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Maryaline
15 juillet 2012
Je reçois une lettre 2

Il me met un collier de chienne en cuir.et des bracelets aux poignets et aux chevilles.
« Installe-toi sur le tabouret »
Je me retourne pour voir un haut tabouret de bar.
Celui-ci est d'un modèle particulier, il ne comporte pas de dossier. La seule manière de s'asseoir dessus est de se placer à califourchon.
Je suis quelque peu décontenancée par la situation.
En m'installant sur le tabouret, il est évident que ma chatte, fraîchement épilée à la cire le matin même, sera exposée.
C'est la première fois que je me trouve seule dans cette position face à des inconnus.
A l'aide de mousquetons, il attache mes poignets à un anneau du collier situé derrière ta tête.
Malgré l'inconfort de la situation, je me redresse pour avoir le dos bien droit en faisant ressortir avantageusement ma poitrine.
Je sais que c'est ce qu'ils attendent
Reprenant leur place, ces hommes laissent s'écouler quelques interminables instants dans un silence qui n'est troublé que par le bruit des verres de champagne qu'ils boivent avec une lenteur exaspérante.
L'un deux prend alors une feuille de papier qu'il relit.
C'est l'historique des mails que j'ai eu avec mon maitre virtuel.
Mes caractéristiques de petite salope lubrique y sont largement développées. Les hommes ne manquent pas de souligner chacun des points, parfois avec finesse, à d'autres moments, avec plus de lourdeur.
« Quel âge as-tu ? »
« 24 ans messieurs »
-« Quand as-tu commencé à travailler ? »
« A 16 ans messieurs »
« Es-tu mariée ? »
« Non messieurs »
« As-tu des enfants ? »
« Non messieurs »
« Est-ce que tu fumes ? »
« Non messieurs »
-« Quel travail exerçais-tu avant ? »
« Caissière messieurs »
Les questions, anodines au départ, me rassure un peu malgré ma position obscène mais prennent petit à petit un caractère plus intime.
-« A quel âge as-tu embrassé un garçon pour la première fois ? »
« A 11 ou 12 ans messieurs »
« Quand as-tu eu tes dernières règles ? »
Je rougie.
« La semaine dernière messieurs »
« T'es-tu caressée hier soir ? »
« Oui messieurs »
« A quel âge as-tu perdu ta virginité ? »
« A 13 ans messieurs »
« As-tu fait un lavement avent de venir ? »
« Heu non messieurs »
-« Qu'est ce qui te fait mouiller quand tu te caresse ? »
« Je n'ose vous le dire messieurs en fait c'est de penser à des situations comme celle-ci »
« As-tu déjà eu des rapports avec des femmes ? »
« Oui messieurs »
« Avec plusieurs hommes en même temps ? »
« Oui messieurs »
Des dizaines de questions. M'assaillent.
Je n'ai à peine fini de répondre à l'une que la suivante arrive.
Je me sens perdre pied.
Complètement déstabilisée par le tour que prennent les questions.
« Mouilles-tu rapidement ? »
« Oui messieurs »
Je retiens mes larmes avec difficulté.
Le flot de questions ne semble pas vouloir se tarir.
Je me sens balancée entre ces hommes.
Lorsque cela s'arrête enfin.
Ils libèrent mes poignets et me font descendre sans ménagement du tabouret en me prenant par les cheveux.
Ils me font entrer dans un cagibi qui a tout du placard à balais.
« Allonge-toi sur le ventre." »
J'obéis.
Mes poignets sont attachés à mes chevilles.
Un bandeau est posé sur tes yeux.
« Nous allons nous pencher sur la suite à donner à ton initiation »
La porte est refermée.
Je me sens soudainement seule, abandonnée dans le noir.
J'entends les voix des hommes sans pouvoir comprendre ce qui se dit.
Lorsque tu entends la porte s'ouvrir à nouveau, je ne peux pas dire combien de temps s'est écoulé.
Mes membres engourdis me disent que cela doit bien faire une demi-heure.
Les mousquetons des bracelets sont détachés.
Je laisse retomber lourdement mes bras sur le sol.
Mon bandeau est enlevé.
Vu la faible lumière à l'intérieur du cagibi, je ne cligne pas trop des yeux.
« Allez. Lève-toi. Tu n'as pas encore fini. »
Péniblement, je me relève.
En sortant du cagibi, je manque de me heurter à la porte basse.
La lumière intense dans le bureau te fait plisser les yeux.
"Mets-toi à 4 pattes chiennasse."
L'ordre me surprend à peine.
Ma vue s'habitue progressivement à l'intensité de la lumière.
Les invités ne sont plus habillés de noir, mais portent des tenues de chirurgiens. Ils sont nus en dessous.
Je me mets à 4 pattes.
« Ta tenue de travail c'est d'être à poil comme la chienne que tu es »"
« Tes orifices doivent être accessibles à tout instant. »
« Nous allons te faire passer différents tests pour juger de tes aptitudes. »
Pour le premier test, je suis installée sur une chaise, face à un ordinateur.
« Ne t'assieds pas au fond de la chaise, mais sur le bord. Ecarte les cuisses. »
Un texte manuscrit est posé devant moi.
En plus d'être mal écrit, il a l'air assez compliqué.
Courageusement, j'entame la typographie.
Les hommes sont à mes côtés et me surveillent de près.
Au bout de quelques phrases, je sens une main se poser sur mon genou et remonter le long de ma cuisse.
Ma chatte est ouverte et rapidement inspectée.
Un doigt inquisiteur se glisse dans ton vagin.
« Ne ralentis pas ton rythme de frappe. Tu dois être capable de supporter bien plus que ça. »
Le doigt ressort de ma chatte trempée pour partir à la recherche de mon clito durci qu'il ne manque pas de trouver rapidement.
J'ai l'impression que la dactylographie du document ne va pas être simple, mais je m'accroche du mieux que je peux en me concentrant sur le texte.
D'autre me triturent les seins et tirent mes tétons me faisant grimacer de douleur.
Les doigts quittent ma chatte pour être bientôt remplacés par un gros gode blanc et vibrant que l'homme enfonce progressivement dans mon vagin.
Je ne tarde pas à mouiller abondamment.
Un autre bruit se fait entendre. Celui-ci me pétrifie.
Je viens de reconnaître le bruit de la brosse à dents électrique.
Celle-ci appliquée sur mon clitoris ne tarde pas à me mener à la torture.
Pas la peine de demander si je peux jouir, je sais bien que cela te sera refusé.
Je me débats comme une folle avec ce texte.
« Salauds. Tordus. Vicieux. »
C'est mots ne font que durcir ma peine d'un coup de cravache dans le dos qui m'arrache un cri de douleur
Mon sexe est en feu, mon cerveau est en ébullition.
Je lutte avec moi-même pour ne pas céder à la vague de plaisir qui monte en moi.
Je ne sais plus à quoi me raccrocher.
J'essaye de lire. Une phrase. Une autre... puis soudain la libération.
Je viens de lire
"Maintenant, tu peux jouir, salope"
Alors que rien ne m'y préparait, dans ce texte rébarbatif, une phrase vient de faire exploser un violent orgasme en moi.
Je ne pensais pas qu'on pouvait jouir en lisant.
Cette phrase reste longtemps imprimée dans mon cerveau.
Pas seulement le texte, mais l'écriture, la courbure des lettres, leur forme. Autant de souvenirs qui meurent longtemps après que ma jouissance ne se soit éteinte.
Je tombe à genoux d'épuisement.
Mon front est en sueur.
« C'est très bien, putain. Reste sous le bureau. Nous allons voir de quoi tu es capable à cette position. »
Un claquement de doigts m'indique que l'un des invités requière mes services. Je me glisse entre ses cuisses poilues pour saisir son membre entre mes mains puis dans ma bouche.
A tour de rôle les hommes passent et se lâche dans ma bouche.
Comme je suis à 4 pattes certains utilisent mes fesses ou ma chatte.
Soudain
« Sale pute. Nous avons d'autres tests pour toi. »
Je ne me fais pas prier.
Je suis emmenée dans la pièce voisine. Tenue en laisse comme une chienne.
Au milieu de cette pièce, une table de gynécologue trône.
Je ne suis guère étonnée.
Quelques instants plus tard, je suis installée, les jambes plus que largement ouvertes.
Ma chatte est à nouveau fouillée par les vicelards
« Je pense que si l'on te prépare bien, on y arrivera."
L'un d'eux s'empare d'une foreuse au bout de laquelle, le foret a été remplacé par un gode brillant de lubrifiant.
Il glisse le gode dans mon vagin avant de mettre l'engin en route. La vitesse est réduite.
Et sous l'effet du gode, je mouille en abondance.
Le gode est promptement enlevé pour être remplacé par un autre plus gros. Toujours à vitesse réduite, celui-ci m'ouvre de plus belle.
Lorsqu'il m'est enlevé, je me sens béante.
Je tremble un peu à la vue du suivant.
Il a l'air énorme.
Et malgré qu'il soit lubrifié, il me semble impossible qu'il entre dans ma chatte. Lorsque je le sens en moi, je suis très étonnée qu'il soit entré.
J'ai l'impression d'être remplie, pleine, fourrée comme une praline.
Deux godes plus tard, e me sens totalement ouverte.
Aussi, c'est presque sans étonnement que je vois l'un des hommes passer un gant de latex et le lubrifier.
Il glisse rapidement deux doigts dans ma chatte, puis trois, puis quatre... puis toute la main.
Bien sur, malgré la longue préparation dont tu as fait l'objet, cela ne passe pas d'un coup.
Patiemment, sans forer, il va et vient dans mon sexe, poussant à chaque fois un peu plus loin.
Progressivement, je sens ses doigts envahir mon sexe.
Cela me procure des sensations terriblement excitantes.
C'est tellement nouveau et différent que je mouille telle une fontaine.
Soudain, je vois un sourire éclairer son visage et j'ai compris qu'il a réussi à me fister.
Je sens ses doigts en moi.
J'ai l'impression qu'ils remontent jusqu'au milieu de mon ventre.
La sensation est énorme.
J'ai plusieurs orgasmes incontrôlés.
C'est tellement nouveau que, malgré ma position semi allongée, je sens la cyprine s'écouler de mon sexe et mouiller mon cul et la table avant de goutter au sol. "Une vraie chienne lubrique. Avec un peu d'expérience et d'éducation, on pourra en faire quelque chose."
Je suis un peu surprise.
Lorsque le type retire sa main, je ressens comme un énorme vide.
« Ne t'en fait pas dans moins d'une heure, tu seras totalement refermée. »
Mais à peine suis-je rassurée qu'un autre type lance à son tour
« La prochaine fois, je te fisterais le cul."
Je tremble à cette idée, moi qui ai déjà de la difficulté à subir les sodomies répétées de mon Maître au cours d'une nuit de jeux.
Je suis détachée da la table gynécologique et sommée d'aller chercher des rafraîchissements pour mes tortionnaires.
Personne ne m'a demandé ce que je souhaitais boire.
Je n'ose le demander.
Je bois rapidement une gorgée d'eau au robinet.
La sonnerie stridente du téléphone te surprend.
J'étais tellement concentrée sur mon plateau, que je sursaute littéralement.
A mon grand dam, je vois les verres vaciller et avant que je n'aie réussi à esquisser le moindre geste, s'écraser sur le sol en mille morceaux.
Je suis pétrifiée sur place.
Je n'ose plus bouger de peur de t'enfoncer des bouts de verre dans les pieds. Je n'ai pas à attendre bien longtemps.
Les invités, font irruptions dans la pièce.
L'un deux s'empare du plateau et le dépose sur une table
Puis, dans un mouvement d'ensemble bien coordonné, ils me soulèvent en te prenant sous les bras pour te ramener dans le hall.
Je monte l'escalier à leur suite.
Je sais que je vais subir une juste punition pour ta bévue, mais j'ignore encore laquelle.
A peine la porte du bureau franchie, le premier d'entre eux me jette sur ses genoux pour me fesser avec vigueur.
Sans pitié pour mes fesses rougissantes, sans entendre mes cris déchirants qui emplissent la pièce, il frappe avec forcée.
Ici, la violence de cet homme me fait peur.
J'essaye de me débattre, mais il me bloque en me tordant le bras au milieu du dos.
J'appris à exprimer ma douleur, à ne plus la garder en moi.
J'ai l'impression d'avoir affaire à un butor sans aucune sensibilité.
Lorsque les coups cessent, je me redresse le visage en larmes.
Toute ma superbe a disparu.
La table du bureau a été dégagée... sauf un paillasson qui l'occupe de bien inquiétante manière.
Un autre m'enjoint de me coucher sur le dos, sur la table du bureau.
Bien sur, le paillasson est situé juste sous mes fesses cuisantes de la correction qu'elles viennent de subir.
Mes membres sont attachés aux quatre coins du bureau.
Ma chatte est bien exposée.
Je ne peux m'empêcher de trembler à la vue de la cravache qu'il tient en main.
D'abord à petits coups, il explore ton corps.
Mes seins, mes tétons, ma chatte, l'intérieur de mes cuisses, mais sans exagération.
Il demande ensuite à un compère de tenir les lèvres de ma chatte ouvertes pour bien exposer mon clitoris.
Avec une dextérité pour manier une cravache, il frappe doucement mon clitoris de manière répétée.
Lentement d'abord, il augmente progressivement le rythme tout en réduisant encore la force des coups.
Cela peut sembler invraisemblable aux soumises qui ne l'ont jamais vécu, mais je sens le plaisir monter en moi.
Lentement au début, il arrive rythmé par les coups de cravache sur ton clitoris.
Tout en maintenant ton clitoris exposé à la cravache, l'autre colite glisse un gode vibrant au fond de ton vagin.
Ce faisant, il achève te consommer mon plaisir.
J'explose dans un long orgasme qui te semble sans fin.
Ce n'est qu'en reprenant mes esprits que je me rends compte que le paillasson soumet tes fesses à une douleur cuisante.
Je me suis débattue sous la cravache.
J'ai frotté, sans m'en rendre vraiment compte, mes fesses sur le paillasson, alliant la douleur et le plaisir pour atteindre un orgasme qui me laisse pantelante.
Je suis détachée et relevée.
Il me reste une dernière épreuve.
Mais cette fois, je suis autorisée à boire un peu d'eau, non pas dans une gamelle, mais dans les mains tenues en coupe de l'un des hommes.
J'ai toujours apprécié ce geste.
Je le trouve bien plus intime que de devoir boire dans une gamelle.
Même s'il n'est pas accompli par mon Maître, je suis reconnaissante de leur sollicitude à mon égard.
Pour la dernière épreuve, je suis emmenée dans une pièce à l'étage qui ne demande pas grand-chose pour être transformée en donjon.
A une poutre de la charpente, je suis attachée par les poignets. Deux cordes me tiennent les bras séparés.
Je m'attends à être à nouveau flagellée, mais je vois, avec un frisson de crainte, l'un des hommes s'approcher avec un seau de pinces à linge.
Tous deux commencent à me les placer une à une sur le corps. La morsure des pinces est douloureuse.
Plus d'une centaine de pinces sont ainsi disposées sur tout ton corps.
Mes seins, mes cuisses, ma chatte, mes fesses... même mes bras, rien n'est épargné.
Lorsque le seau de pince est vide, les mecs s'écartent pour admirer leur œuvre. Ils me laissent subir la morsure cuisante des pinces pendant qu'ils se rhabillent de leurs tenues noires.
"Maintenant, nous allons te les enlever... à la cravache."
Je n'ose exprimer ma réprobation.
Les coups de cravache se succèdent rapidement.
A chaque coup, la douleur est intense.
Certain coups sont loupés et cinglent la peau.
Le pincement de la pince qui s'en va tm procure une véritable sensation d'arrachement qui à chaque fois génère un cri que je ne peux retenir au fond de ma gorge.
Je ne tarde pas à pleurer à chaudes larmes.
J'ai l'impression que c'est sans fin.
A chaque coup, la douleur de l'arrachement semble plus forte que la précédente. Les hommes se succèdent et tournent autour de moi lentement, choisissant leur pince avec un plaisir consommé.
Aucune pince ne semble plus douloureuse qu'une autre.
Qu'elles soient sur mes seins, ma chatte ou ailleurs, la même douleur accompagne chaque arrachement.
Lorsqu'il ne reste plus de pinces, les invités poursuivent leur ronde.
Maintenant chacun a sa cravache et les coups pleuvent de tout côté.
Les coups de cravache ont presque l'air soft après la douleur intense des pinces. Durant un long moment, ils poursuivent mon cravachage.
Je pleure toujours, et suis à 2 doigts de l'évanouissement.
Je ne sais dire lequel te frappe car ils accordent leurs coups dans un ensemble parfait, m'enroulant dans une suite ininterrompue de coups plus ou moins forts, plus ou moins doux.
Lorsqu'ils s'arrêtent enfin et que je suis détachée, je m'écroule dans leur bras.
Je suis emmenée dans une salle de bain équipée d'une grande douche.
Devant eux, je me lave et je me savonne en laissant l'eau chaude ruisseler avec délices sur ton corps.
Je suis étonnée de ne ressentir aucune douleur, comme si le cravachage final avait effacé la morsure cruelle des pinces.
Après avoir été essuyée par mes tortionnaires, mon manteau m'est rendu.
Je l'enfile sans attendre.
Le taxi m'attend pour me ramener chez moi.
Il me dépose devant ma porte mais :
« Ma p'tite dame, vous oubliez le m'régler la course ! »
Je suis surprise car je croyais que c'était mon internaute de maître qui avait réglé.
« Mais je n'ai rien sur moi monsieur ! Je monte vous chercher de l'argent »
« Non non pétasse, ton maître m'a dit que tu payais en pipe ! Alors au boulot salope »
Prise sur le vif, je m'exécutais.
Heureusement il éjaculant en long jet chaud dans ma bouche en me disant.
« Avale tout bien putasse »
Il se rebraguetta et pas sans en dire plus me laissant ainsi sur le trottoir.
Je courue chez moi prendre une bonne douche balancé entre honte et plaisir.
Répondrais-je à un prochain mail ?
Fin

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