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Maryaline 15 juillet 2012

Je reçois une lettre Cela fait un certain temps que nous échangeons sur Jalf et nous avans appris à nous connaître et à nous apprécier. J'aime dominer virtuellement la belle libertine sans tabou que tu es et tu apprécies mon côté pervers. Aussi lorsque je te propose de fêter ton anniversaire après un peu d'hésitation tu acceptes. Je t'emmène dans un grand restaurant où un serveur se tient juste à côté de notre table. Tu as mis une superbe robe fendue et très décolletée. Alors me souvenant de tes histoires je te demande : « es-tu nue dessous ? » Tu rougis et regarde le serveur à la dérobée et tu murmures un inaudible : « Non » « Non qui, Maryaline ? » « Non Monsieur » « Et que portes-tu sous cette robe ? » « Un string Monsieur » « Va l'ôter et donne-le moi à ton retour ! » Tu te lèves et ton regard croise celui du serveur qui sourit tu es morte de honte. Pourtant tu t'exécutes et c'est avec excitation que tu me tends ton string. A la fin du repas je te dis qu'il est temps pour toi de recevoir ton cadeau et nous partons en voiture et au bout d'une demi-heure nous arrivons à une fermette entièrement restaurée avec soin. Au moment de pénétrer dedans je te bande les yeux pour mieux apprécier la surprise. Je te sens fébrile mais tu te laisses faire. Nous entrons dans la maison et je te conduis à un escalier lentement nous le gravissons vu que tu as les yeux bandés. Nous entrons dans une pièce et là je t'ordonne de retirer ta robe. Docile tu obéis et je lève ta jambe et tu te retrouves dans un jacuzzi à deux voire trois personnes. L'eau est chaude et agréable. Je me déshabille rapidement et entre dans le bain à remous à mon tour et avec un gant commence à caresser ton corps. Tes seins, ton ventre, tes cuisses... Je te retourne et lave doucement tes fesses le gant s'insinue partout et tu te laisses faire. Le fait de ne rien voir accentue l'effet. Puis te plaçant juste au-dessus d'un remous afin qu'il masse ta chatte je te mets à genoux caresse tes seins pince les tétons et lorsque tu ouvres la bouche y enfonce ma grosse queue... « Suce ma belle ! Et applique-toi ! Je sais que tu en meurs d'envie ! » Le fait est que tu la branles la lèches et la suces avec frénésie et appétit ! Ma queue est déjà dure. Je sors du bain et t'aide à sortir te sèche, ta chatte est trempée d'excitation et te mets une paire de menottes de cuir aux poignets et une autre aux chevilles et je relie les 4 par une chaine en X; assez large pour permettre les mouvements et les restreignant quand même. J'ajoute un collier et une laisse. « A quatre pattes chienne ! » Et comme tu ne t'exécutes pas je te donne un coup de cravache; tu obéis en me suppliant. « Tais-toi esclave je vais te donner ton cadeau d'anniversaire. » Et nous descendons l'escalier moi debout et toi nue à quatre pattes, tirée par ma laisse. Je m'arrête et t'ordonne de faire la belle afin d'avoir un susucre. T u résistes mais immobilisée et deux coups de cravaches te font entendre raison tu te mets accroupie et lèche mon gros gland avec plaisir et c'est là que j'ôte ton bandeau et que tu vois assis quatre hommes et une femme te regarder avec délectation. Plusieurs se branlent déjà et tu comprends avec horreur ce que sera mon cadeau d'anniversaire... Atterrée tu arrêtes de me sucer alors je t'empoigne et m'asseyant sur un large fauteuil t'administre une fessée magistrale ! Les claques s'abattent sur ton pauvre petit cul en feu et les quatre hommes s'approchent en se branlant. « Approchez mes amis venez jouir du spectacle en attendant de jouir de cette petite pute ! » Ils sont nus et se caressent. Ils rient de toi. Ils ont entre 40 et cinquante ans la femme vêtue de noir à la manière d'une domina a une trentaine d'année. T'entendre pleurer me fait encore plus bander. J'arrête de te fesser et passant le doigt sur ta chatte je constate son humidité. « Regardez elle mouille cette salope ! » Tous mettent le doigt et ajoute un commentaire salace et injurieux à ton égard je te sais morte de honte et me délecte. Je te relève et tirant sur la laisse t'emmène toujours à quatre pattes sur une table basse au milieu de fauteuils et d'un canapé. Tu te retrouves à 4 pattes sur cette table alors que tous se sont assis et te regardent sauf un qui s'est assis aux pieds de la femme. Tu remarques alors qu'il porte un collier comme toi. « Alors ma chère Maîtresse Gaïa si nous procédions à la saillie de nos animaux domestiques ?" dis-je. Elle me répond : " Votre petite chienne a du chien c'est indéniable ! Reste à savoir si elle est apte à procréer ! " Alors elle se lève et t'ausculte méticuleusement. Tu veux l'en empêcher mais elle et moi te maintenons fermement. Elle te murmure même à l'oreille: " je suis vétérinaire alors j'ai l'habitude des petite chienne rétive comme toi !" Elle sort d'un sac différents instruments dont un spéculum vaginal puis un rectal et te fouille en commentant: "Votre chienne est très propre en autre du cul on voit bien qu'elle s'est fait un lavement dans l'espoir d'être enculée" Les hommes rient de toi et se branlent encore plus en s'apercevant que tu es une petite vicieuse qui aime le cul ! Et tu pleures de honte et je baise ta bouche et me délecte de ces larmes qui coulent sur tes joues et accentuent mon érection. Puis ayant fini son auscultation Gaïa déclare: " Oui c'est une bonne femelle pour mon mâle." « Hector debout et viens baiser !!!" hurle-t-elle... Et Hector se lève et te prenant en levrette enfonce d'un coup sec sa grosse bite dans ta chatte. Il te baise sans préparatif et d'une façon quasi animale tu entends son souffle rauque tel un chien. Il te tringle rapidement et mécaniquement. Gaïa l'encourage en lui cravachant le cul et les autres hommes lui crient : "Allez baise cette petite salope !" Moi je baise ta bouche de ma grosse queue et sous tes yeux embrasse Gaïa... Oui et je te regarde jouir avec plaisir... Je te sais vaincue, humiliée et à ma merci. Le chien de Gaïa jouit à son tour mais sur ton cul et tu sens les giclées de sperme se répandre sur tes fesses. « Mais tu jouis sans mon autorisation chienne ! » « Toi aussi esclave ! » Ajoute Gaïa à son soumis et elle le cravache sur la verge et sur les fesses. Pour ma part je m'empare d'un martinet et fouette ta croupe avec force ! Puis au bout d'un moment te voyant en larmes je dis aux 3 hommes présents : « Messieurs je crois qu'il est temps pour cette petite chienne de souffler les bougies de son cadeau d'anniversaire... » Ils sourient se lèvent et s'approchent de toi la bite raide. Ils te font face en se branlant et je te dis : « ton dessert préféré le banana split avec sa banane et ses belles boules et sa chantilly mais en trois exemplaires car je sais que tu es une petite gourmande insatiable salope ! Que dit-on à son Maître ? » Et comme tu ne réponds pas assez vite tellement obnubilée par ces 3 queues je claque ton cul très fort en criant : « Alors que dit-on à son Maître salope ? » « Merci Maître. » « Bien suce et branle avec soin ces trois verges régale mes amis et régale toi sale pute ! » Tu prends une queue dans chaque main et les branle et le plus vieux et le plus pervers des 3 t'enfonce sa grosse bite dans la bouche. Il baise ta bouche avec force et son irrumination est violente. Tu suffoques et baves mais continue à les branler. Gaïa a ôté sa jupe en latex et assise dans un fauteuil se fait lécher par son soumis en te regardant. Moi je te doigte le cul et d'un coup sec je t'encule de ma grosse queue. Hummmmmm le passage est étroit et douloureux mais c'est si bon de forcer le cul d'une petite salope. Je te sens frémir mais je poursuis mon œuvre et enfonce cette grosse pine dans ton petit cul. « Son cul doit être bon à cette pute ! » Dis l'un des hommes. « Explosez-lui le cul à cette branleuse ! » rajoute un autre. Et tu sens tout comme moi mon gros gland forcer le passage de ton petit œillet. Je te déchire et malgré toi tu aimes... Puis le gland passe et la hampe suit toute ma queue te pénètre et je reste planté en toi. A poil sur une table, enculée, une queue baisant ta bouche et une bite dans chaque main tu prends conscience de ton humiliation. Tu n'es plus qu'un objet sexuel entre les mains de pervers qui useront et abuseront de toi. Mais le pire de la honte c'est que tu sais que tu aimes ça car tu sens ta chatte de nouveau redevenir humide et ton clito et tes tétons se durcir... « Mais elle vient encore de jouir cette petite pute !!! » Je te fesse violemment tout en t'enculant comme un fou ! Celui qui baisait ta bouche jouit à son tour et son sperme la remplit Tu avales et déglutis et tirant sur la laisse je t'ordonne : « Nettoie sa queue ! » Ce que tu fais comme une bonne chienne puis tu branles et suces les 2 autres queues avec rage et passion. Tu n'es plus toi-même ou plutôt tu es enfin la femelle en chaleur, la chienne lubrique qui sommeillait en toi. Je tire sure la laisse et bloque tes bras par derrière pour bien exposer ton visage et ton buste, la queue toujours plantée dans ton petit cul. Se branlant comme des malades, ils jouissent sur toi inondant ton visage tes seins, tes cheveux de sperme... Tu le sens couler sur ta face, dans ta gorge, tes yeux où se il se mêle aux larmes... Les trois hommes rient et me félicitent d'avoir une si belle petite chienne. Je te murmure: « ce n'est que le début Maryaline... Tiens regarde comme tu es belle ! » Gaïa un sourire sadique aux lèvres envoie son chien chercher une psyché et plaçant le miroir face à toi tu peux te voir à quatre pattes, baisée comme une chienne par derrière et le visage, la poitrine et les cheveux pleins de foutre, même ton maquillage à couler du fait des larmes. Tu es pitoyable et pourtant ta beauté est encore plus éclatante. « La voulez-vous Gaïa ? » « Je n'osais vous le demander » « Allez venez et baisez cette chienne ! Sa chatte est béante et j'ai bien ouvert son cul » Son soumis lui apporte un superbe gode ceinture, elle le met et s'approche de ton visage je continue à t'enculer lentement et méticuleusement et plaçant le gode sur tes lèvres elle te dit: « Suces chienne et humidifies-le bien dans ton propre intérêt ! » Tu suces avec avidité et tu en baves de mon côté je te donne de puissants coups de reins pour bien t'exploser le cul et je te baise profondément. Gaïa quitte ta bouche et se place derrière toi et te prend lentement tu sens le gode ouvrir les chairs de ta chatte et tu gémis chienne... De mon côté je place mon gros pénis en érection sur tes lèvres et t'ordonne de le sucer et de le lécher. « Suces ma bite salope et goûte ton cul elle en sort après l'avoir bien ramoné ! » Et tu lèches, suces, gobes mes couilles. Gaïa te gode fort maintenant et tu mouilles. On le sait en entendant le bruit caractéristique que fait un gode ou une queue quand il pénètre une chatte trempée de mouille... Les hommes tout en se branlant t'insultent te traitent de pute, de petite chienne en chaleur... N'y tenant plus je prends ta tête et baise ta bouche et ma queue s'enfonce dans ta gorge ! Tu baves et mouilles à la fois... Gaïa te gode profondément et moi je te baise la bouche. Cela excite de nouveau les hommes qui se lèvent pour mieux jouir du spectacle de ta déchéance et se branlent comme des malades tellement tu les excites... Putain, chienne sac à foutre, etc. Tu entends toutes ces insultes glisser sur toi comme des caresses et des claques sur les fesses. Gaïa a décidé de t'enculer et le gode déchire ton petit cul heureusement déjà ouvert par ma grosse bite.

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