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L'enlèvement 1- Le supplice de Lisa J'avais reçu un message un peu énigmatique sur la messagerie de mon site lisastory : "Lisa, rdv vendredi à 21h dans le bar que tu as l'habitude de fréquenter." Pas de signature et l'adresse mail ne correspondait à aucun des utilisateurs du site. Je demandai donc à Simon si c'était lui et il m'affirma que non. Ensemble, on a regardé de plus près l'adresse de l'expéditeur et on n'en trouva aucune référence sur internet. J'étais très curieuse de savoir qui en était l'auteur et demandai à Simon : - On y va ? - Sans moi, j'ai promis à Antoine de passer le voir ce soir... - Tu risques de rater quelque chose... D'autant qu'il s'agit peut-être d'une fille ? - Peut-être, mais le message t'est spécifiquement adressé... Même s'il était possible qu'il s'agisse d'un canular, j'étais résolue à aller à ce mystérieux rendez-vous pour découvrir qui était cet inconnu qui semblait, lui, me connaître, ou au moins mes habitudes. Après dîner, Simon proposa de me déposer. Quand je sortis de la voiture, il me dit : - Tu me raconteras ? - C'est sûrement une blague, il ne se passera rien. - En tout cas, ça t'excite vu comment tes tétons pointent ! Et c'était vrai que mes mamelons tendaient fièrement mon petit débardeur blanc. ![]() images similaires J'avais cinq minutes d'avance mais je m'installai à une table dans le fond en regardant attentivement tous les gens présents pour voir si une tête me disait quelque chose. A 21h précise, un homme entra et scruta la salle. Quand son regard tomba sur moi, il vint aussitôt dans ma direction. C'était donc l'auteur de ce mystérieux rendez-vous et j'étais bien certaine de ne l'avoir jamais vu. C'était un beau jeune homme élancé, plutôt bel homme bien que pas vraiment athlétique. Il avait de très beaux yeux qu'il plongea dans mon décolleté en me souriant. ![]() - Lisa ? - Oui ? - Jean-François. Merci d'être venue ! - Je vous connais ? - Je suis membre de ton site... J'étais un peu embarrassée car ça signifiait que j'avais donné trop d'indication sur ma vie privée et qu'il était possible de me retrouver. Mais j'étais bien curieuse de savoir comment il avait fait : - Comment saviez-vous pour mon bar ? - J'ai d'abord réussi à déduire dans quelle ville tu habites. Cela fait plusieurs mois que j'y viens régulièrement en explorant les prénoms de l'annuaire. Je suis parti de l'hypothèse que Lisa était ton vrai prénom, ou un diminutif, et que Simon n'était pas un pseudonyme non plus. J'ai donc pu trouver ton adresse. J'eus un frémissement. Cet homme avait toutes les cartes en main pour me faire chanter et abuser de moi ! C'était curieux car je ressentis de l'excitation à cette idée. - Vous savez où on habite ? - Oui... Et c'était donc facile de te suivre pour voir où tu travailles et les lieux que tu fréquentes. Son regard s'abaissa alors sur mes seins. Je pris conscience que mes tétons pointaient énormément à travers le tissu fin de mon petit débardeur blanc. ![]() images similaires Un peu paniquée par la situation, je lui demandais directement : - Vous allez me faire chanter ? - J'aimerai que tu me suives de ton plein gré... - Et comment savoir si vous ne me voulez pas du mal ? Il se leva soudain et alla au comptoir passer une commande qu'il paya aussitôt. Il revint avec deux verres et m'en tendit un. C'était l'apéritif maison que j'avais l'habitude de prendre. Il se rassit en face de moi et regarda à nouveau mes seins avant de reprendre : - J'ai l'impression que tout cela t'excite beaucoup et que tu as envie d'en savoir plus. Je me trompe ? - Qu'est-ce qui vous fait croire que ça m'excite ? - Ceci ! Il tira sur mon décolleté pour voir un de mes mamelons tout durci. ![]() Je rajustai mon débardeur et répondis : - J'ai un peu froid... - Tu parles ! C'est récurrent dans tes histoires que tes tétons durcissent quand tu es excitée... - Peut-être... mais ce n'est pas pour autant que je vais vous suivre n'importe où... J'avais déjà bu presque la moitié de mon cocktail et je sentais que j'avais la tête qui commençait à tourner. Fatiguée par la fin de la semaine, je me rendis compte qu'il n'était pas très sage de boire quelque chose d'aussi fort. Il se pencha au-dessus de la table et tira soudainement sur le décolleté pour, cette fois-ci, complètement dégager mes seins ! ![]() images similaires Je mis quelques secondes à prendre conscience qu'il venait de m'exhiber. Il souriait stupidement, content de voir que je prenais mon temps pour rajuster mon débardeur. Il avait eu tout le loisir de se rincer l'œil sur ma poitrine. Mais j'avais remis de l'ordre et grondai le mufle : - Pour qui vous vous prenez ? ![]() images similaires - Pour quelqu'un qui savait avant de venir que tu n'aurais pas de soutien-gorge ce soir et qui est heureux de voir que tu as des seins aussi beaux que je me les imaginais à travers tes histoires. Je rougis bêtement au compliment. Je crois que j'étais déjà saoule et je n'arrivais pas à mettre de l'ordre dans mon esprit pour lui servir une réponse et le remettre à sa place. Et Jean-François continua à me parler : - Maintenant, vous allez m'accompagner chez moi. - C'est... c'est hors de question. Je... je... dois prévenir... Je bafouillais, je ne trouvais plus mes mots. Je ne comprenais pas que l'alcool puisse me rendre si vulnérable en si peu de temps. ![]() images similaires Je me sentis basculer sur le côté. Il se leva et me rattrapa avant que je ne tombe de ma chaise. Y avait-il une drogue dans mon verre ? Ce fut mon dernier souvenir avant de tomber inconsciente. Quand je me réveillai, j'étais allongée nue sur un lit. Cela aurait pu être confortable si je n'avais pas été bâillonnée et pieds et poings liés. ![]() images similaires En ouvrant les yeux, je découvris que je n'étais pas seule. Sur un second lit de la pièce, se trouvait une autre jeune fille. Elle était châtain aux cheveux plutôt courts et, comme moi, elle était bâillonnée et attachée. Toutefois, elle n'était pas tout à fait nue, portant un petit débardeur, relevé sur une jolie poitrine avec de petites aréoles claires, et un jeans. ![]() Il me sembla que c'était encore la nuit d'après l'absence de lumière à filtrer à travers les volets fermés. Je me basculai sur le côté pour pouvoir finalement m'assoir sur le bord du lit. La voix de Jean-François se fit entendre derrière moi : - Je vois que tu es réveillée Lisa... C'est bien. Désolé de t'avoir droguée, mais je voulais être sûr que tu viennes chez moi. J'en profite pour te présenter Chloé, car même si tu as discuté un peu avec elle sur le forum, je ne pense que pas vous ne vous soyez jamais vues. Comme nous sommes en campagne et qu'il n'y a pas de voisin, les baillons sont superflus et je vais d'ailleurs te le retirer. Comme il s'approchait, je tournai la tête pour le voir arriver. ![]() images similaires Il était nu et affichait une érection impressionnante. Il vint jusqu'à moi et retira mon bâillon : - Voilà, tu seras plus à l'aise... - Qu'est-ce que vous attendez de nous ? Pourquoi nous séquestrer ? - Pourquoi ? Mais pour le sexe bien sûr ! Vous êtes toutes les deux de splendides jeunes femmes et vos histoires attisent mon désir depuis très longtemps. J'ai donc enquêté pour retrouver votre trace à toutes les deux. - Pitié ! Ne nous faites pas de mal... - Du mal ? Oh non ! Je ne vais vous faire que du bien ! - Si c'est juste pour baiser, pourquoi nous attacher ? - Disons que ça fait partie du jeu. Soyez soumises et je vous relâcherai à l'issu de ce weekend. - Si je comprends bien, Chloé et moi allons être vos jouets sexuels durant tout le weekend ? - Tu as tout compris. Il attrapa mes chevilles et me repositionna sur le lit, allongée sur le ventre. Il me détacha les pieds mais pour étirer ceux-ci et les accrocher aux deux montants du pied de lit. De même, il détacha mes poignets pour m'écarteler aux montants de la tête de lit. ![]() J'étais totalement offerte à son regard, nue, cuisses largement écartées. Il était libre de faire de moi ce qu'il voulait. J'étais totalement à sa merci. Je sentais son regard explorer ma peau, parcourir mon dos, mes fesses et mon sexe. Une main tiède se posa sur ma cuisse. Je sentis son souffle sur ma moule. Il avait donc remarqué que je mouillais abondamment. ![]() Sa main glissa sur mon dos. Jean-François n'avait pour le moment rien d'un violeur. Ses caresses se faisaient douces. Soudain, je sentis les doigts de son autre main contre mon sexe. Son pouce se glissa entre mes lèvres humides et descendit jusqu'à mon clitoris déjà tout raide pour se mettre à tourner autour. Je me cambrais pour accueillir ce pouce bienfaiteur. ![]() images similaires Voyant comme je mouillais, il savait déjà que ses caresses me plaisaient, je ne voyais donc pas l'utilité de réprimer les gémissements de plaisir qui montaient inéluctablement de ma gorge. Cela dut le conforter, comme s'il attendait cette réaction pour se donner le droit d'aller plus loin. Son pouce quitta mon sexe et je sentis le gland de Jean-François appuyer contre les lèvres de mon sexe. ![]() images similaires Ma moule était si trempée qu'il n'aurait eu aucun mal à me pénétrer d'une traite. Pourtant, il s'engagea en moi avec une lenteur infinie, attentif à mes réactions, comme s'il voulait être certain que j'approuve ce qu'il faisait. Pour le moins, je ne désapprouvais pas. A côté, je pouvais voir Chloé qui nous observait, toujours bâillonnée, mais surtout très excitée par ce à quoi elle assistait. Je soupçonnais à son regard qu'elle aurait bien voulu être à ma place, entravée et baisée par Jean-François. ![]() images similaires Jean-François me baisa ainsi pendant quelques minutes avant de se retirer. Il n'avait pas joui et moi non plus. En tournant la tête, je découvris qu'il avait rejoint Chloé pour la détacher et lui retirer son bâillon : - Chloé, regarde comme Lisa est magnifique ainsi. ![]() images similaires Chloé n'avait pas l'air paniqué. Sans doute avait-elle bien compris ce que Jean-François attendait de nous en échange de notre libération. Cependant, son regard ne montrait pas de résignation, mais j'y décelais beaucoup d'excitation. Jean-François donna des instructions : - Chloé, j'ai très envie de sodomiser Lisa ce soir et je veux que tu la prépares pour moi... Il n'eut pas à en dire davantage. Chloé retira son Jeans et son débardeur. Nue, elle vint me rejoindre et commença à me caresser les fesses. Bien vite, sa bouche déposa des baisers sur ma peau et ses doigts se mirent à investir mon sexe et surtout mon petit trou. ![]() images similaires Elle me branla l'anus d'abord avec un doigt, puis deux, puis trois. J'avais très chaud et j'exprimais mon plaisir par des gémissements. A côté de nous, Jean-François observait, toujours en érection, la queue luisante de ma mouille. Il s'approcha et vint nous rejoindre sur le lit. Sa bite allait venir me sodomiser, mais pourtant rien ne se passa, ni bite, ni doigt. En me contorsionnant, je pus voir que Chloé lui avait offert sa bouche en guise d'apéritif. ![]() Puis arrivèrent les choses sérieuses. Sentant la joue et la main de Chloé contre ma cuisse, je compris qu'elle regardait Jean-François se préparer à me prendre par le cul. Elle appuya sur mes hanches pour me faire tourner légèrement sur le côté. Et l'instant d'après, je sentis effectivement le gland s'appuyer contre mon anus. Lentement, il me pénétra peu à peu. ![]() images similaires Si Jean-François n'avait pas une bite exceptionnelle, il était tout de même plutôt généreusement pourvu par la nature son sexe dans mon petit trou fit des miracles. Le plaisir qu'il me donnait ainsi était plus fort que la douleur des liens qui me serraient les chevilles et les poignets. ![]() images similaires Alors qu'il allait et venait en moi, je sentais ma cyprine s'écouler en abondance de ma chatte et inonder les draps du lit. L'orgasme vint rapidement et je me mis à hurler : - Oh oui ! Défoncez-moi, encore ! Cela sembla le stimuler car j'eux l'impression qu'il devint encore plus gros en moi, me remplissant complètement le cul. ![]() Comme je criais encore, Jean-François atteignit lui-aussi l'ultime plaisir. Il s'immobilisa quelques secondes et émit des râles profonds. Je sentis une giclée de sperme venir me fouetter les entrailles avant qu'il ne se retire précipitamment pour laisser le reste de son sperme se répandre dans mon dos et sur mon cul. ![]() Il avait dû jouir abondamment car je sentis son sperme s'écouler entre mes fesses et dans mon dos. Jean-François avait le souffle court et j'imaginais qu'il venait de réaliser un fantasme qu'il trainait peut-être depuis longtemps. Au fur et à mesure qu'il se calmait, je sentais son sexe débander, se raccourcissant et se rétractant entre mes fesses. ![]() images similaires J'avais oublié la présence de Chloé. C'est en la sentant venir s'allonger contre moi, nue, que je me rappelais qu'elle était là. Nous nous enlaçâmes et sa bouche vint à la rencontre de la mienne. Son baiser était doux. Jean-François défit mes liens et me libéra. La situation était vraiment curieuse. Etions-nous séquestrées, à la merci de Jean-François ? Ou bien étions-nous toutes les deux à jouer son jeu, consentantes et ravies de cette opportunité. Chloé dut lire dans mon esprit et me fit un sourire : - Tu as eu de la chance... ![]() images similaires Je me demandai depuis combien de temps Jean-François l'avait capturée : - Tu es là depuis longtemps ? - Non, Jean-François m'a attrapée hier, dans l'après-midi... Il m'avait donné rendez-vous pour m'offrir l'apéro et je pense qu'il en a profité pour droguer mon verre. Je regardai la chambre où nous étions et je pris conscience que Jean-François avait quitté la pièce, nous laissant toutes les deux. Une petite lumière rouge en haut de l'armoire à côté de la porte attira mon regard. Je ne fus pas plus surprise que ça de voir qu'une petite caméra filmait le lit où nous étions Chloé et moi. Je me tournais vers elle : - Il t'a fait du mal ? - Non. Il m'a par contre bâillonnée et attachée avant ton arrivée et ça n'a pas été un moment très agréable. Mais en dehors de ça, il a été plutôt attentionné. Je l'embrassai à nouveau. ![]() images similaires Nous sommes restées à faire un câlin et nous nous sommes assoupies dans les bras l'une de l'autre. |