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Lisa 1er juillet 2012

7. Retour à Lyon en voiture A la fin du repas de midi, j'annonce à Séverine et Antony que je dois partir tôt à la gare car je n'ai pas encore acheté mon billet. Antony se frappe alors la tête : - Mais, je suis con ! J'ai oublié de t'en parler. Écoute, j'ai un rendez-vous à Lyon pour le boulot demain matin. Moi le train ça me saoule donc je vais y aller en voiture. En partant en milieu d'après-midi, je pense pouvoir y être en fin de soirée. Est-ce que ça t'intéresse de venir avec moi ? J'étais un peu sur le cul... Faire plusieurs heures de voiture seule avec le copain de ma copine auquel j'ai fait plusieurs fellations durant le week-end ? Cela augure probablement un voyage plutôt agréable... - Pourquoi pas ? Séverine n'est pas dupe et comprend bien que nous risquons de ne pas nous contenter de parler durant le voyage. - Attention, hein ! Faudra quand même être prudent. Ce serait con d'avoir un accident parce que vous vous tripotez en conduisant... La seule perspective des pauses sur les aires d'autoroute me convient tout à fait. Puis je réfléchis à la suite : - Et après ? - Après quoi ? demande Antony. - Tu me déposes chez moi mais tu sais où dormir ? - Bah, je vais bien trouver un hôtel à Lyon quand même... - Sois pas stupide, tu peux dormir chez moi. Ce serait un juste retour de service... - Ok, ça marche ! On partira vers 16h et on prendra l'A89. Normalement, ça devrait nous faire arriver avant 23h si ça roule bien. Le début d'après-midi est un peu bizarre. Je sens que Séverine est un peu jalouse. Je prépare tranquillement mes affaires et enfile une petite robe blanche légèrement transparente sans rien dessous. Quand je ressors de ma chambre, Séverine me regarde des pieds à la tête, l'air agacé : - Et bien au moins, avec cette tenue, on sait que tu ne comptes pas le saouler de paroles pendant tout le voyage ! - Séverine, ça te pose un problème que je l'accompagne ? - Non... Enfin si, ça me fait chier que tu puisses en profiter et pas moi. C'est mon mec ! - Ne t'inquiète pas. On ne va pas en abuser : on va rendre le voyage agréable, c'est tout. - Ouais... Pas plus que des pipes alors ! - Promis ! Antony arrive derrière Séverine avec un grand sourire. Il a manifestement entendu toute notre conversation et s'amuse sûrement du compromis trouvé. Il embrasse Séverine dans le cou et lui murmure "Je t'aime". Les deux premières heures du voyage, je reste assez sage et Antony se contente de deviner ma nudité sous ma robe. images similaires Je vois de temps en temps qu'une bosse se forme à son entrejambe mais je le laisse conduire sans l'importuner même si ce n'est pas l'envie de le sucer qui me manque. Une fois où il me surprend à lorgner du côté de son pantalon, il me demande : - Toi, ça ne t'excite pas cette situation ? - Si, bien sûr... - Tu mouilles ? - Concentre-toi sur la route. - Jacques a dit "Montre-moi si tu mouilles". Le petit jeu reprend. Je soulève mes reins pour relever ma robe sur mes hanches. J'écarte les cuisses et passe une main sur mon entrejambe effectivement humide. - Mmm, oui, tu mouilles bien. Voilà, par ta faute, j'ai la bite toute comprimée dans le pantalon... Je constate qu'effectivement une bosse magistrale déforme le tissu du pantalon. Voyant que je n'interviens pas, il déboutonne d'une main son pantalon et extrait son érection, tout en conduisant. images similaires - Jacques a dit "Montre-moi tes seins". - Tu les vois déjà un peu à travers la robe, non ? - Pas tant que ça... - Ouais, mais c'est pas très pratique car le décolleté n'est pas très large... - Et bien soulève par le bas ! - Oui mais les autres automobilistes risquent de voir. - C'est bien le but ! Je relève ma robe. Antony a ralenti pour profiter du spectacle. Un klaxon retentit. Un camion nous double et son conducteur est ravi de rester quelques secondes à notre niveau pour se rincer l'œil. - Jacques a dit "Suce-moi". - T'es pas obligé de dire "Jacques a dit", je le fais bien volontiers. Je me penche sur lui et prends son sexe en bouche. images similaires Un klaxon retentit à nouveau. Cette fois-ci, c'est un mec en 4x4 qui nous double. Il reste à notre niveau quelques secondes pour me voir opérer. Je veux relever la tête mais Antony m'ordonne de continuer. images similaires Le 4x4 finit par s'éloigner. Je m'applique pour que la fellation dure le moins longtemps possible, bien consciente que c'est quand même dangereux de faire ça en roulant. Le sentant venir, je lui lèche le bout du gland tout en le branlant vigoureusement. images similaires Sans prévenir, il me lâche tout son sperme au visage, puis me fait replonger sur sa queue pour que j'avale les dernières gouttes. images similaires Tout cela s'est fait en moins de cinq minutes. J'ai l'impression d'avoir fait ça à la sauvette, comme si j'étais sa maîtresse ou une prostituée. - Tu peux me passer un mouchoir, s'il te plaît ? - Bah non. Tu peux rester comme ça. Je trouve que ça te va très bien le sperme autour de la bouche. - Ouais mais quand même. - Jacques a dit "Tu te laveras à la prochaine aire d'autoroute, un point c'est tout". Un panneau sur le bord annonce la prochaine aire dans une vingtaine de kilomètres. Je n'ai finalement pas longtemps à attendre. images similaires Peu après 19h, nous atteignons l'aire de repos "Manzat", au niveau de Clermont-Ferrand, juste avant la sortie 27 pour Riom. L'aire est assez récente, avec des arbres encore tout petits et grand bâtiment de service. Il y a pas mal de voitures et de camions garés tout autour. Antony s'arrête pour prendre de l'essence. - Je vais en profiter pour aller me débarbouiller aux toilettes. - Ok, j'irai me garer là-bas après, il y a plusieurs places. Je laisserai la voiture ouverte et j'irai chercher des sandwichs. Malgré le monde présent dans le bâtiment, peu me prête attention et je vais aux toilettes sans m'être fait trop remarquée. Alors que je ressors des toilettes, un 4x4 passe lentement à mon niveau et se gare juste à côté de notre voiture... Je sens le regard appuyé du conducteur sur moi. Je tire sur ma robe courte par pudeur, même si je sais pertinemment qu'il peut voir ma chatte par transparence. images similaires En m'approchant, je reconnais le mec du 4x4 qui nous avait doublé plus tôt. Ses yeux pétillent. Il me détaille. J'ai comme l'impression d'être nue devant lui. images similaires Il me fait signe. Je m'avance jusqu'à sa fenêtre. Je découvre qu'il a le pantalon baissé et, torse nu et pantalon sur les cuisses, qu'il se branle ouvertement sans gêne. images similaires Il ouvre sa portière et se tourne vers moi, sexe tendu. - Elle t'attend. Viens la goûter, tu m'en diras des nouvelles. La vue de sexe en érection offert de si bon cœur et le fait que je n'avais pas encore joui depuis le début du voyage ont raison de moi. Je me laisse tenter et monte à côté de lui. A peine assise, je vois le type se jeter sur moi pour me retirer ma robe. Je me penche sur sa tige raide pour le sucer alors qu'il en profite pour me doigter la moule. Après quelques minutes de fellation, il me relève, me saisit aux hanches et m'empale sur son sexe tendu. images similaires C'est si bon de sentir son gland s'enfoncer en moi ! Je me laisse tomber sur lui jusqu'à la garde en laissant un échapper un petit gémissement de plaisir que le type accompagne d'un râle de contentement. images similaires Il me laisse diriger cette danse et je le laisse me peloter un sein en même temps. images similaires Nous en sommes toujours là quand Antony frappe à la vitre de la portière. Tout en continuant à monter et descendre sur la queue de cet inconnu, je baisse la vitre : - Désolée, j'ai pas pu résister... - Pas de soucis, j'ai les sandwichs. Le type est surpris de ce dialogue plutôt inhabituel dans ce genre de situation. Il s'arrête et cherche à se dégager. Je ne bouge pas, le forçant à rester en moi. Voyant que le type a pris peur, Antony lui dit : - Pas d'inquiétude, vous pouvez continuer... Et c'est ce que nous faisons ! images similaires Après moins de dix minutes, le mec n'en peut plus. Il jouit en moi. Tout cela est allé trop vite, mon prochain orgasme est encore loin. Je me laisse tomber sur lui et il en profite pour me caresser la poitrine. images similaires Je me pousse à côté de lui pour prendre ma robe mais ne la vois pas. images similaires A la fenêtre, Antony me montre qu'il a récupéré ma robe. J'ouvre la fenêtre et lui tend la main pour qu'il me rende la robe. Il écarte celle-ci : - Non, non, non... Tu dois sortir pour la récupérer ! - Tu es fou, devant tout le monde ? - Il n'y a presque personne... - Arrête, donne-moi ça ! - Non, tu n'as pas bien compris... Jacques a dit "Sors de la voiture si tu veux récupérer ta robe". Bon sang, ce salaud veut m'exhiber. Probablement que ça l'excite... J'ouvre la portière et je le vois loucher sur mes seins nus alors que je me penche pour sortir de la voiture. images similaires - Allez, rends-la moi maintenant ! - Ferme d'abord la porte... Je referme la porte du 4x4 rapidement. Je vois quelques personnes aux alentours subjugués de me voir en tenue d'Ève. images similaires Antony me tend enfin la robe, mais il se rétracte soudain au moment où un camion passe à côté de nous. Je dois cacher mes seins avec mes bras mais n'ai pas le réflexe de dissimuler mon entrejambe nu... images similaires J'attrape ma robe en lançant un regard furieux à Antony. Je la renfile rapidement et plutôt maladroitement. Dans la précipitation, je mets finalement assez longtemps à reprendre une tenue à peu près décente. images similaires Antony est mort de rire... - Bon, allez, va chercher une culotte dans la voiture, ton sac est sur la banquette arrière. J'y vais. Je me retourne à mi-chemin pour constater qu'il reluque mon cul à travers la robe un peu transparente. images similaires La portière arrière est fermée. J'ouvre donc la porte de devant et me penche pour attraper la culotte. J'entends Antony derrière moi qui commente tout fort: - Eh ! On voit ton cul et ta moule. Décidément, non seulement ça l'excite de me voir baiser un inconnu, mais m'exhiber en m'humiliant semble lui plaire aussi ! images similaires J'essaye de tirer un peu sur le bas de la robe pour cacher mes fesses. En deux secondes, Antony est derrière moi et soulève ma robe encore plus pour vraiment dégager mes fesses. - Jacques a dit "Ne dissimule pas ses magnifiques fesses". images similaires Je le laisse faire. J'essaye de me presser de trouver cette foutue culotte dans mon sac. Je suis à quatre pattes dans la voiture mais pas moyen de mettre la main dessus. Ai-je oublié mes culottes chez Séverine ? Ou bien est-ce Antony qui me joue un tour à sa façon ? images similaires Alors que j'essaye de reculer pour sortir de la voiture, faisant une croix sur cette culotte, Antony m'empêche de bouger, se calant contre moi. Soudain, je le sens me mettre un doigt sur l'anus et le faire pénétrer lentement. images similaires Je feule de plaisir à ce contact. Comme il est positionné, me repoussant un peu dans la voiture, peu de monde peut finalement distinguer ce que nous faisons. Soudain, il retire son doigt. J'entends le bruit de sa ceinture qu'il retire. Je sens rapidement son gland contre ma chatte. Il me pénètre. Je pousse un profond gémissement de plaisir. images similaires Une prise de conscience soudaine me gâche un peu le plaisir : - Hey ! T'avais promis à Séverine que tu te contenterais de fellation. - Séverine n'est pas dupe de ce dont nous sommes capables toi et moi... - Quand même, tu la trompes. - Non tu lui rends service en me permettant d'assouvir tous mes fantasmes sans qu'elle en subisse les conséquences... et ose me dire que tu n'aimes pas ce que je te fais ! Son doigt dans mon cul m'a donné des idées. Je me tourne en souriant : - Sodomise-moi ! images similaires - Salope, j'en étais certain ! Lentement, il se retire. Sentir son sexe dur et palpitant sortir millimètre par millimètre de ma chatte est absolument délicieux. images similaires Antony me pousse en avant pour que mon cul se retrouve bien dressé. Il n'a pas réellement besoin de me forcer l'anus tant celui-ci est dilaté par la simple excitation des événements de ces dernières heures. images similaires Après s'être rentré jusqu'à la garde, il se met aussitôt à pilonner si fort que je ne peux retenir mes cris. Je sens les lèvres de ma chatte s'ouvrir à chacun de ses assauts. images similaires Un type passe à côté de la fenêtre face à moi. Il s'y attarde quelques instants, abasourdi de ce qu'il découvre. Antony l'a certaine vu aussi. Cela doit l'exciter car je le sens encore grossir en moi. Et cela semble l'achever. Il se retire soudainement et se branle frénétiquement pour éjaculer sur mes fesses. images similaires Il ouvre la boîte à gant. Mes culottes sont là... Quel salaud ! Il en prend une et essuie le sperme avec : - Celle-ci, elle est fichue. - Tu m'en passes une, s'il te plaît ? - Pas la peine, tu es parfaite comme ça et puis on la verrait à travers ta robe. - De toute façon, je crois que je n'ai pas le choix, si ? - Tu as bien compris... On va s'installer au chaud dans la cafétéria pour manger nos sandwichs ? Il se rhabille et se recule pour me laisser sortir. Je remets ma robe. images similaires En y allant, je reconnais le camionneur devant lequel Antony m'a exhibée un peu plus tôt. Celui-ci nous emboîte le pas jusqu'à la cafétéria puis va rejoindre deux autres types, probablement également camionneurs. Les trois types me dévisagent. Antony s'installe à une table en leur tournant le dos. Je m'installe face à eux. Pendant que l'on mange nos sandwichs, Antony me demande de m'exhiber : - Écarte les cuisses pour les trois types là-bas derrière moi... - Déconne pas, après ils vont me violer. - Te violer ? Qui pourrait te violer, tu es consentante avec n'importe qui, n'importe où, n'importe quand... Alors pourquoi pas ces camionneurs ? Je m'exécute et écarte les cuisses à leur intention. Je me caresse même le clito une fois ou deux pour les exciter. images similaires Mon public est attentif. Les gars ne mangent plus et gardent la bouche entrouverte. Limite, ils baveraient. Antony les observe via le reflet dans une grand vitre sombre derrière moi : - Ils sont bien mûrs ceux-là... - Je peux arrêter ? - Non, mets-toi un doigt. - Hors de question, pas ici ! - Jacques a dit "Mets-toi un doigt"... Je m'exécute... images similaires Les mecs ouvrent de grands yeux et je crois même distinguer des bosses impressionnantes dans leur pantalon. Antony est content du résultat : - Bon, je vais te laisser. Je vais faire une petite sieste avant t'attaquer le reste de la route. - Je t'accompagne. - Non, tu restes là et tu continues à te caresser. Tu me rejoindras dans vingt minutes. Une fois Antony parti, je me sens à la merci de ses trois camionneurs qui m'observent. Je suis si excitée que je me caresse plus ouvertement. images similaires Je les vois se trémousser à leur table, sans doute gênés par une érection galopante. Je continue à me masturber ainsi et je parviens même à me faire jouir de manière assez discrète, si on exclut mes yeux fermés, ma bouche entrouverte et mon profond soupir. images similaires Je me relève et ne rajuste ma robe qu'après avoir laissé le temps aux camionneurs d'avoir pu voir ma moule trempée. images similaires Je veux me laver les mains avant d'aller retrouver Antony. Je dois passer à côté des camionneurs pour aller aux toilettes. Arrivée à leur niveau, l'un d'eux m'interpelle : - Hé, ma jolie ! T'aurais dû demander notre aide si t'avais besoin de tirer un p'tit coup plutôt que de faire ton affaire toute seule dans ton coin... - Oui, mais on n'est jamais si bien servie que par soi-même ! - Pfff... Salope ! Je passe mon chemin et entre dans les toilettes. Je commence par me laver les main et décide de me rafraîchir un peu la chatte avec de l'eau fraîche. Alors que j'ai la robe retroussée sur les hanches et que je me nettoie la moule, entre un jeune homme en blouse pour faire le ménage. Il est très grand et plutôt costaud avec le teint basané. Il n'a curieusement pas remarqué ma présence. Il verrouille la porte pour ne pas être dérangé et me découvre la chatte à l'air en se retournant. images similaires J'ai tout juste le temps de me rajuster, mais il a bien sûr largement eu le temps de voir mon sexe nu. Il s'adresse à moi d'un ton autoritaire alors qu'il semble beaucoup plus jeune que moi : - C'est fermé, je dois faire le ménage. - Je suis désolée, je vais sortir... - Trop tard, j'ai fermé à clé. Au moment où je passe à côté de lui pour regagner la sortie, il attrape le tissu de la robe au niveau de la nuque et tire un grand coup sec, la déchirant tout le haut du dos et me laissant totalement nue. Il m'attrape par la taille et m'attire à lui. images similaires Je me dégage de son étreinte et cours jusqu'à la porte. Elle est fermée à clé, effectivement, impossible de m'échapper. Je suis nue, offerte à tous ses désirs et contrainte de me plier à ses exigences. images similaires - Tourne-toi que je vois ton cul. Il mastique un chewing-gum et s'approche plus du comportement d'un camionneur que celui d'un prince charmant... J'obéis et me tourne en écartant un peu les cuisses et en me cambrant légèrement. images similaires - T'es une putain de salope ! Tu vas pas t'en tirer comme ça... Une bosse impressionnante prend forme dans son pantalon de travail dont la toile souple se tend rapidement sous la pression de l'érection. Rien que d'imaginer cette bite tendue, ça me met dans tous mes états. Et je m'entends l'inviter : - Vous n'allez pas vous contenter de regarder, quand même ? images similaires Il rigole et s'approche : - Penche-toi ! J'exécute son ordre. images similaires Il se caresse la bite à travers son pantalon. Celle-ci semble jouer librement sous la toile, comme s'il ne portait ni slip, ni caleçon. L'excitation monte et je l'exhorte à ne pas tarder : - Prenez-moi, je n'en peux plus ! images similaires - Petite pute ! Puisque tu la veux, tu vas l'avoir ! Il déboutonne son pantalon et le baisse. Je me sens mouiller en découvrant que son sexe est effectivement libre et bien bandé. Je m'appuie au mur, jambes écartées. Il s'approche et me fourre sa queue entre les cuisses pour me prendre en levrette. images similaires Il me baise sauvagement. Mais il a l'air de me trouver à son goût et fait quelques efforts pour me complimenter un minimum : - T'es sacrément bonne, salope ! Je ne dis rien mais apprécie de sentir sa grosse bite aller et venir en moi alors qu'il m'embrasse dans le cou. images similaires Je commence à être bien chaude et sens que l'orgasme peut arriver mais il s'interrompt et m'attrape aux hanches pour me retourner et m'empaler sur sa tige, gardant ses mains sous mes fesses. images similaires Il me fait ainsi monter et descendre sur son sexe, avec une facilité déconcertante. Il me fait même remonter si haut qu'il parvient à me lécher les seins. images similaires Cette position, bien que très agréable, m'est moins confortable que la précédente et mon orgasme ne vient pas. En revanche, le jeune homme manque de résistance et, assez vite, il éjacule en moi une incroyable quantité de foutre. Quand il se retire, je sens son sperme chaud couler de ma chatte. images similaires En moins d'une minute, il se nettoie la bite au lavabo et sa rajuste, me laissant à peine le temps de chercher des essuie-mains pour nettoyer mon entrecuisse pleine de sperme. Je n'ai pas encore terminé de me nettoyer qu'il sort déjà en laissant la porte grande ouvert. Juste à ce moment, les trois camionneurs passent dans le couloir et s'arrêtent pour m'observer, avec de grands sourires. Je cache ma poitrine par pudeur mais j'oublie ma chatte dégoulinante de sperme. images similaires Les trois hommes entrent dans les toilettes. J'essaye de ne pas perdre la face : - Messieurs, voyons, ce sont des toilettes pour dames ! - Tu rigoles, le larbin a pris du bon temps et nous on doit te foutre la paix ? - Laissez-moi, s'il vous plaît... - Nous aussi on veut prendre du bon temps ! Je suis face au miroir et j'essaye de me tourner pour qu'ils voient le moins possible ma chatte. images similaires L'un d'eux semble s'impatienter : - Si on s'en va, on dit à ton copain que tu viens de te taper un rebeu... Antony sera sûrement très excité par cette information mais je préfère jouer leur jeu... - Oh non, s'il vous plaît ne faites pas ça ! - Alors vire tes mains et montre nous ton corps de salope !! J'arrête ma fausse pudeur et je dévoile ma nudité. images similaires - Tourne-toi, sale pute ! Je leur montre mon cul. - Ouais, t'es sacrément bandante ! - C'est pas tous les jours qu'on rencontre une salope dans ton genre. images similaires Je décide de me plier à leurs ordres. Antony a raison, j'adore être humiliée et qu'on me domine... - Maintenant, caresse-toi les nichons pour faire pointer tes tétons. Je fais exactement ce qu'ils me disent de faire mais mes mamelons n'ont pas besoin de ces caresses pour s'ériger, tant je suis excitée. images similaires L'un des gars ouvre furtivement la porte et place devant un panneau "Entretien en cours". Ensuite il referme la porte à clé. Sans se concerter, ils se foutent tous les trois à poil. L'un d'eux m'explique la suite, comme si c'est nécessaire... - A genou ! Pas besoin d'un dessin, à peine à genou que je vois les trois bites dressées de ces messieurs se placer devant mon visage pour que je les suce, ce que je fais bien volontairement. images similaires Je les suce à tour de rôle ou parfois à deux en même temps et ils n'arrêtent pas de me parler crûment : - Ton mec n'a pas trois bites, et c'est ça qu'il te faut, hein ? - Oh oui t'aime ça, petite pute ! - Tu vas bien tout nous pomper jusqu'à la dernière goutte... images similaires Je m'applique autant que possible même si ces mecs sont loin d'être les apollons que je rêverais de sucer. Rapidement, un premier éjacule sur mes seins en râlant "Oh putain de salope !". images similaires Le second l'imite dans la foulée et m'asperge à son tour les seins de sa semence gluante. Il lâche en même temps un cri de libération particulièrement intense. images similaires Le troisième semble attendre que son collègue ait terminé pour jouir à son tour. Lui vise plus haut et m'envoie tout au visage, sans râler, comme s'il avait l'habitude de ce genre de chose. images similaires En quelques minutes, ces messieurs se nettoient et de se rajustent, sans se soucier de moi, couverte de sperme, à genou au milieu des toilettes. Je m'enferme dans une cabine de toilettes pour me nettoyer rapidement avec du papier toilette et renfiler ma robe qui tient tant bien que mal malgré la large déchirure dans le dos. images similaires Je retourne à la voiture rapidement en prenant garde que ma robe ne s'ouvre pas trop dans le dos, la déchirure atteignant presque les fesses. Mais finalement, qu'importe puisque la robe est déjà presque transparente et que je ne porte aucun sous-vêtement... images similaires Antony se réveille quand je m'assieds dans la voiture. Alors qu'il tourne le contact, il se tourne pour me dire : - J'ai fait une bonne petit sieste, ça va mieux. Il s'arrête et m'observe quelques instants avant de demander : - Tu sens le sperme à plein nez. Tu t'es tapée les trois camionneurs ? - Oui et un garçon qui faisait l'entretien des toilettes... - Tu te surpasses, il va falloir que tu me racontes tout ça en détail. Nous repartons. Je lui raconte donc tout en lui donnant les détails qu'il demande. Il m'avoue qu'il trouve ça super excitant. Il m'avoue aussi que Séverine est persuadée que je suis une fille esseulée. Mais quand ils ont senti l'odeur du sperme à mon arrivée vendredi soir, ils se sont dit que finalement j'étais peut-être une belle salope. Séverine qui n'aime pas trop faire des pipes s'est alors dit que c'était peut-être l'occasion de satisfaire Antony. En gros elle m'a fait croire que c'était par pitié par ce que je suis célibataire, mais en réalité, elle me considère comme une pute... Je suis un peu furieuse par ces révélations. On arrive chez moi peu après 23h00. Antony, très excité par mon récit de l'aire de repos, commence à me tripoter. Mais je suis encore un peu vexée de ce qu'il m'a avoué et je veux aller prendre une douche. Je le repousse donc et je me déshabille au milieu du salon en lui tournant le dos, en guise de punition. images similaires Je me doute bien qu'il n'en perd pas une miette mais j'espère que ça le frustre un peu quand même. Je le laisse en plan dans le salon pour aller prendre ma douche. Curieusement, il ne me suit pas... Vexé ? Je rentre dans la douche et tourne le robinet. L'eau tiède me fait le plus grand bien. images similaires Je repense à mes trajets en train, aux blacks qui ont déboulé chez moi à mon retour et à ce qui s'est passé sur l'autoroute : finalement, je suis bel et bien une vraie salope. Certes, on m'a beaucoup forcée, mais j'ai adoré ça et je pense que je devais chercher ces situations incroyables... et mes agresseurs devaient sûrement le sentir. Soudain, le rideau est tiré d'un coup sec. Antony est à poil et m'observe. Il affiche une belle érection mais ne rentre pas me rejoindre. images similaires S'il est vexé, pourquoi s'être mis à poil pour venir me reluquer ? Peut-être au contraire a-t-il parfaitement compris ma vraie nature. Il sait que je ne vais pas résister à la vue de sa bite dressée. Effectivement, comment résister ? Et pourquoi résister, d'ailleurs... Je me caresse les seins et l'invite à me rejoindre. images similaires Il s'approche, je lui caresse les couilles. Elles semblent bien pleines. Le contact de mes mains sur son sexe semble le faire durcir encore un peu plus. Antony ne résiste pas davantage ! Il me prend aux hanches et me soulève pour m'empaler sur son dard, sous la douche. Sa queue me transperce jusqu'à la garde. La pénétration est divine ! images similaires Puis il se retire, me retourne et me prend en levrette. C'est encore meilleur ! Dans cette position j'ai l'impression que chaque millimètre de ma chatte reçoit du plaisir de chaque millimètre de sa bite ! A mes gémissements, il voit bien que j'adore cela. Pourtant, il se retire brusquement. Sans attendre, je me retourne et m'accroupis pensant lui faire une fellation mais il se sauve prétextant qu'il a toute la nuit pour en profiter. Je le regarde, sans trop comprendre sa réaction... Décidément ! j'ai bien du mal à le cerner ce soir... Il reste pourtant dans la salle de bain à me regarder me doucher, sans débander. images similaires Je sors. Il me tend une toute petite serviette avec laquelle je me sèche. - Il faut que je file dans la chambre, je n'ai pas pris de fringues... - Pas grave, prends ma chemise... Il me la tend, je l'enfile. Il est plus de minuit, ça sonne à la porte ! Avant qu'il ne réponde, je lui dis : - Il faut que j'aille chercher une culotte ou une jupe... - Pourquoi ? - Parce que vu que tu es à poil et que tu bandes comme un âne, il faut bien que j'aille ouvrir. Alors tu vas me laisser passer pour que je puisse aller m'habiller rapidement. images similaires - Non tu vas rester comme ça pour aller ouvrir. - Tu plaisantes, je n'ai pas la moindre idée de qui ça peut être ! - C'est bien ça qui est excitant... - Je peux quand même mettre une culotte ? - Non ! - Je ferme mon chemisier alors. images similaires - Tu peux fermer un bouton au niveau du nombril. Je vais ouvrir alors que mes tétons pointent de manière arrogante à travers la chemise et que le décolleté offre une vue parfaite sur mes seins, sans parler de mon sexe et de mes fesses totalement nus. images similaires En ouvrant la porte, je suis stupéfaite de reconnaître le black du train, celui du premier trajet et qui était repassé avec trois potes à lui. Il a l'air déçu en apercevant Antony : - Ah merde, tu n'es pas seule. Je me retourne et voit qu'Antony est là, complètement nu et en érection. images similaires C'est Antony qui lui répond : - Bonjour monsieur. J'explique à Antony qui c'est : - Il s'agit du gars que j'ai rencontré la première fois où je suis venue voir Séverine à Bordeaux... - Ah oui. Tu m'en as parlé. Ne faite pas attention à moi, monsieur, je ne suis que spectateur. Par contre, je veux bien récupérer ma chemise... Il tend la main vers moi. Je retire la chemise et, seins nus, impudique, lui tends. Il va s'installer dans le fauteuil et pose la chemise à côté de lui et commence à se branler. images similaires Tout en étant à son affaire, Antony invite le black à entrer : - Entrez, entrez donc ! Mettez-vous à l'aise et installez-vous à côté de cette salope... Le black s'amuse de cette invitation insolite. Le black regarde mes seins : - Toujours aussi belle... - Merci ! - Et toujours aussi salope ? C'est Antony qui répond à ma place : - Voyez-vous, elle commence seulement à s'assumer en tant que salope. Par exemple, elle adore se faire diriger... Le black me regarde d'un air entendu. Ça le black le savait déjà. Antony s'adresse à nouveau au black. - Si vous êtes d'accord, je crois qu'elle adorerait revoir votre sexe. Sans attendre une réponse du black, je le libère. Il bande déjà bien, je saisis son gigantesque sexe pour le masturber. images similaires Antony se branle toujours et m'invite gentiment à sucer cette grande tige d'ébène : - Monsieur ne veut peut-être pas se contenter d'une poignée de main... Tu peux peut-être l'embrasser. Je me penche sur la splendide queue et prends son gland entre mes lèvres. Antony vient s'installer à côté de nous : - Allez, essaye aussi un peu celle-ci. J'abandonne à regret la bite du noir pour me tourner vers Antony et le sucer alors qu'il tend une main derrière mon cul pour me palper la moule : - Tu mouilles déjà bien, salope. images similaires Je sens son doigt remonter et s'attarder sur ma rosette. Lentement, Antony fait entrer son index dans mon anus. La sensation n'est pas désagréable. Antony voit bien que ça me plait : - Oh, mais tu es très dilatée par là, ma belle ! images similaires Antony poursuit : - Monsieur, je vois que vous êtes bien doté. Cette petite pute est si ouverte du cul que même avec votre monstre vous ne pourrez lui faire que du bien ! Le black ne dit rien, il s'amuse de voir Antony me traiter comme une chienne, un simple objet sexuel. Je le sens vite appuyer son gland contre ma rosette. Effectivement, la pénétration n'est pas douloureuse, au contraire. images similaires Je crie de plaisir, mais ça ressemble autant à des cris de douleurs. Cela semble l'exciter, il se déchaîne et je crie encore plus. Il me sodomise tant et si bien que j'ai du mal à sucer Antony. Cette incroyable pénétration me fait autant d'effets que la première fois, dans le train, et je sens l'orgasme monter. Mon corps est secoué par les spasmes du plaisir. Cela déclenche l'éjaculation imminente du black, il se retire et m'attrape par la taille pour me retourner. Sa queue est face à mon visage et je vois le sperme s'écouler lentement de son gigantesque gland et s'écraser sur mes lèvres et mon menton alors que je suis encore dans mon orgasme. images similaires Quand il semble avoir terminé. Antoine me demande de reprendre la queue du noir en bouche pour le nettoyer. Je suis si excitée par cette énorme bite que je le fais sans rechigner. images similaires Quand il juge sa queue suffisamment propre, le black se rhabille et sort avec juste un "Au revoir et merci". Il a tiré son coup, il est content, il se casse... Moi j'ai le cul défoncé ! Je m'allonge sur le canapé et j'écarte largement les cuisses pour aérer mon entrejambe brûlant. images similaires Antony, à juste raison, considère cela comme une invitation. Il s'approche, bite tendue. Il plie les jambes pour se mettre à niveau et, d'un coup de reins, me pénètre. images similaires Ma petite chatte ne demande pas mieux. Sa bite est un délice entre mes cuisses. Je le laisse mener le rythme à sa guise. Il semble si excité que je me demande moi-même s'il n'est pas plus gros que d'habitude. Au bout de quelques minutes, il décide de changer de position et me bascule sur le côté, tout en continuant à me pilonner. images similaires Il ne garde pas longtemps cette position bien que moi je la trouve très à mon goût et me retourne complètement pour continuer en levrette. Il profite que mes seins pendent librement sous mon torse pour en attraper un et le malaxer. images similaires Puis il me bascule complètement sur le divan et m'attrape aux hanches. Contre toute attente, je sens un nouvel orgasme venir. Je redresse mon cul vers Antony pour qu'il me baise encore plus loin. images similaires - Ah t'aimes être prise comme par le cul, hein ?! - Oh oui ! Oh oui ! Continue ! Il me sert les jambes et continue à me baiser malgré l'étroitesse. Mais je mouille tellement qu'il n'a aucune peine à aller et venir en moi. images similaires L'orgasme est là, je jouis. Je me sens fondre. Je crie. Mon corps vibre mais Antony me maintient fermement et m'empêche de remuer. Il continue à me prendre comme si je n'étais pas en train de jouir. Il ressert encore plus mes cuisses comme pour réduire le passage pour son sexe. Il m'écarte les fesses pour voir son sexe s'enfouir en moi alors que mon orgasme me laisse dans un état de demi-conscience. images similaires Ce n'est qu'au moment de jouir qu'il desserre son étau et m'écarte les cuisses. Il sort de ma chatte et se met à éjaculer sur mon cul et ma chatte en poussant de grands cris et des commentaires à mon intention : - Oh putain ! C'est bon ! Qu'est-ce que c'est bon ! Ta chatte est aussi bonne que ton cul ! images similaires Je me vautre sur le lit, complètement vidée, en sueur. J'imagine qu'il fait pareil car je m'endors assez rapidement. images similaires Au réveil le lendemain, Antony est déjà parti pour son rendez-vous. Il m'a laissé un mot "Je vais me débrouiller pour avoir à revenir régulièrement sur Lyon et tu pourrais peut-être prendre un abonnement SNCF Lyon-Bordeaux..." Et c'est ce que j'ai fait. J'ai pris un abonnement. Nous faisons quelques parties à trois avec Séverine. Antony vient aussi de temps en temps me rendre visite chez moi et, en semaine, de nombreux mecs défilent dans mon appartement pour venir se vider. Depuis mes trajets en train plutôt scabreux, l'information circule comme quoi il y a une fille à Lyon qui adore le sexe et ne refuse aucune bite...

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