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Boris 2 septembre 2015

Le fétiche : 3. Libération Le lendemain, en fin de matinée, nous décidâmes de passer voir Siro. Le sculpteur aveugle avait effectivement terminé la statuette et nous accueillit silencieusement mais encore avec une érection terrible qui semblait fasciner toujours autant ma femme. Fabienne fut également ravie de découvrir la statuette qui la représentait, très réussie. Je dois avouer que j'étais moi-même bluffé par la ressemblance, pas tant au niveau des détails qu'au niveau des proportions des cuisses, des bras et surtout des fesses et des seins qui étaient vraiment une version miniature de mon épouse. Siro restait humble et annonça : - Je vous demande de ne pas y toucher car c'est vraiment très fragile. Vous pouvez la photographier, mais par contre, elle restera ici au village avec toutes les autres. - C'est dommage, ça aurait fait un super souvenir... Fabienne était un peu déçue même si nous savions déjà que nous ne pourrions pas partir avec. Nous remerciâmes Siro et sortîmes. Une jeune femme brune très jolie nous sourit : - Alors ? Vous vous êtes fait faire une statuette ? images similaires Fabienne resta interloquée par son sourire énigmatique et finit par répondre : - Oui, pourquoi ? - Tout le monde passe par la cabane du sculpteur. - Oui, il est doué. J'ajoutai : - Il a fidèlement reproduit à l'échelle les charmantes courbes de ma femme. La fille désigna l'érection que j'avais et dont je ne m'étais même pas rendu compte : - Effectivement, ça vous fait de l'effet ! Fabienne se joignit à elle pour se moquer de moi. images similaires Trois garçons passèrent alors non loin de là, en prenant tout leur temps pour admirer la nudité de la jeune fille brune et de ma femme. Celle-ci allait poser une question à Fabienne quand soudain elle se mit à frémir comme si elle avait un orgasme. Nous la regardâmes, un peu inquiets, et elle dut s'appuyer à un arbre pour ne pas tomber. images similaires Fabienne lui demanda : - Vous allez bien ? Mais la jeune femme ne répondit pas et, à notre grande stupéfaction, elle se laissa tomber assise au pied de l'arbre et commença à se caresser la moule. images similaires Elle se mit à feuler et demanda de l'aide : - Venez ! Amenez vos bites ! Elle s'adressait à moi mais aussi aux trois autres gars qui étaient plus loin. Ceux-ci arrivèrent tout de suite en se masturbant tandis que Fabienne me serrait très fort le poignet pour m'indiquer qu'elle ne souhaitait pas que je les rejoigne. Aussitôt que les gars furent autour d'elle, la jeune femme empoigna les sexes en érection et commença à les masturber en les suçant alternativement. C'était une scène hors du réel et je pensais que Fabienne allait m'entraîner plus loin mais elle resta à regarder, comme fascinée. L'un des gars finit par s'allonger et attrapa la jeune femme par les hanches pour la faire s'empaler sur son sexe, tandis que les deux autres se faisaient sucer. Fabienne se mit alors elle aussi à frémir. - Oohhhh. Cédric, je me sens bizarre. Rentrons à la cabane ! Elle semblait comme dans une sorte de transe et je crus même qu'elle était en chaleur. Il émanait d'elle une sorte de désir sexuel intense qui me donna une érection soutenue même quand on arriva à la cabane. Elle s'assit alors sur le lit mais n'avait pas l'air souffrant, au contraire. - Qu'est-ce qui t'arrive ma chérie ? - Je... je ne sais pas ce qu'il m'arrive. J'ai eu soudain une folle envie qu'on me fasse l'amour ! - "On" ??? - Je ne sais pas... Peut-être un peu comme cette fille ? images similaires Elle écarta largement les cuisses et commença à se masturber. Même s'il m'était arrivé de la surprendre à se caresser sous la douche, c'était la première fois que je la voyais se masturber devant moi. Elle avait un regard étrange, à la fois paniquée et terriblement excitée : - Je ne comprends pas pourquoi j'ai cette furieuse envie de jouir... images similaires Elle me mettait dans un état d'excitation comme elle ne l'avait jamais fait. J'avais très envie de lui faire l'amour mais comme elle semblait ne pas vraiment contrôler son état, je préférai me contenter d'observer pour le moment. Je m'assis dans le canapé face à la porte d'entrée et Fabienne se leva pour venir me rejoindre. - Ma chérie, si tu as besoin de sexe, je suis ton homme ! Elle se mit à quatre pattes et sa bouche plongea aussitôt sur mon gland pour le happer. Je passai ma main entre ses cuisses et découvris une véritable fontaine. images similaires Elle abandonna mon sexe et se redressa. Dans un souffle rauque, elle me dit : - Maintenant, baise-moi ! Elle enjamba mes cuisses et vint s'empaler sur moi. Elle était brûlante et c'était un véritable délice de sentir son chaud fourreau autour de mon sexe. images similaires On frappa soudain à la porte. Sans attendre, Fabienne ordonna de rentrer. Un homme apparut. C'était le nouveau venu que nous avions vu arriver la veille. Il était habillé et se confondit en excuse en découvrant qu'il nous dérangeait : - Mes excuses, je ne savais pas. Il commença à reculer et refermer la porte mais Fabienne le reteint : - Restez ! On vous expliquera après... Le gars hésita mais voyant qu'on ne semblait pas du tout inquiété par sa présence, il resta et referma la porte. Je le vis passer une main sur son entrejambe qui trahissait une proéminence significative. Par politesse, il demanda quand même : - Heu... Vous êtes sûre ? Fabienne, occupée à monter et descendre sur ma tige, se contenta de lui répondre par un petit signe de tête. Le mec commença à se détendre : - Je m'appelle Enrico. Je l'invitai à venir s'asseoir. Mais au lieu de s'asseoir dans le fauteuil qui était à sa gauche, il vint s'asseoir juste à côté de nous dans le canapé, manifestement pour admirer la poitrine de Fabienne. Cela ne sembla pas la déranger, au contraire, et, curieusement, moi-même, cela m'excita qu'il puisse y avoir un spectateur à nos ébats. images similaires Le souffle court, je fis la conversation à notre hôte : - C'est hallucinant, n'est-ce pas, ce village ? - Oui, les gens tous à poil et qui baisent partout... Je ne comprends pas... Fabienne se pencha sur moi : - C'est la chaleur... On reste nu, ça excite tout le monde. - C'est sûrement ça, mais c'est dingue ! - Oui... Sous le regard halluciné du nouveau venu, Fabienne se mit à se doigter l'anus et me demanda tout bas à ce que je la sodomise. - Je veux que tu m'encules... C'est la première fois qu'elle me faisait une telle requête. Elle m'avait toujours refusé son petit trou jusqu'à présent. J'étais dans un état d'extase complet et je la fis mettre à quatre pattes pour qu'elle soit dans la position idéale pour que je lui mette ma queue dans le cul ! Fabienne se mit à gémir encore plus fort. Le gars observait sans croire à ce qu'il voyait. Fabienne lui dit : - Vous pouvez vous branler, si ça vous chante ! images similaires Je ne reconnaissais plus ma femme, délurée et exhibitionniste, mais ça me plaisait énormément. Tout en continuant à la sodomiser, je regardais le gars retirer tranquillement ses vêtements avant de se réinstaller sur le canapé. Il affichait déjà une fière érection et la saisit pour l'astiquer tout en nous regardant. images similaires Fabienne semblait admirative de cette belle queue et même si j'étais très occupé à faire entre et sortir ma virilité de son anus, je pouvais voir l'intérêt évident qu'elle portait à l'érection de ce jeune homme. Je crus même un instant qu'elle allait lui demander de venir nous rejoindre pour participer. images similaires Trop excité par cette sensation unique de pouvoir investir cet orifice qui m'avait toujours été refusé auparavant et également par la présence de ce voyeur, je ne tins pas bien longtemps et je sentis bien vite la sève qui monta de mes couilles. Je me plantai bien profond en Fabienne et commençai à me déverser généreusement. Tandis que j'éjaculais, elle se mit à crier. Je la sentais vibrer autour de ma queue, terrassée par un puissant orgasme. Je restais presque une minute, planté au fond de son cul à profiter de ce délicieux fourreau, tandis qu'elle reprenait doucement son souffle. images similaires Quand je me dégageai, elle jeta un coup d'œil à notre visiteur qui se masturbait toujours. Elle me chuchota : - Il va éjaculer par terre... En répondant à Fabienne, je fus moi-même surpris d'oser faire une telle proposition : - Tu peux peut-être lui donner un coup de main ? - Vrai ? Tu accepterais que je le masturbe ? Je lui fis un sourire en guise d'acceptation. Fabienne se leva et alla s'agenouiller entre ses cuisses. Elle allait saisir son sexe quand il se leva, plaçant son sexe à hauteur de sa bouche. Sans la moindre hésitation, ce qui ne la ressemblait pas du tout, Fabienne goba le sexe et commença à le sucer. images similaires J'aurais dû être furieux, jaloux. Mais au contraire, cela m'excitait prodigieusement. Elle me regardait tout en le suçant et je ne pus m'empêcher de la trouver tout simplement superbe. Je ne m'expliquais pas cet incroyable changement dans son comportement. Fabienne était une jeune fille réservée et très classique au niveau sexe. La voir devenir une salope pur-jus était surréaliste mais, pour le moment, cela me plaisait énormément. Après plusieurs minutes de fellation, le gars sortit sa queue de la bouche de ma femme et se mit à l'astiquer vivement. Je pus voir le sperme jaillir et venir se répandre sur le doux visage de Fabienne. images similaires Elle semblait apprécier et souriait en recevant la semence de cet inconnu sur les joues. Jamais je n'avais eu ce privilège. J'eus quand même un petit pincement, de la jalousie sans doute, en me disant que je n'étais pas le premier à lui avoir éjaculé sur le visage. Le jeune homme attrapa ses vêtements et nous dit : - Jamais je n'aurais cru tomber sur un endroit comme celui-là en venant en vacances... J'ai l'impression que je vais passer une semaine sympa. Merci pour l'accueil et à bientôt. Tandis que l'homme ressortait tout nu, ses vêtements à la main, je regardai Fabienne, le visage couvert du sperme de ce visiteur. images similaires - Ma chérie, je n'aurais jamais cru que tu puisses faire ça un jour ! - Pour tout t'avouer, je me sens bizarre... L'impression de ne pas avoir contrôlé mes pulsions, comme si quelqu'un m'avait contrainte à ne pas refréner mes désirs, à me laisser aller à tous mes fantasmes. Tu n'es pas fâché ? - Ai-je l'air fâché ? - Non, tu as l'air excité... espèce de pervers !

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