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Maryaline
23 octobre 2012
Début à la fac à Paris

Après cette première expérience qui fut une cruelle désillusion amoureuse.
Même si j'avais jouie je ressentais un terrible échec sexuel.
Pour oublier, je suis partie effectuer un séjour avec ma famille en Bretagne dans un endroit calme et reposant.
Maintenant, les vacances sont terminées.
Depuis quatre semaines, j'essuie les bancs de la célèbre grande école de science politique à Paris.
Mes parents ont trouvé un studio dans un quartier relativement calme à quelques stations de métro de l'école.
Ce studio se situe dans un vieil immeuble au premier étage.
Le propriétaire est un brave homme d'une soixantaine d'années.
Très gentil et à mes petits soins.
Petit et bedonnant, il n'a presque plus de cheveux.
Il est toujours habillé très classe.
Il réside au rez-de-chaussée.
Depuis, le début des cours, l'emploi du temps est monotone ; boulot, révision, dodo.
Afin de casser ce rythme, j'ai décidé ce soir d'assister à une conférence à quelques centaines de mètres de l'appart.. Vers 20 heures, je me change.
Je suis toujours vêtue sérieusement, sans provocation, même pas trop sexy.
Je suis souvent en jean tee-shirt ou pull. Seuls mes dessous sont jolis et plutôt sexys.


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Donc en jean et pull avec dessous un string et un soutif dentelles noire assorties.


Quelques instants plus tard me voilà partie.
Vers minuit, la conférence est terminée. La petite provinciale que je suis est un peu inquiète. Je n'ai pas loin pour rentrer chez moi mais à cette heure tardive à Paris, une fille seule n'est pas en sécurité.
Après une centaine de mètres, je dois passer dans une ruelle plus sombre.
Es-ce mon esprit qui divague ?
J'entends des bruits étranges qui résonnent dans l'étroit passage.
Il me semble voir des ombres qui surgissent derrière moi.
Affolée, je me mets à courir.
J'atteins l'appartement encore éclairé de M. Jacques Vidal, mon logeur.
Je me précipite sur sa sonnette toute essoufflée et le cœur battant la chamade.
Je tambourine totalement paniquée en criant :
« M. Vidal, c'est moi Maryaline, ouvrez-moi ! Vite je vous en prie !!!! »
Le bonhomme un peu hébété ouvre la porte et presque en le bousculant, je me précipite à l'intérieur de son appartement.
« Fermez la porte vite !!! »
Il me regarde un peu étonné avec un petit sourire.
Apparemment, il n'a que sa robe de chambre sur lui qu'il a dû enfiler avec précipitation.
Une foi la porte fermée je me jette à son cou en fondant en larme.
Il me cajole gentiment en me caressant les cheveux et le dos, me donnant quelques bisous sur mes joues couvertes de larmes.



« Que t'arrive-t-il ma petite chérie ? » s'inquiète-t-il.
Tout en ocquetant et essayant de me calmer, je lui narre ce qui vient de m'arriver.
« Allez, allez calmes toi ma chérie. Tu es en lieu sûre ici. »
Me voyant encore sous le coup de cette petite aventure, il me propose, si je le désir de rester pour la nuit chez lui.
J'accepte volontiers.
« Merci Monsieur Vidal. Mais je n'ai rien à me mettre pour la nuit et mes affaires de toilette sont chez moi. »
« Que cela ne tienne, je vais monter avec toi dans ta chambre et tu prendras tes affaires »
Je ne sais comment remercier ce brave homme qui me retire un gros poids et je l'embrasse tendrement comme une petite fille qui embrasse son grand-père.


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Nous montons donc dans ma chambre et je récupère une nuisette, ma robe de chambre et ma trousse de toilette.
Dans son appartement, il m'installe dans une chambre d'ami.
Il me montre la douche et me dit :
« Fait comme chez toi ma chérie. Mets-toi à l'aise. Ne t'occupe pas de moi. Va prendre une douche çà te feras du bien et je te prépare un petit remontant »


Je vais prendre une douche et en ressortant, juste couverte par ma robe de chambre, un verre d'un cocktail m'attend.


« Alors ma petite provinciale, tu as eu peur de te faire violer ? »
Timidement et rougissante je lui réponds d'une petite voix :
« Oui Monsieur Vidal. »
« Allons, allons petite moi c'est Bernard. Et tu me tutoies »
Le cocktail et ces émotions me font un peu tourner la tête mais je me détends.
Bernard reprend :
« C'est vrai qu'un joli petit bout de femme comme toi doit faire tourner les têtes. Tu as du certainement avoir pleins d'aventure belle comme tu es. »
Je suis surprise par son discours mais pas du tout effarouchées car je me sens en confiance.
« He bien non.... Heu... Bernard. En fait je n'ai connu qu'un gars »
Il me regarde amusé et n'en croit pas un mot.
« Si je vous jure j'ai perdu mon pucelage il y a à peine 3 mois »
En moi-même, je me dis « mais t'es complétement folle ma vieille de te livrer comme çà à ce vieux ».
Bernard semble apprécier mes confidences d'autant que sans m'en rendre compte ma robe de chambre c'est entrouverte laissant deviner un peu mes charmes.

Bernard se lève et me versant un autre verre que je n'ose refuser, il me dit :
« Je vais te masser les pieds, çà va te détendre »
Il est vraiment à mes petits soins et je me laisse faire renversant ma tête en arriéré.
Sans y faire attention, il doit avoir une vue imprenable en me massant les pieds.
Après un bon massage, nous nous asseyons sur le canapé et parlons de banalités. Brusquement, il m'enlace et m'embrasse paternellement sur les joues.
L'alcool aidant, je le laisse faire, un peu amusée même.
Il pose une main sur un genou, sans réaction de ma part.
Elle remonte sur ma cuisse pour atteindre mon intimité et c'est à ce moment qu'il choisit de m'embrasser sur la bouche.

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Je suis tétanisée.
Mais je réponds machinalement à son baiser.
Sa langue force mes lèvres, la mienne se laisse caresser.


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Je reste passive au début et rapidement elle s'anime même à ce contact chaud.
Sa main droite me caresse un sein puis roule mes tétons entre ses doigts me faisant gémir.
Il approche ses lèvres, me mordille, me lèche tandis que sa main caresse, soupèse, malaxe mes deux seins dont les bouts ne tardent pas à s'ériger.
Je suis bien.


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Je savoure déjà mon plaisir, il commence alors à me caresser et fait glisser ses doigts entre mes lèvres humides.
Je gémie de plus bel et écartes mes cuisses.
Il titille mon clitoris qu'il pince entre ses doigts, des vagues de plaisir montent.
Je gémis comme une petite chatte.
Le vieux d'expérience poursuit sa caresse au rythme de mes gémissements.
J'halète de plus en plus fort.
Il enfonce un doigt, puis deux dans ma chatte trempée.
Il se met à me bouffer le minou.


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Cà me rend folle. Quel régal ! Quelle extase !
Il me couche nue sur le canapé, et nous prenons la position du missionnaire.
Après avoir enfilé un préservatif, il m'enfonce sa belle et large queue bien dure dans ma jeune chatte..
Je pousse un « « «ouiiiiii »
Il commence ses va-et-vient, lents au départ puis de plus en plus rapides.

Je jouis dans une vague puissante et violente qui m'arrache plusieurs cris, presque des hurlements.
Nous écroulons épuisé sur le canapé.
Quel homme ! Quelle fin de soirée !
Le lendemain matin, je me réveillais totalement nue dans la chambre d'ami.




























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