|
Merci à toi, Ninon :) Et voici un nouvel épisode, un peu plus tôt que prévu car nous partons en weekend en amoureux avec Camille ;) |
|
Bravo, Camille et Boris, pour votre capacité à rebondir sur de nouvelles situations, même si, à mon goût, l'intrigue progresse trop lentement. Mais c'est toujours aussi excitant à lire (et bravo pour les illustrations). ❤️ |
|
Merci ;) Camille a beaucoup d'imagination... :D |
|
Nouveau mois, nouvel épisode... Beaucoup de travail en ce moment, j'espère qu'on n'aura pas à refaire une pause... Si c'est le cas, Simon et Lisa vous auriez d'autres histoires sous le coude ? ;) |
|
Angela - épisode 35 : Visite guidée Mercredi 3 août 20:07 Une fois Gaspard parti, Lionel et Luc me regardent en souriant : - Alors ? - Alors, quoi ? Il était bien gaulé, j'en ai profité, c'est tout. Les garçons rigolent et Luc demande : - Et il ne s'est pas posé de questions ? - Si, un peu. Mais comme moi je n'avais pas l'air de m'en poser, cela l'a rassuré et il en a profité lui aussi. - Tu n'as pas su résister à son énorme sexe ? - À dire vrai, je n'ai même pas essayé de résister... Lionel penche la tête sur le côté avec un sourire énigmatique. Je me dis qu'il a une idée en tête et il ne tarde pas à l'exprimer : - Même si je connais bien la maison, ça m'intéresse de voir comment tu fais pour convaincre un mec en lui montrant seulement deux pièces. - Vous voulez une visite personnalisée, les garçons ? - Oui, voilà. - OK. Vous me suivez ? Les gars m'emboîtent le pas alors que je me dirige vers la cuisine. - Alors, là. C'est la cuisine. - Quel est son intérêt principal ? - Mmm... je dirais sans doute la présence de quelques légumes spécifiques, comme la carotte ou le concombre. - Oui, je vois. Tu nous fais une démonstration ? - Ce n'est pas vraiment l'heure du repas, Messieurs... - Dommage. Ce qui m'intéressait, c'était surtout l'assaisonnement. - Je le fais maison et ça ne coûte rien. Luc hoche la tête : - Cela doit être délicieux, mais tu dois le réserver à des invités proches. - Rassure-toi, je cuisine mes crudités différemment quand tes parents ou les miens sont là. Lionel regarde les plans de travail : - Au fait, tu ne les trouves pas un peu bas, ces plans ? Pour le dos... - Heu, oui, ils sont un peu bas effectivement. Cela m'oblige à me cambrer un peu. - OK, je verrai avec mes parents s'ils peuvent faire changer celui-ci par un qui serait un peu plus haut. Je me positionne alors face à l'îlot central en tournant le dos aux garçons : - Mais ça a quand même un intérêt qu'il ne soit pas trop haut. - Ah oui ? Lequel ? - Et bien, comme il est un peu large, on peut facilement monter dessus pour atteindre quelque chose, sans avoir à faire tout le tour. Je monte alors à quatre pattes sur l'îlot, voyant aux sexes dressés et aux yeux écarquillés des garçons que la position ne leur déplait pas. Lionel rigole : - Haha, du coup, on va plutôt le laisser à cette hauteur. - Oui ? Toi aussi, tu trouves que c'est pratique ? Luc ajoute : - Peut-être quand même un problème de sécurité pour redescendre, non ? Lionel vient vers moi et me saisit par la taille pour accompagner mon retour au sol : - Je vais sécuriser la descente de notre Juliette. Alors que j'ai posé un pied par terre, je sens surtout que ce petit profiteur m'empale sur son sexe dressé. - Ooooh... Ouiii... Je me sens bien en sécurité pour redescendre... - Han... et moi je vais essayer de te faire grimper... han... au rideau... Lionel me prend maintenant surtout en levrette. Luc intervient : - Tu es un vrai gentleman, Lionel. Tu ne crois pas qu'elle serait plus en sécurité si nous étions deux ? - Je gère. Han... Regarde. Il suffit... Han... de multiplier les prises. Je sens alors qu'il commence à me fourrer un doigt dans l'anus. - Ooooh... C'est bon... Mais... Ooooh... Je ne vais pas glisser... Je sens que l'orgasme n'est plus très loin, mais Lionel m'abandonne soudain et se met à éjaculer en râlant. Il inonde mon dos et mes fesses de plusieurs giclées de sperme dont certaines s'achèvent même sur le plan de travail. - Oups ! Désolé, Juliette. C'est arrivé plus vite que je ne l'aurais cru. - Pas de soucis... J'attrape une grande serviette que me tend un Luc hilare. Je m'essuie les fesses : - Merci Luc. Lionel, tu devais être bien excité pour jouir aussi vite. - C'est effectivement un exercice difficile de suivre une visite faite par une fille aussi sexy. - Pas de flatterie. Ce n'est pas moi qui suis en location, c'est la villa. Passons au salon, vous voulez bien ? Dès que nous y arrivons, je fais le tour de la table basse pour rejoindre le canapé et m'y allonge, jambes écartées, pour me caresser la moule. - Comme vous pouvez le voir, le canapé est particulièrement confortable. - Oui, on dirait, dit Luc. Puis-je l'essayer ? J'écarte encore plus largement les cuisses : - Je te fais une petite place là... Luc vient s'asseoir entre mes cuisses et me sourit : - J'aime beaucoup ce canapé. - Oui, c'est l'endroit idéal pour prendre l'apéritif. Si tu as soif, je peux te servir quelque chose. - Merci, je crois que ce que je veux est déjà à portée. Il se penche sur mon entrejambe et commence à me lécher la minette. Lionel demande : - Dommage qu'il n'y en ait pas pour deux... - Mmmm... Désolé Lionel, je n'ai qu'un abricot. Luc se redresse : - Et je crois qu'il est bien mûr ! Il guide son sexe dans ma fente et commence à aller et venir. C'est délicieux, mais c'est frustrant de voir Lionel bander juste à côté de nous. Était-ce pareil avec Angela ? Chacun attendait que l'autre ait fini ? Cette salope aurait accepté cela ? Moi je n'ai pas le cœur... - Ooooh... Lionel... Approche... Ooooh... Moi aussi, je veux mon apérooooh... Il ne se fait pas prier. Il attendait juste mon invitation. Sans doute qu'Angela fonctionnait aussi comme ça. Sa queue est bien grosse et bien tendue. Lui aussi ça l'excite de regarder son pote me baiser. Bon, c'est vrai que Luc, lui, a toute légitimité pour le faire. Je prends entre mes doigts le sexe gonflé et le porte à ma bouche pour le lécher. Soudain, j'entends Luc dire : - Lionel ! Sale pervers ! Tu pourrais attendre ! Elle ne t'a même pas encore vraiment sucé. Et je comprends pourquoi il dit cela en sentant les giclées successives de sperme qui viennent maculer mon visage et le bord du canapé. Lionel se recule : - Dé... Désolé... Trop excité... Je garde les yeux fermés au cas où d'autres giclées arriveraient encore. Et puis Lionel dit : - Tu peux parler, toi ! Je n'ai pas l'impression que tu fasses beaucoup mieux. Effectivement, je sens un puissant jet de sperme exploser en moi. Luc s'extrait alors et termine de se déverser sur ma moule. Je saisis alors son membre encore tendu pour le traire et en extraire jusqu'à la dernière goutte. Je me redresse et prends la serviette que me tend Lionel. C'est la même que tout à l'heure, mais qu'importe. On prendra une douche après cette visite. Je m'essuie le visage et l'entrejambe avant de me moquer un peu des garçons : - Dites donc, tous les deux ! Vous me semblez bien émotifs... Allez-vous réussir à poursuivre la visite sans éjaculer dans chaque pièce ? Luc rigole : - Je pense que ça mérite d'essayer... Je redonne la serviette à Lionel et je les invite à me suivre dans la salle de bain. Je me place dans l'embrasure : - Alors, dans cette pièce, les gars, c'est un peu spécial, car il y a plusieurs facteurs érotiques... - Explique-nous ça, dit Lionel. - Déjà, il y a le miroir. Celui-ci me permet de vous voir sans vous regarder directement. Mais il vous permet aussi à vous de multiplier les points de vue à un même instant. - Effectivement, répond Luc en admirant ma croupe. Je poursuis mon argumentaire : - Par ailleurs, pour me laver, je suis contrainte de prendre des poses plutôt indécentes. - Là, il faut que tu nous montres. - Bien sûr, Lionel. J'écarte les cuisses en me cambrant au-dessus du lavabo. - Et pour quelle raison dois-tu écarter autant les cuisses ? - Pour me laver l'entrejambe, figure-toi ! Je me retourne et relève une jambe sur le meuble du lavabo, en précisant : - Et pour se laver les jambes aussi... Les garçons sourient bêtement devant ma démonstration. Il semble que je les ai épuisés dans le salon pour qu'ils ne tentent rien ici. Je ne les sollicite pas pour leur laisser le temps de se refaire. - Bon, et je ne vous présente pas la douche, particulièrement érotique : la porte vitrée qui ne cache rien, l'eau tiède qui coule, les mains qui parcourent chaque centimètre de peau. - Tu nous fais une démonstration ? demande Lionel. - Non, nous allons avancer dans la chambre. Les garçons, queues en l'air, me suivent jusqu'à la chambre. Je monte sur le lit et m'y agenouille en me tournant vers eux : - Bon, c'est classique, évidemment. Le lit c'est bien sûr l'endroit idéal pour faire l'amour. C'est moelleux et c'est suffisamment grand pour tenir à plusieurs. Luc, amusé, relève ma remarque : - Je note que tu ne dis pas "deux". - Deux, c'est déjà plusieurs, non ? Lionel intervient : - Je ne suis pas d'accord. Je pense que tu pourrais très bien prendre du plaisir seule sur ce lit. - Ah oui ? Décris-moi la chose, je vais essayer... - Et bien, tu t'allonges sur le dos en écartant les cuisses et tu caresses ta vulve et ton clitoris du bout de tes doigts. Je prends position comme demandé : - J'écarte comme ça ? C'est assez ? - Heu, oui. Et tu peux te caresser ou te masturber. - Et tu penses que je prendrais du plaisir ? - J'en suis certain ! - Mais moi, je pense que je pendrais beaucoup plus de plaisir si l'un de vous deux me pénétrait. Lionel s'avance : - Je suis ton homme ! J'ai envie de faire un jeu de mot et de lui répondre qu'officiellement, c'est Luc mon homme, mais je me dis que l'instant n'est plus à la plaisanterie. Je le vois s'approcher, son sexe franchement bien bandé : - Vas-y doucement, tu sembles particulièrement en forme... - La faute à qui ? Il engage son gland dans ma fente trempée et m'arrache un soupir de plaisir. Lentement, il s'engage. Son sexe me semble réellement plus conséquent que d'habitude. Suis-je capable d'exciter un homme au point de le faire bander plus qu'il n'en a l'habitude ? Ou bien est-ce une propriété propre à Lionel ? Angela aurait pu répondre à cette question. Pour ma part, je profite de l'opportunité. Alors qu'il va et vient tranquillement, je glisse ma main entre mes cuisses et saisis la base de son sexe pour lui caresser les testicules. Mais cette caresse semble être de trop pour Lionel : - Han... Non... Non, non, non ! Pas déjà ! Hannnnnnn... Il va gicler. Je veux voir ça ! Je saisis son membre turgescent et le sors pour le masturber vigoureusement. C'est moins une ! Il explose, propulsant plusieurs salves de sperme sur mon ventre et entre mes seins. - Mmmmm, ça manque encore un peu de résistance, mon cher, non ? Il reprend son souffle. C'est Luc qui répond pour lui : - Il ne pouvait pas résister à tes caresses sur ses couilles. C'est son péché mignon ! Je m'étonne : - Et d'où tu sais un truc pareil sur Lionel, toi ? Je les regarde alternativement. Lionel finit pas répondre avec un demi-sourire, comme s'il me disait une vérité que je ne pouvais accepter : - Angela... Mais, je te rassure, tu fais ça beaucoup mieux qu'elle... Quand je vois ce que tu m'as fait gicler... Angela... Toujours ce spectre qui rôde autour de nos étreintes dès lors que Lionel et Luc sont présents. Je ne veux pas y penser. Je chasse cette idée et je me mets à quatre pattes sur le lit pour que Luc ne soit pas en reste : - Bon, toi aussi, il faut que tu visites ce lit ! Luc s'approche, ravi : - Avec plaisir, ma chérie. Il reste cependant à côté du lit et s'agenouille pour venir planter son visage entre mes fesses. Sa langue contre mon abricot est un vrai délice et il semble lui aussi se délecter de ma cyprine : - Mmmm... Tu coules, ma Juju. C'est fantastique. Puis, sans attendre mon invitation (qui aurait d'ailleurs plutôt été un ordre s'il avait attendu plus longtemps), Luc se redresse pour venir me prendre en levrette. Lui aussi, j'ai le sentiment qu'il est particulièrement gros ce soir... Lionel se mord sa lèvre supérieure en nous regardant : - J'aurais bien voulu comme ça, aussi. - Oooh... Dis donc... Ooooh... Tu as déjà essayé le lit... Oooh... - Oui, mais je n'ai pas essayé l'hôtesse dans cette position... - On verra. Il répond à mon sourire par un hochement de tête. Il attend donc patiemment son tour, tandis que Luc accélère peu à peu la cadence. Cette fois-ci, j'y ai le droit : mon orgasme monte si bien que, même si Luc éjacule maintenant, je sais que vais jouir fort. Je me mets à crier : - Oooh ouiii, Luc ! Ouiiiii ! Mon corps est pris de spasmes. Luc se redresse et accélère encore, me besognant encore plus, décuplant mon plaisir. Et il s'immobilise, alors que tout mon ventre se convulse, propulsant en moi le produit de son plaisir. Quand il ressort, je sens sa semence qui s'échappe de ma fente béante (ma position, cuisses écartées y est pour quelque chose). Je reprends mon souffle et lui demande : - Mais comment tu fais pour te remplir les couilles aussi vite ? - Aucune idée... Désolé. - Oh, je ne me plains pas, c'est juste que c'est étonnant. Je vois que Lionel est en attente : - Tu veux prendre ton tour ? - Si tu es d'accord... - Tu ne veux pas que je m'essuie un peu ? Luc m'en a mis partout... - Non, ça ne me gêne pas. Tu m'étonnes. Ils ont dû souvent mélanger les sauces avec Angela. Je me frotte quand même l'entrejambe pour étaler le sperme et limiter les coulures. - Bon, bah si tu veux tester encore le lit avec l'hôtesse, c'est le moment. - Merci, Juliette. Amusant qu'il me remercie pour le plaisir qu'on va se donner mutuellement. J'aime quand les gars sont polis et n'affichent pas un machisme ridicule. Je tends mon cul en le sentant s'approcher. Il commence par m'embrasser les fesses. Va-t-il me sucer la moule et, par la même occasion, lécher le sperme de son copain ? Ses mains se posent sur ma croupe et me caressent. Je m'attends à sentir sa bouche sur mes lèvres, mais il me surprend en posant la pointe de sa langue sur mon petit trou. C'est très agréable. Très très agréable. - Mmmmm... Tu me rends folle, Lionel. - J'adore rendre folle l'hôtesse... - Ne me fais pas trop attendre... Il se redresse. Son sexe est tendu à l'extrême, imposant. Je garde le cul en l'air. Que va-t-il choisir ? - Oooooh !!! Il a choisi l'autre voie, celle plus étroite, celle interdite. Il commence à aller et venir en moi. C'est un peu douloureux au début, mais le plaisir gagne vite. J'écarte les cuisses pour lui faciliter le passage. Je sens ma moule qui dégouline de mouille, ou peut-être du sperme de Luc ? Entre mes jambes ouvertes, je vois Luc, souriant, qui admire la queue de son copain en train de ramoner l'anus de sa Juju chérie. Le plaisir monte incroyablement vite. Il faut croire que j'en avais vraiment envie. L'orgasme est là, encore, fort. Comment puis-je jouir à nouveau aussi vite ? Lionel s'immobilise. Je sens les remous de mon plaisir autour de son pieu palpitant. Il résiste, un peu, puis succombe, laissant son plaisir succéder au mien et son sperme s'épancher dans mon fondement. Je ne prends conscience qu'il s'est retiré qu'en sentant sa semence s'écouler de mon trou, plus tellement petit... Mais comment font les garçons pour éjaculer autant ? L'image de la corne d'abondance me revient. Est-ce que tous les hommes ont cette incroyable capacité ? Ou bien est-ce seulement Luc et Lionel qui ont profité d'une formation exceptionnelle avec Angela ? Quand je me redresse, Luc me tend la serviette pour que je m'essuie l'entrejambe et les fesses. - Eh bien, les garçons ! J'ai l'impression que cette position vous a particulièrement stimulés. - J'avoue que la chambre a plus de charme que le salon. - Oh, mais le salon peut avoir le même charme si l'hôtesse prend la même position. - Une contre-visite du salon s'impose donc ! Je prends la main de Luc pour les inviter à me suivre : - Venez, je vous refais la visite. Une fois que nous sommes arrivés en bas, je me plante derrière le canapé : - Messieurs, je ne vous cache pas que la pièce maîtresse du salon, c'est ce canapé. - Oui, on a déjà vu ça tout à l'heure, dit Luc. - Mais vous n'en avez pas exploité toutes les ressources ! - Ah, mais nous attendons beaucoup de cette contre-visite, dit Lionel. - Et bien vous allez pouvoir considérer ce meuble fondamental sous un autre angle. Je prends position à quatre pattes sur le canapé, présentant ma croupe aux garçons. - Tu te trompes, Juliette. Ce n'est pas un autre angle du canapé dont nous profitons, mais un autre point de vue sur l'hôtesse. - Et ce point de vue convient-il aux visiteurs ? Je me redresse et écarte les cuisses pour exhiber la croupe. Luc répond : - Ce point de vue offre effectivement une tout autre perspective à cette pièce... Il s'avance et vient me prendre en levrette sous le regard amusé de Lionel. Il me demande en rigolant : - Est-ce que notre hôtesse aime ce genre de visite approfondie ? - Mmmm... Oooh oui... J'aime ça, Luc ! Il me baise doucement, avec une cadence qui augmente lentement, très lentement. C'est délicieux et il sait à mes gémissements que j'adore ça, qu'il va encore me donner un orgasme. Que je l'aime ! Alors qu'il me fait l'amour, je tourne la tête vers lui pour chercher sa bouche. Nos lèvres se trouvent et nos langues s'enlacent dans un suave baiser. Pas sûr qu'il soit en mesure de jouir encore. Je ne suis même pas sûre d'en être capable moi-même. Pourtant, après deux ou trois minutes à ce rythme, sans chercher à résister, je sens que le plaisir monte inexorablement. Je veux attendre qu'il jouisse. Ne pas jouir avant lui. - Ooooh ! Ouiiii ! Ouiiiii ! - Hannn ! Hannnn ! Hannnnn ! En presque parfaite synchronisation, mon orgasme commence alors que son sperme gicle à nouveau en moi. Je reste emmanchée sur lui une bonne minute avant de regagner mes esprits. Puis je lui demande : - Mais comment fais-tu pour éjaculer autant en si peu de temps ? Je le sens se retirer et une partie du sperme en moi en profite pour s'échapper - J'allais te poser une question similaire, ma Juju. Comment tu fais pour nous faire autant éjaculer ? - Vil flatteur. Tu oublies la magie de la villa. Lionel rigole : - Ce n'est pas simplement de la magie, c'est de la sorcellerie. Je me relève et m'approche pour l'observer : - Mince ! Toi aussi tu bandes encore ? - Ah oui, je n'ai pas eu l'impression d'avoir débandé. - Impressionnant ! C'est du priapisme à ce stade, non ? Luc soupire : - Tu as sans doute raison, ma Juju. Regarde ! Je viens d'éjaculer et je ne débande pas ! Tu ne m'as pas fait avaler un truc utilisé par les acteurs de porno ? Je me retourne vers lui et saisis son sexe parfaitement dressé : - C'est la villa. Luc plonge une main entre mes cuisses, doigtant ma chatte affamée. - Bon sang, Juju ! Tu nous rends complètement dingues ! Tu te rends compte qu'on passe nos journées à baiser ! - Non, mon chéri, on fait l'amour. Et on continuera jusqu'à ce que vous ne puissiez ni l'un ni l'autre éjaculer. Luc me pousse un peu et je me retrouve entre les cuisses écartées de Lionel. Je n'ai qu'à plier un peu les genoux pour m'engager sur la tige tendue. Luc semble ne pas en revenir : - C'est dingue... On est dingue... Lionel profite bien de la situation : - Ooooh, Juliette... Quel pied ! J'empoigne le sexe de Luc pour lui lécher le gland tandis que je commence à monter et descendre sur la colonne de chair de Lionel. J'entends un bruit dans l'entrée qui me fait tourner la tête vers la porte. - Que... ? - Je vais voir, dit Luc en m'abandonnant. Je prends à peine conscience que Luc est en train d'aller ouvrir la porte d'entrée, à poil, et que nous sommes, Lionel et moi, à continuer une folle cavalcade. Mes gémissements rivalisent avec les râles de plaisir de Lionel. C'est tellement bon que j'ai les yeux fermés pour me concentrer sur mon plaisir, aidée par le majeur inquisiteur de Lionel qui électrise mon clitoris. En rouvrant à moitié les yeux, je constate une présence supplémentaire à celle de Luc. - Merde ! Gaspard ? Luc rigole : - Pas de panique, il vient juste récupérer son portefeuille qu'il pense avoir fait tomber derrière le canapé... Je me tourne vers Lionel : - Heu, on reprendra après ? - Bah non, je pense qu'il s'en fou, s'il veut juste récupérer ses papiers. Gênée par la situation, je me redresse quand même pour me dégager de Lionel, mais, à peine son sexe sorti, Lionel me saisit aux hanches pour m'empaler à nouveau, mais cette fois dans mon petit trou. Je pousse un cri de surprise autant que de plaisir en sentant son sexe s'enfoncer peu à peu dans mon anus. J'écarte largement les cuisses pour lui faciliter l'accès et il me caresse la moule pour me détendre. C'est un délice et j'en oublie Gaspard, qui semble ne plus trop penser à son portefeuille. J'en gémis de plaisir. Luc rigole et monte sur le canapé : - Sois plus discrète, ma Juju. Il faut que nous laissions à notre visiteur l'image d'une villa calme. Et pour me faire taire, mon chéri ne trouve rien de mieux que de me fourrer son membre turgescent dans la bouche. Bonne poire, je lui fais une fellation que je ne suis pas certaine qu'il mérite. Tout en le suçant, je prends conscience que Gaspard a quitté tous ses vêtements et qu'il exhibe une érection fort appétissante. Quand il s'approche de nous, dans un curieux réflexe de pudeur ridicule, je resserre les cuisses pour ne pas lui exposer mon coquillage, mais aussitôt Luc et Lionel interviennent pour me maintenir les cuisses écartées et m'obliger à exhiber ma fente humide. Tant la situation que la queue de Lionel dans mon anus, les facteurs sont réunis pour qu'un nouvel orgasme m'envahisse et me fasse perdre pied. Je crie sans doute. Luc semble s'être écarté. Lionel s'est immobilisé. Il se concentre pour ne pas jouir malgré les soubresauts de mon sexe autour du sien. Je le sens pourtant porter une main à mon entrejambe et, écartant mes lèvres, dire : - Il reste une place... Encore sous le coup de mon orgasme, je n'ai pas vraiment compris ce qu'il a dit. C'est en voyant Gaspard s'approcher alors que Lionel me maintient les jambes écartées que je comprends qu'il vient de l'inviter à me prendre en sandwich. C'était un plaisir découvert récemment, d'abord avec Lionel et Luc pendant une danse, puis avec Cédric et Damien au bord de la piscine en fin de matinée. Là, c'était quand même avec un presque inconnu... Mais le temps de me faire cette réflexion, il était déjà engagé en moi. C'est une sensation incroyable de sentir ces deux queues en moi. Ils bougent parfois synchronisés, m'emplissant tout le ventre, parfois en alternance, se poussant l'un et l'autre. C'est si bon que je sens un nouvel orgasme monter. Luc le voit et je l'entends commenter : - Tu es si belle quand tu prends autant de plaisir, ma Juju. Un petit orgasme me gagne à nouveau. Lionel semble tenir le coup. Gaspard aussi. Luc, sans surprise, se masturbe en nous regardant. Voyant mon regard vers mon homme, Gaspard demande : - Peut-être qu'il peut venir aussi ? Il met alors son index entre mes lèvres et m'ouvre la bouche au cas où nous n'aurions pas compris qu'il proposait à Luc de venir se faire sucer. Luc attend de voir ma réaction pour s'approche. - Tu es sûre, ma Juju ? Un regard me suffit à lui signifier que je suis d'accord. Il vient et je gobe son gland avec gourmandise. Et puis Lionel plonge aussi loin que possible en moi et s'immobilise. Un râle rauque accompagne de puissants jets de sperme chaud qui se répandent dans mes entrailles. Gaspard semble s'immobiliser le temps que Lionel termine d'éjaculer. C'est alors que je sens que Luc vient lui aussi de succomber : sa semence envahit ma bouche avec un rythme impressionnant. Mais où les garçons trouvent-ils toutes ces ressources ? Gaspard est le premier à se retirer. Curieux, car je n'ai pas l'impression qu'il ait joui. Quand Luc quitte ma bouche, je laisse échapper une grande partie de son jus. Lionel me soulève alors pour me dégager et, sitôt son pieu libéré de mon petit trou, je sens un flot de sperme s'écouler. Je prends conscience que Gaspard n'a donc pas éjaculé. Assise sur le canapé entre Luc et Lionel, j'attrape la serviette pour m'essuyer la bouche et l'entrecuisse. Gaspard fait le tour du canapé. Dans un premier temps, je pense qu'il cherche ses fringues avant de me rappeler qu'il est venu récupérer son portefeuille. Je me lève : - Vous l'avez trouvé ? - Oui, il était tombé derrière. Merci. - Désolée que vous nous ayez surpris en pleine action... - Aucun problème. Je comprends. - En fait, Luc et Lionel ont été inspirés par la visite que je vous ai faite et en voulaient une aussi, pièce par pièce... - Et vous en étiez au salon ? Luc intervient : - Je dirais même plus spécifiquement que nous en étions au canapé. - Ah ? Et il vous reste quoi à faire visiter ? Je regarde le tapis sous mes pieds et m'y agenouille : - Le tapis ? Luc me dit : - Excellente idée, ma chérie. D'ailleurs, c'est l'occasion de remercier Gaspard pour sa visite impromptue, car il me semble qu'il n'a pas joui, tout à l'heure... - Heu... Gaspard ? Vous êtes d'accord ? Sans répondre, Gaspard s'approche, manifestant son approbation. Je me penche sur sa magnifique queue et pose mes doigts sur ses bourses en le faisant frémir. Luc demande : - Vous êtes pressé, cher Monsieur ? - Pas particulièrement. Je comprends que je dois prendre mon temps. Je commence donc par lui lécher doucement la hampe du bas vers le haut. Lionel semble apprécier lui aussi de me voir sucer son futur locataire et, peut-être pour assurer son investissement, il vante la qualité de ma visite : - Nous avons pu nous aussi apprécier le professionnalisme de Juliette. - Ah oui ? Gaspard écoute Lionel. Je lèche son sexe parfaitement dressé. - Elle a su nous montrer les avantages de chaque pièce, ses particularités, son confort spécifique. - C'était donc une visite plus poussée qu'avec moi ? Je prends son gland entre mes lèvres et fais jouer ma langue sur le bout. - Oui, très approfondie. Et pour chacun de nous, puisque nous étions deux. - Votre amie... est très investie... Je... Alors que je commence à le pomper, je sens qu'il a de plus en plus de mal à tenir la conversation. - Oui, je l'ai prise en missionnaire sur le lit. Luc a enchaîné en la prenant en levrette. Tout ça bien sûr pour nous assurer de la qualité du lit. Et vous c'était quoi ? - Oooh... Je... Très classique... Hhhhh... En amazone... J'augmente la tension en lui massant les testicules. - Ah, il n'y a pas une position qui lui échappe à Juliette. Nous-mêmes avons pu ensuite profiter de plusieurs démonstrations pour tester le confort du canapé. - Heeee... Elle doit être... épuisée... Hhhhh... - Oui, je ne compte pas combien de fois nous avons joui chacun... Et pourtant, vous voyez qu'elle ne ménage pas ses efforts. Non, je ne les ménage pas et je me demande combien de temps Gaspard va encore tenir. - Hannn... Elle est vraiment... exceptionnelle... Luc complète : - Et pourtant, c'était une fille assez classique et timide question sexe avant qu'on ne découvre cette villa. Sans doute que Gaspard a du mal à croire en cela en me voyant le sucer comme je le fais. Lionel ajoute : - La villa a un côté magique qui désinhibe... Gaspard reprend : - Oui... magique... Et enfin, je sens les soubresauts dans son sexe. Je le saisis et le branle devant ma bouche ouverte. Le sperme explose de partout, sur mes seins, dans mon cou, dans ma bouche. Lionel commente : - Par contre, Juliette ne sera plus là pour votre séjour... Je vous conseille de venir accompagné, c'est plus amusant. La douche se calme et la semence s'écoule maintenant lentement de la tige encore parfaitement tendue. Je me tourne vers les garçons : - C'est bon ? Vous pensez que c'est suffisant pour le convaincre de signer ici ? Lionel rigole : - Je ne sais pas. Tu peux insister un peu plus, mais là il a peut-être son compte, non ? - Et pourquoi ne serait-il pas en mesure d'enchaîner les éjaculations, tout comme vous ? Gaspard encore sous le coup de sa jouissance, ne semble pas comprendre de quoi on parle. Quand je reprends son gland entre mes lèvres, il se laisse faire, mais pousse un profond soupir, comme s'il ne se doutait pas de l'expérience que je suis en train de mener et qu'il considérait que cette prise en bouche n'était que pour le nettoyer. Comme j'insiste et recommence à le pomper, il semble prendre conscience de ce que je fais et comprends la teneur de nos échanges précédents. Je lève les yeux vers lui et vois au froncement de ses sourcils qu'il ne s'attendait pas à cela, mais il semble maintenant résigné à participer à cette expérience. Il interroge Luc : - Combien de fois avez-vous éjaculé chacun ? - Je ne sais plus... Pendant la visite, peut-être trois fois chacun. Depuis le début de la journée, impossible de comptabiliser. Il reste béat de cette annonce. Je poursuis ma fellation avec application. Et puis, je sens que ma petite pipe commence à porter ses fruits. Il se tend soudain. Lionel se penche derrière lui et observe ses couilles avant de commenter : - Je crois que ça arrive, Juliette. Effectivement, je sens une nouvelle giclée de sperme envahir ma bouche. - Hannnnnn... C'est magique ! Je trouve amusant qu'il reprenne le concept qu'on vient de lui présenter. Est-il lui aussi convaincu du caractère surnaturel de ce lieu ? Je lui lèche la base du gland en le regardant. Lionel lui dit : - Oui, la villa est vraiment magique... Mais Gaspard précise : - Non, je pense que c'est votre Juliette qui est vraiment magique. - Eh oui, les gars ! Luc rigole et me tend la serviette : - Tiens. Je ne sais pas si ça essuiera quoi que ce soit et si tu ne vas pas en rajouter davantage que tu n'en enlèves. La serviette est effectivement poisseuse et empeste le sperme. Gaspard se rhabille. Même si je suis crevée, je tente de le retenir dans l'espoir de profiter encore un peu de sa magnifique queue : - Vous partez déjà ? - Heu... Bah oui. - Mais vous n'avez éjaculé que deux fois. Luc prend pitié de Gaspard : - Allons Juliette. Je crois qu'on peut arrêter là. On est tous au bout du rouleau. Je saisis son sexe en érection : - Pourtant, il a l'air encore bien raide ton rouleau à toi... Gaspard est rhabillé et rigole : - Haha, vous avez raison de la préserver, Luc. Elle est précieuse. Quant à moi, je vous laisse et je vais réfléchir à qui pourrait m'accompagner pendant mes vacances. Notre visiteur s'en va. Je tire le rideau pour le regarder partir, comme un prédateur qui aurait laissé s'échapper sa proie. Lionel s'amuse de me voir comme ça : - Luc a raison, Juliette. Il faut qu'on dorme. On pourra encore s'amuser demain. - Oui, mais ce sera sans Gaspard. - Mais il y aura peut-être d'autres surprises... - J'espère. Je compte effectivement sur la magie de la villa. |
|
Merci !!! Encore génial... (sans surprise) Et toujours des illustrations parfaites :) Je salue le travail car je sais que ce n'est pas si facile, même si, par expérience, la recherche des photos n'est pas le moment le plus désagréable ;) |
|
Merci Sylvie ;) |
|
Encore des pipes dans les toilettes. 😂😉😂 |
|
😁💖😎😶🌫️🤐🤤😲🤑🫠🤪🤮🥸😻🐟🐠🐡🦈 |