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Et voici la fameuse fête que vous attendiez peut-être... ;) |
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elle sent la douleur que Lionel et tente de le repousser mais Lionel sent sa queue se gonfler .Elle le sent qu' il se retient mais une contraction a l intérieur d elle l'étire plus en elle et soudain il se soulage en elle. |
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Merci Boris, très belle fête effectivement ;) |
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Merci beaucoup Boris ! Toujours aussi.. agréable ! de vous lire Par contre si je puis me permettre je partage certaines pensées de Juliette, qui dit " - Justement, je m'étais dit que s'il y avait quelques filles en plus, ça aurait pu être sympa." ;) Maintenant qu'elle prend tant de plaisir à être partagée, cela me semble être un développement intéressant et inévitable de voir comment elle réagira si elle a, elle aussi, à partager son Luc avec une autre!? Je ne doute pas que vous l'ayez envisagé pour la suite mais j'ai hâte de découvrir ça ! |
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Merci Boris, toujours un plaisir de vous lire ! |
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Et un nouvel épisode pour ce nouveau mois... |
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Angela - épisode 30 : Songes intenses Mercredi 3 août 02:17 Alors que nous pensons la soirée terminée et qu'on va pouvoir aller dormir, nous nous rendons compte que ce n'est pas réellement le cas, car chacun a besoin d'une bonne douche. Pendant qu'on passe un par un à la salle de bain, les autres attendent dans le salon à discuter, à poil. Moi, je suis passée en première et j'attends maintenant avec les autres que chacun des gars y soit passé. Même si nous restons plus sages, cela ne m'empêche pas de m'amuser avec les tiges de Cédric et Damien que je m'amuse à faire se dresser entre mes doigts. Lionel a sorti des bouteilles d'alcool auxquelles nous n'avions presque pas touché pendant la soirée. - Allez, je n'ai quand même pas ramené tous ces apéros pour rien ! Avec la fatigue et les activités intenses de la journée, je ne me méfie pas et je bois plus que de raison. Si bien que, quand nous montons enfin nous coucher, moi, Luc et Lionel, l'ascension est plus compliquée que prévue. Une fois arrivée au lit, je m'effondre et le sommeil me cueille aussitôt. Malgré la fatigue et l'alcool, je ne parviens pas à trouver un sommeil profond. J'ai l'impression de comater, tandis que je perçois la respiration profonde de Luc à côté de moi qui semble s'être adonné tout entier aux bras de Morphée. Je suis donc dans un état de sorte de rêve éveillé. Je repense à la fameuse magie de la villa, cet éveil sexuel que ce lieu a éveillé en moi. Je repense aux érections des garçons, à leurs éjaculations. Je rêve qu'ils se masturbent, tous debout autour de moi, et qu'ils éjaculent sur mon corps. Je rêve que je mouille. Mais est-ce vraiment un rêve ? Ma main entre mes cuisses me confirme que le rêve a eu une incidence sur la réalité. Où s'achève le rêve ? Où commence la réalité ? Tout ce sperme sur moi, est-ce un rêve ? Et ces mains qui me touchent ? Oui, je sais qu'elles sont bien réelles puisque ce sont les miennes. J'écarte les cuisses pour que des mains viennent s'y aventurer. Je garde les mains sur ma poitrine pour laisser l'accès libre à un de mes amants oniriques. Lequel va tendre la main pour laisser ses doigts courir sur mon coquillage ? Et puis, toujours dans ce demi-sommeil, les sensations se font plus précises. Mais ce ne sont pas des doigts que je sens entre mes cuisses, mais une langue. Que les rêves peuvent être doux ! Que les rêves peuvent donner du plaisir ! Mais quand des mains tièdes écartent mes cuisses et que la langue commence à se frayer un chemin dans ma fente, je commence à avoir des doutes. Je m'éveille doucement. J'ouvre les yeux. Je redresse la tête. Le sommet chevelu du crâne à qui semble appartenir la langue qui s'aventure sur mon sexe me laisse à penser qu'il s'agit d'un homme, mais, à cause de l'obscurité, l'identification ne peut pas aller plus loin. Qu'importe à qui appartient cette langue. Cette langue me donne du plaisir et, dans mon état, identifier son propriétaire me semble secondaire. Je garde les cuisses écartées au maximum pour laisser cette langue atteindre le moindre recoin de mon sexe. - Mmmmm, Luc... c'est bon... Je pars du principe qu'il s'agit de Luc puisque nous partageons le lit, mais je me souviens aussi avoir invité Lionel à dormir avec nous. Lionel ou Luc ? Mon bienfaiteur trouve mon clitoris et le titille jusqu'à le faire darder à la limite du supportable. - Oooooh, Luc, tu vas me faire jouir... Je sens mes seins tous durs, mes mamelons qui pointent. Et puis j'entends une voix à côté de moi : - Oui, vas-y ma chérie, jouis ! La voix de Luc. Ce n'est donc pas sa bouche qui s'active entre mes cuisses. Luc est toujours à côté de moi et masturbe une érection splendide. Je me redresse un peu : - Oooh Lionel... Lui aussi se redresse et me sourit : - Je suis heureux que tu me reconnaisses enfin. Puis il plonge un doigt dans ma fente trempée : - De t'entendre gémir dans ton sommeil, ça m'a donné envie de t'aider un peu. Et sa langue replonge sur mon clitoris tendu. Il s'interrompt quelques secondes et me regarde : - Pas trop déçue que ce ne soit pas Luc ? - Non... C'est bon... Mmmm... Et sa langue repart à l'assaut de mon entrejambe. C'est divin et je me retiens pour ne pas jouir trop vite, même si la fatigue ne m'aide pas. Luc y va même d'un conseil à son camarade : - Prends ton temps, Lionel. Rien ne presse. À côté, lui aussi se masturbe tranquillement, sans précipitation, en nous observant. Et puis le plaisir devient irrépressible. Impossible de retenir plus longtemps mon orgasme. - Oooooh... Aaaaah... Lionel... Lionel l'a senti, car il accélère son jeu de langue et finit par m'avoir. Je me perds. Je perds tout point de repère. Pendant quelques instants, mon corps n'est plus que vibrations. Je m'entends crier avec volupté. J'ai une pensée pour Cédric et Damien qui, dans le salon, ont forcément été réveillés par cette expression très sonore de mon plaisir. Lionel semble continuer à faire danser sa langue tant que son ballet m'arrache des cris. J'appuie mes mains sur sa tête pour lui imposer de continuer encore et encore. Dans une demi-conscience, j'entends Luc m'appeler : - Oh... Juju... Tournant la tête vers lui, je vois, comme un écho à mon surnom, son jus jaillir de son sexe turgescent pour éclabousser son torse et son ventre. Épuisée, je m'effondre, alors que Lionel me laisse enfin tranquille. Je me sens partir à nouveau dans le sommeil. Pourtant, je garde les cuisses écartées, peut-être pour que les garçons me fassent l'amour. Après tout, Luc a éjaculé, mais Lionel pas encore. Je sens son souffle sur moi, il me caresse un sein et m'embrasse dans le cou. Les gars pourraient abuser sans peine de moi et je les laisserai faire avec plaisir. Pourtant cela ne semble pas le cas : je sens que l'on remonte les couvertures sur moi et qu'on me chuchote à l'oreille : - Dors bien, ma belle. Et c'est ce que je fais. Mais les rêves érotiques me poursuivent. J'imagine maintenant que Luc et Lionel sont à me caresser le corps, les cuisses, les épaules, les seins, le ventre et surtout ma chatte en feu. Ils me chuchotent tous les deux : - Tu es douce... Tu es chaude... Tu es désirable... Ils m'embrassent. À tour de rôle, leurs langues cherchent la mienne et nous nous embrassons. Les caresses se poursuivent. Les chuchotements aussi : - Tu es douce... Tu es chaude... Tu es désirable... Je sens leurs sexes dressés contre mes cuisses. J'écarte les cuisses pour que l'un d'eux vienne m'investir. Des mains me prennent les chevilles et me hissent les jambes. Un nouveau chuchotement : - Tu es désirable... Et un sexe me pénètre enfin. Lentement, le membre palpitant s'enfonce en moi. C'est un vrai délice. Comment un simple rêve peut-il tromper mon esprit et donner autant de plaisir à mon corps ? Mon amant commence à aller et venir. Qui ? Je voudrais que ce soit Lionel. Luc a déjà joui. Lionel pas encore, il aurait bien le droit de se payer sur la bête pour l'orgasme qu'il m'a donné plus tôt. Et puis j'ai un doute. Les assauts de mon amant me sortent de mon rêve. Et je me rends alors compte qu'il ne s'agit pas d'un rêve, mais qu'un homme est réellement en train de me faire l'amour. Sans ouvrir les yeux, je sens les assauts à la fois puissants et tranquilles de Lionel. Me suffit-il de fantasmer pour que mes rêves deviennent réalité ? Ou bien est-ce le sommeil qui me fait perdre les notions de réalité et que depuis le début, les caresses et les chuchotements, c'est Lionel ? J'ouvre les yeux et confirme visuellement que mon amant est bien Lionel. Il me sourit : - Désolé, je t'ai réveillée... - C'est un plaisir... - Je sais... Tout en continuant à me pénétrer tranquillement, il fait tourner son pouce sur mon clitoris. Je sens à quel point je mouille et que l'orgasme va me reprendre. Il me donne son pouce à lécher. Curieux que les mecs puissent croire qu'on aime lécher notre propre jus alors que leur propre sperme les dégoûte ! Je veux bien avaler du sperme, mais je ne prends pas particulièrement de plaisir à lécher ma jute. Mais ça semble lui faire plaisir et l'exciter, alors je me plie à ce petit caprice. Puis il empoigne mes seins et continue à me faire l'amour, mais avec plus de ferveur. Et là, je me rends compte que je ne contrôle plus grand-chose : - Ooooooh... Je... je viens encore... Un nouvel orgasme m'envahit. Je crie à nouveau. Lionel continue. Puis, alors que je suis encore à subir les spasmes de ma jouissance, il éjacule : - Haaaaan... moi aussiiiii... Je sens une première giclée puissante en moi. Puis, il s'extirpe et poursuit son éjaculation en dirigeant les jets vers mon ventre. Lionel éructe, le visage exprimant un plaisir intense. - On va réveiller tout le monde. Luc rigole à côté : - Moi, si c'est pour t'entendre jouir, tu peux me réveiller autant de fois que tu veux, ma Juju. Je regarde Lionel qui semble comblé : - Et toi, Lionel ? Tu n'as pas envie de dormir. - Si, mais j'ai plus envie de te faire l'amour que de dormir. Et c'est ainsi, entourée de mes deux amants et le ventre couvert de semence que je me rendors, quelques secondes plus tard. J'entends dans mon sommeil un bruit d'eau qui coule et je devine que Lionel est parti prendre une douche. Je devrais moi aussi, mais je suis trop épuisée pour avoir la force, ne serait-ce que de me lever. Dans mon sommeil, je sens les mains de Luc sur moi, il étale le sperme de Lionel sur mon ventre. J'écarte les cuisses. Je veux qu'il me prenne lui aussi. Je veux qu'il jouisse encore, même s'il a déjà joui. Parce que c'est mon homme. Parce que je l'aime. Je tourne la tête vers lui et lui chuchote : - Fais-moi l'amour... - Oh, je suis trop crevé... Plus tard, ma Juju... Nous nous embrassons. Puis je replonge dans mes rêves érotiques. Est-ce un rêve ? Des mains saisissent mes chevilles et me replient les jambes. Mais quand j'ouvre les yeux et découvre un sexe en érection juste au-dessus de ma bouche. Pas celui de Luc, ni celui de Lionel. Dans la pénombre, je n'arrive pas à distinguer s'il s'agit de Cédric ou de Damien, mais Cédric étant moins bien pourvu que Damien, je devine au format de ce membre qu'il s'agit sans doute de Damien. C'est donc Cédric qui m'écarte les cuisses. Il murmure : - Deux fois que tu nous réveilles. On n'est pas de marbre. Nous aussi on veut te faire jouir. Il m'écarte largement les cuisses et je sens alors un peu du sperme de Lionel qui s'écoule de ma moule. Je me dis que la semence de Lionel va sans doute le dégoûter, mais, curieusement, je sens malgré tout son souffle entre mes cuisses et finalement sa langue contre mes lèvres. Cédric est en train de me lécher la moule, de lécher le sperme de son copain Lionel ! Je trouve ça incroyable. Je saisis la queue de Damien et le masturbe doucement. Ne suis-je pas en train de rêver ? Puis Cédric semble vouloir passer à autre chose, ce qui est dommage car il est assez adroit avec sa langue. - Tu pouvais continuer... - Je vais te proposer autre chose... Mais je ne vais pas me plaindre, je sens qu'il écarte mes lèvres, sans doute pour présenter son sexe. L'instant d'après son gland commence à se frayer un chemin dans ma fente. Il ne rencontre bien sûr aucune difficulté, vu comment mon antre est lubrifié de cyprine et de sperme. Il me demande : - Luc et Lionel ? - Seulement Lionel... - Le salaud, il a été généreux. Pas Luc ? Luc dort profondément à côté de nous. Je n'en reviens pas qu'on soit autant sur ce lit ! Je réponds : - Il s'est branlé pendant que Lionel me faisait jouir. - Moi aussi je me suis branlé à chaque fois que je t'ai entendue couiner. En quelques secondes son sexe est entièrement en moi et je sens qu'il refoule une partie du sperme de Lionel. Je continue à masturber Damien. Il saisit soudain mon poignet pour m'immobiliser : - Attends... Quelques secondes de silence. Puis il éructe : - Merde ! Pas déjà. Il relâche mon poignet et je sens une intense pression dans sa tige. Je le lâche à mon tour et sens qu'il est effectivement trop tard : il se met à éjaculer, libérant sa semence sur mes seins. Cette vision semble décupler le désir de Cédric qui se met à me labourer comme s'il avait un train à prendre. - Han ! Han! Han ! Cela a le mérite de déclencher un nouvel orgasme. Mes convulsions de plaisir électrisent tout mon bassin, mes cuisses et mon ventre. Cédric s'immobilise. Je comprends qu'il va venir lui aussi. Je l'encourage : - Vas-y... Il se retire alors partiellement, ne laissant que son gland en moi et se met à éjaculer. Quel plaisir de sentir à nouveau le sperme chaud m'inonder les entrailles. Damien soupire : - Ma pauvre, tu vas devoir prendre une douche, je t'en ai mis partout. - Trop crevée, tant pis... Et toi, tu vas en prendre une dès que Lionel sera sorti ? - La flemme aussi... - Attends... J'ouvre la bouche pour lui signifier que je peux le nettoyer un peu. Il me semble qu'il accepte cette toilette de chat puisqu'il glisse joyeusement entre mes lèvres son sexe qui commence à débander. Je le suce doucement et me rends compte qu'il reprend peu à peu de la vigueur. Cédric s'extrait d'entre mes cuisses et sort de la chambre. Damien se penche alors sur moi et m'embrasse. - Moi je ne t'ai pas encore fait jouir. - Luc non plus. - Luc dort. - Et tu te sentirais prêt à remettre ça alors que tu viens de jouir ? - Évidemment ! Il écarte mes cuisses et observe le bouillon de sécrétions diverses qui s'échappent de ma moule : - Tu crois qu'il y a encore un peu de place pour ton sperme ? - Tu as raison, cela semble déjà saturé. Et tu as peut-être besoin de repos. Résigné, il me caresse les seins, tout en y étalant son sperme. Je relève les cuisses haut et soulève mon bassin pour présenter mon anus : - Il y a peut-être une autre option, pour toi... L'idée semble lui plaire : - J'adore cette option, mais... tu as déjà pratiqué ? - Un peu... J'ai découvert en début de semaine, mais j'y ai goûté plusieurs fois hier : Luc le matin, Joann le midi, Luc à nouveau sur la plage - tu as bien vu - et Lionel hier soir... Il faut y aller doucement, surtout que tu es gros... - OK. Allons-y progressivement alors. Doucement, il introduit son majeur dans mon anus. À sa réponse et à l'assurance de ses gestes, je me demande s'il n'a pas l'habitude de cette situation. Habitué à ce que son sexe imposant puisse effrayer quand une sodomie est envisagée, peut-être Damien prépare-t-il chacune de ses conquêtes de cette manière. Pour l'heure, je ne vais pas me plaindre, le premier doigt était délicieux, les deux actuels sont divins. Je ne sais pas à quel moment Damien a jugé que j'étais prête, mais quand il retire ses doigts et se redresse, je sais que ça ne va pas être pour me réciter un poème. - Aaaaaaah ! Quand il engage son gland dans mon petit trou, je ne peux réprimer ce cri de douleur tant il est gros. Il se penche sur moi et me dit : - Tu as fait le plus dur. Maintenant, profite. Et le salaud a raison. Je prends un pied d'enfer tandis qu'il me ramone la rondelle. Je me glisse même deux doigts dans la chatte pour accentuer mon plaisir. Il s'interrompt et se penche à nouveau sur moi en souriant : - Laisse. Je m'en occupe. Il m'attrape le poignet et me retire la main, remplaçant mes doigts par les siens. Dès qu'il reprend la sodomie, je crie de plaisir. La voix de Lionel se fait entendre : - Bah, mon salaud, tu l'as bien réveillée, la petite ! Je tourne la tête pour voir qu'il revient de la douche avec une serviette autour de la taille. Je crois distinguer son sexe tendu sous la serviette. Il ajoute : - Et il faut que Luc soit sacrément crevé pour ne pas être réveillé par ce concert. Tournant la tête de l'autre côté, je constate que Luc dort effectivement à poings fermés. J'ai presque des remords à me faire sodomiser par Damien alors que Luc dort juste à côté. Mais cela m'excite aussi beaucoup qu'il ne voie pas et que je puisse lui raconter demain. Que vais-je lui dire ? Que Damien m'a enculée et qu'il avait deux doigts plongés dans ma minette et que j'ai... - Ooooooooh... Que j'ai joui intensément ? Damien s'immobilise. Sans doute pour me laisser profiter de ce plaisir. Avant que mon orgasme ne s'épuise, mon amant se retire, mais pour mieux s'enfiler dans ma moule béante qui ne demande pas mieux. Et là, alors que je convulse de plaisir, il se met à éjaculer. Son pieu planté en moi se met à cracher une quantité incroyable de sperme. Quand il se retire, une dernière salve de sperme s'écrase sur mon clitoris. Damien quitte la chambre, Lionel lui dit : - La douche est libre. Il s'allonge à côté de moi. Puis, je sens tout le flot de semence de Damien qui s'écoule de ma fente. Totalement épuisée, je m'effondre à nouveau dans un sommeil profond peuplé de rêves érotiques, voire même pornographiques. Quand j'émerge au petit matin, Lionel est en train de s'habiller : - Bien dormi, princesse ? - Pas beaucoup, je pense... - Non, pas beaucoup. En revanche, tu as beaucoup joui. - Oui, vous m'avez épuisée, tous les quatre. - Tous les quatre ? Non. Tous les trois. Je crois que Luc s'est masturbé pendant que je t'ai donné le premier orgasme de la nuit, puis il est tombé dans les bras de Morphée, comme la Belle au Bois Dormant. Un coup d'œil à mon chéri me confirme qu'il n'a effectivement pas été le plus vaillant de la nuit. - Dans ce cas, un baiser devrait le réveiller. - Je te laisse le transformer en grenouille. Moi, je descends prendre un café. Lionel sort de la chambre et je me redresse pour me pencher sur Luc et lui embrasser le coin de la bouche. Il se réveille effectivement. Quelle magie incroyable ! - Tu as bien dormi mon chéri ? - Pfff, j'ai l'impression que j'ai trop bu hier soir... Et toi ? - Moi, tu as vu... - Ah oui. Lionel t'a fait l'amour. Je me souviens quand même de ça. - Ce n'est pas vraiment tout... - Comment ça ? - Après, tu t'es endormi. Et beaucoup d'autres choses se sont passées. Il s'assoit sur le bord du lit : - Là, tu stimules ma curiosité. - Je ne vais pas tout te détailler, mais Cédric et Damien ont été réveillés par mes orgasmes et sont montés pour voir s'ils pouvaient se rendre utiles. - Oh, tu t'es occupée d'eux ? - J'étais trop crevée. Cédric m'a fait l'amour et...Damien m'a sodomisée. Je vois à l'amusement de Luc que mon visage exprime sans doute le souvenir ému de leur passage. - Tu as joui ? - Oh putain, oui ! J'ai joui si fort plusieurs fois que c'est étonnant que cela ne t'ait pas réveillée. - Même la sodomie ? - Oui... C'était un peu douloureux, mais Damien a été doué et j'ai pris un pied incroyable. Luc fait la moue : - C'est quand même rageant. Ils t'ont fait jouir tous les trois, et moi j'ai pioncé ! - Tu auras sûrement encore l'occasion de te rattraper, mon chéri. - Oui, j'espère bien. Je me glisse jusqu'au bord du lit : - Merci, mon chéri. - De quoi ? Je m'apprête à lui répondre "De me laisser être votre Angela", mais je me ravise. - De me laisser découvrir tout ça, sans te montrer jaloux ou possessif. - Te voir jouir balaye tout. Je t'aime, ma Juju. Je me lève, ravie de ces échanges : - Je t'aime aussi. On va prendre le petit déjeuner ? |
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Pas beaucoup d'activité ici, entre deux publications... Il y a pourtant apparemment beaucoup de lecteurs ! Voici la suite... Et peut-être qu'il va y avoir une pause après cet épisode car on peine à tenir le rythme... |
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Angela - épisode 31 : Petit déjeuner tardif Mercredi 3 août 9:53 Avant de descendre, je regarde dans la penderie ce que je peux me mettre. Descendre toute nue alors qu'il y a quatre garçons dans la maison me semble inconvenant, malgré la soirée et la nuit que nous avons passées. Je trouve une petite robe de chambre orange, très fine, transparente. Cela se porte normalement sur autre chose, mais je me dis que, puisque les garçons s'attendent à ce que je reste nue, autant que je m'habille avec quelque chose qui soit plutôt... déshabillé. La villa est calme. Pourtant tout le monde semble levé, puisque Damien et Cédric ne sont plus sur les canapés du salon. J'entends le bruit de la douche. Chacun se prépare. Je sors sur la terrasse encore à l'ombre à cette heure, mais où la chaleur du soleil commence déjà à se faire sentir. J'entends du bruit dans mon dos. - Bonjour Juliette. C'est la voix de Damien, dans la cuisine. Il n'est vêtu que d'un boxer et dépose sur la table la cafetière et quelques tasses. - Bonjour. Merci pour le café. - Tu as bien dormi ? - Dormir est un bien grand mot... Il me semble avoir eu la visite de plusieurs personnes pendant la nuit... - Heu, oui, c'est vrai que tu as été sans doute beaucoup sollicitée... - Je ne me plains pas, note bien. - Oui, tu avais l'air assez satisfaite de nos visites. En appuyant sur le "satisfaite", Damien pose sa main sur son entrejambe où son sexe semble déjà réagir aux souvenirs de la veille au soir... ou à mon déshabillé orange. - Je t'avoue que je ne me souviens plus de tout en détail... mais je crois me souvenir que tu t'es autorisé à me mettre ton machin dans un endroit peu conventionnel. - Oui... Tu regrettes ? - Pas du tout, mais je ne t'aurais certainement pas laissé faire si je n'avais pas été dans cet état. - Fatiguée ? Bourrée ? - Non, excitée par vos assauts successifs... Damien sourit, manifestement plutôt fier de lui. Et son outil, qui m'a donné tant de plaisir hier soir, semble aussi réagir et grossit encore significativement dans le boxer. - Oh, tu bandes en permanence. - Si c'est l'impression que je te donne, c'est que je bande à chaque fois que je suis en ta présence. - Flatteur ! - Non, réaliste. Tu sembles représenter tout ce dont un homme peut rêver : intelligente, compréhensive, superbe physiquement. Luc a une chance inouïe. Je crois que je rougis un peu. - C'est gentil, mais il faut justement prendre Luc en considération dans cette équation. C'est grâce à lui si je m'autorise toutes ces découvertes. En prononçant ces mots, je me rends compte que si Luc est aussi "ouvert", c'est probablement grâce à son expérience avec Angela qu'il partageait avec Lionel. Damien hoche la tête et ajoute : - C'est en tout cas une aubaine que vous soyez venu passer vos vacances ici. - C'est effectivement le paradis ici. Il y a plein de garçons en érection, hihi ! - Oui... ne te moque pas, s'il te plaît. - Si tu te sens à l'étroit, n'hésite pas à adopter l'uniforme réglementaire de la villa. - Pas bête ! Et Damien, sans la moindre pudeur (mais pourquoi en aurait-il ?), abaisse son boxer et libère la bête. - Impressionnant ! - Cela ne te choque pas ? - Pourquoi le serais-je ? Ne suis-je pas la cause de cette magnifique rigidité ? - C'est injuste, nous les mecs, ça se voit comme le nez au milieu de la figure quand une fille nous plaît. - Oui, nous c'est plus discret. - Et d'autant plus si tu restes habillée alors que moi je suis nu. - Oh, voyez-vous ça ? Je suis trop habillée pour monsieur ? Je laisse glisser le déshabillé de mon épaule, dégageant un sein. - Ah oui, c'est vrai que les tétons tendus sont aussi une marque d'excitation. - Sauf qu'ils réagissent aussi au froid... Là, j'ai peut-être froid... - Vu comment la température monte, je ne pense pas, mais ce n'est pas à cela que je pense. - Je sais bien à quoi tu penses. Je libère mon autre sein et glisse une main entre mes cuisses pour constater que je mouille effectivement. - Si tu savais comme tu es excitante. - Je le vois, mais d'ailleurs, je me dis que tu ne bandes pas tant que ça... - Quand tu auras tout dévoilé, elle se dressera pour toi. - Ah oui ? - Essaie. J'ouvre mon déshabillé, et me retrouve ainsi presque totalement... déshabillée. Je constate que son sexe se dresse effectivement lentement tandis que ses yeux semblent caresser mon corps. - Oh, mais c'est vrai que c'est aussi réactif que des mamelons. - Je t'avoue que toutes les filles ne me font pas cet effet-là... - C'est agréable à entendre. - Tu es agréable à regarder. Son sexe continue à se dresser et à se gonfler doucement. - C'est dingue ! Et qu'est-ce qu'il se passerait si je m'approchais de toi et que je te caressais les couilles ? - Je... je... - Et si j'empoignais cette magnifique hampe pour la masturber tranquillement ? Il ne répond pas, comme si le fait de me répondre pouvait le faire jouir. J'ai laissé le déshabillé tomber. Je suis nue et je m'offre à son regard comme il m'offre le spectacle de son sexe qui se dresse. Même si son sexe est maintenant tendu à l'extrême, je continue à l'exciter : - Une main à te masser les couilles, une autre coulissant sur ta hampe, combien de temps tiendrais-tu ? - ... - Et si ma bouche venait s'enrouler autour de ta queue ? Que ma langue faisait le tour de ton gland ? Est-ce que... Oh ! Je découvre avec stupeur qu'il commence à éjaculer. Pris de soubresauts, son sexe expulse le sperme doucement, par saccades. L'épaisse semence s'écoule lentement sous la tige et goutte par terre avant d'atteindre les bourses. - Waouh ! Je n'aurais pas cru pouvoir faire éjaculer un homme rien qu'en lui suggérant des caresses, sans même un contact. Le pauvre Damien est tout penaud, comme un enfant pris à voler un bonbon. - Je... je suis désolé, Juliette. - Oh, mais ne le sois pas ! C'est très gratifiant pour moi de savoir que je suis excitante à ce point. - Ce n'est pas que toi. C'est aussi ta voix, tes mots... - Ma voix est excitante ? - Elle est douce et chaleureuse. Oui, elle est excitante. - Hihi, tu es adorable. Allez, va te doucher. Je vais finir de préparer la table du petit déjeuner pour les autres. - Tu ne veux pas que je te rende la pareille ? - Hé ? Tu crois pouvoir me donner un orgasme en me décrivant le cunnilingus que tu me ferais ? - Ou la manière dont je pourrais jouer avec ton anus... - Ah ce serait peut-être plus efficace effectivement, mais ça ne suffira pas. Allez, file. Damien part à la salle de bain, apparemment à contrecœur. Je m'affaire donc à préparer une petite salade de fruits improvisée. Une voix derrière moi se fait entendre : - Magnifique spectacle ! Il s'agit de Cédric qui trouve mon séant plutôt à son goût, si j'en crois son érection. - Bonjour, Cédric. Bien dormi ? - Comme un loir, après notre petit câlin de cette nuit. C'était bien agréable et je trouve tout aussi agréable la coutume naturiste de cette villa. Tu es particulièrement appétissante. - Je ne fais pas partie du petit déjeuner. - Dommage... Je profite de sa présence pour tenter d'en savoir un peu plus sur Lionel : - Dis-moi, tu connais bien Lionel ? - Tu sais que ça pourrait être vexant que tu t'intéresses plus à mon pote qu'à moi alors que je suis à poil devant toi. - Pardon... Je t'assure que je ne suis pas insensible à ton... état. Il sourit et scrute mon entrejambe : - C'est ce que je crois observer. Je prends conscience qu'il doit voir que les lèvres de mon sexe sont humides, trahissant mon excitation. J'y porte les mains pour soustraire à son regard cette évidence. - Hey, ça ne se fait pas de regarder le sexe d'une femme ! - Mais ça se fait pour une femme de regarder celui d'un homme ? - Sans doute pas, mais ce serait dommage que je n'en profite pas... - Cela ne me gêne pas. Et est-ce que je peux regarder tes seins ? - J'aurais tendance à dire que si ça t'aide à rester en érection, ce serait même encouragé. Il me sert une tasse de café qu'il me tend : - Alors, je vais profiter de ce petit déjeuner pour me rincer l'œil. - J'espère que tu n'auras pas les mêmes déboires que Damien... - Ah ? Que lui est-il arrivé ? - Le pauvre, rien qu'à me regarder, il s'est mis à éjaculer... - Rien qu'à te regarder ? C'est possible ? - Oui... Bon, je l'ai peut-être un peu excité en lui décrivant quelques petites choses salaces que je pourrais lui faire... Je bois une gorgée de café et observe la réaction de Cédric. Il sourit et dit : - Je suis prêt à tenter l'expérience. - Ah oui ? Tu n'as pas peur que cela te fasse éjaculer ? - J'ai envie de tenter l'expérience. - Même si tu passes après pour un éjaculateur précoce ? - Tu sais qu'il n'en est rien. Damien n'en est pas du tout un et moi non plus. Ce qui me rend d'autant plus curieux de tenter l'expérience. Comment de simples mots peuvent faire cet effet ? - Sans doute comme quand on lit une histoire érotique et que la tension monte... - Oui mais là, tu lui as parlé combien de temps ? - À peine deux minutes... - Alors soit tu es une sorcière, soit il était déjà sacrément excité. Que lui as-tu fait ? - Bon, peut-être que je l'ai excité avant en m'effeuillant devant lui... Je bois une gorgée de café. - Ahah, je m'en doutais ! - Et peut-être qu'il avait en tête ce qu'il m'a fait cette nuit... - Sans vouloir t'offenser, je crois qu'on est tous venus te rendre visite cette nuit. Je pose ma tasse sur la table. - Oui, mais Damien a visité un endroit que ni Lionel, ni toi n'avez envisagé. Cédric me rejoint, intéressé : - Quoi, il t'a... ? - Sodomisée, enculée, oui. Et il n'a effectivement pas été précoce du tout. Cédric s'écarte, stupéfait par cette révélation : - Le salaud ! Je ne me serais pas permis. Je tire une chaise pour m'asseoir et reprends mon café : - Lui, il l'a fait... - Quoi ? C'est toi qui lui as demandé ? - Même pas. C'était son initiative, mais je n'ai pas regretté. - Et moi ? Tu me laisserais faire ? - Tu n'en as pas eu l'idée cette nuit... - Cette nuit, non. Mais là, maintenant, j'avoue que l'idée me travers l'esprit. Je regarde son sexe parfaitement tendu : - Et pas que l'esprit, j'ai l'impression... Je me lève et retourne ma chaise pour m'y installer à cheval, offrant ma croupe de manière éloquente à Cédric. - Je... tu... Là ? Dans la cuisine ? - Bah, oui, là on est seuls. Et ça ne t'a pas dérangé de me baiser cette nuit avec Damien, alors que Luc dormait à côté. Même si Cédric était moins bien monté que Damien, j'avais très envie d'essayer une nouvelle queue dans mon cul. Cédric s'approche. Je le surveille du coin de l'œil. Après ce qui vient d'arriver à ce pauvre Damien, je m'attends presque à ce qu'il commence à éjaculer avant même d'être arrivé jusqu'à moi. Je me cambre sur la chaise et recule pour dégager mes fesses de l'assise, libérant ainsi l'accès à mes trous intimes. Autant lui laisser le choix... Il pose une main sur mon épaule et murmure : - Je crois que ça va être le meilleur petit déjeuner de ma vie... Je sens alors son sexe s'engager dans ma fente humide, sans la moindre difficulté. - Oooooh putain, c'est déjà bon par là... Aaaaaah ouiiii... - Attends, je prépare le terrain... Han... Il commence à aller et venir lentement avec pour objectif apparent de bien lubrifier sa queue à ma fontaine. Le salaud prend son temps. Finalement, il me prépare autant qu'il se prépare. - Haaaaan Haaaaan... - Aaaaaaah Ouiii... Ooooooh... Il sait qu'il peut me donner un orgasme ainsi, mais il va sans doute investir l'autre voie dès qu'il sentira que je suis au bord de l'orgasme. Il n'a pas besoin que je lui dise que je sens que j'y suis presque. Il se retire doucement, puis appuie contre ma rosette son gland tout poisseux de ma cyprine. - Tu es prête ? - Oui... Il est moins gros que Damien, mais, dans cette position, je le sens quand même passer. Une fois bien engagé, il commence à me limer, s'enfonçant un peu plus loin à chaque assaut, d'abord doucement, puis, une fois le passage bien préparé, avec une cadence de plus en plus soutenue. En rythme avec ses pénétrations, je me mets à ahaner, puis rapidement à gémir et enfin à crier mon plaisir. - Vous en faites un bordel, dès le petit déjeuner. Je tourne la tête, reconnaissant la voix de Lionel. J'ai à peine conscience qu'il est nu, lui aussi en érection, et qu'il prend une chaise pour s'asseoir à côté de nous comme s'il s'agissait d'un repas tout à fait normal. Cédric ne semble pas perturbé le moins du monde par la présence de son ami et, poursuivant son ramonage méthodique, il finit par me donner un terrible orgasme que mes organes vocaux expriment en même temps que tout mon corps. Alors que je suis au septième ciel, Cédric s'immobilise et laisse sa semence chaude envahir mes entrailles et râlant de plaisir. Il reste fiché en moi presque qu'une minute à finir de se vider tandis que je reprends peu à peu mon souffle. J'ouvre les yeux. À côté de nous, Lionel rigole : - Dis donc, Juliette, te voilà devenue insatiable ! - Je... J'avoue que c'est une découverte... intéressante... - Alors ? Ton avis, maintenant que tu les as toutes essayées ? Je mets quelques secondes à comprendre. Lionel a fait le compte que chacun des gars fréquentant cette villa avait pu investir mon petit trou. Je réfléchis à ma réponse et lui sourit : - Je crois que j'aime bien varier. Il rigole : - Luc a vraiment beaucoup de chance. - Tu te trouves moins chanceux, alors que tu possèdes cette villa de rêve ? - Elle est à mes parents. Et oui, je suis moins chanceux puisque c'est avec lui que tu es. Je vois tout de suite qu'il aimerait que je lui propose un ménage à trois, comme ils l'ont fait avec Angela. Je lui fais un clin d'œil : - Je ne peux pas être avec tout le monde en même temps... - Ce serait pourtant envisageable. - Je ne suis pas Angela, Lionel. - Par certains aspects pourtant... Il s'interrompt en me voyant grimacer parce que Cédric est en train d'extraire sa queue de mon anus. Je sens sa semence encore chaude qui s'écoule et goutte sur l'assise de la chaise. Je me rassois : - De quels aspects parles-tu ? - Excuse-moi, ce n'est pas un jugement, juste un constat, donc ne le prends pas mal... - Accouche ! Lionel semble un peu gêner de devoir me dire ce qui semble être mes quatre vérités. - Et bien que tu sembles avoir une certaine addiction au sexe. - Ah oui ? J'ai une addiction au sexe, et c'est vous, pauvres mâles, qui en subissez les conséquences ! Je viens le rejoindre, lui caresse le cou, l'embrasse dans la nuque et lui chuchote à l'oreille : - Branle-toi... Sans discuter, Lionel s'exécute. Je me redresse : - C'est moi qui ai une addiction ? Aucun de vous quatre qui ne manquez pas une occasion pour me faire profiter de vos queues et qui éjaculez à tout va tout au long de la journée ? - Ne... ne le prends pas comme ça... On est tous un peu déréglés par cette villa. - Ah oui ! J'oubliais : c'est cet endroit magique qui nous enflamme la libido. C'est à cause de la villa si tu bandes comme un âne. - Non, c'est à cause de toi... - Ah merci de le reconnaître. Il n'y a pas de villa magique. Juste des situations que vous avez créées pour me le faire croire, m'inciter au nudisme, jouer avec mon excitation. Vous m'avez manipulée. Je saisis son érection et me mets à le masturber frénétiquement. Le pauvre n'ose plus rien faire. En moins d'une minute, je l'amène à l'éjaculation. J'interromps la course de mon poignet pour laisser le sperme s'écouler lentement du canon. Lionel souffle comme un bœuf. Je continue à lui dire ce que je pense de cet endroit : - Lionel, je pense que vous m'avez manipulée, toi et Luc. - Quoi ? Mais c'est faux ! Jamais de la vie. - Ne m'avez-vous pas parlé d'Angela dans le seul but que je me compare à elle et que je fasse tout pour essayer de l'égaler ? L'épanchement de sperme semble se tarir. Lionel me regarde, éberlué : - Mais pas du tout ! Luc aurait préféré que tu n'en saches rien... Et je te jure qu'on n'a jamais eu l'intention de t'inciter à lui ressembler. Luc arrive à ce moment-là dans la cuisine : - Ressembler à qui ? Je prends mon courage à deux mains et lui pose directement la question : - Est-ce que tu veux que je ressemble à Angela ? - Quoi ? Tu délires ! Je t'aime comme tu es. - Mais tu ne m'aimes pas davantage depuis que je suis une salope comme Angela ? - Ma Juju, je t'ai aimé avant cet incroyable changement et je t'aimerai tout autant après quand on reprendra pied avec la réalité en rentrant à la maison. - Et tu apprécies quand il y a le sperme d'un autre qui dégouline de mon cul ? Je me tourne pour lui montrer la semence de Cédric. Cédric voit que je suis un peu perdue : - Ma Juju, je t'aime. J'aime quand tu jouis, car tu sembles rayonner comme un soleil. J'aimerais qu'il n'y ait que moi qui te fasse briller comme ça, mais, tu l'as vu cette nuit, on n'est pas trop de quatre pour te donner du plaisir. Tu m'en veux de laisser faire ça ? Tu m'en veux de ne pas être jaloux ? - Non, je suis à toi, même quand je prends du plaisir dans d'autres bras. Il se colle à moi, m'embrasse dans le cou, caresse mes seins. Je me rends compte que j'ai failli faire une crise d'hystérie. Les bras de Luc et ses baisers me ramènent à la raison. Je lui murmure : - Je... je suis désolée, Luc. - Tais-toi... J'ai envie de toi. - Moi aussi... Il me relève une jambe sur la table et s'accroupit derrière moi. Son majeur vient alors caresser ma fente offerte et il commence à me masturber tendrement. Puis, je sens ses doigts remplacés par sa langue. Il doit nécessairement avoir du sperme de Cédric. Je lui dis : - Luc... Mmmmm... C'est... C'est du sperme de Cédric. - Tant pis... Il semble s'en ficher et continue à me lécher délicieusement la moule. Comment ai-je pu faire une telle scène alors qu'il est si attentionné avec moi ? Je veux qu'il me prenne, être à lui rien qu'à lui. Même devant son pote Lionel. Surtout devant Lionel. - Luc, prends-moi, s'il te plaît. Il se redresse et guide son érection magistrale dans ma grotte d'amour. Lentement, il s'engage jusqu'au fond. - Oh Luc... - Oui ma Juju, je t'aime. Tranquillement, il commence à aller et venir en moi. Puis il se penche pour me dire à l'oreille : - Tu vois, ce que je vais regretter, c'est que je serais dans un état second dans quelques secondes et que je pourrais pas apprécier ta beauté rayonnante au moment de ton orgasme. - Tant pis. Jouissons ensemble, c'est le plus important. Tout en me prenant, il me sourit, comme amusé. Je lui demande : - Quoi ? - Rien, juste qu'il m'a semblé que le sperme... de Cédric, c'est cela ? Haaan... Ce sperme sortait plutôt de ton petit trou... je me trompe ? - Non... Ooooooh... Cédric m'a divinement sodomisée... J'observe ses yeux pour y déceler une pointe de jalousie, mais j'y vois l'étincelle d'une idée lumineuse. Il me dit : - Tu veux que... han... moi aussi ? - J'aimerais... oui ! Beaucoup... Il se retire et me fait descendre la jambe pour reposer mon pied par terre. Il appuie alors son gland sur ma rosette. Lentement, il me pénètre. Bien sûr, Cédric a déjà fait le passage et cela est d'autant plus agréable, pour moi comme pour lui. Je l'encourage : - Oh Luc, tu es si gros... Ouiii... Il me redresse et s'enfonce loin en moi. - Hannn... Juju... Juju... Je sens le sperme goutter sur mes cuisses. Je sais que ce n'est pas celui de Luc puisqu'il n'a pas encore joui, mais c'est probablement la semence de Cédric qui, sous la pression du braquemart de Luc, est expulsée en pluie épaisse. L'orgasme arrive soudainement, tel un ouragan. Un tsunami envahit mon corps et je sens alors les chaudes effusions de Luc en moi. Son sexe expulse à chaque soubresaut un flot de sperme, ce qui décuple mon plaisir. Je ne saurais par dire combien de temps nous avons joui tous les deux, mais quand il est sorti, j'ai senti que j'avais tout l'entrecuisse beurré de sperme, sans doute celui de Cédric et celui de mon Luc. Reprenant mes esprits, je me rends compte du ridicule de mes réactions précédentes : - Oh Luc, je suis désolée... - Non, c'est moi. J'aurais dû te parler plus franchement d'Angela depuis longtemps... Je ne pensais pas que tu essaierais de te comparer à elle. Tu es mille fois mieux qu'Angela. Sa bouche trouve la mienne et nous échangeons un baiser passionné. Lionel est un vrai gentleman. Il reste silencieux à nous observer. Il a compris que ce moment était à nous, rien qu'à nous. Mais il sait sans doute qu'il y aura d'autres moments où il pourra participer. |