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Boris
16 janvier 2025
01:11:39
message 36071
Simon, merci : c'est le récit de partie de billard le plus mémorable que nous ayons pu lire ! On l'a lu tous les deux et, forcément, ça a fini comme ça devait finir ;)

Nous en profitons pour remercier Parker qui est toujours au rendez-vous pour corriger nos textes :)

Simon
17 janvier 2025
00:19:30
message 36072
Merci à vous, Camille et Boris !

Angela est bien menée, même sur la durée, ce qui n'est pas facile et nous avons aussi plaisir à le lire (c'est peu dire)...
J'avoue que les "jeux" que tu imagines sont assez stimulant et que la partie de billard est sans doute un peu inspirée de ces principes de jeux que vous prenez un malin plaisir à mettre dans vos histoires.

Et je ne peux moi aussi que m'incliner devant les compétences infaillibles de notre ami Parker qui perfectionne notre prose depuis déjà plusieurs années.

Parker
18 janvier 2025
15:48:37
message 36073


... Et qui va avoir les chevilles gonflées à force de compliments !
N'exagérez rien, c'est un plaisir de vérifier les textes pour que les lecteurs y prennent leur pied.
Et c'est très excitant d'avoir le privilège de lire les épisodes avant tout le monde !


Lisa
31 janvier 2025
00:52:28
message 36074
Les chevilles, ce n'est pas la partie de ton corps qui m'excite le plus quand elles gonflent... ;)

Simon
1er février 2025
00:02:52
message 36075
Dernier épisode pour cette histoire de téléphone... J'espère que ça vous aura plu :)

Simon
1er février 2025
00:05:55
message 36076


Téléphone 5c. Vendredi : nuit agitée


David n'en revient pas ! Et moi non plus. Alors qu'elle vient d'encaisser six orgasmes dans la soirée (si j'ai bien compté), elle en redemande. David me sourit et dit :
- Gilles, si tu es trop crevé, je peux m'occuper d'elle.
- Je n'en doute pas, David. Je vais m'en sortir, merci.
- Si vous avez besoin de moi, je suis à côté dans le salon.



David quitte la chambre en laissant la porte ouverte. Je vais vers la porte pour la fermer, mais Sophie me dit :
- Tu veux vraiment la fermer ?
- Bah, ce sera plus intime, non ?
- Je crois qu'on n'a plus grand-chose à cacher, si ?



- Non, effectivement, mais là, je ne sais pas... Tu veux qu'ils se rincent l'œil ?
- Je t'avoue que c'était particulièrement excitant de te voir bander en me regardant me faire tripoter par les autres.
- Cela a été bien au-delà du simple tripotage.
- Et je n'ai pas eu l'impression que ça te déplaisait.



- Difficile de cacher ses sentiments pour un mec quand notre bite nous trahit !
- Elle vous trahit superbement. En attendant, tu te sens d'attaque ?
- D'après toi ?



- J'aurais tendance à dire que oui...
- Et n'as pas eu ton compte ce soir ?
- En fait, j'ai surtout envie de toi et de toi seulement...
J'avoue que cela flatte mon ego et quand elle s'étend sur le lit, cuisses ouvertes et écartant de ses doigts les lèvres de son joli coquillage, je ne me pose plus de questions.



Je m'approche, sexe tendu. Je sais que je peux la prendre ainsi, sans préambule. Elle est prête, mouillée et accueillante. Mais elle ne veut pas juste être baisée. Elle veut être baisée par moi, son mari. Et la différence est de taille. Je m'accroupis donc au bord du lit, entre ses cuisses et plonge ma bouche contre sa fente. Malgré le sperme (essentiellement celui de David, si je me souviens bien), c'est le parfum du nectar de Sophie qui domine. Ma langue se déchaîne sur son abricot et sur son petit bouton ultra-sensible. Cela ne semble pas l'embêter que je ne la pénètre pas tout de suite puisqu'elle pose la main sur ma tête pour m'encourager à continuer.



Je sens son plaisir monter. J'hésite à lui donner un orgasme, mais c'est à elle de décider. Et elle décide : elle place deux doigts sous mon menton et me fait relever la tête vers elle pour me soupirer :
- Vas-y maintenant...
Je me redresse. Je bande à tout rompre. Il va falloir que je me concentre si je veux que ça dure plus que deux minutes. Agenouillé entre ses cuisses, je plonge sans encombre ma tige dans son délicieux fourreau.



Ma pénétration la fait soupirer d'aise :
- Ooooh Gilles...
C'est tellement bon de lui faire l'amour, mais je suis le seul des quatre gars à ne pas avoir encore éjaculé ce soir donc autant dire que la pression est incroyable. Je dois me concentrer pour ne pas me laisser aller au plaisir trop rapide.



Quand je pense que David a éjaculé trois fois ! Il en a bien profité, le bougre. Alain est le seul à ne l'avoir pas pénétrée, mais il a apparemment passé une très bonne soirée. Je tourne la tête vers la porte, m'attendant à voir les trois lascars, ou au moins un, en train de se rincer l'œil. Mais le couloir semble parfaitement vide. Ces réflexions et ces observations me font gagner du temps. Il est pourtant bien difficile de ne pas faire revenir mon esprit vers Sophie que tous mes sens appellent.



Ses seins gonflés, ses mamelons tendus, ses lèvres entrouvertes, son regard perdu dans un brouillard de plaisir, quelle splendeur ! Et cette perfection envahissant tous mes sens n'aide pas à ce que je garde le contrôle. En quelques secondes, je sens que tout bascule. Le plaisir ultime est là, mêlant en moi un double sentiment contradictoire de frustration et de félicité. Je me penche sur elle pour trouver sa bouche alors que je sens ma lance déverser un flot de plaisir en elle. Je m'envole.



Pourtant elle n'a pas joui. Dans un effort surhumain, je me ressaisis et replie mes ailes. Malgré la vague de plaisir qui me submerge, je parviens à m'extirper de ce nirvana pour poursuivre mes assauts et tenter de l'amener avec moi au septième ciel. Et cela a payé. Je la sens vibrer, gémir. Puis elle est gagnée de soubresauts et se met à crier. Elle jouit tant qu'elle me fait tomber sur le côté, mais nous continuons.



C'est un plaisir inouï que de partager ainsi tous les deux notre jouissance, en parfaite harmonie. Le temps est suspendu. Nous sommes au milieu des nuages, dans un cocon de doux coton, subissant pourtant une légère brise fraîche due à la transpiration de nos corps. Épuisés et comblés, nous nous endormons tous les deux, encore enlacés.



Quelle heure est-il ? C'est mon sexe qui me réveille. Il était bien au chaud, lové contre le flanc de ma bien-aimée et il se retrouve comme nu. J'entrouvre un œil et, dans mon demi-sommeil, je vois Sophie à quatre pattes à côté de moi qui me sourit :
- Je dois aller faire pipi...



Elle se lève, puis me demande tout bas :
- Tu sais où sont les toilettes ?
- Heu, je crois qu'il faut traverser le salon. C'est la porte en face de la salle de bain. Tu veux que je t'accompagne ?
- Pourquoi ? Tu as peur que je me perde en chemin ?



Quand elle sort, je me lève pour la suivre. Pourquoi ? Pas pour l'espionner, mais pour voir si un des garçons la verrait passer et si elle n'allait pas succomber aux plaisirs charnels dans d'autres bras. Elle prend effectivement son temps pour traverser le salon. Il faut dire que si mes trois collègues dorment à poil, le spectacle ne doit pas être désagréable. Et elle semble effectivement très satisfaite de ce qu'elle voit.



En passant, grâce à la lumière du couloir, elle prend le temps d'admirer chacun des garçons. Cela m'amuse, car, si j'étais dans une situation similaire, à savoir traverser une chambre où se trouveraient trois jeune filles endormies, nul doute que j'en profiterais aussi pour me rincer l'œil. Alain et David dorment chacun sur un matelas installé de part et d'autre du canapé où dort Hugo. Alain est sur le dos, cuisses écartées, exhibant son sexe légèrement gonflé.



Cela semble amuser Sophie de voir cette virilité au repos. Elle s'approche ensuite du canapé où dort Hugo. Lui aussi dort sur le dos et expose son sexe qui semble tout aussi endormi que lui.



Quand elle arrive au second matelas, qui accueille David, le spectacle est un peu différent. Il dort sur le ventre et offre donc à Sophie le spectacle charmant de ses fesses nues et musclées. Sophie semble apprécier aussi ce point de vue, car elle reste quelques minutes à l'observer.



Quand elle décide enfin que sa séance de voyeurisme a assez duré, elle va aux toilettes. Je reste dans l'ombre du couloir, attendant son retour, espérant qu'il se passera quelque chose quand elle retraversera le salon. Je souris en pensant que je fais moi-même du voyeurisme en observant une voyeuse. Y'aurait-il quelqu'un quelque part en train de m'observer moi-même ? Quand j'entends la porte des toilettes se rouvrir, je me recule dans la chambre en observant par l'entrebâillement de la porte. Sophie revient, passant devant mes collègues endormis, mais, avant d'atteindre le couloir, elle s'arrête et jette un dernier coup d'œil en arrière.



Son attention a été attirée par un mouvement. David vient de se retourner. Je peux le voir depuis ma cachette et le spectacle est ahurissant : malgré son sommeil, David affiche encore une érection colossale. Son sexe se dresse, telle une colonne de chair, comme si mon collègue était atteint de priapisme.



Je ne suis pas vraiment étonné de voir Sophie faire demi-tour et revenir dans le salon pour admirer cette œuvre hors du commun. Mais comment David peut-il bander autant et aussi souvent ? Prendrait-il des médicaments ou bien serait-il en train de faire des rêves érotiques ? C'est en tout cas, amusant de voir que Sophie reste ébahie devant le phénomène et qu'elle doit être en train d'imaginer les multiples usages qu'elle pourrait faire de ce bel instrument.



Un autre bruissement sur la gauche lui fait tourner la tête. Hugo semble réveillé et se redresse dans le canapé, se cachant pudiquement l'entrejambe avec une main. Il chuchote :
- Sophie ? Tu ne dors pas ?
Sophie ne lui répond pas. Elle veut surtout lui faire partager sa surprise :
- Tu as vu que David bande en dormant ?
- Et ça t'étonne ?



- Bah, à ce point-là, ce n'est quand même pas ordinaire...
- Moi ça ne m'étonne pas. Avec la soirée qu'on a passée, il doit faire un rêve érotique.
- Ah oui ? Tu crois qu'il pense à moi ?



- Sophie, on pense tous à toi.
- Même toi ?
- Même moi...
Hugo retire sa main et laisse apparaître une belle érection.



Sophie est subjuguée :
- Mince ! C'est dingue que vous bandiez comme ça aussi facilement !
- Ce n'est pas le cas habituellement, mais il faut croire que tu es particulièrement excitante.
Sophie est troublée.
- C'est vrai ?... Tu me trouves excitante ?



Là, je connais suffisamment Sophie pour savoir qu'elle joue les ingénues et qu'elle souhaite juste susciter les compliments.
- Évidemment ! Tu es magnifique. Et le sexe d'un homme parle pour lui, sans contrainte. Si je bande, c'est que je te désire.
Hugo porte une main entre ses cuisses, se caressant les testicules.



Comme cela est parti, je ne me fais que peu d'illusions sur la suite de cette conversation. Sophie veut quand même s'assurer des intentions de Hugo :
- Tu n'as pas eu ton compte, hier soir ?
- Hier soir, c'était parfait. Mais cette nuit, nous pouvons jouer à autre chose qu'au billard...
- Tu n'as pas peur que ça réveille les autres ?



La question de Sophie montre qu'elle a très envie de Hugo et que la chose se fera d'une manière ou d'une autre. Hugo inspecte ses deux collègues :
- Ils dorment à poings fermés.
- Ok...
L'argument semble suffisant. Hugo se redresse pour s'asseoir dans le canapé. Sophie le rejoint et l'enjambe pour le chevaucher. Quelques secondes après je vois le gland de Hugo pénétrer le sexe de ma femme.



Si jusque-là j'avais le sexe légèrement gonflé par l'excitation de la situation, ce que je vois achève de me faire bander totalement. Nous ne sommes plus dans les dérives érotiques d'un jeu coquin autour d'une table de billard. Sophie se donne à mon collègue et elle monte et descend sur son dard en gémissant tandis qu'il en profite pour lui caresser à pleines mains sa splendide poitrine.



Pourquoi suis-je aussi excité ? Pourquoi est-ce que je laisse faire alors que Sophie me trompe avec un collègue ? D'accord, ils l'ont déjà pénétrée hier (quoique je ne suis pas sûr qu'Alain ait eu cette occasion), mais j'étais présent. Alors que là, ils ne savent pas que je suis à les observer. Sophie me trompe-t-elle sciemment ? Je devrais être malade de jalousie, mais au lieu de ça je bande comme un âne en regardant la vulve de ma femme monter et descendre lentement sur la tige de Hugo.



Et même si le bougre n'est pas mieux monté que moi, il faut bien avouer qu'il parvient à faire grimper Sophie au rideau. Peut-être est-elle aussi particulièrement excitée avec toutes ces bites qu'elle a vues et manipulées depuis hier soir. Toujours est-il que les gémissements étouffés se transforment rapidement en petits glapissements qu'elle ne parvient pas à retenir quand l'orgasme la gagne.



Bien sûr, je constate que cela finit par sortir Alain et David du sommeil. Réveillés et de bonne humeur, si j'en crois les sourires affichés sur leur visage, les deux hommes se redressent et admirent la fin de cette chevauchée nocturne, alors que Hugo semble être en train d'éjaculer en Sophie tout en lui pétrissant les seins. Ayant entendu du bruit derrière elle, Sophie se retourne vers David.



Celui-ci se lève :
- Voilà une visite bien agréable, Sophie. Gilles est trop fatigué pour combler tes besoins ?
- Gilles m'a très bien fait l'amour. Avec Hugo, je... je n'aurais pas dû.
- Mais tu l'as fait. Et moi j'avoue que ça me donne envie aussi, surtout quand je vois ton petit anus frétillant.



- Là, tu peux toujours rêver.
Ouf ! Sophie n'est pas assoiffée de sexe à ce point et j'espère qu'elle me réservera la découverte de la sodomie. David revient pourtant à la charge :
- Hier soir, il me faisait déjà de l'œil et j'ai cru voir que ça te faisait réagir positivement quand Alain t'a léché ou quand il t'a doigté la rondelle.
- Désolée, mais ça, je ne pratique pas.



Elle se dégage de Hugo et le laisse se relever. David lui dit :
- Dommage, je suis certain que tu adorerais.
- Sans doute, mais ce n'est pas à toi de décider de ce que je veux pratiquer.
- Un si joli cul, c'est gâché.
- Oh, mais si c'est juste pour admirer les qualités esthétiques de mon séant, ça ne me dérange pas que tu te rinces l'œil.
Sophie s'appuie au dossier du canapé et se cambre, exposant sa croupe.



Je suis une fois de plus surpris qu'elle se montre non seulement impudique, mais même exhibitionniste. Mes collègues semblent croire qu'elle a toujours été comme ça, mais moi je sais que tout cela ne date que de quelques jours. David s'approche :
- Si on peut admirer à loisir, j'en profite. Ah ! Je crois que tu as un peu de sperme de Hugo qui coule...



Sophie se retourne et porte la main entre ses cuisses :
- Oups, c'est vrai...
- Bon, tu ne pratiques pas la sodomie, mais je peux bénéficier de ce que tu pratiques, non ?
- Tu penses à quoi ?



David s'allonge dans le canapé et masturbe lentement son sexe :
- Mmmmm, ce serait trop long de t'expliquer tout ce à quoi je pense en ce moment en ce qui te concerne. Dis-moi, toi, ce qui te ferait plaisir.
Vu la manière dont il manipule son énorme sexe, Sophie doit bien se douter de ce qu'il espère.



Je pensais qu'elle allait profiter de ce colosse de chair, mais elle se contente de lui dire :
- Ce qui me ferait plaisir, c'est de retourner dormir avec Gilles.
- Allons, tu ne peux pas me laisser comme ça. Tu n'as aucune pitié ?
Sophie semble réfléchir un peu. Serait-elle tiraillée entre son désir pour ce sexe hors norme et le fait de rabrouer mon collègue qui se montre particulièrement grossier ?



- T'es chiant, David !
Malgré sa contestation, Sophie vient le rejoindre et s'agenouille à côté de lui sur le canapé. Elle saisit le membre dressé et se penche dessus pour le lécher.



David ne se prive pas de se vanter de la situation auprès des deux autres :
- Vous voyez, les gars ? Elle ne peut pas résister à une grosse queue.
Sophie devrait l'abandonner à son sort, mais son désir de profiter de cette tige à plaisir est sans doute plus grand que le dégoût inspiré par les réflexions de ce goujat.



Sophie a engouffré le gland dans sa bouche. Elle commence à monter et descendre sur le membre turgescent. Quand j'entends David grogner et poser sa main sur sa nuque pour la forcer à plonger plus loin sur sa queue, je crains qu'il ne soit arrivé au bout et qu'il ne se mette à éjaculer dans la bouche de ma femme sans lui laisser d'autres choix que d'avaler.



Cela ne semble heureusement pas être le cas et je le vois d'ailleurs retirer sa main, laissant Sophie libre de gérer sa fellation. Je constate que Sophie regarde souvent dans ma direction, et je suis convaincu qu'elle m'a repéré. Elle sait donc que je la regarde. Drôle de sensation de voir ma femme sucer l'énorme queue de mon collègue tout en me regardant.



Soudain, elle se redresse et lui dit :
- Voilà.
- Quoi ? Tu ne peux pas me laisser comme ça. C'est de la torture !
- Moi, ça ira, merci. Si tu veux, tu peux te palucher dans la douche.
- Ah non, dans l'état où tu m'as mis, je devrais avoir le droit de te sodomiser !



Sophie fait un pas en arrière, comme si elle était apeurée par cette proposition :
- Tu es fou ! Regarde la taille de ton engin.
- Allons, avec un peu de préparation, je sais que je te ferais bouffer la moquette tellement tu prendras ton pied.
- N'insiste pas. Tu es beaucoup trop gros.



Alain, qui était resté discret jusqu'à présent, se manifeste :
- Moi, je suis beaucoup moins gros et je n'exigerais pas de te sodomiser.
Sophie le regarde. Il affiche une érection plus que raisonnable et cela amuse Sophie :
- Voilà un homme qui sait parler aux femmes.
- Disons que je suis surtout opportuniste...



Sophie se dirige vers lui :
- Dans ce cas, je vais aussi être opportuniste et je vais essayer cette jolie queue.
- Effectivement, hier soir, tu ne l'as que prise en bouche...
Elle semble d'accord pour réparer cette injustice et vint s'empaler sur sa tige en lui tournant le dos.



Dans cette position elle me permet de bien voir le sexe de mon collègue s'enfoncer lentement en elle. Alain gémit de plaisir :
- Mmmmm, j'adore l'opportunisme...
Alors qu'elle descend peu à peu sur le membre palpitant, Sophie semble regarder dans ma direction.



J'espère qu'elle n'attend pas de moi que j'intervienne, car je suis beaucoup trop captivé par sa merveilleuse silhouette qui commence à monter et descendre en faisant joliment bouger ses seins. D'ailleurs cette position, je ne suis pas le seul à en profiter car, comme moi, Hugo et David semblent en extase devant ce spectacle.



Alain lui écarte les cuisses et la soulève pour la faire coulisser lui-même sur sa queue. Sophie lui demande :
- Alors ? Oooooh... Tu aimes ?... Aaaaah...
- Han... J'adore... Ahhhhh...
Même si Alain n'est pas aussi bien monté que David, cette pénétration semble parfaitement convenir à ma femme.



David commente :
- Faudra qu'on organise plus souvent ce genre de soirée. Elle en a besoin, la petite.
Hugo, lui, ne commente pas. Il monte sur le canapé et vient présenter son érection à la jeune femme pour se faire sucer. Elle ne semble pas vouloir lui refuser et, malgré une position apparemment inconfortable, elle gobe le sexe offert. Elle est si excitée que ses mamelons sont tendus à l'extrême. Cela n'a pas échappé à Hugo qui s'amuse à lui pincer gentiment les tétons.



- Ooooh !!!
Je suis surpris par le cri de Sophie. Elle-même est surprise. Occupés par la fellation qui commençait, nous n'avons pas fait attention que Alain a profité de cette distraction pour faire passer sa tige dans l'autre orifice, celui qu'elle refusait à David. Et force est de constater que le sexe de Hugo ne semble pas lui faire peur, car elle le laisse la pénétrer lentement.



Alain donne des petits coups de reins et, à chaque assaut, je vois son sexe s'enfoncer chaque fois un peu plus dans le fondement de ma femme. Elle se rejette en arrière et nous voyons tous sa moule béante et trempée de mouille. Alors, ça y est ? Elle vient de découvrir la sodomie et ce n'est pas moi qui l'aurai initiée. Je devrais être en colère, mais ses gémissements ne me trompent pas : elle prend du plaisir.



Comment font David et Hugo pour ne pas succomber à cette moule, venir la rejoindre pour la sucer voire même la pénétrer. Être prise par deux hommes serait à nouveau une première pour elle, mais je ne pense pas que les garçons comptent se restreindre à ne lui faire découvrir qu'une seule nouvelle pratique ce soir. Alain s'immobilise. Il reste emmanché en elle sans bouger, quelques secondes, lui caressant les seins. Essoufflée, elle lui demande :
- Tu... tu veux arrêter ?
- Non, je dois me calmer si je ne veux pas éjaculer tout de suite.



- Tant pis, ne t'arrête pas !
Et elle se met à onduler du bassin pour coulisser sur le membre immobile. Elle glisse même sa main jusqu'à sa fente pour y faire pénétrer deux doigts. Comment peut-elle être autant assoiffée de sexe ?



Hugo et David se regardent et semblent hésiter : lequel des deux va aller remplacer ces deux doigts par une virilité plus efficace. Hugo dégaine le premier. Il retourne se mettre debout sur le canapé et présente son sexe devant la bouche de Sophie qui ahane de plaisir.



Sophie le suce quelques secondes puis lui dit :
- Aaaah, c'est bon... Oooooh... Tu bandes assez... Oooooh....
Assez pour quoi faire ? Est-ce qu'elle vient elle-même de lui demander à venir la prendre en sandwich ? Mince, je n'aurais pas cru qu'elle le demanderait elle-même ! En tout cas, Hugo répond positivement à sa requête et vient glisser son membre dressé dans son fruit juteux.



Mince ! Encore une fois, elle découvre une nouvelle pratique à laquelle je ne participe même pas ! Et pourtant, je bande à tout rompre et je me retiens de me masturber, car je sais que sinon j'éjaculerais aussitôt tant l'excitation est grande. Quand son nouveau partenaire commence à bouger, elle hurle de plaisir.



Bon sang ! Quel orgasme incroyable ! Je sens mon sexe battre et je me garde d'y toucher de peur que cela ne suffise à le faire exploser. Même si je ne participe pas à cette jouissance, la voir ainsi prendre un tel pied me procure un plaisir inouï, comme si ma participation se suffisait à laisser mes collègues la faire jouir encore et encore.



Et je suis autant abasourdi par la puissance et la durée de cet orgasme que par mes collègues qui continuent à aller et venir en elle sans faillir. Comment peuvent-ils avoir une telle résistance alors que, moi, il suffirait d'un rien pour que j'ouvre les vannes à une effusion incontrôlable de sperme. Et pourtant, ils vont et viennent en elle, inlassables.



Hugo se retire. Je ne comprends pas, je suis certain qu'il n'a pas joui. Pourquoi abandonner alors que Sophie était en plein dans le plus bel orgasme qu'elle n'ait jamais connu ? Alain montre alors toute sa force. Gardant sa queue plantée dans l'anus de ma dulcinée, il la soulève pour se lever. Après un effort incroyable, il se tient debout et présente Sophie, cuisses écartées et moule offerte.



Et là, je comprends la manœuvre : les deux lascars se sont sans doute entendus pour changer de position. Sophie semble se remettre seulement de son incroyable orgasme que Hugo revient se positionner devant elle et plonge d'un coup sa lame dans le fourreau brûlant, faisant partir derechef les cris de jouissance de Sophie.



Mon Dieu ! Est-ce que ça va trop loin ? Ne vont-ils pas la tuer de plaisir ? Heureusement, debout, les garçons ont moins d'espace pour bouger et j'ai l'impression que l'orgasme s'atténue. David s'accroupit à côté du trio pour admirer les deux queues pénétrant les orifices de Sophie.
- C'est bien, les gars ! Elle va bientôt être prête pour m'accueillir.



Les garçons s'arrêtent. Je vois Alain se contracter et je comprends à son expression qu'il est en train de se vider en elle. Hugo ne bouge plus non plus, mais ne semble pas être en train de venir. Peut-être sent-il les giclées de sperme propulsées par son copain. Sophie semble apprécier cette sensation et caresse la tête d'Alain pendant qu'il jouit.



Après un moment durant lequel le trio reste emboîté, Alain se retire en disant :
- Incroyable ! Incroyable...
Moi-même j'ai du mal à croire que tout cela est bien réel. Sophie reste emmanchée sur Hugo et ses fesses écartées laissent échapper quelques gouttes du sperme d'Alain.



Ayant repris son souffle, Alain demande :
- Vous allez passer la nuit comme ça ?
Sophie répond :
- Hhhhh... Hugo n'a pas encore... Hhhhh... Il n'a pas joui...
Moi, quand je vois le visage d'Hugo, j'ai le sentiment qu'il se concentre pour ne surtout pas jouir comme s'il voulait profiter de Sophie encore et encore.



David intervient :
- Je crois que ce garçon a une résistance hors norme.
Sophie murmure à l'oreille de Hugo sans doute de la laisser descendre, car il la laisse remettre un pied au sol et commence à s'extraire lentement du doux fourreau.



- Attendez un peu ! On va finir en beauté !
Incrédule, je vois David venir se mettre derrière ma femme avant qu'elle ne se libère de l'emprise de Hugo et guider son énorme érection dans son anus, l'enfonçant d'une traite de plus de la moitié de sa longueur. Sophie crie, mais je ne suis pas certain que ce soit de douleur.



J'hésite à intervenir pour stopper David, mais les cris suivants de ma femme ne laissent plus de doute. Elle a déjà un nouvel orgasme ! C'est totalement hallucinant ! J'ai alors une idée curieuse : pourquoi ne pas immortaliser cet instant unique ? Je retourne dans la chambre prendre mon téléphone portable et, restant dans l'ombre du couloir, je reviens pour prendre quelques photos.



Les garçons se déchainent ! Leurs râles se mêlent aux cris de Sophie qui sont particulièrement explicites :
- Oooooh ouiiii ! Ouiiiiii ! Ouiiiiii !
David doit être ravi de faire jouir ainsi ma femme.



Puis les deux gars jouissent enfin, mêlant des râles puissants aux cris de plaisir de Sophie. Cet orgasme est encore plus fort que le précédent qu'elle a eu et quand je vois comment tout son corps vibre, je ne suis pas étonné que Hugo et David n'aient pas pu se retenir plus longtemps. C'est un spectacle incroyable : ma femme prise ainsi de spasmes alors que les couilles de ses deux bienfaiteurs se contractent à chaque seconde pour expulser leur liqueur dans ses entrailles.



Mes photos seront floues... Je n'arrive pas à me calmer et puis... je viens. Je ne touche même pas à mon sexe et le voilà qui a décidé tout seul qu'il fallait libérer ce flot de sperme qui bouillonnait en moi depuis le réveil de mes collègues quand Sophie a traversé le salon. Plusieurs jets de sperme viennent s'écraser contre le mur à l'entrée du couloir.



Quand tout se calme enfin, Hugo et David relèvent Sophie. C'est impressionnant de voir ces deux colonnes de chair luisantes de sperme et de cyprine s'extraire des orifices de ma petite femme. Doucement, ils la reposent sur le matelas de David. Elle se met sur le ventre et nous voyons alors plein de sperme s'échapper de sa fente béante.



Les deux garçons s'affalent sur le canapé. Hugo regarde Sophie :
- Est-ce que ça va Sophie ? David ne t'a pas fait mal ?
David répond à sa place :
- Ne dis pas de connerie ! Tu as vu comment je l'ai fait gueuler ? Elle va en rêver pendant des années de ma queue et viendra rapidement me demander à lui remettre dans le...
- C'est bon, on a compris !
Je vois maintenant du sperme qui s'écoule de son anus. Ma tendre Sophie a pris cher.



Alain prend un torchon dans la cuisine et vient essuyer doucement l'entrejambe de ma femme.
- David ? Tu m'aides à la ramener dans la chambre. Là, je crois qu'elle va pioncer un moment.
- Ouais, nous aussi... Attention à ne pas réveiller Gilles.
Je file dans la chambre et m'allonge dans une position simulant un sommeil profond. Ils allongent Sophie à côté de moi, puis repartent en refermant la porte.



Derrière la porte, je les entends murmurer :
- Putain, on a été trop loin. Pas un mot de tout ça à Gilles.
Sophie est déjà endormie. Complètement lessivé par cette soirée, je n'ai aucune peine à l'imiter.

Au petit matin, la lumière du jour me réveille. Sophie dort encore, superbe.



J'ai un instant de doute. Les événements de cette nuit, la partie de billard... Tout cela s'est-il réellement produit ou n'était-ce qu'un rêve ? Quand mes yeux s'habituent à la lumière, j'inspecte l'environnement et constate que nous ne sommes pas dans notre chambre. J'ai donc réellement vu Sophie se faire prendre par mes trois collègues... Je passe un doigt sur son épaule pour la réveiller. Sans doute encore trop fatiguée, elle se contente de pivoter pour me tourner le dos. J'ai alors sous les yeux le magnifique spectacle de sa croupe dénudée.



À voir ces deux charmants orifices qui ont été visités par les queues de mes trois collègues cette nuit, l'excitation reprend et je sens qu'une érection commence à poindre. Doucement j'avance ma main et la pose sur sa croupe. Sophie ne se réveille pas. Je descends ma main entre ses fesses et effleure son doux coquillage. Elle ne se réveille pas.



Je caresse ses cuisses, puis remonte à sa moule. J'y sens une légère humidité. Serait-elle en train de mouiller, déjà excitée par mes attouchements discrets ? Plus probablement, j'imagine qu'il peut s'agir de la sève de Hugo et David, puisqu'ils l'ont ramenée à la chambre sans qu'elle se soit douchée.



Quand je pense aux orgasmes qu'elle a eus cette nuit, pas étonnant qu'elle ait besoin de dormir encore. Et ce dernier orgasme ! Quelle apothéose ! Voilà que j'ai à nouveau une érection de tous les diables. En voyant sa croupe offerte, il me vient un instant l'idée de profiter de son sommeil pour la réveiller par une douce pénétration.



N'importe quoi ! Je chasse cette idée saugrenue. Mon aimée dort, ce n'est pas un objet sexuel dont je peux disposer librement. Pourtant, j'ai besoin d'elle. Il faut que l'on parle de ce qui est arrivé cette semaine, hier soir et cette nuit. Dans un souffle d'abord, je l'appelle :
- Sophie ?



Elle bouge. Je réitère en chuchotant :
- Sophie ? Mon amour...
Elle ouvre les yeux.



- Bonjour, ma chérie.
- Quelle heure est-il ?
- Pas loin de dix heures.
- On est où ?
- Dans la chambre de David. Tu ne te souviens pas ?
- Oh putain... si !



Elle semble gênée :
- Merde, je crois que je suis allée un peu loin avec tes collègues...
- Ne t'inquiète pas.
Je m'allonge, soupirant d'aise aux souvenirs de cette nuit.



Elle se redresse :
- Je sais que tu nous as vus cette nuit...
- Oui, j'ai vu tes regards.
- Pourquoi n'es-tu pas intervenu ?
- Parce que tes orgasmes étaient magnifiques.
- Espèce de pervers.
À quatre pattes, elle vient à moi et saisit mon sexe pour prendre le gland en bouche.



La fellation qu'elle me fait est divine. J'ai l'impression qu'elle a toujours fait ça :
- Oh ma chérie ! Ta bouche est un délice... C'est parce que je suis un pervers que tu m'offres une fellation ?
Elle redresse la tête :
- Non, parce que tu as été courageux de regarder ta femme prendre du bon temps avec tes trois collègues.
Elle replonge sur mon dard.



- Du bon temps ? Est-ce comme ça que tu qualifies les deux plus gros orgasmes de ta vie ?
Elle relève la tête :
- Dis ! Tu veux qu'on parle vocabulaire ou tu veux que je te suce ?
Sans attendre ma réponse, mais la connaissant, elle replonge sur mon sexe.



Est-ce une manière pour elle d'éviter les questions ? Se sentirait-elle coupable de ce qui s'est passé cette nuit ? Il faut absolument que je lui avoue que nous avons été manipulés par mes collègues qui ont usurpé mon identité sur mon téléphone. Il faut que... Mince... Elle est en train de m'avoir ! Je vais jouir. Je sens la sève monter. Sophie aussi. Elle se redresse et pompe mon gland. Les premiers jets sont aspirés dans sa bouche.



Elle garde la bouche ajustée autour de mon gland et reçoit ainsi tout mon plaisir blanchâtre, jusqu'à la dernière goutte. S'asseyant sur le lit, elle me dit :
- Quelle nuit incroyable ! J'ai du mal à croire que nous ayons vraiment vécu cela.



Il est temps de lui avouer :
- Sophie, tu sais nos échanges de messages...
Je n'ose pas affronter son regard quand je vais finir ma phrase.



Et je n'ai pas à la finir, car Sophie me devance :
- Oui, je sais. Je t'avais mis en garde sur le mot de passe de ton téléphone. J'ai compris assez vite que ce n'était pas toi.
- Tu... ?
- Oui, et j'ai vu le lundi soir à quel point cela t'avait excité et ça m'a donné envie de savoir jusqu'où tu étais prêt à me laisser me dévoiler devant tes collègues.



- Je... Là, ce n'était pas juste te dévoiler...
- Arrête-moi, mais tu étais présent cette nuit, non ? À quel moment est-ce que tu as demandé à ce qu'on calme le jeu ? À quel moment tu as empêché tes collègues d'abuser de moi ?
- Là, c'est toi qui abuses. J'ai bien vu que tu les menais tous à la baguette, cette nuit.



- Non, je vous menais à la braguette ! Hihi...
- Mais... comment es-tu devenue comme ça ? Je veux dire de la fille prude à...
- À une salope assoiffée de sexe ?



Je me lève, gêné.
- Oui... non... ce n'est pas ça. Enfin si, j'ai l'impression que ton besoin de sexe a augmenté pendant cette semaine jusqu'à atteindre un niveau hallucinant. Et je me sens coupable car, même si ce sont mes collègues qui t'ont manipulée, dès le premier soir, je savais ce qu'ils avaient fait.



- Mon pauvre Gilles ! Ne culpabilise pas. Je t'ai dit que je m'en doutais. L'un comme l'autre, on a préféré ne rien dire pour voir jusqu'où ça allait.
- Alors, nous sommes tous manipulateurs dans cette histoire ?
- Disons que chacun a laissé croire à l'autre que c'était lui qui contrôlait la situation.



C'est vrai que mes collègues, dès le deuxième jour devaient bien se douter que j'avais lu les messages et mon absence de réaction leur a laissé penser que j'étais leur complice dans cette histoire. Sophie s'allonge à plat ventre et cela m'inspire une question :
- Tu as aimé la sodomie ?
- D'après toi ?



- Tu as eu l'air de prendre un pied incroyable. Je ne t'avais jamais vu jouir comme ça !
- Oui, c'était incroyable de se sentir remplie comme ça !
Elle s'arrête quelques secondes, se cambre et me dit :
- Je regrette que ce ne soit pas toi qui m'aies fait découvrir ça.



Je prends mon téléphone et m'amuse à prendre quelques photos :
- Mmmmm, tu es vraiment divine dans cette position.
- Tu me prends en photo ? Pour envoyer à tes collègues ?
- Oh, pas besoin. Ils savent se servir tout seuls sur mon téléphone.



- Tu en as pris aussi hier soir ?
- Oui, tu étais tellement rayonnante !
- Pendant qu'ils me sodomisaient ?



- Oui, quand ils t'ont prise en sandwich...
- Mmmmm, c'était... incroyable ! Cela m'excite d'y repenser...
- Je vois ça...
- Je mouille ?



- J'ai l'impression, oui...
- Et ça t'excite de me voir mouiller ?
- Oui, tu es très bandante.
- Tu me prends en photo, là ?
- Maintenant que je sais m'en servir, j'en profite.



- Mais tu sais, mon chéri, si je garde cette pose, ce n'est pas pour que tu me prennes en photo...
- Ah oui ?
- Non, c'est pour que tu me prennes, tout court.



Je pose le téléphone et viens la rejoindre sur le lit. Mon sexe est parfaitement bandé. Je le guide dans sa fente humide sans la moindre résistance. Elle feule de plaisir tandis que je m'enfonce lentement en elle. Je vois son joli œillet dont David a largement profité cette nuit et ne résiste pas à y insérer mon pouce.



Elle gémit :
- Oh ouiii... Prends-moi par-là !
- Tu... tu veux que je te sodomise ?
- Bah oui. Pourquoi pas toi ?
C'est vrai ça. Pourquoi moi je ne pourrais pas essayer alors que mes collègues l'ont fait hier soir ? Je me redresse et guide mon pieu dans l'étroit canal.



Quelle sensation incroyable ! Le passage est étroit, mais il permet d'aller beaucoup plus loin. C'est différent que par le passage habituel, mais c'est une expérience sublime d'investir ainsi l'anus de Sophie. Elle crie de plaisir alors que mon dard la pénètre petit à petit, jusqu'à la garde.



Je guette la porte, craignant de voir débouler quelques-uns de mes collègues pour s'inviter à la fête, mais la porte de la chambre reste heureusement close et nous pouvons donc nous amuser. Je commence à aller et venir. Elle gémit. J'accélère. Elle feule. Je la laboure. Elle crie. Et je déclenche son orgasme.



Les spasmes de ses cuisses et de son bassin font d'intenses vibrations qui ont raison de ma résistance. Dans un râle profond, j'éjacule généreusement en elle, alors que son orgasme semble durer particulièrement longtemps. Quand je ressors ma queue, du sperme s'écoule du trou béant. Par simple plaisir, j'y replonge.



M'allongeant sur elle, je l'embrasse dans le cou.
- Je t'aime, ma chérie.
- Je t'aime aussi.



Nous voyons les semaines à venir sous un angle différent.



Boris
1er février 2025
00:22:47
message 36077
Mmmmm, merci Simon !
Je complète avec la suite (mais pas la fin) d'Angela : une histoire avec Juliette et Luc, mais sans Angela. Je me rends compte que si des lecteurs tombent sur un épisode sans avoir lu le début, ils ne doivent pas comprendre la logique du titre et les références dans le texte... Si vous suivez depuis le début (bravo !) vous avez la chance de pouvoir comprendre cette référence qui sert de fil rouge à notre série.

Boris
1er février 2025
00:23:34
message 36078


Angela - épisode 33 : Cache-cache dans le parc

Mercredi 3 août 11:38


Si tout le monde est surpris de voir Lionel sortir de sa voiture vêtu d'un simple maillot de bain, lui l'est encore davantage de retrouver Cédric, Damien, Luc et moi totalement nus dans le parc.
- Je comptais profiter avec vous de la piscine, mais je ne m'attendais pas à ce que tout le monde se soit mis au nudisme.
Je rigole :
- La magie de la villa !



- Et je vois que Cédric et Damien profitent encore un peu du lieu.
Je rigole encore :
- Hihi, plus de l'hôtesse que du lieu, si tu vois ce que je veux dire...
- Je vois parfaitement !



- Mais ça te choque peut-être de nous trouver tous à poil ? Peut-être que nous aurions dû nous cacher en t'entendant arriver.
- Cela aurait pu être une bonne idée. J'aurais pris beaucoup de plaisir à te chercher dans le parc, Juliette.
- Moi, je crois que tu aurais surtout eu plaisir à me trouver, non ?



- On ne peut rien te cacher...
- Tu ne vas quand même pas garder ton maillot ?
- Non, effectivement, même si j'ai peu honte de montrer que je suis déjà en érection.
- Oh, il n'y a aucune honte à avoir. Au contraire, cela me flatte.
Lionel abaisse son maillot, dévoilant une belle érection.



Luc intervient alors :
- Et si nous faisions justement un cache-cache dans le parc ?
- Ah oui ? Je vois que la suggestion de Lionel n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd... Je me cache et vous me cherchez tous les quatre ?
Je m'étais déjà mise en position pour compter contre un tronc d'arbre :



- Non, me répond Luc. C'est toi qui vas nous chercher. Je propose ça en deux étapes. D'abord, tu masturberas chacun d'entre nous au fur et à mesure que tu nous trouveras. Pendant la masturbation, ta victime devra compter chaque seconde jusqu'à l'éjaculation. Chacun doit bien retenir ce temps pour l'étape suivante. Une fois que tu nous auras trouvés tous les quatre, on échange les rôles. Pendant cette seconde étape, c'est nous, les gars, qui allons compter, mais chacun ne pourra partir à ta recherche que quand il aura atteint son temps précédent. Le premier à te trouver peut te faire jouir. Les suivants regarderont, mais le dernier sera éliminé des manches suivantes.
- Ah ? Il y a plusieurs manches ?



- Bah oui, au moins trois manches. À la deuxième, il n'y aura que trois participants et à la dernière, plus que deux. C'est la fin de cette troisième manche qui désignera le gagnant.
- Si je comprends bien tes règles, je ne suis qu'un maillon du fonctionnement du jeu et moi, je ne peux pas gagner ?
- Tu ne peux pas perdre non plus. Disons que c'est toi qui diriges le jeu.
- C'est vrai. Allez je compte jusqu'à 60 et je pars à votre recherche. Cachez-vous, les gars !



Je commence à décompter :
- 60, 59, 58...
Je les entends s'éloigner. Quand j'arrive à la moitié du décompte, je me rends compte au bruit derrière moi que l'un d'eux est encore là.
- Je ne sais pas qui tu es, mais si tu ne te caches pas, je vais te trouver en premier.
La réponse est rapide et je reconnais la voix de Cédric :
- Ma stratégie est de te mater pour être au top quand tu vas me branler...
Je comprends qu'il mate mon cul pour que sa branlette soit la plus rapide possible et qu'il puisse être le premier à me trouver ensuite.



Je reprends mon décompte en me disant que les règles de Luc ont des failles et que Cédric s'est montré plus malin que les autres. Je termine :
- 4, 3, 2 et 1 !
J'ouvre les yeux tourne la tête. Cédric est effectivement là, me présentant une belle érection.
- Oh, je crois que tu m'as trouvé, Juliette...
- Tu exagères, Cédric. Tu n'as pas joué le jeu.



- Luc n'a pas envisagé qu'on puisse être très mauvais pour se cacher.
Je tente de lui montrer qu'il a eu tort de vouloir tricher :
- Tu contournes les règles. En fait, je ne t'ai pas trouvé, puisque je ne t'ai pas cherché. Je vais donc commencer ma recherche, mais ce sera pour les autres.



- Allons, j'ai juste élaboré une stratégie, contrairement aux autres.
- N'empêche que ce n'est pas fair-play...
- Ok, j'avoue. Mais là, tu n'as pas envie de savoir combien de temps je vais tenir ?



J'avoue que voir sa belle queue tendue ne me laisse pas indifférente :
- Ok, je vais prendre mon temps, pour ta peine.
Je m'avance vers lui. Beau joueur, dès que son érection est dans ma main, il commence aussitôt à compter.



Au bout de dix secondes, il se penche sur moi et me dit :
- Compte pour moi.
Comme il m'embrasse dans le cou, je ne trouve pas ça désagréable et accepte de poursuivre le compte. En revanche, je ne m'attendais pas à ce qu'il joigne son bécotage par des doigts explorateurs qui viennent investir mon intimité.



Je ne sais plus où j'en suis. Ce salaud m'a fait perdre le compte.
- Tu triches encore... 38, 39...
Je me redresse et utilise ma seconde main pour lui masser les testicules.



Erreur fatale ! Pourquoi ai-je fait cela ? J'ai précipité son plaisir et je le sens se tendre. J'en suis à 48 quand son sperme se met à jaillir.
- Hannnnn...
- Merde ! Tu n'as donc aucune résistance ?
- Hhhhh... non, pas quand tu me caresses les couilles comme tu l'as fait.
- Moi qui voulais que ça dure le plus longtemps possible pour te punir, j'ai raté...
- Un peu, oui...



- Bon. Retiens 48 pour tout à l'heure. Il faut que je trouve les autres.
Je laisse Cédric pour poursuivre mes recherches (j'ai encore trois gars à trouver !), mais il me suit à distance respectable. Il pourra au moins jouer au voyeur. Le suivant n'est pas trop dur à débusquer. Damien a opté pour une stratégie proche de celle de son copain : il est allongé et tient une petite branche d'arbre devant son visage en ersatz de camouflage.



- Voilà une cachette bien peu efficace...
- Ah zut ! Tu m'as vu ?
- Ne fait pas l'innocent. Ton copain Cédric a fait pire puisqu'il est resté derrière moi pendant que je comptais.
- Pfff, il est gonflé. Moi, au moins, j'ai fait semblant.
- Avec le même objectif que lui. Tu es prêt à compter ?



Il se contente de se mettre sur le dos, exhibant fièrement son sexe bandé.
- Je suis à ta disposition, ma jolie.
Comme je m'approche de lui, il écarte les cuisses, m'invitant de toute évidence à m'installer entre. Je m'agenouille donc et saisis sa tige dressée.



Il commence à compter à haute voix, mais je sens peu à peu que sa fière déclamation du début commence à vaciller. Je décide de changer de position et de m'installer à côté de lui. Plus je le masturbe et plus il semble avoir besoin de se concentrer pour ne pas perdre le fil. Je sens qu'il souffle de plus en plus et j'exploite ma seconde main pour lui caresser les testicules.



Cela semble suffisant. Il en est à 112 quand les premières effusions de sperme s'échappent de son gland turgescent.
- Haaaaaaannnnnnnn...
Sa semence épaisse s'écoule sur mes doigts et je continue à le masturber jusqu'à ce que la source semble tarie.



Je m'essuie les mains dans l'herbe épaisse et me relève. Damien reprend son souffle :
- J'ai fait mieux que Cédric ?
- Tout dépend de ta stratégie.
- Faire le moins de temps possible...
- Petit malin. Non, Cédric partira plus de vingt secondes avant toi.



Je laisse un Damien contrarié pour poursuivre mes recherches. Je n'ai pas à aller très loin, car je découvre Lionel caché, debout derrière des buissons. Si lui est mieux caché que ses copains, il semble avoir fait le même calcul stratégique puisqu'il se masturbe pour entretenir son érection, probablement pour que je le fasse jouir plus rapidement.



- Vu, Lionel ! Mais tu sembles ne t'être pas ennuyé...
- Bah, en fait...
- Ne te fatigue pas, Cédric et Damien ont eux aussi trouvé la faille des règles de Luc.
Je viens à lui et saisis son membre tendu pour le masturber. Il me fait alors tourner un peu pour pouvoir m'empoigner les seins et les caresser.



- 1, 2, 3...
Voilà, une tactique différente ! Cédric s'était rincé l'œil ; Damien m'avait caressé la moule ; Lionel s'excite sans doute davantage en me pelotant la poitrine. Après un certain temps, je lui dis :
- Je ne sais pas trop si tu as le droit de faire ça...
- 109, 110... Si ce n'est pas interdit, c'est que c'est autorisé. 112...



- Si chacun prend des libertés, à quoi servent les règles ?
- 131... Il faut davantage les voir comme un...
- Guide ?
Je dois terminer sa phrase, car il vient d'arriver au bout et se met à éjaculer, inondant ma hanche droite de sa semence.



- Tu as été plus long que les autres. 135, c'est presque le double de Cédric.
- Tant pis... On verra bien. Désolé, je t'en ai mis partout...
- Oui, tu as été généreux. Il faut dire que Cédric et Damien ont déjà été un peu sollicités avant ton arrivée.



- Je m'en doutais un peu.
Je me frotte la hanche et les fesses pour étaler le sperme.
- Je te laisse, il ne me reste plus que Luc à trouver.



Je poursuis mon exploration du parc. Derrière moi, j'entends Cédric, Damien et Lionel qui me suivent à distance et échangent sur leurs résultats. Je finis par voir Luc, accroupi derrière un vieux tronc couché.
- Je te vois, Luc. Bravo tu as été le dernier !
- En fait, je me suis déplacé au fur et à mesure... J'ai observé chacune des masturbations que tu as faites à nos amis...
Ce qui explique l'érection conséquente qu'il affiche.



- Tu es finalement le mieux caché...
- Oui, j'ai compris un peu tard que la règle était en faveur de ceux qui éjaculaient rapidement.
- Alors que les trois autres ont rapidement fait le calcul... Tu t'es fait avoir !



- Bah, je ne vais pas me plaindre puisque je vais avoir le même traitement que les autres.
Je viens le rejoindre alors qu'il est assis sur le tronc et saisis son sexe bandé. Il commence à compter :
- 1, 2, 3...
Il pose ses mains autour de mon cou et m'attire à lui pour que je l'embrasse.



- Tu crois que le baiser est autorisé ?
Lionel, non loin, répond :
- Je crois que nous nous sommes tous autorisé quelques libertés par rapport aux règles établies. Je pense que tu peux.
- Oh, tu es bien charitable de m'autoriser à embrasser mon mec.



J'embrasse alors Luc à pleine bouche, interrompant son décompte qu'il semble poursuivre dans sa tête. Finalement, c'est Lionel qui reprend la numération à sa place. Luc semble très content de ce baiser, sans doute parce que je marque ainsi ce qui le distingue, lui, des trois autres. Son sexe est bien bandé et j'espère le faire venir rapidement, mais il ne semble pas vouloir précipiter l'éjaculation.



Alors que Lionel égraine les nombres, Cédric et Damien encouragent Luc :
- Allez ! Allez ! Vas-y, Luc !
Et c'est seulement quand Lionel arrive à 150 que je le sens se tendre. Sept secondes plus tard, le sperme se met à jaillir et je me penche sur lui pour recevoir quelques jets sur mes seins.



Lionel demande :
- Tu es éliminé, Luc ?
- Non, je partirais chercher Juju à 157, donc après vous, mais rien ne dit que ce soit moi qui la trouve en dernier. Il suffit qu'elle se cache bien et tout le monde aura sa chance.
Je me masse les seins pour étaler le sperme de Luc.
- Je ne vais assurément pas opter pour la stratégie de Cédric.



Luc me demande :
- Tu es prête, ma chérie ?
- Donc là, c'est à moi de me cacher ?
- Oui et on part te chercher tous les quatre, chacun pouvant partir dès qu'il a atteint son décompte.
Cédric me fait un clin d'œil. Je demande confirmation de la suite :
- Et donc, celui qui me trouvera en premier pourra me faire l'amour ?



- Oui, répond Luc. Et le dernier à te rejoindre sera éliminé pour les manches suivantes.
Les garçons me tournent le dos et commencent à compter :
- 1, 2, 3...
Avant de partir, je profite d'un coup d'œil en arrière pour admirer les quatre magnifiques paires de fesses qu'ils m'offrent.



C'est surprenant d'entendre les quatre gars compter d'une seule voix. Je décide d'essayer de gagner du temps : ils vont tous se retourner et partir derrière, je vais donc tenter de les contourner pour me cacher devant eux, mais il faut que je fasse un large tour et surtout que je sois discrète, car Cédric va bientôt partir. Je n'ai pas encore atteint ma cachette quand je l'entends justement crier qu'il part.



Coup de chance, ma tactique a fonctionné et il part dans le sens opposé. Je redouble de prudence et poursuis mon échappée jusqu'à me retrouver à proximité du portail d'entrée. Je trouve alors une cachette derrière un groupe assez dense de buissons et attends. Damien est aussi parti à ma recherche, suivi de peu de Lionel. Quand le décompte s'arrête, Luc part à son tour, mais, contrairement aux autres, il est le seul à venir dans ma direction. Je le vois passer à quelques mètres de moi, avec une belle érection.



Comme peut-il passer si près de moi sans me voir ? C'est impossible ! Il regarde droit devant lui, pas du tout l'attitude de quelqu'un qui cherche. Il repart alors dans la direction opposée vers les autres gars. Je me redresse pour observer quand ils s'approcheront, mais c'est la voix de Cédric derrière moi qui me fait sursauter :
- Yes ! Je t'ai trouvée, jolie Juliette !
Je suis presque déçue que ce soit Cédric, puisqu'il avait un peu triché.
- Bravo.



- Tu vois, ma stratégie a payé.
- Tu as eu de la chance, Luc est passé juste à côté de moi sans me voir.
- Moi, je suis plus futé. Je me suis dit que tu nous avais sans doute contournés et j'ai moi aussi fait le tour jusqu'au portail.



- Tu as été discret comme un renard. Je ne t'ai pas entendu.
- Et je suis donc vainqueur de cette première manche.
- Comment veux-tu que nous procédions ?



- Mmmm, j'ai beaucoup apprécié la vue pendant que tu comptais et j'avoue que ça m'a donné des idées.
- Je dois donc me remettre contre un tronc ?
Il hoche la tête, le sourire jusqu'aux oreilles. Je prends position, m'appuyant à un vieux chêne vert.



Cédric vient me rejoindre, avec la fierté d'un conquérant.
- Jouer à tes jeux tout à l'heure était amusant, mais j'avoue que c'est exaltant de te gagner.
Ne suis-je donc que le prix de sa victoire ? À y réfléchir, vu la manière dont Luc a énoncé les règles, il peut difficilement en être autrement. Je me cambre. Cédric me saisit aux hanches pour m'attirer à lui, m'obligeant à me pencher davantage pour m'appuyer à l'arbre. Et il me pénètre.



Ce cache-cache m'a finalement mis les nerfs à l'épreuve et je prends un grand plaisir à sentir la queue de Cédric s'engouffrer en moi. Lionel, suivi de près par Damien arrivent sur le lieu, sans doute attirés par mes gémissements de plaisir. Cela semble exciter mon amant d'avoir quelques spectateurs pour être témoin de sa victoire, car il ne ménage pas ses efforts.



Il me soulève une cuisse et me maintient la jambe levée, comme s'il voulait que ses camarades puissent observer sa pénétration. Est-ce par fierté ? J'entends Damien se plaindre :
- Je n'aurais pas pensé qu'elle puisse faire le tour et passer derrière sans qu'on l'entende.
Cédric lui répond :
- Là, maintenant, tu l'entends ?



C'est vrai que je gémis de plus en plus et que l'orgasme semble s'approcher. Lionel répond :
- Oui, c'est ce qui nous a alertés...
Luc arrive enfin. C'est donc mon chéri qui sera éliminé pour les manches suivantes. Il ne sera donc que témoin. Peut-être est-ce qu'il souhaite ? De le voir avec son sourire, ses yeux amoureux, son érection tandis qu'un autre est en train de me baiser, cela me fait chavirer et l'orgasme me gagne. Alors que je défaille, je sens que Cédric s'immobilise et éjacule en moi.



Il nous faut quelques minutes pour retrouver nos esprits. Quand je me décolle de l'arbre, Luc annonce la suite :
- Bien, seconde manche, mais sans moi. Si vous êtes d'accord, je m'occuperais de compter votre temps quand elle vous trouvera.
- Donc tu restes avec moi ?



Luc hoche la tête et je commence à compter, appuyée à l'arbre contre lequel Cédric venait de me prendre en levrette. Au moins, la présence de Luc incitera sans doute Cédric à se cacher vraiment. Et effectivement, une fois le décompte fini, les trois autres gars semblent avoir disparu. Je pars aussitôt à leur recherche, suivie discrètement par Luc. C'est Damien que je découvre en premier.
- Cette fois-ci, tu étais bien caché.



- Oui... Il faut dire que tu es accompagnée de celui qui a établi les règles, donc je fais gaffe.
- Tu as raison. Sinon c'est exclusion du jeu. Voyons voir combien de temps tu tiens...
Luc me dit :
- Tu peux changer si tu veux, ma Juju. Si tu en as marre des branlettes, tu peux leur offrir ta bouche.
- Bonne idée !
Je m'agenouille devant Damien et prends son sexe en bouche. Luc commence à compter. Comme je les ai déjà tous fait éjaculer, j'imagine que ce sera plus long pour cette seconde manche.



Finalement, Damien se met à éjaculer plus rapidement que je ne l'aurais cru. Luc le voit aussitôt :
- 72 ! Bravo Damien.
Quand il retire son sexe de ma bouche, je laisse s'écouler une importante quantité de semence, surprise qu'il éjacule encore autant.



Je me redresse et m'essuie la bouche d'un revers de la main, quand j'entends un bruit derrière moi. Je vois une tête se baisser derrière une haie de lauriers. J'ai reconnu la chevelure de Cédric :
- Vu, Cédric !



Je ne suis pas étonnée de le trouver derrière moi vu le goût qu'il a pour mon séant. Il se redresse, un peu penaud.
- Tu as vu ? Cette fois-ci, j'ai joué le jeu.
- Oui, c'est plus fair-play.
Je m'agenouille devant lui et, quand il approche son sexe tendu de mes lèvres où restent encore quelques traces du sperme de son copain, Luc commence à compter.



Je le prends donc aussitôt en bouche et commence à le pomper.
- Mmmm, quel dommage qu'on doive faire ça vite et qu'on ne puisse pas en profiter plus longtemps.
Damien rigole :
- Ah, mais rien ne t'oblige à te précipiter.
Moi-même je prends mon temps.



Mais pourtant, là encore, l'éjaculation me surprend. Son râle de plaisir informe Luc de la fin de la numération :
- 87 ! Tu as été plus long que la première fois !
Deux puissantes salves de sperme viennent fouetter mon palais. Je les avale aussitôt, mais je retire la lance de ma bouche alors qu'une troisième giclée vient maculer mon visage.



Dès qu'il a repris son souffle, Cédric semble trouver important de se justifier :
- Oui... mais moi... je l'ai aussi prise en levrette tout à l'heure...
Et c'est vrai que ça lui donne probablement un handicap.



Je me redresse :
- Il ne me reste plus qu'à trouver Lionel.
Cédric, mauvais joueur, me fait signe de la direction où le chercher. En me mettant à quatre pattes, je vois effectivement une jambe dépasser de derrière un conifère suffisamment dense pour cacher le reste de son corps. Je décide d'avancer discrètement à quatre pattes jusqu'à lui.



Chose amusante, je me retrouve presque à ses pieds alors qu'il ne semble pas me voir. Son sexe dressé est presque à portée de bouche. Je tends la main pour le saisir, déclenchant sa surprise :
- Mais, que... ?!
Et je me redresse aussitôt pour entamer la fellation due.



Luc n'étant pas encore là, Lionel entreprend de commencer à compter. Cela alerte les trois autres qui viennent nous rejoindre et Luc poursuit la numération, laissant Lionel se concentrer sur le plaisir de la fellation que je lui prodigue.
- 94... 95 ! Il y est !
Et je sens effectivement le sperme jaillir dans ma bouche. Je l'ouvre alors pour que tous puissent voir la semence s'écouler sur ma langue, mais un jet plus puissant vient me fouetter la joue.



Luc encourage son copain :
- Bravo Lionel ! C'est un meilleur score que tout à l'heure.
- Je suis plus sensible aux fellations qu'aux masturbations...
J'interviens :
- Et moi ? Tu ne me félicites pas, mon chéri ?



- Si ma belle. Tu es toujours aussi exceptionnelle, surtout en situation de jeu.
- Surtout ce genre de jeux, n'est-ce pas ?
Je commence à connaître le goût de mon Luc pour les jeux pervers dont je suis l'objet. Je me redresse :
- Vous comptez pendant que je me cache ?



Cette fois-ci, Luc ne le suit pas. Ce serait évidemment une faute, car sa présence à mes côtés faciliterait ma découverte par les autres. Une fois assez éloignée, je décide de me mettre à quatre pattes en me disant qu'ils me chercheront peut-être plutôt à hauteur d'hommes.



Damien a terminé son décompte et part à ma recherche. Bien que je sois partie en ligne droite cette fois-ci, Damien se souvient de ma stratégie durant la première manche et part en direction opposée, partant sur l'hypothèse que j'ai encore pu faire une grande boucle pour les contourner. Je l'observe s'éloigner alors que Cédric arrive au bout de son décompte.



Lui semble faire un calcul différent : sans doute considère-t-il que je ne vais pas suivre deux fois de suite la même stratégie. Et il arrive dans ma direction. Je m'aplatis autant que possible dans l'herbe. Il cherche encore et s'approche. Je retiens mon souffle. Je le vois tourner les talons. Il ne m'a donc pas vue !



Je me redresse doucement et poursuis ma progression à quatre pattes vers l'endroit où est passé Cédric en me disant que, ayant déjà fouillé ici, il n'y reviendra pas. Mais j'ai oublié Lionel dans mon équation et il avait fait la même hypothèse que Cédric :
- Te voilà !
- Zut...



- Je me doutais que tu changerais de direction et que tu serais de ce côté. Il semblerait que je sois vainqueur, même en étant parti le dernier !
- C'était finement joué. Tu sais que Cédric m'a manqué de peu. Il s'avançait un peu plus et il me repérait.
- Mais j'ai un œil de lynx.



- Et une bite de taureau, cela fait de toi un genre de chimère.
- La chimère a donc le droit de te faire l'amour ?
- Oui, vas-y. Cela fera venir les autres.



À quatre pattes, j'écarte les cuisses pour le voir s'approcher de moi, sexe tendu. Délicatement, il me caresse les fesses en disant :
- Mais d'où vous viennent ces idées de jeux, avec Luc ?
- C'est surtout Luc. Vous ne faisiez pas ça avec Angela ?
Je le sens se bloquer, alors qu'il était prêt à me pénétrer.



- Non. Nous n'avons jamais fait ça. C'est sûrement toi qui inspires cela à Luc. Et arrête de te comparer avec elle. Vous n'avez absolument rien à voir.
Et il accompagne son avertissement d'une pénétration franche, mais délicate, qui m'arrache un soupire d'aise.



Je m'en veux presque d'avoir posé cette question. Maintenant, je dois effectivement oublier Angela et profiter du présent, profiter de cette queue qui va et vient en moi et me donne tant de plaisir. Les mains sur mes hanches, Lionel me prend en levrette avec assurance et me fait rapidement gémir.



Luc et Damien arrivent alors, suivis de peu par Cédric qui, haletant, semble avoir couru pour ne pas arriver le dernier.
- Je suis dégoûté ! Je suis passé là tout à l'heure et je ne l'ai pas vue...
Lionel répond :
- Veni, vidi, vici.
- Quoi ? interroge Cédric.
Luc lui explique la devise de César et sa traduction. Cédric vient se positionner derrière Lionel. Toujours ce goût pour cette vue ?
- Bonne idée cette position aussi... Je suis vraiment dégoûté...



Et je sens l'orgasme arriver. Je le laisse m'envahir, m'étreindre. Je ne suis plus que plaisir. Je fonds. Et Lionel se liquéfie lui aussi. Je l'entends. Je le sens. Son sexe palpite en moi. Plusieurs giclées de sperme sont expulsées en moi. Comment font ces garçons pour jouir autant sans se reposer ?



Quand il se retire, je sens sa semence s'écouler de mon sexe et je le vois s'écouler dans l'herbe. Luc fait le point :
- Fin de la dernière épreuve ! C'est Cédric qui est éliminé cette fois-ci. Restent donc en lice pour la troisième et dernière manche Damien et Lionel.
- Et moi j'ai la chance que je ne peux jamais être éliminée.



- Tu seras toujours gagnante, quoi qu'il arrive, ma chérie.
Je me relève :
- Donc je dois reprendre le décompte. Allez vous cacher, les gars.
Je me mets dos à un grand pin pour commencer à compter.



Luc me rappelle à l'ordre :
- Juju, si tu ne te mets pas contre le tronc, tu peux les voir passer. Il faut au moins que tu fermes les yeux.
- Ok, ok.
Je poursuis mon décompte en levant la tête et en gardant les yeux fermés.



Arrivé à zéro, j'annonce en criant :
- J'arrive !
Et je pars en quête des deux hommes, toujours suivie des deux éliminés.



Et c'est Damien, encore une fois, que je découvre en premier.
- Vu, Damien !
- Ouais, ce n'était pas une super cachette... Ces buissons sont très ajourés.
Il se redresse, m'exhibant une bien belle érection.
- Je vois que tu es déjà opérationnel pour le décompte.



Luc arrive alors avec Cédric :
- Bravo, ma Juju. Tu peux le mettre à l'épreuve, mais n'hésite pas à varier.
Je me tourne vers Damien :
- Une levrette, ça te va ?
- Évidemment !
Je me penche en avant et il vient guider son sexe dans le mien.



J'écarte les cuisses pour lui faciliter la pénétration :
- Cela te convient !
- Oh putain, oui ! J'adore.



Luc est déjà 75 et j'ai l'impression que Damien fatigue. Je me redresse et lui fais une proposition :
- Tu veux me caresser les seins en même temps ?
- Oh oui...



Mais il ne s'intéresse pas si longtemps que ça à mes seins. Il m'attrape une cuisse et me relève une jambe le faisant pivoter latéralement contre lui. Il ne bouge presque plus. Je sens qu'il n'est pas loin de jouir, même si mon orgasme semble encore loin. Je m'attends à ce qu'il éjacule n'importe quand.



Et soudain, je le sens se déverser en moi. Luc doit voir aux contractions de son sexe qu'il est en train de venir.
- 128 ! Bravo Damien. Pas ton meilleur score, mais possible que Lionel ne soit pas meilleur puisqu'il a déjà dépensé pas mal d'énergie en profitant du prix de sa victoire.
- Il faut que je le trouve avant. Cela lui laisse le temps de recharger ses batteries.



Quand Damien se retire, je commence déjà à fouiller le parc du regard. Cédric s'approche de moi et me dit :
- Si tu veux savoir, Lionel s'est caché du côté de...
Je l'interromps :
- Chut ! Sois beau joueur. Ne dis rien, s'il te plaît.



Laissant Damien et Cédric, je pars dans à la recherche de Lionel, uniquement accompagnée de Luc. Je fais deux fois le tour du parc avant de finalement l'apercevoir derrière un buisson proche de la falaise.
- Lionel ! Tu m'as donné du mal. Je ne pensais pas te trouver aussi loin.
- En fait, j'ai bougé un peu. Tu m'as manqué de peu à deux occasions...



- Au moins, tu joues le jeu du cache-cache sérieusement. Je vais donc devoir te faire éjaculer pendant que Luc comptera, mais tu souhaites peut-être autre chose qu'une masturbation ou une fellation ?
- J'ai aussi eu le droit à la levrette. Je suis d'accord pour changer.
- Mmmmm, je crois qu'il reste l'amazone, non ?



- Ah oui ! C'est une excellente idée, Juliette !
Ravi de ma proposition, il s'allonge, sexe déjà dressé, attendant que je vienne prendre position. Je l'enjambe pour me mettre à cheval sur lui et je guide sa tige dans ma fente déjà largement lubrifiée. Dès que je commence à monter et descendre sur lui, Luc commence à compter :
- 1, 2, 3...



Damien et Cédric, attirés par mes gémissements de plaisir, finissent par nous rejoindre. Cédric ne peut s'empêcher de commenter :
- Miam, c'était un délice d'investir cette croupe, mais c'est aussi très plaisant à l'œil de pouvoir la voir se faire investir par quelqu'un d'autre. N'est-ce pas, Luc ?
Je me retourne pour voir Luc hocher la tête en souriant tout en continuant de compter.



Damien demande :
- Lionel n'a pas demandé à essayer l'autre voie ?
Je comprends très bien de quoi il parle et je lui réponds :
- Non... Aaaaaah... Pas pour cette fois... Ooooooh...



À peine, ai-je terminé ma phrase que je sens Lionel se tendre. Aussitôt, une giclée de sperme chaud vient envahir mon ventre, suivie de plusieurs autres, déclenchant mon propre orgasme. C'est dans une semi-conscience que j'entends Luc annoncer :
- 227 ! Là, Damien va partir plus d'une minute avant lui...
Quand nous nous calmons enfin, je me relève pour libérer Lionel et bascule à côté de lui. Cuisses écartées, je laisse à tous la possibilité de voir l'étonnante quantité de sperme qu'il a pu me mettre encore cette fois.



Luc rigole :
- La corne d'abondance, ma chérie !
Cédric semble un peu jaloux :
- Bon, on ne va pas y passer la nuit. La deuxième phase de cette dernière manche décidera du vainqueur.
Sans attendre, Luc débute le compte. Je pars donc aussitôt me cacher dans le parc.



Je décide de retourner à ma première cachette, gageant qu'ils penseront que je n'oserais pas y retourner. D'ailleurs, cela semble fonctionner, car je reste cachée pendant plus de quatre minutes. J'écoute, attentive au moindre bruit. J'entends les voix de Luc qui semble réprimander Cédric pour l'interprétation des règles qu'il a pu faire. Concentrée sur cette conversation qui m'amuse, je me redresse pour voir si je distingue l'approche de Damien ou de Lionel, car maintenant, ils sont forcément tous les deux en chasse.



Entendant un bruit sur ma droite, je me mets à quatre pattes derrière un buisson et ne fais plus le moindre bruit. J'entends des pas sur ma gauche, d'autres sur ma droite. Mince ! Ils sont là tous les deux ! Je retiens mon souffle. Puis je les entends rire tous les deux derrière moi :
- Héhé ! Quelle charmante position tu as, Juliette, pour te cacher.



Me retournant, je soupire de déception d'avoir été découverte :
- Bravo, les gars. Lequel m'a vue en premier ?
Lionel regarde Damien et celui-ci hausse les épaules :
- Je crois qu'on t'a vu tous les deux en même temps.



- Dans ce cas, vous allez avoir le droit de me faire l'amour tous les deux ?
- J'imagine que c'est que Luc aurait prévu. On attend qu'il arrive pour lui demander ?
- Non, faisons comme ça.
J'ai très envie d'avoir ces deux beaux mecs pour moi. C'est Damien qui s'avance en premier et vient me prendre en levrette.



Lionel vient alors s'agenouiller devant moi et me propose apparemment de le sucer, ce que je fais de bon cœur. Quand Luc arrive, il comprend aussitôt la situation :
- Eh bien ! Nous avons deux vainqueurs, semble-t-il. Bravo, les gars ! Mais toi Lionel, tu as encore de l'énergie ?
- Pas sûr... Mais Juliette se débrouille très bien, je ne t'apprends rien...



Cédric y va aussi de ses commentaires :
- Et Damien ? Lui aussi, il a déjà beaucoup donné.
Luc répond en souriant :
- Oui, mais Juliette gère.
- Je vois ça. Mais ça m'étonne qu'il n'ait pas eu l'idée d'essayer l'autre voie cette fois-ci...
De quoi je me mêle ? Si je n'avais pas la bouche occupée, j'aurais rembarré ce jaloux.



Mais Damien a très bien entendu la suggestion de son copain et, quand je le sens se retirer, je sais qu'il s'agit d'une pause et que je vais sentir la pénétration suivante, ailleurs. Il pose son gland sur mon anus et attend. Je pense qu'il s'agit d'une demande d'autorisation, il ne veut pas me sodomiser sans mon consentement. Je dois donc moi-même donner un petit coup de reins en arrière pour qu'il embroche son gland dans mon petit trou.



Dès qu'il commence à aller et venir, je sens une sensation très différente. Il n'est pas trop gros en moi et me donne déjà du plaisir. Il faut dire que je ne suis pas mécontente non plus que ma minette puisse avoir une pause, mais si je crains ne pas être en mesure d'avoir un orgasme de cette manière.



Ce n'est pas le cas de Damien que j'entends ahaner comme une bête et soudain se retirer. A-t-il des scrupules à éjaculer en moi ? Ou bien est-ce pour le spectacle pour énerver Cédric ? Toujours est-il que Damien garde sa queue sortie au-dessus de ma croupe alors qu'il éjacule, m'inondant le dos et les fesses de se semence chaude.



Et ma grande surprise, Lionel nous montre qu'il a lui aussi de la ressource malgré ses multiples éjaculations précédentes pendant le jeu. Sans doute que de voir son copain jouir sur mon cul a ouvert les vannes de son plaisir. Et, son plaisir vient assaillir ma bouche avec tant de vigueur que je me vois contrainte d'en avaler une bonne partie pour ne pas étouffer. Quand enfin mes deux amants me libèrent, je me redresse et Luc me demande :
- Mais ils t'ont donné un orgasme, ma Juju ?
- Pffff, non. Mais ne t'inquiète pas, j'ai eu mon compte avec ton jeu.



- Cela t'a plu ?
- Beaucoup, très excitant. Et je vois que, même si tu as été éliminé à la première manche, toi aussi cela t'a bien excité.
- Je ne peux rien te cacher, ma chérie.
Mon cher Luc affiche une érection bien appétissante.



Luc se tourne vers les gars :
- Bravo pour cette victoire partagée, messieurs, et pour votre participation active. Toi aussi, Cédric.
Lionel ajoute :
- Moi, je pense qu'on soit surtout remercier Juliette pour avoir rendu ce jeu aussi passionnant.
- Oui, j'avoue que sans moi, ce cache-cache aurait pris une autre tournure.



- Heu, dit Cédric. Personne n'aurait accepté de jouer sans toi.
- Dommage, moi j'aurais voulu voir ça !
- Voir quoi ?
- Des mecs qui se cherchent et qui s'enfilent quand ils se trouvent !
Luc et Lionel rigolent alors que Cédric et Damien affichent une mine de dégoût. J'ajoute :
- Il n'y a pas de raison que ce soit toujours mon cul qui trinque !



Tout le monde éclate de rire.


Boris
1er février 2025
00:24:15
message 36079
Voilà déjà de quoi bien occuper en lecture notre début de février :D

Ninon
3 février 2025
00:17:59
message 36080
Merci à tous les deux ! Bravo :)
Top cette histoire de téléphone, Simon ;)
Et toujours des illustrations qui servent bien le récit... J'adore !

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