée, non ? - Ah putain, c'est le pied ! Oh merde ! Je... J'interromps ma fellation pour regarder Cédric. Je vois à son visage que ce que je craignais est imminent : il est sur le point d'éjaculer. Un râle de plaisir précède l'effusion. Le sperme se met à jaillir. J'ai beau avoir la bouche grande ouverte et la langue pendue, les giclées de sperme m'atteignent à cinq reprises au visage. Cédric est essoufflé, il me regarde, hébété alors que quelques gouttes de semence tombent sur le sable. - Je... Je suis... désolé... - Tu as un peu raté ma bouche, mais tu t'es montré généreux. Il sourit, ravi que je le flatte. Je me relève et dis à Luc : - Il ne reste plus que toi ! - Oh, moi, j'ai déjà joui, souviens-toi. Oui, Luc m'a offert une délicieuse sodomie. - Je m'en souviens très bien... Si tu passes ton tour, je vais me laver. Je m'avance dans la mer et nettoie le sperme gluant avec l'eau fraîche. Cédric et Damien viennent me rejoindre : - Juliette, c'est toujours un plaisir de passer te voir sur cette plage. Il faut qu'on rentre. - Merci les garçons. Cette épreuve de baiseball m'aura mis les genoux en feu, mais aussi l'entrecuisse. - Vous êtes encore là longtemps ? - Jusqu'à la fin de la semaine. C'est une location. - Oui, on sait. On connaît un peu le fils des proprios, Lionel. - Ah oui ? Je me sens presque honteuse, car je me dis qu'ils vont certainement raconter à Lionel ce que nous avons fait ensemble sur cette plage. - Allez, à une prochaine. Salut ! Damien et Cédric repartent à la nage. Je vais retrouver Luc qui bande toujours en me regardant. - Tu es certain que tu ne veux pas toi aussi profiter de ma bouche. - Ce serait un délice, je le sais. Mais je veux me réserver pour la soirée chez Lionel. - Ah oui ? Tu crois que je vais m'offrir à toi pendant cette soirée ? - À moi, à Lionel... on verra bien. Mais avant cela, allons nous préparer. |
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Merci Boris, on était impatient de découvrir ce nouvel épisode ! |
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Boris et Camille travaillent dur pour nous faire découvrir chaque épisode en temps et en heure ! Merci à eux, et bravo pour la qualité du scénario, la richesse des personnages et le choix toujours impeccable des illustrations. On en veut toujours plus ;) |
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Et on répond présents, Lisa ;) Voici la suite... |
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Angela - épisode 27 : Cache-cache Mardi 2 août 18:27 Une fois remontée à la villa, j'ai pris une douche. Luc a sagement attendu que j'aie terminé pour prendre ma place. Mais lorsque je lui ai dit que j'allais essayer des tenues pour ce soir, il a semblé plus qu'intéressé. Sa douche a été expédiée en moins de cinq minutes. Quand il me rejoint dans le salon, seulement habillé d'un blue-jeans, je suis en train d'enfiler une petite robe noire. - Oh, tu es déjà douché ? - Oui... J'ai fait vite... J'adore te voir t'habiller et te déshabiller. - Tu devrais m'accompagner quand je fais du shopping, alors... - Je vais y réfléchir sérieusement. Mais, là, c'est quand même un peu différent. - Qu'est-ce qui est différent ? - Peut-être le fait que tu ne portes aucun sous-vêtement ? - Ah ? Tu crois que je devrais ? - Mon Dieu ! Non ! Certainement pas ! - Ouf, tu me rassures. J'ai pris goût à m'en passer et, avec cette chaleur, je trouve ça vraiment plus confortable. - Fais quand même attention à ce que la robe ne soit pas trop courte. - Oh, comme c'est mignon ! Tu veux être le seul à voir mes fesses ? - Non, pas spécialement, mais on ne sait pas trop qui sera invité à la fête de Lionel. - Moi, je pense que ce sera surtout des mecs, et surtout des obsédés comme toi. - Alors, je ne suis pas certain de pouvoir assurer ta sécurité... - Vu comment je galère à l'enfiler, c'est sûr qu'il faudra être motivé pour me la retirer. - Oh, mais je suis motivé, moi ! - Alors, viens m'aider à remonter cette foutue fermeture-éclair. - Je suis certain que tu vas y arriver toute seule. - Ah oui ? Même pas un petit coup de main ? - Non. - Ce n'est pas très sympa, ça... - Disons que c'est intéressé surtout. J'adore te voir enfiler des tenues. - Pour mieux me les retirer ? - Pas nécessairement, je te trouve très excitante quand tu t'habilles. Un coup d'œil à son jeans me montre qu'il a effectivement une érection conséquente. - Tu me trouves excitante quand je suis habillée ou quand je suis nue ? - Ah, je vais peut-être te surprendre, mais je crois que c'est une jolie robe qui parvient à montrer et à dissimuler à la fois. - Juste la robe. Dans ce cas-là, je te la retire et je te laisse faire ta petite affaire avec... Je rigole en voyant son air agacé. - Pffff... Tu sais bien quel effet tu as sur moi, habillée, déshabillée... - Merci, mon chéri. Je parviens à décoincer la fermeture et à la remonter. - Désolé, cher monsieur, mais je crois que vous n'allez plus pouvoir voir mes seins... - Ne remonte pas la fermeture jusqu'en haut. Laisse voir un peu de ta poitrine. - Pour attirer le regard des amis de Lionel ? - Oui et pour les faire bander. - Tu crois qu'ils banderont en me voyant dans cette robe ? - J'en suis persuadé ! - Tu bandes, toi ? - Évidemment ! Quelle question ?! - Montre-moi. Luc semblait n'attendre que ça. L'instant d'après il abaisse son pantalon et exhibe une fière érection pleine de promesses. - Hum, si je fais bander les amis de Lionel autant que toi, ça va être chaud. - Certains voudront certainement jouer avec cette petite fermeture-éclair. - Tu as envie, toi ? - J'hésite... - Attends, je le fais pour toi... Je saisis la tirette de la fermeture et la descends aussi lentement que possible. - Je croyais qu'elle était coincée ? - Pas tant que ça... - Tu veux dire que pendant une danse, ton cavalier pourrait facilement l'abaisser ? - Pourquoi un seul cavalier ? Un pourrait ouvrir le décolleté, mais d'autres pourraient aussi faire glisser mes bretelles... - Et tu les laisserais faire ? - S'ils sont nombreux, que puis-je faire avec seulement mes deux mains ? - Au moins, protéger ce qui peut l'être. - Tu as raison... Je porte mes mains à ma poitrine comme pour protéger mes seins. - En espérant qu'ils ne seront pas trop insistants... - Ah oui ? Tu penses qu'ils pourraient se mettre à plusieurs pour me retirer les mains. - Ou carrément la robe ! Je vois le sexe de Luc avoir de petits tressautements. - Dis donc, on dirait que ça t'excite d'imaginer que je puisse me faire mettre à poil par plusieurs mecs ! - D'imaginer que je ne sois pas le seul à te désirer... - Tu crois que les amis de Luc me désireront autant que toi ? Je retire mes mains, dévoilant mes seins. - Je pense que tu es si belle qu'aucun homme n'est en mesure de te résister. - De me résister ou de résister à l'envie de me mettre nue ? Je descends doucement la fermeture-éclair. - De te mettre nue et de te caresser. - Tu... tu les laisseras me caresser ? Je retire les bretelles et abaisse la robe sur ma taille. - Tant qu'ils ne te feront pas mal... - Alors tu les regarderas me retirer ma robe sans rien faire ? - Si. Je pense que je les encouragerais. - Salaud. Je vais me retrouver à poil et rien ne les empêchera de me faire plus que des caresses. La robe est à mes pieds. - Et... Et qu'aimerais-tu qu'ils te fassent ? - Oh, j'ai développé grâce à toi et à cette villa de nombreux fantasmes. Tu veux que je t'en expose certains ? - ... Bien sûr ! - Alors, être prise en sandwich, pouvoir sucer plusieurs mecs en même temps et pourquoi pas me faire sodomiser devant toi ? - Ho ! Haaaaannn... J'écarquille les yeux en voyant que Luc commence à éjaculer, alors qu'il ne s'est même pas masturbé, qu'il n'a même pas touché à son sexe. Plusieurs jets de sperme sont projetés sur le tapis. La fin se termine en quelques jaillissements qui s'écoulent doucement le long de sa hampe, sur ses testicules, avant de goutter sur le tapis du salon. - Merde ! C'est dingue ! Tu as tout balancé comme ça ? Sans le moindre contact ? - Je... je te l'ai dit... Tu es irrésistible. - Oui, mais à ce point là, ça bat tous les records ! - Tu es ma championne... - Tu imagines si tous les mecs se mettent à éjaculer sur la piste de danse en me voyant ? Quel joyeux bordel ce serait ! Je rigole et termine de m'extraire de la petite robe. Je viens le rejoindre en souriant : - Je crois qu'un petit nettoyage s'impose, non ? - Pas de refus... Je m'agenouille devant lui et lèche sa semence en commençant par ses testicules. Bien sûr, son sexe qui a vaguement commencé à débander retrouve une vigueur insoupçonnée. Je le vois se dresser juste sous mes yeux, se tendant comme un arc. Ma langue remonte alors le long de la hampe jusqu'à la base de son gland. Il frémit. Puis, je redescends jusqu'aux testicules. Je refais plusieurs montées et descentes ainsi, pour m'assurer de parfaitement nettoyer chaque parcelle de son membre. Luc me met en garde : - Méfie-toi... - Quoi ? Tu n'as pas déjà tout donné ? Tu serais capable d'éjaculer à nouveau ? Aussi vite ? - Si tu continues... Je prends cela comme un challenge et saisis son membre pour le sucer intensément. Luc se tend soudain. Je ne le suce vraiment que depuis à peine vingt secondes ! Je me recule pour le regarder. Je vois à ses yeux qu'il est trop tard. Son membre turgescent est prêt à exploser. Il le saisit, comme s'il voulait calmer la bête, mais la pression est trop forte et le processus inéluctable. Une puissante giclée de sperme jaillit et vient me fouetter le front. D'autres suivent, toutes aussi intenses. J'en prends sur le nez, les joues, dans la bouche. J'ai l'impression d'en recevoir partout. Je dois fermer les yeux de peur d'en recevoir dans l'œil. Luc râle comme un âne. Je suis si excitée de le voir jouir aussi intensément juste après quelques minutes que je sens la cyprine qui goutte de ma fente. Quand la douche de sperme s'achève enfin, j'ai l'impression d'avoir tout le visage englué sous un masque de semence épaisse. Même Luc n'en revient pas : - Putain, c'est dingue ! Désolé, ma Juju... - Ne t'excuse pas, c'est génial ! Tu crois que tu pourrais encore jouir une troisième fois ? - Là, non, je ne suis pas sûr. Et c'est peut-être mon cœur qui lâchera... - Ce serait dommage... En tout cas, je suis sidérée que tu aies pu remettre ça aussi vite. - Oui, c'est fou. - Et puis, une telle quantité ? - Faut croire qu'il y avait de la réserve. - Heureusement que tu n'as pas éjaculé dans ma bouche, j'aurais étouffé... - Tu as tout pris au visage ? - Non, pas tout. Je fais ressortir de ma bouche le sperme que j'ai pris garde de ne pas avaler. Je le laisse couler sur mon menton. Luc a les yeux exorbités : - Tu me rends dingue, ma Juju. - Hihi, j'ai l'impression que tu te contrôles de moins en moins. - Je suis à ta merci... - Il faudra quand même essayer de te contenir ce soir. Il y aura des gens... Et je ne vais pas pouvoir te laisser m'éjaculer dessus en public. On frappe à la porte. Luc répond aussitôt : - Entrez ! - Mais t'es con ? On ne sait pas qui c'est ! Fort heureusement, c'est Lionel qui trouve très amusant de nous trouver ainsi. - Zut, j'arrive un poil tard, non ? - Oh, Luc était en train de me mettre de la crème solaire... Lionel passe un doigt entre mes seins et y recueille un peu de semence qu'il tourne entre ses doigts : - C'est curieux... Cette crème solaire ressemble beaucoup à du sperme. Luc rigole et me tend une serviette : - Tu ne pourras pas duper Lionel. Je m'essuie le visage et la poitrine. - Je n'espérais pas vraiment le duper, mais j'espérais que cela lui donnerait l'idée de me l'étaler sur le corps. - Beurk, le sperme de Luc ? - Bah, tu viens bien d'en prendre au bout des doigts. - Je plaisante, ça ne me gêne pas. Mais je préférerais quand même t'étaler plutôt le mien. Je lui lance la serviette, pleine du sperme de Luc. - Tu veux essayer ? - Explique-moi déjà comment cela est arrivé. - J'étais en train d'essayer une petite robe pour ce soir et cela a hautement excité Luc. - Alors, je veux voir la petite robe en question. - Bouge pas, je vais en chercher une autre. - Pourquoi pas la même ? - Je pense que j'ai mieux. Je retourne dans la chambre et passe rapidement une robe encore plus fine que la précédente. Luc en profite pour se rhabiller. Quand il me voit revenir, il sourit bêtement : - Ce n'est pas une nuisette ça ? - Non, ce n'est pas une nuisette. Comme une nuisette, ça peut se porter sans rien dessous, mais ce n'est pas une nuisette. Lionel semble intéressé : - Et donc tu ne portes rien dessous, pas même un string ? - La robe est fine. Tu ne devines pas à travers ? Lionel écarquille les yeux : - Non, tu serais à contre-jour, on verrait peut-être mais pas là. - Et pourtant... Je relève juste assez le bas de ma minirobe pour que les garçons puissent voir mon sexe libre. - Mmmm effectivement, ça peut se porter sans. - Et ça reste décent, non ? Luc hoche la tête en riant : - Décent, ce n'est pas vraiment le mot... - Pourtant, vous ne voyez pas ma minette, si ? - Non, on ne la voit pas. Mais décent n'est tout de même pas le terme adéquat. - Alors, pudique, peut-être ? Je remonte à nouveau le bas de la robe, mais plus haut cette fois. Lionel nous fait une explication sémantique : - La décence s'applique à ta tenue. La pudeur à ton comportement. Là, Juliette, tu n'es ni décente ni pudique. Je tire sur le bas de ma robe, faisant sauter le nœud d'une bretelle. Un pan de mon décolleté tombe et libère un sein. - Oups... Luc rigole : - Décidément, ma chérie, tu ne sais ni ce qu'est la décence ni la pudeur... Je place ma main sur mon sein pour le dissimuler : - C'est un accident. Je sais ce qu'est la pudeur quand même ! - Si tel était le cas, tu serais déjà allée te cacher pour te dérober à nos regards. - Oh, parce que vous, les garçons, vous n'avez pas besoin de vous cacher pour dissimuler les érections galopantes qui déforment vos falzars ? Je soulève ma robe exhibant du même coup une partie de ma poitrine et mon entrejambe nu. Pendant que je me rajuste, Lionel rigole et dit à Luc : - La petite a raison. C'est à nous de nous cacher. - Hey, je vous prends au mot ! On fait un cache-cache. Je compte jusqu'à 50. Vous vous cachez. Le premier qui parviendra à me surprendre sans que je le voie pourra se faire sucer. On fait ça ? Luc me fait un clin d'œil : - On est joueur. Je pense qu'il a compris que l'objectif est que ce soit Lionel qui gagne. Je m'appuie au mur, les yeux contre mon avant-bras et commence à compter : - Un, deux, trois... Pendant que j'ai les yeux fermés, je sens la présence de Luc derrière moi. - Quatre, cinq... Tu ne vas pas te cacher ? - Bien franchement, ce n'est pas moi que tu as envie de trouver, non ? Et puis, il me faut un peu de repos... Il s'amuse à faire glisser une bretelle de ma petite robe. Je sens son sexe nu contre ma hanche. - Dis donc, si tu as tant besoin de repos, pourquoi tu t'es mis à poil ? - Je serai plus discret sans vêtement. Un vrai ninja. - Les ninjas ne sont pas à poil et toi, tu n'as manifestement pas tant besoin de repos... Je saisis son membre qui est tendu à l'extrême et le masturbe. Il écarte mon poignet et me dit : - Compte donc, sinon Lionel va s'endormir dans sa cachette et il ronflera si fort que c'est toi qui le surprendras. - Tu as raison. Six, sept, huit... J'entends Luc s'éloigner. Le décompte arrive à son terme : - Cinquante ! J'arrive. Je rajuste ma bretelle. Luc étant à poil et en érection, je me rends compte que l'idée de le chercher dans la villa est très excitante. Mais l'idée de me faire surprendre par Lionel m'excite encore davantage. Un bruissement derrière moi me fait me retourner : - Luc, tu es trop nul : ta bite fait une bosse derrière le rideau. - Ah merde ! - Idiot. Tu l'as fait exprès. Parce que tu n'es pas en état de te faire sucer à nouveau et parce que tu veux que ce soit Lionel qui me trouve en premier. - Tu lis en moi comme un livre ouvert. J'attaque les recherches en faisant attention à ne pas trouver Lionel puisque l'objectif est que ce soit lui qui me trouve. Luc me suit à la trace. Je m'amuse à l'exciter en me penchant plus que de raison pour regarder derrière les meubles, lui faisant profiter de ma minirobe trop courte. Luc a bien vu mon manège : - Si je t'avais surprise dans cette position, je n'aurais pas réclamé une pipe, mais je t'aurais prise en levrette sur-le-champ. Je me redresse : - Dis donc, ce n'est pas du tout ce que nous avons décidé. Luc sourit : - Prends garde que l'excitation ne nous fasse pas enfreindre ces règles. - Et bien attendant, elles sont inchangées et ce n'est pas mon cul que j'ai mis en gage si j'échoue. Je tire sur ma petite robe pour dissimuler mes fesses au satyre. Luc affiche toujours une érection magistrale : - Mon pauvre chéri. Non seulement tu as besoin d'une pause, car tu n'es plus en état, mais en plus tu restes derrière moi et la vue de mon popotin t'empêche de trouver le repos mérité... - Je n'ai finalement pas tant besoin d'un répit. - Oui, mais je t'ai trouvé, donc tu as perdu. Tout en parlant, nous avions vaguement fait le tour des pièces du bas. - Pas vu de trace de Lionel en bas. Il doit être en haut. - Vas-y ! Je vais tenter de me calmer. - Non, suis-moi. Je veux que ma victoire ou sa victoire soit validée par un témoin neutre. En entrant dans la chambre, j'aperçois le sommet de la chevelure de notre hôte allongé derrière le lit. Je fais mine de ne pas l'avoir vu et vais vers le placard aux miroirs coulissants. Je m'appuie sur un fauteuil posé devant et commence à faire coulisser les grandes portes. - Lionel, tu ne peux être caché qu'ici, tu es foutu ! Tandis que j'ouvre tout doucement la porte coulissante du placard, je vois dans le reflet du miroir que ma position offre à Luc un angle de vue très intéressant. À côté de Luc, je vois l'ombre de Lionel qui se redresse derrière le lit. Il est sans doute désolé de devoir faire vite pour me surprendre, car il aurait certainement apprécié de pouvoir se rincer l'œil tranquillement sur ma croupe au lieu de devoir surgir de son trou. Il sait sans doute que je le vois dans le reflet du miroir. Il sait bien sûr que cette partie de cache-cache n'est qu'une mascarade, un prétexte pour lui faire une fellation. La bonne surprise est que Lionel joue le jeu et il réussit réellement à me surprendre ! En me glissant son majeur dans la fente ! - Oh !!! - Perdu, Juliette ! C'est moi qui t'ai trouvée ! Évidemment, avec un doigt qui me masturbe le coquillage, je ne la ramène pas et me contente d'un "Bravo" entre deux soupirs d'aise. Luc revient à son idée précédente : - Alors, Lionel ? La perdante n'a-t-elle pas un cul appétissant ? - Oh que si ! On en mangerait. L'instant d'après, je sens la langue de notre hôte se poser sur mon œillet et me le lécher. Je feule de plaisir, telle une chatte en chaleur. Luc précise à Lionel sa pensée, que moi j'avais déjà bien comprise : - Tu peux sans doute négocier autre chose qu'une pipe ? Là, avec sa langue qui fouille ma rondelle et son doigt dans ma moule, je n'ai plus la force de résister : - Oh oui... prends-moi, Lionel ! Contre toute attente, il se redresse et tempête : - Quoi ?! Mais ce ne sont pas les règles édictées ! On avait dit une pipe. J'ai le droit à ma pipe ! Je suis complètement perdue. Pourquoi refuser de me prendre ? Dans l'état où j'étais, j'aurais même accepté (voire demandé) une sodomie sans broncher. Frustrée, je me redresse : - Tu... tu... tu es sûr ? - Certain ! - Tu préfères une fellation ? - Je préfère quand on respecte les règles. Je regarde Luc qui semble aussi surpris que moi et je finis par lui dire : - Il y a donc encore des gentlemen dans ce bas monde ? Luc rigole : - C'est un opportuniste. Il sait que la semaine est loin d'être terminée. - N'empêche. Je m'agenouille devant Lionel et déboutonne son pantalon pour extraire son membre déjà bien bandé. Son sexe me semble énorme. Sans doute que cette petite partie de cache-cache l'a particulièrement excité. Je gobe son gland et fais tourner ma langue autour. Il soupire de plaisir : - Aaaaah ! Juliette... Je ne saurais dire si je préfère être entre tes cuisses ou dans ta bouche tant tu suces divinement bien. Du coin de l'œil, je vois que Luc bande toujours autant. Assis sur le bord du lit, il me regarde opérer : - Lionel, fais gaffe à sa robe. Elle va t'avoir plus vite que tu le crois. - C'est certain, mais je sais me contrôler, sa robe ne craint rien. Je regarde Luc. Il sourit avec l'air de dire "Je t'aurais prévenu". De mon côté, je me donne effectivement comme challenge de le faire jouir aussi vite que j'ai fait jouir Luc à l'arrivée de Lionel. Et je pense être sur la bonne voie quand j'entends Lionel supplier : - Doucement... doucement... attends ! Mais je lui maintiens la queue fermement dans ma bouche, ma langue et mes lèvres se délectant de cette énorme friandise. Et puis, je l'amène au point de non-retour. - Ah merde ! Non, pas déjà. J'imagine Luc sourire en voyant que son copain ne se contrôle pas mieux que lui. Je laisse Lionel sortir sa queue de ma bouche alors que l'explosion est imminente. L'instant d'après, d'épaisses giclées de sperme s'écrasent sur mon nez et sur ma joue. D'autres tombent dans mon décolleté. Pas sûr que ma robe en réchappe. Quand l'éjaculation de Lionel s'achève, il se retourne vers Luc avec une expression d'incompréhension : - Je n'ai rien vu venir ! - Pareil... Elle est douée. Je constate que le sperme n'a pas que coulé dans mon décolleté, mais qu'il y en a sur tout le devant de la robe. Lionel a été aussi généreux que Luc. - Bon, je crois que ma robe est foutue pour ce soir... Lionel fait comme si ce n'était pas le cas : - Penses-tu ! Ce sera sec d'ici ce soir. Les invités penseront qu'il s'agit d'une décoration originale. - Pour être originale, elle est originale : c'est même décoré sur l'envers ! Je tire sur le décolleté pour lui montrer qu'il y a aussi beaucoup de sperme entre mes seins. Je ne compte de toute façon pas me présenter devant les amis de Lionel avec une robe tachée de sperme. - Je n'ai pas envie de passer pour une traînée, je vais de toute façon prendre une douche. - Mais tu mettras l'autre robe, du coup ? - Je vais voir. En tout cas, pas celle-là, c'est certain. Je commence à retirer ma robe. Luc soupire : - Dommage... Je montre ma robe tachée à Luc : - Franchement, tu aurais aimé que je me présente avec du sperme sur ma robe ? - J'aurais trouvé ça excitant... - Dans ce cas, je ne prends pas de douche et je ferai la bise aux amis de Lionel en leur faisant profiter un peu de son sperme ? Lionel rigole et, en se dirigeant vers la porte, nous fait part de son avis : - Moi, je vote pour une douche et une autre robe ! Luc se résigne en rigolant : - Oui, c'est sans doute plus sage. Je ramasse la serviette et laisse Luc pour aller me doucher. |
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Merci Boris pour ce Cache-cache |
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Angela - épisode 28 : Politesses Mardi 2 août 21:25 Après ma douche, je vais choisir la robe que je dois mettre ce soir. Il est déjà l'heure de partir et je n'ai plus vraiment le temps de faire de nouveaux essais, mais les précédents m'ont conforté au moins dans le style et la couleur : légère, courte et surtout noire ! Cela fait à la fois classe et discret. Je ne veux pas non plus être le phare de la soirée et que toutes les autres nanas me détestent. Déjà que ne pas mettre de sous-vêtement est sûrement assez osé. Quand je descends rejoindre Luc, il est surpris : - Tu l'as finalement lavée ? - Bien sûr que non. C'est une autre. J'ai amené plusieurs robes noires, mais c'est vrai qu'elles se ressemblent beaucoup. - Elle te va à ravir elle aussi. - Ne me dis pas que tu es déjà sur le point d'éjaculer ! - Non, mais je bande déjà sérieusement. Assez excitée à l'idée qu'il bande déjà, je m'appuie à la voiture. - Fais-moi voir ça. - Heu... Là ? On n'est pas déjà en retard ? - Tu sais, je pense que ce n'est pas dramatique s'ils commencent à boire sans nous. - Bon... OK. Sans déboutonner son pantalon, Luc ouvre sa braguette et se contorsionne pour finalement extraire une érection plus qu'honnête. - Miam, belle pièce, mon chéri. Tu penses que tu peux faire mieux ? - Là c'est déjà dur à maintenir dans le pantalon. - Alors ça ne va pas t'aider si je fais ça ? J'ouvre le décolleté de ma robe pour exhiber ma poitrine. Luc soupire : - Juju, ce n'est pas sympa. On va vraiment être en retard. - Oui, mais vu l'état dans lequel tu es, ça me semble préférable. - Comment ça ? - Tu préfères assumer d'arriver en retard ou d'arriver avec une gaule de tous les diables ? - Vu comme ça, effectivement... Je m'appuie au coffre de la voiture, cuisses écartées et soulève ma robe : - Allez, vas-y. - Oh merci, je sens biens que tu fais ça uniquement pour me soulager et que c'est purement désintéressé. - Je joins l'utile à l'agréable... Me soulevant une cuisse, il me pénètre doucement. - Mmmm, ça rentre tout seul. Toi aussi, tu avais besoin... - Ouiiii... Je te manipule, mon chéri. - Et j'adore ça. Haaaan... Il commence à aller et venir en moi à un rythme de croisière. - Moi aussi... Ooooooh... - Mieux vaut éteindre ce feu avant d'aller... han... à cette fête... - Oh ouiii... Tu as raison... Luc accélère et je sens monter l'orgasme. Après quelques minutes intenses, Luc se calme. Je sais qu'il est sur le point de venir. Je sens en moi les palpitations intenses de son sexe. J'y suis aussi. - Oooooh Luuuuc ! Luc fiche son sexe au plus profond du mien et je le sens se répandre en moi alors que les spasmes de l'orgasme me font gémir et presque perdre l'équilibre. Luc ne bouge plus. Il attend d'avoir tout donné et que les soubresauts de mon plaisir se calment et me permettent de retrouver mon souffle. Quand il se retire, il me dit : - Désolé, tu vas devoir reprendre une douche... Je sens effectivement sa semence suinter de ma fente. - Après ce que tu as donné tout à l'heure, tu as déjà rechargé les batteries ? - La corne d'abondance, tu te rappelles... - Ah oui... En attendant, on est trop en retard et on n'a plus vraiment le temps pour une douche. Je rajuste ma robe. Je monte côté conducteur, ce qui étonne Luc. - Tu ne veux pas que je conduise ? - Non, si j'ai les mains sur le volant, je serai moins tentée de te tripoter. Tu as l'adresse ? - Oui, il me l'a envoyé par SMS. Je vais te guider. Luc monte côté passager et semble ravi du choix que j'ai fait pour ma robe. Pendant le trajet, il me dit : - Je dois t'avouer que ta petite robe m'excite. - Comment ça ? Tu bandes encore ? Parce qu'elle est courte ? - Oui... Et c'est ton décolleté aussi... Je me hisse pour voir dans le rétroviseur et constate que les bretelles ont glissé vers l'avant et offrent un généreux décolleté sur ma poitrine. - Mais tu viens de te vider les couilles, ça devrait te calmer, non ? - Je ne sais. Je n'ai pas peut-être pas tout donné... - J'avais eu l'impression que c'était beaucoup, moi ! Je profite de l'arrêt à un stop pour vérifier. J'écarte les cuisses et je relève la robe pour voir qu'il y a très peu de sperme à s'être échappé de ma moule. - Ah bah, non. Tu as peut-être raison. C'est curieux... - Ceci dit, j'étais bien planté au fond... - Oui, ça met peut-être un peu de temps. Avec mes doigts, j'écarte un peu les lèvres pour voir si un peu de semence peut sortir. - Rien... Bon, allons-y. C'est encore loin. - La prochaine à droite et tu te gareras en haut du chemin qui sera sur la gauche après la grange. - Ok. Je m'occupe de toi dès qu'on est garé. Pendant les derniers kilomètres, je m'amuse à le libérer pour le masturber pendant que Luc tire sur mon décolleté pour dégager un sein. Quand je me gare, je vois Lionel approcher. Il semble un peu fâché, sans doute par notre retard. Il s'approche à la fenêtre de mon côté et se rend compte que Luc a la queue à l'air : - Et bien, mon salaud. Ta Juliette ne te laisse aucun répit. - Non. Et il va falloir que je m'en occupe si je veux qu'il puisse remettre tout ça dans son pantalon avant de venir rencontrer tes invités. Lionel semble gêné que je dise cela. - C'est que justement... - Ne t'inquiète pas, on va faire ça vite. Passe de l'autre côté, tu verras mieux. Luc semble ravi que je m'occupe de lui devant son copain. - Tu aimes que Lionel me regarde te sucer ? - Oh putain, oui. - Tu voudras que je le suce après ? - Oui, ce serait fair-play... - OK. Je commence par masturber un peu Luc tout en regardant Lionel. Luc ouvre sa fenêtre pour que son copain profite mieux du spectacle. Je me penche sur le membre tendu et commence par lui lécher les testicules. Luc a l'air d'apprécier : - Juju... Je remonte le long de sa verge frémissante. Il me met en garde : - Attention, Juju... - Quoi ? Déjà ? Je le sens se tendre. Je plonge aussitôt sur son mât d'amour et l'engloutis dans ma bouche. Luc se met à râler alors que sa semence se répand dans ma bouche par vagues successives. Je maintiens son gland entre mes lèvres et regarde Lionel qui n'en perd pas une miette. Dès que Luc a terminé, je le pompe encore quelques secondes pour m'assurer que tout est sorti. Puis, je me redresse : - Tu fais le tour, Lionel ? Il ne se fait pas prier et vient à ma fenêtre. La bosse qui déforme son pantalon est impressionnante. Je le libère, mais au moment où son sexe s'éjecte de son écrin, il commence déjà à éjaculer, badigeonnant la portière : - Quoi ? Mais vous êtes incorrigible, les gars ! Vous ne tenez pas une demi-seconde ! J'embouche aussitôt le membre turgescent pour accueillir dans ma bouche les derniers jets de son nectar. Quand il semble avoir terminé, j'ouvre la portière pour être plus à l'aise : - C'est n'importe quoi les gars de jouir aussi vite. Lionel se défend : - C'est de ta faute Juliette. Tu dégages une telle énergie sexuelle. Je... oh merde ! Une ultime giclée de sperme vient me fouetter le cou. J'ai le réflexe de baisser aussitôt mon décolleté pour éviter de tacher la robe. Et je reprends aussitôt le membre indiscipliné en bouche pour prévenir toute récidive. Quand je suis certaine que Lionel m'a tout donné, je le libère : - Bon sang, mais vous ne contrôlez plus rien aujourd'hui, ou quoi ? Lionel me tend un mouchoir pour que je m'essuie le décolleté. - Je crois qu'il n'y a qu'avec toi que ça nous fait ça... Je sors de la voiture et constate qu'il y a une goutte de sperme sur le bas de la robe : - Mince, tu m'en as mis là... J'essuie comme peut la vilaine petite goutte blanchâtre et je prends une profonde inspiration : - Et voilà ! Nous sommes enfin prêts pour ta soirée ! - C'est que, là, les plans ont un peu changé... - Hey, on est en retard, mais on est là ! Luc sort de la voiture et regarde Lionel avec gravité : - Attends, Juju. Écoute Lionel, il y a autre chose. - Oui, il y a une panne d'électricité dans tout le quartier et j'ai dû annuler la fête. Comme il nous expose ça, je vois que son regard se perd dans mon décolleté : - Attends, tu nous fais une blague, là ? - Non, Juliette. Je suis désolé. Je viens de renvoyer tout le monde. Mes frigos sont HS, pas de musique, pas de lumière. Bref, je préfère reporter à une autre date. Mais c'est sûr que pour vous, ce sera plus compliqué vu que vous partez en fin de semaine... - Tu as dit à tout le monde de rentrer, mais tu ne nous as pas prévenus ? Luc soupire dans mon dos : - Si, je viens de lire son SMS... Il est arrivé pendant qu'on... - Oh mince. Je suis confuse Lionel. - Ce n'est pas de ta faute. C'est moi qui suis désolé que vous ayez fait le trajet pour rien. Je suis sincèrement navrée pour ce pauvre Lionel et me vient une idée : - Mais, nous, on a de l'électricité et c'est grand à la villa. Tu peux amener ce que tu avais prévu pour boire et manger, le frigidaire est presque vide. Tu peux rappeler tes amis ? - Je... je vais essayer. C'est très sympa, Juliette. Mais tu es certaine que ça ne vous dérange pas ? - Bah, non, je m'étais habillée en conséquence, donc j'ai bien envie de la faire cette soirée. - Oui, je vois ça... Le regard de Lionel pointe sur le bas de ma minirobe et, avec le soleil couchant dans le dos, j'imagine qu'il doit pouvoir apercevoir l'ombre de mon entrejambe par jeu de lumière. Luc rigole : - Cela a été compliqué. Elle voulait être sexy, mais pas trop quand même. Lionel hoche la tête négativement : - Juliette, avec ou sans culotte, quoique tu portes, tu es toujours terriblement sexy et tu as pu voir l'effet que ça nous faisait. - Oui, mais c'est peut-être plus efficace sans, non ? Luc sourit : - Oh, ma Juju ! J'adore quand tu nous montres que tu ne portes rien dessous. Lionel ajoute : - Vu comment la robe est courte, je pense que plus d'un convive aurait été ravi, car il n'en faut pas beaucoup pour voir ta minette. - Oui... Hihi. Mais j'aurais été vigilante. Lionel me fait pourtant remarquer que la vigilance n'aurait pas été suffisante. - Même sans te pencher, on voit déjà un peu le bas de tes fesses... - Ah oui ? Et si je me penche un peu ? Je tourne le dos aux garçons, écarte un peu les cuisses et me cambre juste assez pour sentir la robe remonter sur ma taille. Luc soupire : - Magnifique ! On voit absolument tout, ma chérie ! Je rigole en voyant leurs yeux exorbités et je me rajuste pour remonter en voiture. - Allez hop ! Retour à la villa. Lionel, tu vois si tu parviens à récupérer quelques-uns de tes amis qui ne seront pas repartis trop loin ? - Allez-y. Je vérifie qui est encore dans le coin et je vous rejoins à la villa. Le chemin du retour est plutôt sage et je suis même surprise que Luc ne tente rien. Je suis pourtant certaine qu'il bande encore comme un fou. De retour à la villa, je décide d'aller prendre une douche pour me rafraîchir. - Je vais me doucher.? Tu m'accompagnes ? - Ce n'est pas l'envie qui me manque, tu le sais bien, mais ce ne serait pas raisonnable et je préfère rester là si des invités arrivent. Et puis Lionel aura sûrement besoin d'un coup de main pour décharger le repas et les boissons. Pour voir jusqu'où va son allégeance à son copain, je décide de me déshabiller devant lui et fais glisser à mes pieds la minirobe. - Ah, Juliette ! Tu es diabolique. J'ai bandé comme un âne pendant tout le voyage du retour et là, ça va être compliqué si les invités arrivent. - Tu veux que je te soulage ? - Hors de ma vue, pécheresse ! Va te doucher et laisse-moi débander en paix. Avant d'atteindre l'escalier pour monter à la douche, je jette un coup d'œil à l'admirable proéminence qui déforme son entrejambe. Une fois sous la douche, je décide de ne mettre que peu d'eau chaude pour que l'eau fraîche calme un peu mon excitation. Je reste ainsi plusieurs minutes sous l'eau à me détendre, même si je n'arrive pas à penser à autre chose que les incroyables éjaculations de Luc et Lionel aujourd'hui. Qu'est-ce que va bien pouvoir donner cette soirée ? Et est-ce que Lionel va réussir à faire venir quelques-uns de ses amis ? Si on se retrouve uniquement tous les trois, je sais déjà comment va finir la soirée : les garçons voudrait faire un remake de leur relation avec Angela. Même si cette perspective n'est pas pour me déplaire, j'avoue que je serais assez excitée par l'imprévu que peut susciter la présence d'autres personnes qui ne nous connaissent. J'en suis à ces réflexions quand j'entends la porte de la salle de bain s'ouvrir : - Enfin, tu te décides à me rejoindre ? Mais en tournant la tête, je constate qu'il ne s'agit pas du tout de Luc ! Je dissimule rapidement et sans doute maladroitement mes parties intimes au regard de l'intrus. - Salut, Juliette. Je t'apporte une serviette. - Cédric ?! Mais qu'est-ce que tu fous là ? - Bah, c'est Lionel qui nous a appelés pour nous dire que la fête était finalement ici... - Tu connais Lionel ? - Bah, oui ! On est amis depuis longtemps. Il passait toutes ses vacances ici quand il était môme. Bref, Damien et Luc l'aident à installer la bouffe et la bibine. - Damien est là aussi ? - Oui... - Et il y a d'autres invités ? - Je n'ai pas l'impression. Je m'amuse à me montrer moins pudique pour voir sa réaction : - Merci pour la serviette. Tu peux aller aider en bas. - Oh, je crois qu'ils se débrouillent bien sans moi. Je vais rester pour bavarder un peu avec toi. - Moi, je n'ai pas grand-chose à te dire... Tu risques de t'ennuyer. Il referme la porte et s'appuie au mur pour m'observer. - C'est un programme qui me convient parfaitement. J'adore m'ennuyer. J'écarte les cuisses et dirige le jet d'eau sur mon coquillage. - Mmmmm, c'est délicieux une bonne douche fraîche... - Et c'est très agréable aussi de regarder une fille impudique profiter d'une bonne douche fraîche. Je vois à la déformation marquée de son entrejambe que Cédric bande bien. - De toute façon, si Luc t'a envoyé pour m'apporter une serviette, c'est qu'il voulait que tu te rinces l'œil. - Et comme ma présence ne semble pas te déranger, je ne vois pas pourquoi je ne profiterai pas du spectacle. Je coupe le jet d'eau et sors de la douche : - Et cette serviette, tu me la passes ? Cédric bondit pour me la tendre : - Tiens ! - Merci. Un vrai gentleman. Je commence par me sécher les jambes et le ventre avant de m'essuyer le buste et la figure : - Tu sais que je vais devoir me rhabiller ? - Avec quoi ? Je ne vois aucun vêtement ! - Je vais aller m'habiller dans la chambre. - Ah non, ton mec a précisé que tu devais remettre la petite robe que tu as laissée en bas. - Je vois... Tu peux descendre me la chercher, s'il te plaît ? - Luc a dit que tu devais venir t'habiller en bas. - D'accord, l'exhibition commence déjà... J'ai au moins la serviette pour descendre. Enroulée dans ma petite serviette, je descends l'escalier, suivie par Cédric. En bas, les garçons semblent avoir terminé l'installation et il n'y a que des têtes connues : Luc, Lionel et Damien. Moi qui espérais un peu de nouveautés et de surprises... La soirée sera sans doute banale : ils vont me prendre la serviette et me faire l'amour à tour de rôle ou en partouze. Si l'issue de la soirée est déjà écrite, la perspective d'avoir quatre mecs pour moi toute seule me convient plutôt bien. Les regards se tournent vers moi quand j'arrive dans le salon. - Finalement, il n'y a que des habitués. Luc se lève : - Juliette, tu pourrais saluer nos invités, non ? - Bonjour, messieurs. - C'est un peu léger, tu ne trouves pas ? - J'aimerais récupérer ma robe, si possible, avant la tournée des bises... Lionel se lève et vient me rejoindre : - L'un de nous a caché ta robe. - Oh, je vois. Et vous me l'échangez contre ma serviette ? - Presque... Il fait glisser ma serviette, découvrant mon corps nu à tous, et poursuit : - ... contre le nom de celui qui l'a caché. - Ah oui ? Mais me dira-t-il où est cachée ma robe ? - J'imagine que si tu es convaincante, c'est envisageable. - Et le coquin ne risque-t-il pas de ne me trouver jamais assez convaincante à son goût ? Je regarde les trois autres gars qui me dévorent des yeux et semblent attendre que je quitte définitivement la serviette. Luc entame les négociations : - Nous sommes des gentlemen, tu peux nous faire confiance. Les autres seront juges et pourront intervenir en cas d'abus. - J'ai bien peur que les juges profitent autant de la situation que celui qui a dissimulé ma robe. Je leur fais face et laisse tomber la serviette. Nue, je tente de deviner lequel des quatre est celui avec lequel je vais devoir être convaincante. Luc dit : - Bon du coup, puisque tu as quitté ta serviette, on est obligé de te dire qui a caché ta robe. Il me fait attendre avant de répondre. J'espère que ce sera Damien car il connaît moins les lieux et n'aura peut-être pas trouvé une cachette très difficile à trouver. Si c'est Lionel, cela va rendre la fouille plus complexe et m'incitera à effectivement me monter convaincante : - Alors ? Qui est-ce ? Lionel sourit et répond : - C'est moi ! - Je ne sais pas pourquoi, mais je m'en doutais... Je viens le rejoindre : - Alors ? Qu'est-ce que je vais devoir te faire pour récupérer ma robe ? - Et bien tu vas être surprise. Juste te souvenir des coutumes locales. - Quoi ? Comme hier soir ? - Oui, exactement. - Et donc, Cédric et Damien doivent me sucer les seins et la moule ? - Ce qu'ils veulent ! C'est à chacun de choisir. - Mais, sont-ils eux-mêmes seulement au courant de ces coutumes. Lionel me fait un clin d'œil : - J'ai eu l'occasion de leur expliquer ce matin... Damien est déjà contre moi. Sa main se pose sur ma hanche et glisse vers mon entrejambe. Il murmure à mon oreille. - Bonjour, Juliette, moi je veux t'embrasser ici... - Il faut que tu viennes devant si tu veux respecter la coutume... - Disons que je veux innover tout en respectant la coutume. - Ah oui ? - Penche-toi en avant... - Que je... ? Il m'attrape un sein et m'attire vers le canapé. Je me laisse faire et me penche sur le dossier du canapé, appuyant une jambe sur l'accoudoir, ce qui semble le satisfaire : - C'est parfait. L'instant d'après, je sens sa bouche contre ma moule, son nez dans mon cul et sa langue qui s'immisce dans ma fente. Bien sûr, cela est délicieux. Cédric semble s'impatienter. - C'est juste un baiser, non ? Lionel précise les règles : - Ah ce n'est pas dit. Je pense qu'il est possible que la rencontre conduise éventuellement à un orgasme. En sentant la bouche de Damien, je ne peux que confirmer : - Il est en bonne voie... Cédric râle : - Ce serait bien que ça ne dure pas trois plombes. J'attends, moi. Luc rigole : - Sois patient. Juliette prendra aussi du temps pour toi. Mais il faut qu'elle lui rende ensuite son salut. Et je pense que tu seras aussi ravi de pouvoir en profiter autant que Damien, non ? Cédric hoche la tête. Damien ne s'intéresse pas à ce qui se dit. Il me lèche ma minette avec beaucoup de délicatesse, faisant glisser sa langue dans ma fente. Puis, Damien m'abandonne. Ou, pour être exacte, il change de méthode. Il se lève et glisse deux doigts dans ma moule. Il commente : - Elle est délicieuse. Sa mouille est un nectar. Je pourrais y rester des heures, mais j'ai cru comprendre que Cédric était impatient... J'en déduis que Damien compte me donner un orgasme puisqu'il me masturbe doucement au lieu de céder sa place à son copain. Il ne faut pas bien longtemps pour cette délicieuse pénétration déclenche mon orgasme. Je me mets à vibrer, tombant la tête sur le canapé. Damien en profite pour accélérer ses va-et-vient et accentuer mon plaisir. Mon bassin est pris de secousses, je gémis de plaisir et j'entraperçois le sourire satisfait de Damien qui maintient ses deux doigts en moi. Quand je retrouve connaissance, je vois Luc me sourire : - Alors, ma chérie ? - Mmmmm, j'adore les coutumes locales. - Et ce n'est que le début... - Oui... c'est le tour de Cédric... - Ah non, il faut d'abord rendre la politesse à Damien. - C'est vrai... j'avais oublié ! Damien a quitté ses vêtements et affiche une impeccable érection. Il fait semblant de s'offusquer : - Et bien quand même ! Comment peux-tu oublier un mec aussi bien monté ?? - Désolée, je vais me racheter. Je m'agenouille devant lui et saisit ses bourses pour les masser. Quand ma bouche enserre son mandrin, il pousse un soupir de plaisir : - Oh mon Dieu ! Quel délice... Il pose ses deux mains sur ma tête, comme pour s'assurer que je n'allais pas l'abandonner au moment ultime. Luc rigole : - Ne t'inquiète pas Damien, elle ne va pas se sauver. Elle ira au bout... Damien me libère la tête et me laisse opérer. Mes lèvres montent et descendent sur la hampe de chair palpitante en concentrant l'activité de ma langue sur la base du gland. Lionel dit alors : - Cédric, ça va bientôt être ton tour. Il a sans doute remarqué que Damien allait jouir. Il se contracte effectivement et pousse un profond râle de plaisir. L'instant d'après un flot de semence chaude envahit ma bouche. Les giclées se succèdent à un rythme soutenu et je dois laisser en échapper une partie tant il y en a. Quand il a terminé, je me relève et me lèche les lèvres pour me débarrasser du sperme qui avait coulé. Je me tourne vers Cédric : - Tu es prêt ? - Évidemment ! - Alors, viens. Il reste pourtant à côté de Luc et Lionel, qui le regardent sans comprendre pourquoi il ne vient pas me rejoindre : - Qu'est-ce que tu fous ? - Juste, je me dis que ce n'est pas juste, on est habillé tous les quatre et toi tu es nue. - Oh, tu es assez perspicace ! - Ne te moque pas. Je veux seulement te proposer de récupérer ta robe. Tu as déjà passé une partie de l'épreuve. En l'écoutant, je me dis que ce petit pervers veut que je sois en robe pour me "dire bonjour", mais ça me convient : - Si tu veux. Lionel soulève un coussin de canapé, découvrant ma minirobe. Cédric la ramasse et me la tend pour que je m'habille : - Voilà un vrai gentleman, qui ne laisse pas une fille sans défense dans une situation délicate. - Bah, j'avoue que c'est un peu intéressé... - Ah oui ? - Oui, je te trouve vraiment très excitante dans cette petite robe. - Parce qu'elle est courte ? Je la relève juste assez pour dévoiler ma moule nue aux garçons. Cédric rigole : - Parce qu'elle t'habille autant qu'elle te déshabille... - Et tu vas quand même me saluer selon les coutumes locales ? - Très certainement ! Je relève un peu la robe sur mes fesses et pose un pied sur le canapé pour exhiber ma moule : - Tu veux faire comme Damien ? - J'avoue que c'est tentant... Il se penche derrière moi et je devine qu'il doit voir à quel point je mouille. - Alors, laisse-toi tenter. - C'est que j'ai moi aussi envie d'un peu d'originalité. Je me retourne et rajuste le bas de la robe : - Ah oui ? Et quoi est-ce que je dois m'attendre ? Je dois faire le poirier ? - Non, c'est beaucoup plus simple que ça... Assieds-toi. - Je me méfie. Quand c'est simple, c'est souvent plus pervers... Luc intervient : - Allons, ma Juju. Tu sais bien qu'on dit épicurien ! Je m'assois et attends que Damien expose la manière dont il veut me saluer. Il s'approche de moi en souriant : - Tu es magnifique Juliette. Luc est un sacré veinard. - Oui, un sacré veinard partageur. Maintenant, dis-moi un peu ce que tu veux. - Juste découvrir petit à petit tes trésors... Il attrape le bas de ma robe et le soulève pour voir ma minette. Il pose une main sur mon genou et le caresse délicatement. Je m'attends à ce que sa main remonte à la rencontre de mon intimité, mais il se contente de m'écarter doucement les cuisses. - J'ai l'impression que ça va être plus long qu'avec Damien, non ? - Oui, plus long et plus excitant... Je confirme que ça m'excite d'exhiber ma moule à ces quatre garçons. Mais l'excitation est telle que je commence à perdre patience : - Et après ? - Après ? J'imagine qu'il faut que je te salue. - Oui, ce serait bien de s'y mettre, là... Au lieu de venir s'accroupir entre mes cuisses, Cédric vient s'asseoir à côté de moi sur le canapé. Sa main se pose entre mes cuisses. Du bout de l'index, il explore ma fente en montant et descendant successivement. - Bonjour Juliette... - Bonjour Cédric... Le doigt se glisse peu à peu entre mes lèvres humides, jusqu'à débusquer mon clitoris. Quand il se relève, Cédric se tourne vers Luc : - Je pense qu'on va passer saluer Juliette tous les jours. Je me redresse et m'offusque que le salut soit déjà terminé : - Et c'est tout ? Cédric rigole : - Bien sûr que non ! J'aime bien prendre mon temps. Damien fait remarquer justement : - Alors que tu t'es montré particulièrement impatient quand c'était mon tour... - Désolé, mais j'avais hâte de lui dire bonjour. Il s'agenouille entre mes cuisses et plonge son visage contre mon coquillage, dégainant aussitôt une langue agile et inquisitrice. Je gémis aussitôt de plaisir alors qu'il se contente de glisser sa langue comme il le faisait avec son doigt. Luc s'amuse de voir cela : - Juliette semble apprécier cette coutume locale. - Oh putain, oui ! Aaaaah c'est bon... - Ma chérie, tout cela semble te donner très chaud. Luc vient à côté de moi, sans perturber Cédric dans son activité, et soulève ma robe au-dessus de ma poitrine pour exhiber mes seins. - Vous voyez les gars, les tétons tendus montrent à quel point elle aime ça. L'orgasme est là. Mon corps vibre, surtout mes cuisses et mon bassin. Je crie. Ma robe retombe sur mon ventre. Cédric tente de maintenir sa tête en position, sa langue s'activant de plus belle sur mon abricot. Les soubresauts continuent, délicieux. Les bretelles de ma robe glissent et la robe glisse sur mon ventre, me laissant dépoitraillée. Quand je reprends mes esprits, Cédric est debout à côté des trois autres gars et semble contempler son œuvre. Il me faut quelques secondes pour me relever : - Ouf ! C'est important de respecter les règles de politesse. - Et surtout les coutumes locales, ajoute Lionel. - Oui, surtout les coutumes locales. Je tente de remettre un peu d'ordre à ma tenue. Damien me rappelle à l'ordre même si c'est parfaitement inutile : - Il faut maintenant que tu le salues à ton tour. - Je n'avais pas l'intention de me débiner. Mes yeux fixés dans les siens, je m'approche de Cédric. Je fais mine de l'embrasser, mais au moment où mes lèvres vont se poser sur les siennes, je me baisse et me mets accroupie à ses pieds pour le libérer, avec les cuisses écartées. Vu le regard des trois autres vers mon ventre, je me doute que la robe trop courte ne dissimule pas mon sexe dénudé et probablement bien mouillé. Le sexe que j'extrais est déjà bien bandé, long et dur. Avant de le prendre en bouche, je lui dis : - Bonjour Cédric... - Bonjour jolie Juliette. Je pose son gland sur ma langue et observe son regard alors qu'il frémit de plaisir. Quand je referme mes lèvres sur sa queue et que ma langue commence à tourner autour du gland, Cédric gémit de plaisir : - Oooooh c'est terrible ! Luc hoche la tête : - Quand je pense qu'on n'a découvert ce don que depuis quelques jours... Tout en regardant mon mec, je me mets à pomper Damien. À nouveau Lionel, observateur, me prévient que j'ai atteint mon but : - Attention, Juliette ! Je crois que ça arrive... Et, effectivement, dans les secondes qui suivent, le sperme de Cédric jaillit dans ma bouche. Je décide cette fois-ci de garder la bouche un peu ouverte pour laisser s'échapper la semence épaisse et ne pas avoir à l'avaler. Cédric râle de plaisir et son sperme coule sur mes doigts, le long de mon poignet, jusqu'à mon coude. Quand Cédric retrouve son souffle, il se tourne vers Damien : - Je crois qu'il faut vraiment qu'on fasse l'effort de venir saluer la petite Juliette tous les jours. Je m'assois sur le canapé et soupire : - Comme si c'était un effort... Luc frappe dans ses mains : - Bon, il est presque minuit. Maintenant que les salutations sont faites, la fête peut commencer ? - Bah non, mon chéri. Il faut que toi aussi tu dises bonjour aux amis de Lionel. Tout le monde rigole en imaginant les garçons en train de se sucer les uns les autres. Moi, ça ne me fait pas rire, puisque ça m'aurait beaucoup intéressée de voir ça. |
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En espérant que ce nouvel épisode plaira toujours autant, en attendant la fête en elle-même... ;) |
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Il plaît autant que les autres ! Bravo :) |