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Lisa
17 avril 2015
L'enlèvement 2 - Au fond de Chloé

Vers la fin de matinée, je fus réveillée par des caresses sur mes cuisses. En ouvrant les yeux, je découvris Chloé qui était nue, allongée à côté de moi. Je me redressai. Elle se pencha vers moi et nos lèvres se rencontrèrent pour un baiser sensuel.


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- Quelle heure est-il ? demandais-je.
- Je pense que ce doit être la fin de matinée. Le soleil est déjà haut et j'ai un peu faim.
- Tu crois qu'il va nous garder longtemps ?
- Si on se soumet à ses petits jeux, je pense que non.
- Et tu es prête à te soumettre ?
- Je n'ai pas vraiment le choix...
- Oui... Moi j'avoue que je trouve ça plutôt excitant. Jean-François nous séquestre, mais pour le moment il m'a fait plus de bien que de mal.


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- J'avoue que j'aurais bien voulu être à ta place...
- Je pense que ça va être ton tour, aujourd'hui.
J'attirai Chloé sur moi et nous nous embrassâmes à nouveau. Je pouvais sentir les pointes des seins de Chloé qui durcissaient contre ma poitrine.


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J'enserrai mes jambes autour de la taille de Chloé pour la garder contre moi. Chloé ne semblait toutefois pas désireuse de s'en aller. De toute façon la porte était fermée à clé. Un reflet dans une photo encadrée au mur attira mon regard : la porte, derrière nous, était justement en train de s'ouvrir.



J'hésitai à prévenir Chloé mais j'aperçu soudain Jean-François, totalement nu et en érection. Le doigt sur la bouche, il me fit signe de ne rien dire. Je ne bougeai plus, maintenant Chloé contre moi et attendant. Chloé eut soudain un sursaut, je crus que notre hôte venait de la pénétrer mais, en me décalant un peu, je pus découvrir qu'il était à quatre pattes en train de bouffer la moule de Chloé.


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Chloé se mit à gémir. Cette mise en bouche semblait lui plaire énormément. Quand Jean-François jugea qu'il avait suffisamment préparé la jeune fille, il se redressa et guida son sexe dans sa moule trempée pour la prendre en levrette. Chloé feula de plaisir en se cambrant, me permettant ainsi de lui sucer les mamelons.


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Chloé se faisait enfin baiser par Jean-François, comme elle l'avait souhaité. Celui-ci allait et venait en elle et j'avais le souffle chaud de Chloé dans mon cou. Elle exprimait son plaisir en me murmurant à l'oreille :
- C'est trop bon... Je le sens grossir en moi... Il baise bien...


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Quand elle se redressa avec une mine déçue, je compris que Jean-François s'était retiré. Je ne fus pas plus surprise que ça de sentir son gland s'engager entre mes cuisses et me pénétrer. Il n'eut pas besoin de me préparer car je mouillais déjà abondamment. Il était à me baiser quand je sentis Chloé sursauter :
- Oh !
Puis, je la sentis se cambrer et se mettre à onduler. Elle feulait comme une chatte en chaleur :
- Oh oui ! Vas-y... dans mon cul !
Je compris que Jean-François, tout en me faisant l'amour, était en train de branler l'anus de Chloé.



Il sembla qu'il s'arrêta car Chloé se calma. Je voyais ses mains qui écartaient les fesses de ma compagne. Il dit doucement :
- Oui, je vois que tu es prête. Tu veux que je te prenne par là ?
- Oh oui, allez-y ! Enculez-moi !
Jean-François rigola :
- Mmmm, t'es plus salope que je ne l'aurais cru... Vous êtes faites pour vous entendre Lisa et toi !



Il se retira de mon sexe et se redressa pour l'engager dans le cul de Chloé. Celle-ci se crispa et se mordit les lèvres alors que notre hôte faisait peu à peu pénétrer sa grosse queue dans le petit trou de Chloé. J'en profitais pour m'échapper et me mettre sur le côté pour observer cette sodomie.


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Très vite, Chloé se mit à crier. Je voyais que ce n'était pas de la douleur mais bien du plaisir. Jean-François se montrait d'ailleurs très précautionneux et pénétrait doucement sa victime. Chloé lui intimait de ne pas se retenir :
- Oh oui ! Allez-y ! Défoncez-moi !
Jean-François, exhorté par Chloé, se redressa et écarta les fesses de sa partenaire pour s'enfoncer encore plus loin en elle. Je pouvais voir les lèvres de Chloé suinter de mouille et s'entrouvrir à chaque assaut de Jean-François.


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Chloé hurlait et je pense qu'elle profitait d'un orgasme sublime dont elle se souviendrait longtemps. Jean-François la pistonnait sans relâche jusqu'à s'arrêter soudain. Il resta immobile quelques secondes et je pouvais voir son membre palpiter : il était en train de se déverser dans le cul de Chloé qui criait de plus belle. Quand Jean-François se retira un flos de sperme s'échappa aussitôt du cul de Chloé et se répandit sur les draps.


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Je m'approchai pour venir lécher le cul de Chloé mais Jean-François me mit la main sur l'épaule pour m'arrêter :
- Non, laisse-là. Allons manger.
- Mais le sperme va couler encore.
- Oui. Je veux qu'elle sente mon jus s'écouler pendant qu'elle mangera.
Il prit dans la penderie à côté du lit un peignoir et s'enroula dedans avant de nous en tendre un à chacune.
Nous descendîmes dans la salle à manger où un repas froid nous attendait. Jean-François était plutôt bon cuisinier et il avait préparé pas mal de mets différents. Il nous demanda cependant de garder le silence pendant le repas. Les regards que nous échangions étaient curieux et, sans doute à cause du stresse et de la fatigue, Chloé et moi eûmes un fou rire nerveux qui amusa notre hôte.
Quand le repas fut terminé, Jean-François nous reconduisit à notre chambre. Il nous reprit nos peignoirs et retira le sien. Il bandait déjà et s'installa dans un fauteuil au pied du lit pour nous donner les instructions de ce qu'il attendait de nous :
- Lisa, tu restes debout. Chloé, tu t'allonges sur le lit et tu te masturbes.
Je pensais que ça allait être mon tour, mais il semblait qu'il s'intéressait encore à Chloé. Celle-ci s'installa sur le lit, cuisses écartées, face à lui et commença à se caresser la moule.


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Jean-François bandait mais ne se masturbait pas. Pour moi c'était une torture de ne pas bouger car je mourrais d'envie de venir sucer la moule de Chloé ou la bite de notre kidnappeur. Il dut s'en rendre compte et me murmura :
- Non, Lisa. Tu ne dois pas bouger et attendre qu'elle jouisse.
Chloé nous regardaient alternativement tandis que ses doigts s'affairaient de plus en plus vite sur son clitoris. Ses pointes de seins étaient tendues et Chloé gémissait de plus en plus fort.


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L'orgasme la gagna enfin. Tout son corps fut secoué de spasmes et elle s'effondra soudain, terrassée par le plaisir qu'elle venait de se donner devant nous. Je sentais la mouille qui coulait de ma chatte et je voyais que la bite de Jean-François était fébrile. Il me dit doucement :
- Maintenant, tu peux aller boire sa liqueur.
J'avais si envie de m'activer enfin que j'aurais accepté n'importe quelle consigne. Je viens me mettre à quatre pattes entre les cuisses de Chloé pour lui lécher la moule.


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Il y avait un mélange de cyprine chaude et sperme séché. Le goût était curieux mais ne me déplaisait pas. Chloé écarta largement les cuisses pour me faciliter l'accès à sa moule. Je pouvais ainsi lui lécher le sexe sur toute sa longueur du clitoris, descendant presque jusqu'à son anus où l'odeur de sperme dominait très nettement.


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Alors que ma langue parcourait chaque recoin de sa moule sans en oublier le moindre millimètre, Chloé s'était remis à gémir. Je me dis que Jean-François attendait sans doute que je lui donne un second orgasme. Quand j'eus parfaitement léché et nettoyé la moule de ma partenaire, j'entrepris de la branler avec deux doigts.


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Chloé se tendit pour venir à la rencontre de mes doigts. Elle se mit à onduler le bassin pour accompagner ma masturbation. Je me redressai alors sur elle pour embrasser son ventre puis, remontant, je déposais de petits baisers jusqu'à atteindre sa poitrine. Tout en la branlant, je lui suçais un mamelon en faisant tourner ma langue autour.


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Chloé se tendit. Je sentis son sexe se serrer autour de mes doigts. Son dos se tendit comme un arc et elle cria. Quand elle se calma, je retirai mes doigts. J'allais me relever pour attendre les ordres suivants, quand Jean-François me dit :
- Reste-là. Continue à lui sucer le clito. Elle ne doit pas s'arrêter de gémir.
Je m'exécutais sans discuter.


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Tout en continuant de prodiguer mon cunnilingus à Chloé, j'entendis Jean-François se lever derrière moi. Sous l'action de la langue sur son clitoris tout raide, Chloé gémissait sans discontinuer. Je sentis enfin le gland de Jean-François venir prendre position contre ma moule. Il ne bougeait pas, semblant attendre. Je donnai un petit coup de reins en arrière et m'emmanchai sur sa tige d'un seul coup. Il était parfaitement rigide, large et long et il se mit à me labourer la chatte à un rythme soutenu, je crus qu'il allait jouir ainsi tant il ne semblait pas vouloir freiner ses assauts. J'avais de plus en plus de mal à sucer Chloé et j'étais si excité que je savais que l'orgasme n'allait pas tarder.


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Mais Jean-François se retira. Il me demanda de me pousser :
- Mets-toi à côté de Chloé et continue à la sucer.
Frustrée, j'obéis et repris mon cunnilingus tout en admirant le sexe frétillant qui venait de me baiser de manière trop fugace. De toute évidence, il n'allait pas continuer à me baiser. Il s'avança effectivement et dirigea sa longue tige entre les cuisses écartées de Chloé. Il n'eut aucune peine à pénétrer son sexe béant, dégoulinant de la mouille de Chloé et de ma salive.


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Chloé hurlait. Elle enchainait les orgasmes comme jamais. Jean-François était vraiment un terrible bourreau. Il me donna une nouvelle mission :
- Lisa, à toi de te faire bouffer la chatte maintenant. Va te mettre à genou au-dessus du visage de Chloé, qu'elle puisse goutter à ton jus.
Jean-François calma ses assauts pour permettre à Chloé de reprendre son souffle et me laisser le temps de me positionner. Ce fut un délice de sentir la langue de Chloé fouiller entre les lèvres de ma moule. Tout en continuant à la baiser, Jean-François s'était allongé à côté d'elle pour mieux l'observer en train de me sucer.



La langue de Chloé allait et venait le long de ma fente, plongeant parfois dans mon antre, s'attardant souvent sur mon petit bouton. Elle semblait se délecter de la cyprine qui s'écoulait sans discontinuer dans sa bouche. La coquine était plutôt douée et, en quelques minutes, elle me donna un orgasme terrible qui m'arracha quelques cris stridents.


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Sous le coup de mon orgasme, je m'allongeais quelques minutes à côté de Chloé tandis que Jean-François continuait à lui faire l'amour. Pouvant à nouveau se concentrer sur le plaisir procuré par cette bite qui allait et venait en elle, Chloé se mit à gémir à nouveau. Notre kidnappeur l'attrapa par les chevilles et lui écarta encore plus les cuisses pour s'enfoncer encore plus loin en elle.


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Chloé devait le sentir tout au fond d'elle et elle criait à chaque fois que le gland appuyait contre le fond de son vagin. Ses seins ballotaient aimablement au gré des assauts de Jean-François. Elle passa ses main derrière la tête et se cambra légèrement pour faire davantage saillir sa poitrine. Cela sembla beaucoup plaire au jeune homme et il me sembla même que son pénis devenait plus gros.


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Il allait tout au fond d'elle, restant parfois quelques secondes sans bouger, complètement emmanché dans cette antre torride, profitant du contact de ce fourreau parfaitement ajusté tout autour de son sexe. Chloé hurlait encore, même quand il marquait des pauses. Soudain, je vis son corps se mettre à vibrer. Elle eut pendant quelques secondes la chair de poule, une onde de plaisir lui parcourait le corps. Elle hurlait alors que l'orgasme envahissait tous ses sens.


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Jean-François se retira soudain et garda son érection hors du sexe de Chloé. Sans le tenir, je pus le voir se contracter un instant avant de se mettre à cracher une incroyable quantité de foutre. Une succession de jets de sperme épais vinrent s'écraser sur le ventre, le sexe et les cuisses de la jeune fille. Certains jets atteignirent même son cou.


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Je ne pus résister à venir les rejoindre. Jean-François ne s'y opposa pas. Je m'allongeai le long de Chloé pour lui lécher le sperme qu'elle avait dans le cou et sur les seins. D'une main, je saisis le sexe encore rigide de Jean-François et en utilisai le bout du gland pour taquiner le petit clitoris tout raide de ma copine.


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Chloé gémissait encore. Puis sa respiration se ralentit. Appuyée contre elle, j'étais bercée par les battements de son cœur. En quelques minutes, épuisées, nous nous sommes endormis alors que nous n'étions qu'au milieu de l'après-midi. Jean-François n'en avait pourtant pas terminé avec nous...


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