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A travers la haie (1) >>> Episode suivant

Boris
24 juillet 2013
A travers la haie (1)

Cet été-là avait été caniculaire. Pendant tout le mois de juillet, mon bureau avait été fermé pour travaux (ils installaient entre autre la climatisation) et ceux qui, comme moi, n'avaient pas posé de congés étaient encouragés à rester chez eux pour travailler. J'habitais alors un peu à l'écart d'un village dans une petite maison à étage, mitoyenne d'une autre maison un peu plus grande. Ma fenêtre de chambre donnait sur ma cours et mon jardin. De là, je voyais aussi très bien le jardin de ma voisine, une très jolie jeune femme célibataire. Ce été-là, elle avait très judicieusement fait installer une piscine dans son jardin et depuis, j'avais la chance de pouvoir l'observer en bikini patauger dans sa piscine ou s'étendre sur un transat pour bronzer.


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Il y avait un détail qui me faisait fantasmer : de temps en temps elle venait contre la haute haie qui séparait nos deux jardins et écartait les branches pour observer chez moi. Pourquoi ? Espérait-elle m'y voir et m'inviter à me joindre à elle dans la piscine ? Cela aurait été curieux car nous nous contentons de nous saluer quand nous nous croisons. A force de fantasme sur les raisons de ce regard à travers la haie, j'ai fini par décider de tenter ma chance. Un jour où je l'aperçus à arriver dans son jardin en maillot de bain, je suis descendu discrètement dans le mien, m'y occupant à arracher quelques mauvaises herbes. Je guettais d'un œil vers la haie le moment où elle écarterait les branches. Quand cela arriva, je redressai la tête et lui dit "Bonjour" avec un grand sourire. Elle répondit poliment à mon bonjour mais paraissait gênée de s'être fait surprendre à regarder à travers la haie. Elle s'en retourna et mon fantasme retomba illico. Alors quoi ? Pourquoi diable jetait-elle un coup d'œil à travers la haie. Quel besoin avait-elle de regarder dans mon jardin ou ma cours ? Mon jardin n'avait rien de particulier et ma cours encore moins puisque j'y garais ma voiture.

Un jour, j'eus un problème de démarreur et fus contraint de laisser ma voiture chez le garagiste. Comme le garage était à moins de 2km de chez moi, je rentrai à pied. Arrivé à la maison, comme il faisait beau, je montai dans la chambre pour voir si ma petite voisine profitait encore une fois de son jardin. Effectivement, elle était en train d'installer son transat dans le jardin.


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Et comme d'habitude, elle vint ensuite regarder à travers la haie. Quand elle retourna à son transat, il se passa quelque chose d'incroyable : elle dégrafa son soutien-gorge et se mit seins nus !


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Elle avait des seins superbes. Je sentis aussitôt mon sexe se gonfler dans mon pantalon. Et ce n'était pas fini ! Elle retira aussi la culotte !! Elle était totalement nue et je pouvais la détailler à loisir !!!


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Mon sexe me faisait mal congestionné dans la pantalon et je décidai de le libérer pour me masturber un peu.

Tout en détaillant le corps superbe de ma voisine, je la voyais assise sur son transat à se passer de la crème solaire sur tout le corps. C'était terriblement sexy ! Elle s'allongea sur le transat, cuisses légèrement écartées et se mit une main entre les cuisses.


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Je pus voir distinctement qu'elle était en train de se mettre un doigt dans la chatte. Ma propre main se mit à branler mon érection frénétiquement. Mais je me ravisais assez vite de peur d'éjaculer trop rapidement et de souiller mon parquet. Je me calmai donc et continuais ma masturbation à un rythme moins soutenu, profitant du spectacle de cette magnifique jeune femme qui se donnait du plaisir sans la moindre pudeur.


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Au bout d'un moment, je vis que son corps s'arquait, sa main s'activait encore plus entre ses jambes et elle fut prise de convulsions que j'interprétais sans mal comme un très bel orgasme.


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Il ne me fallut moi-même que quelques secondes pour jouir également. Tant pis... je laissais mon sperme se répandre sur le parquet tant je voulais profiter pleinement de cette éjaculation en observant ma voisine sur laquelle j'avais fantasmé depuis si longtemps.


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Je mis du temps à débander car elle enchaina par une petite baignade nue dans sa piscine qui n'était vraiment pas déplaisante à regarder.


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Tout en l'observant, je me demandais ce qui avait pu changer ma sage petite voisine en coquine en mal de plaisir. Et j'eus soudain le flash ! Ma voiture !!! Elle regardait à travers la haie pour voir si ma voiture était là où non. L'absence de ma voiture ce jour-là avait dû lui faire croire que j'étais absent et elle s'était donc mise à l'aise. Probablement qu'il lui arrivait régulièrement de faire cela les jours où effectivement je n'étais pas à la maison.

Cette révélation m'ouvrit des perspectives particulièrement intéressantes. Je laissais désormais de temps en temps ma voiture plus loin dans la rue pour faire croire à ma voisine que je n'étais pas là. Le résultat fut rapide. Presque à chaque fois qu'elle se mettait en maillot dans son jardin, quand elle voyait que ma voiture n'était pas là, elle se mettait nue et se masturbait.


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C'était absolument magnifique et j'étais ravi d'avoir mis en place ce petit stratagème qui me permettait de faire du voyeurisme en toute discrétion. Plus d'une fois je me suis masturbé à la fenêtre de ma chambre pendant que je l'observais se donner elle-même du plaisir.


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Et puis un jour, ce fut la révélation. Ma charmante voisine eut la visite d'une copine. Je crus les voir s'embrasser sur la bouche de manière un peu différente que ne pourrait le faire deux copines. Les filles se mirent en bikini et s'installèrent dans le jardin. La copine était elle aussi superbe. Quand ma voisine s'approcha de la haie, je me rendis compte de ma bêtise : ma voiture était dans la cours ! Bien sûr, ma voisine et sa copine gardèrent leurs maillots et il ne se passa pas grand chose.

Je me maudis de cet oubli et dès le lendemain, je laissais la voiture plus loin dans la rue. Par chance, la copine revint effectivement et je pus à nouveau les voir s'embrasser. Ma voisine était-elle lesbienne ? Toujours est-il que lorsque ma voisine opéra son contrôle à travers la haie, j'avais le cœur qui battait la chamade. Allais-je pouvoir profiter du spectacle de deux filles qui se donnent du plaisir ? Et ce fut époustouflant ! Les plaisirs saphiques qu'elles échangèrent durèrent près d'une heure. D'abord, elles se caressèrent longuement.


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Je distinguais les gémissements des deux coquines et me sentais quand même un peu coupable de les observer comme ça à leur insu. Puis, elles en vinrent à se masturber l'une après l'autre et les gémissements se firent de plus en plus forts. Inutile de vous dire que ma main marquait le même tempo sur mon sexe.



Je me retenais de ne pas jouir, marquant des pauses franches, tant tout cela était excitant pour moi. Quand la copine se mit entre les cuisses de ma voisine pour lui brouter le minou, je savais que je ne tiendrais plus très longtemps. Je réussis cependant à synchroniser mon éjaculation avec l'orgasme de ma voisine.



Je regrettais de ne pas avoir attendu un peu davantage car elles échangèrent ensuite leur rôle et j'avais en visée le magnifique cul de ma voisine à quatre pattes, occupée à lécher le sexe de son amie.


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Le lendemain, j'étais bien sûr au rendez-vous, mais la copine ne vint pas et ma voisine semblait s'être absentée. Quelques jours passèrent avant que je ne la revois. Bien sûr, pour ne pas éveiller ses soupçons, je lassais quand même le plus souvent la voiture dans la cour. Et ce jour-là, la voiture était là. Ma voisine était en maillot de bain et regarda à travers la haie. Elle ne quitta donc pas son maillot et se contenta de s'étendre sur son transat. J'allais tourner les talons pour vaquer à mes occupations quand je la vis se lever soudainement et se couvrir avec une serviette.


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Quelqu'un venait donc de sonner chez elle. J'attendis quelques secondes dans l'espoir de revoir sa jolie copine mais je pestais sur la malchance de ma voiture laissée dans la cour. Là, je fus encore plus déçu en découvrant qu'il ne s'agissait pas de sa copine mais d'un jeune homme. Ils parlèrent longuement mais semblait ne pas avoir de liens autre que l'amitié. Puis l'homme finit par se mettre aussi en maillot et s'installa à côté d'elle. A ma grande stupéfaction, elle lui caressa le torse. Etait-ce un geste amical ? Ou m'étais-je trompé sur les goûts sexuels de ma voisine ? Après tout, elle pouvait bien être bisexuelle... Comme la situation ne sembla guère évoluer, je retournais m'occuper de la maison en me promettant de penser à éloigner la voiture dans la rue pour le lendemain.

Quand je me mis à la fenêtre de ma chambre le lendemain, le jeune homme était déjà là et déjà en maillot. Ma voisine avait-elle déjà contrôlé mon absence à travers la haie ? Je restais un peu pour voir. Quand elle se dirigea vers la haie, j'eus un début d'érection, m'imaginant déjà ce qu'elle allait pouvoir faire avec ce visiteur. Et je ne fus pas déçu puisqu'ils se mirent aussitôt nus. L'homme affichait déjà une belle érection.


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Ma voisine s'en amusa mais ne sembla pas s'y intéresser davantage.


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Cependant ils s'installèrent chacun dans un transat sans s'intéresser l'un à l'autre. Mais le jeune homme tournait quand même régulièrement la tête dans la direction de ma voisine et je pus voir qu'il ne débandait pas. Ma voisine aussi s'en rendit compte.


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Cela donna lieu à quelques échanges amusés qui se soldèrent par la prise en main des choses par ma voisine.


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Elle lui proposa manifestement de lui passer de la crème. Ceci n'eut pas pour résultat de soulager l'état de son pauvre compagnon. Et pourtant pas une fois elle ne toucha le sexe tendu qui se dressait à quelques centimètres de ses mains. Puis elle lui demanda un échange de service et se réinstalla sur son transat, lui présentant ses fesses.


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Le jeune homme se prêta bien volontiers à l'exercice et vint lui tartiner les fesses de crème, ce qui sembla la ravir.


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Mais il fallut beaucoup de concentration au jeune homme pour terminer sa tâche puisque ma petite voisine impudique avait très largement écartée les cuisses, révélant ainsi son sexe nu.


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Je bandais comme jamais à la voir faire et la suite ne fut pas décevant : ils firent l'amour sur le transat dans divers positions.


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Cela dura presque une heure et je ne pus moi-même tenir que trois quart d'heure avant de jouir, mais je restais fidèle au spectacle jusqu'à la fin. Mais la fin fut étrange car il y eut une intrusion. La jeune femme qui était venue quelques jours auparavant se tenait là dans le jardin et insultait ma voisine et son amant.


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Je me dis qu'elle était probablement en couple avec lui et que ma voisine avait sans doute profité de chacun sans le révéler à l'autre. Le spectacle du jour s'arrêta là. J'entendais quelques échanges un peu violent et finalement, la fille se mit à pleurer et l'homme, toujours nu, la pris dans ses bras pour la réconforter. La situation semblait bien compliquée. Ma voisine s'était éclipsée à l'intérieur et le couple finit par s'en aller.

Jamais je ne les revis, ni le jeune homme, ni la jeune femme. Et la vie de ma voisine reprit un cours plus tranquille avec ses habituelles séances de nudismes et de masturbations que je trouvais à chaque fois toujours aussi émouvantes.

Un jour, je décidai de tenter ma chance, j'achetai un transat à mettre dans mon jardin. Il était temps de devenir acteur de cette histoire dont je n'étais jusqu'à présent que simple spectateur. Je laissais la voiture dans la cour, mais je me mis nu dans mon transat, de côté par rapport à la haie. J'entendis distinctement quand ma voisine écarta les branches et je sus qu'elle restait à observer.


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Cela m'excita et me donna un début d'érection. J'entendis qu'elle s'éloignait. Je remontais discrètement dans la chambre mais elle n'était plus dans le jardin... Etait-elle elle-même remontée dans sa maison pour m'observer ? Je misais là-dessus et redescendis m'installer dans le transat mais en plaçant celui-ci sous un arbre de manière à limiter la vision qu'elle pouvait avoir de la scène. J'étais toujours excité et en érection et me dis qu'il n'y avait pas de raison que je n'en profite pas moi aussi. Aussi, je me mis à me masturber tranquillement en pensant à elle, jusqu'à ce qu'enfin je sente la sève monter.


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Mon éjaculation fit se répandre mon sperme assez haut sur mon ventre. C'était la première fois que je me donnais du plaisir dehors, sous le regard possible de quelqu'un, et j'avais trouvé cela particulièrement excitant.


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J'espérais bien sûr que ma voisine avait bien profité du spectacle.

Le lendemain, même manège, sauf que cette fois je mis un petit miroir au milieu des plantes à l'autre bout du jardin qui me permettait de voir quand elle regarderait à travers la haie. Comme j'avais laissé le transat sous l'arbre, j'espérais qu'elle resterait à la haie pour m'observer plus facilement plutôt que de remonter chez elle. J'étais excité avant même qu'elle ne passe la tête et je commençais à me masturber tranquillement.


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Quand je l'aperçus enfin dans le miroir, je sus que mon plan fonctionnait. Hier encore, elle passait la tête à travers la haie en espérant mon absence pour pouvoir se donner du plaisir en toute tranquillité. Aujourd'hui, elle passait la tête en espérant me voir et c'était extrêmement plaisant pour moi ! Le fait que je me masturbe semblait la fasciner, probablement autant que j'étais moi-même fasciné lorsqu'elle se taquinait l'entrejambe. Au bout d'un moment, je la devinais une main entre ses cuisses à se masturber également.



Lentement, je tournais la tête dans sa direction. Je la regardais. Et elle voyait que je la regardais mais resta à me regarder. Je lui souris, elle répondit à mon sourire et je voyais aux mouvements de ses épaules que sa main continuait son action. J'accélérais le rythme sur ma propre tige, tout en la fixant droit dans les yeux. Quelques minutes suffirent pour que j'éjacule, mon sperme venant s'écraser sur mon ventre et ma poitrine. Je la vis se crisper alors, bouche entrouverte et yeux mi-clos : elle avait aussi un orgasme, quelque seconde après le mien.


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La haie se referma. Je rentrais prendre une douche, totalement satisfait de la nouvelle tournure que prenait ma relation avec ma petite voisine.

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