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5. Train de jour (Lyon - Bordeaux) Cette fois-ci, ce n'est pas le train de nuit. Mon train part le vendredi à 12h40 et arrive à Bordeaux en soirée. Le voyage va durer près de huit heures. Je m'installe à ma place et mange le sandwich que je me suis préparé. Le voyage commence dans le calme et je reste tranquille pendant plus d'une heure avec juste quelques mecs qui louchent sur mon décolleté en passant à côté de moi. ![]() Il faut dire que mon petit débardeur blanc me moule bien les seins et que l'absence de soutien-gorge laisse mes mamelons pointer à travers le tissu. ![]() Je commence à somnoler quand arrive un contrôleur. Curieusement, il semble s'attarder sur une jeune femme brune. Juste devant moi, encore une autre jeune femme brune pour laquelle le contrôleur regarde le billet en détail. Quand vient mon tour, même chose ! Mais cette fois-ci, il redresse la tête avec un sourire satisfait comme s'il avait trouvé quelque chose d'intéressant. Comme pas mal de monde semble somnoler, nous parlons à voix basse : - Il y a un problème avec mon billet ? - Aucun mademoiselle, le problème c'est votre tenue. Avant que je puisse réagir, il tend la main pour attraper le haut de mon décolleté et tire dessus pour voir mes seins nus. ![]() Je le repousse, furieuse de cette familiarité. - Eh, ça ne va pas la tête !? - Excusez-moi mademoiselle, votre tenue n'est pas réglementaire. - Et en quoi ma tenue n'est pas réglementaire ? Parce que je ne mets pas de sous-vêtements ? Je tire à nouveau sur le décolleté pour lui permettre de constater ce qu'il a déjà pu contrôler. ![]() images similaires Il se penche sur moi et parle tout bas : - Pour tout vous dire, je suis un collègue de Raphaël. Le pauvre a été affecté sur une autre ligne mais nous a prévenu de votre probable présence à bord. Il nous avait fait une description et donné votre nom, d'où mon plaisir d'avoir pu vous trouver le premier. - Et qu'attendez-vous de moi ? - Écoutez, suivez-moi si vous ne voulez pas que je fasse une annonce au micro indiquant que vous cherchez un mec à vous taper. - Eh, mais c'est du chantage, vous n'avez pas le droit ! - Suivez-moi, sans discuter. Il en profite pour loucher encore dans mon décolleté. ![]() Je me lève et le suis dans un petit compartiment réservé au personnel qui se trouve dans la voiture juste après la mienne. Le compartiment est vide. Il referme la porte derrière lui et me demande de m'asseoir. Le ton qu'il donne me fait dire qu'il ne rigole pas et que j'ai intérêt à obéir. - Tu m'as dit tout à l'heure que tu n'avais pas de sous-vêtements ? - De soutien-gorge, oui. Mais j'ai une culotte. - Tu AVAIS une culotte, car tu vas la retirer tout de suite. Pas besoin de me faire un dessin, je comprends tout de suite comment ça va se terminer. Si je trouve ça totalement vulgaire, le fait de me faire contrôler ainsi m'excite particulièrement. Et comme le type n'est pas si mal foutu que ça, je décide de jouer le jeu et de lui donner du grain à moudre : - Il en est hors de question ! Il ne répond pas et me détaille. Au bout de longue seconde à m'observer avec un air grave, il répond enfin : - Tu refuses mais tes tétons disent le contraire, alors magne-toi ! Je dois bien reconnaître que mes mamelons semblent prêt à crever mon débardeur tant ils sont durcis par mon excitation. Impossible de contrôler ça... Je m'exécute donc et retire ma culotte. ![]() Il sourit, satisfait. - Bien. Tu es une parfaite petite salope. Mais une vraie salope ne met pas de culotte. Tu y penseras pour la prochaine fois ? Je bégaye un "oui" hésitant. Il m'ordonne de lui montrer mes seins. Comme j'hésite et fais semblant d'être terrifiée, il tente de se montrer un peu plus rassurant : - Écoute, si tu ne te dépêches pas, mes collègues vont arriver... Tu devrais en profiter que je sois le seul à m'amuser avec toi, non ? Je lui donne raison et tire sur le bas du débardeur pour dégager mes seins. ![]() images similaires Il passe une main sur son entrejambe et saisit sa bite manifestement en érection. De l'imaginer bander dans son uniforme, ça m'excite et je me cambre naturellement ce qui fait saillir ma poitrine. ![]() images similaires - Aller, retire ton débardeur ! Au point où j'en suis, je n'ai ni envie de m'opposer à ce mâle dominant, ni envie de ne pas progresser vers une partie de sexe endiablé inéluctable. Je retire donc le débardeur et m'expose à ses yeux, seins nus. ![]() Mais comme je ne veux pas non plus paraître trop soumise et que je veux entretenir son besoin de donner des ordres, je mets mes mains sur mes seins par fausse pudeur. Sa réaction est immédiate : - Tu te crois où salope ? Si je te dis de me montrer tes nichons, tu le fais ! C'est compris ? Son ton agressif me fait quand même peur et je murmure : - J'ai froid... ![]() images similaires Il soupire : - Pfff, t'es pas à la hauteur de ce que m'a dit Raphaël... Mais bon... Remets ton débardeur si vraiment tu as froid. Trop heureuse de cette petite victoire, je reprends mon débardeur et l'enfile à la hâte, mais quand je me retourne vers le contrôleur, celui s'est mis à l'aise et me présente son érection devant la bouche. Je ne me pose pas trop de questions et j'engouffre ce membre tendu qu'il me propose. ![]() Je vois que Raphaël a du lui vanter mes fellations car le contrôleur commente : - Oh putain, c'est vrai que suce hyper bien ! Encouragée par ce compliment, je m'applique de mon mieux pour lui donner un maximum de plaisir, le branlant, lui caressant les couilles, lui pompant le gland. Il le tient pas plus de cinq minutes à ce traitement et finit par jouir, sortant sa queue de ma bouche et la posant contre me lèvres pour éjaculer sur ma joue en poussant de grands râles. ![]() images similaires Je suis assez fière d'avoir réussi à le faire jouir en si peu de temps mais plutôt exténuée par tout ça. Alors qu'il se rajuste, il me dit : - Je dois terminer ma tournée de contrôle de ce côté-ci. Tu peux rester te reposer ici, si tu veux. - Vous allez revenir ? - Bien sûr ma cocotte, je n'en ai pas fini avec toi, héhé ! Je ne réagis pas à sa joie manifeste de me considérer comme un jouet sexuel. Et finalement, ce genre de situation m'excite beaucoup. Je me lèche les lèvres pleines de sperme. ![]() images similaires Quand la porte se referme, j'entends qu'un verrou est actionné depuis l'extérieur. Je suis sa prisonnière. D'un autre côté, je ne serais pas dérangée par d'autres gens. Je m'allonge donc sur la banquette, sans prendre la peine d'essuyer le sperme qui macule ma joue. Le sommeil me gagne assez vite. ![]() Je suis réveillée en sursaut par une douche froide. On vient de m'asperger d'eau fraîche ! Je me redresse vivement et ouvre les yeux. Le contrôleur est revenu. Il a une bouteille d'eau à la main et rigole : - Désolé pour le réveil... Je voulais surtout nettoyer le sperme que tu avais sur la joue. J'ai accidentellement renverser la bouteille... Il affiche un sourire ravi en voyant mon débardeur. ![]() L'a-t-il fait exprès ou est-ce réellement un accident ? Je pense qu'il s'agit d'un accident volontaire. Je suis trempée. Mon débardeur est transparent et mes tétons pointent orgueilleusement sous le tissu. ![]() - Tu vas attraper froid... Tiens, je t'ai ramené ton sac, tu dois sûrement avoir du change, là-dedans, non ? Il me le tend, je l'attrape. Quelle idée a-t-il en tête maintenant ? J'ouvre le sac et sors un débardeur noir. Je repose tout sur le siège et me lève sous le regard encore plein de désir du contrôleur. ![]() Pendant que je me déshabille, il m'explique la suite du programme : je vais m'installer dans le compartiment vide juste à côté. Un contrôleur va bientôt passer et je ferais mine d'être en infraction. En théorie, ce contrôleur n'est pas habilité à dresser un procès verbal et devra venir le chercher lui. En pratique, je vais devoir faire en sorte qu'on trouve un arrangement amiable... Je comprends bien sûr que cela signifie de lui proposer une fellation pour lui faire oublier ma pseudo infraction. Je retire mes fringues mouillées et apparais nue. Il reste béat à me voir me présenter si impudique. Il a limite la mâchoire qui se décroche et manque de baver. ![]() J'enfile rapidement une jupe et un débardeur noir assez décolleté. Je ne lui demande même pas si je suis autorisé à remettre une culotte. Je sais qu'il refusera et finalement je n'y tiens pas plus que ça. D'ailleurs, je ne vois plus ma culotte. L'aurait-il prise ? Je sors dans le couloir et rejoins le compartiment juste à côté, vide effectivement. Je m'installe et attends. ![]() images similaires Le second contrôleur ne tarde pas à arriver : - Bonjour mademoiselle. Mes collègues ne vous ont pas encore contrôlée ? - Heu, non... mais je n'ai pas de billet. - Ah... Son regard se perd déjà dans mon décolleté, je le sens entre mes seins. ![]() images similaires Il se concentre pour trouver ses mots : - Vous auriez dû vous présenter avant, nous allons devoir vous verbaliser. - C'est que j'ai perdu mon sac à main, je ne peux même pas payer... mais on peut sans doute trouver un arrangement ? Je ressers mes bras, pressant mes seins l'un contre l'autre et leur donnant un galbe bien marqué dans le décolleté. ![]() images similaires Son regard reste fixer sur ma poitrine. Il devient tout rouge. Il réussit enfin à décrocher et à me regarder dans les yeux. A mon sourire coquin, il ne peut ignorer quelles sont mes intentions. En me redressant un peu, je sens que mes seins manquent de s'échapper du décolleté. ![]() images similaires Il bégaye quelques mots incompréhensibles. Son regard retombe entre mes seins. Je vois une incroyable bosse déformer l'entrejambe de son pantalon de toile gris. Tout en maintenant la pression de mes bras sur ma poitrine, je me cambre légèrement, juste pour permettre à mes mamelons de se libérer du décolleté. ![]() images similaires C'est amusant. Autant je jouais la soumise avec son collègue, autant là c'est de toute évidence lui qui est mon jouet. Je m'agenouille devant lui et caresse son entrejambe. Il se laisse faire. La partie est gagnée d'avance. J'ouvre sa braguette et extrais du caleçon son membre en érection. Sa bite est belle, je décide de la mettre bien à l'aise avant de m'occuper de lui et je lui retire son pantalon et son caleçon pendant qu'il se charge seul d'enlever sa veste et sa chemise. Nu, il est plutôt bien foutu, un peu musclé et surtout bien membré. Je le prends en bouche, le faisant soupirer de contentement. ![]() images similaires Mais ça va bien de sucer les contrôleurs, moi aussi j'ai envie de jouir ! Quand il me semble au mieux de sa forme, je l'abandonne et me relève. Il me regarde, interrogatif. Je me tourne et me penche en soulevant ma jupe. Mes fesses sont nues, mon sexe est déjà trempée de mouille. ![]() Ce grand benêt reste à observer sans bouger, la queue toujours au garde-à-vous. Je me cambre un peu plus, l'invitation ne devant pas être suffisamment limpide. Il reste obnubilé par la vision de ma moule trempée. ![]() images similaires Comme il le bouge pas, je tente de le sortir de son immobilisme : - Heu... Tu veux pas m'aider, là ? Il s'approche enfin, mais contre toute attente, il se contente de retirer ma jupe et de dire "C'est magnifique". Je me demande si je n'ai pas à faire à un puceau. ![]() images similaires Moi, je n'en peux plus. D'autant qu'il bande super bien et que j'ai vraiment très envie qu'il me la fourre. Je passe une main entre mes cuisses et commence à me caresser la moule. ![]() Je suis si mouillée que mon doigt entre sans peine entre mes lèvres. Là, ça semble le réveiller un peu. Il s'approche et me caresse les fesses du bout des doigts, comme s'il craignait que je tombe en poussière à son contact. ![]() images similaires - Eh bien ! T'es pas un pressé toi, on peut dire que tu prends ton temps... Je continue à me caresser la moule. Lui me caresse plus franchement les fesses. Soudain, sans prévenir, il m'enfonce un doigt dans l'anus, d'un coup ! Son majeur tout entier. C'est pas que c'est gros, mais ça surprend et je trouve surtout la caresse délicieuse. ![]() images similaires Sous le coup de la surprise, je me laisse tomber à genou. Cette fois-ci, je le vois se positionner, plier les genoux, se pencher et diriger son dard vers mon entrejambe. Après cette longue attente, la pénétration de son seul gland me semble une véritable libération et je gémis déjà de plaisir avant même qu'il se soit enfoncé complètement en moi. ![]() images similaires Il n'est pas puceau, cela ne fait aucun doute. Sa façon de bouger, de me tenir aux hanches ne laissent aucun doute : il a l'expérience et sait faire les levrettes. Mes gémissements se font de plus en plus présents. Il me redresse et me fait mettre debout, sans sortir son sexe du mien. Il passe sa main devant et s'amuse à me caresser le clitoris. ![]() images similaires Il me prend délicieusement bien. Je gémis de plus en plus. L'orgasme n'est plus très loin. Le coup de grâce arrive : toute ne continuant à me pilonner, il me penche un peu en avant et me met un doigt dans le cul. Il ne m'en faut pas plus. Je jouis enfin. ![]() images similaires Mes convulsions sont si forte que je sens qu'il doit s'arrêter pour ne pas jouir à son tour. Mais il ne contrôle plus. Il se retire de moi, peut-être avec l'espoir de ne pas jouir tout de suite, mais cette ultime caresse sur sa tige lui est fatale. A peine sortie, sa queue se met à cracher du sperme à tout va, inondant ma moule, mon anus et surtout mes fesses. ![]() images similaires Je suis épuisée. Je l'entends se rhabiller et sortir sans vraiment me rendre compte que je suis en train de m'endormir. Je m'affale sur la banquette, totalement nue. ![]() images similaires Dans un demi sommeil, j'entend la porte du compartiment se rouvrir. Trop endormie pour rouvrir les yeux, je ne sais pas qui vient de rentrer et a refermé la porte derrière lui. Un bruit caractéristique me fait quand même dire que l'individu se masturbe en se délectant de ma nudité. Je suis éveillée, mais je garde les yeux fermés pour ne pas effrayer l'homme. Au bout de quelques minutes, je reçois au visage son sperme chaud. Je fais mine de continuer à dormir alors qu'il éjacule sur moi sans aucun scrupule ! ![]() images similaires Quand il a terminé, sentant qu'il me tourne le dos, je rouvre les yeux. Il s'agit d'un jeune homme brun avec de belles fesses. Je vois ce salopard s'essuyer la bite avec mon débardeur noir. ![]() Je referme les yeux quand il se rhabille. Il sort sans que j'ai pu voir son visage. Je ne sais même pas s'il s'agit ou non d'un membre du personnel de bord. Je me redresse et attrape un mouchoir pour essuyer mon entrejambe et mon visage. Puis je me réinstalle sur la banquette, cuisses écartées. Nouveau bruit de poignée de porte. Cette fois-ci, je me retourne pour voir qui arrive. ![]() images similaires Il s'agit du premier contrôleur accompagné d'un autre que je n'ai pas encore vu. Ils sourient tous les deux bêtement, les yeux rivés sur ma moule encore humide. ![]() Je me retourne lentement sur le dos. Ils ne me quittent pas des yeux. Je sens par mes mouvements que ma moule s'ouvre et je vois aux bosses dans leur pantalon qu'ils se délectent de cette vision. ![]() images similaires Sans un mot, le petit nouveau s'approche et s'agenouille devant moi en m'écartant les cuisses. Il plonge son visage contre ma chatte et je sens aussitôt sa langue s'activer sur mes lèvres. C'est un délice ! Puis sa langue remonte et trouve mon clitoris qui bande. Il me fait m'agripper à la banquette tant sa caresse est délicieuse. Pour couronner le tout, ce jeune homme me glisse un doigt dans la chatte. ![]() images similaires C'est plus qu'il ne m'en faut et je me laisse envahir par un second orgasme, moins puissant que le précédent, mais très agréable. Après quelques secondes, je me redresse et annonce la suite : - A mon tour ! Je libère son érection et la suce avec plaisir. ![]() images similaires Le gars ne veut probablement pas jouir dans ma bouche car après cinq minutes, il me repousse et m'allonge sur le dos sur la banquette, cuisses grandes ouvertes. Il se plie, comme pour prendre son élan, et me pénètre d'une traite ! Je suis si ouverte qu'il le fait sans peine et peut me pilonner à loisir. ![]() images similaires Son collègue est toujours à la porte à nous regarder. Même s'il fait barrage, je vois un type passer derrière lui et ouvrir de grands yeux en voyant ce qu'il se passe. Je m'étonne d'ailleurs que l'autre contrôleur ne nous rejoigne pas, même s'il a déjà jouit tout à l'heure. Le jeune homme qui me laboure regarde mes seins bouger au rythme de ses assauts. Il est lui aussi assez bien foutu. Je me félicite que les agents de ce train ne soient pas trop repoussants. ![]() images similaires Il tient bien la longueur et ne semble pas vouloir jouir tout de suite. Pas encore tout à fait remise de mon orgasme précédent, je me doute que je ne vais pas jouir moi non plus tout de suite. Je fais un petit signe de la main pour l'inviter à s'approcher. Il me sourit et ferme la porte derrière lui. Je lui souris. ![]() images similaires Il ne met pas longtemps à quitter tous ses vêtements. Sa queue est bien gonflée et je n'hésite pas à la prendre en bouche quand il me la présente : - vas-y salope, ta bouche est vraiment faite pour ça ! ![]() images similaires Il est si excité qu'en quelques minutes je le mène au bord de l'éjaculation. Il sort sa queue de ma bouche au moment de jouir en jurant : - Putain ! Pas déjà ! Tu suces trop bien, salope ! Sa crème épaisse vient s'écraser sur mon visage, souillé encore une fois. Quand la tempête se calme, je lui lèche le bout du gland pour en recueillir les dernières gouttes. ![]() images similaires L'autre me baise toujours, sans rien dire. On dirait qu'il prend plaisir à s'installer dans une routine. Avec mes doigts, je récupère le sperme sur mon visage et je me lèche les doigts. Je me sens particulièrement salope en faisant cela. ![]() images similaires L'autre s'est rhabillé et s'assoit sur la banquette d'en face pour nous regarder. Il est sans doute admiratif de l'endurance de son collègue. Moi j'en ai un peu marre. Je le repousse gentiment et le fais s'asseoir sur la banquette avant de m'empaler sur lui en lui tournant le dos. je regarde celui qui semble être le chef des contrôleur. Il admire mes seins qui ballotent au rythme des coups de reins que me donne son collègue. Je me caresse le clitoris en même temps. Cette position, plus agréable et moins routinière m'amène à un nouvel orgasme. ![]() images similaires Alors que je crie mon plaisir, l'autre sous moi continue à me pistonner, décuplant mon orgasme. J'accompagne mes spasmes d'ondulations du bassin avec l'espoir de faire jouir aussi mon partenaire. Mais il est résistant et mon orgasme s'éteint avant que je puisse sentir son sperme jaillir dans mes entrailles. ![]() images similaires Son collègue semble s'impatienter aussi : - Tu devrais essayer sa bouche à nouveau, elle excelle en pipe, cette pute ! Curieux des propos de son collègue, il me soulève pour s'extraire et me fait mettre à genou pour me fourrer son sexe dans la bouche. ![]() images similaires Je le pompe aussi bien que je peux. Je ne pensais pas qu'à ce stade ce soit possible, mais je crois qu'il grossit encore un peu dans ma bouche. Il est énorme, prêt à exploser. ![]() Ne pouvant plus le contenir tant il est gros, je décide de le terminer en le masturbant. A peine dix secondes après, il rejette la tête en arrière se met à éjaculer, son foutre se répandant sur ma main et sur son ventre. ![]() Alors qu'il se rajuste, son chef lui demande : - Alors ? Sacrée salope, hein ? Elle sait y faire ! Son collègue se contente d'acquiescer de la tête. Il sorte en laissant la porte ouverte. Heureusement personne ne passe. Je m'essuie rapidement des traces de sperme et cherche mes affaires pour me rhabiller. Mon débardeur noir étant tâché de sperme, je décide de remettre le blanc. Mais celui-ci est encore un peu trempé et toujours transparent. Quand je ressors dans le couloir, je croise un homme âgé qui ouvre de grands yeux et louche sur mes seins. ![]() Non, là je ne peux plus faire de pipe, il y a trop de monde dans ce train, je n'en sortirais pas vivante. Je regagne rapidement ma place. Un homme est assis côté couloir. Il devient rouge en voyant mon débardeur : - Excusez-moi, je suis assise à la fenêtre. Il ne fait aucun effort pour me laisser passer et se contente de tourner ses jambes sur le côté. Je suis obligée de me contorsionner pour m'insérer. Ma jupe frotte sur son torse. Je crois même sentir une main contre mes fesses. Peut-être même que cette gymnastique a fait remonter ma jupe plus que de raison et qu'il a pu voir que je n'avais pas de culotte... ![]() images similaires Une fois assise, je sens son regard sur moi. Bien sûr, il regarde mes seins que le débardeur laisse voir par transparence. ![]() images similaires Je fouille dans mon sac et réussi à trouver un débardeur bleu. Je me tourne vers la fenêtre pour me changer. Je fais passer rapidement le débardeur mouillé par-dessus ma tête, ne restant seins nus que quelques instants avant de renfiler à la hâte le débardeur bleu. Pourquoi a-t-il fallu qu'à cet instant précis le train passe devant un passage à niveau où plusieurs véhicules attendaient ? ![]() Le reste du voyage est plus calme. Mon voisin se contente de me mater et me laisse dormir. ![]() images similaires Le train arrive à l'heure à Bordeaux. Je saute dans un taxi et file chez Séverine et Antony. Le week-end peut commencer. |