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Le fétiche : 2. Promenade autour du village Le lendemain, je réussis à convaincre Fabienne d'aller se promener un peu dans la forêt autour du village. Elle avait passé ce qu'elle avait de plus court : un mini short en jean et un petit débardeur jaune qui moulait délicieusement ses seins en l'absence de soutien-gorge. Pour ma part j'avais opté pour un short également et décidai de rester torse nu. Nous prîmes un petit sac à dos avec deux bouteilles d'eau et sortîmes de la cabane. Fabienne craignait surtout qu'on tombe sur des couples en train de faire l'amour mais prêtions attention aux bruits pour éviter de nous retrouver nez à nez avec des baiseurs naturistes. Toutefois, cela ne nous empêcha pas de tomber sur une jeune fille brune avec une poitrine superbe. Fabienne montra aussitôt un agacement manifeste et ne manqua pas de me donner un coup de coude dans les côtes pour me signifier de regarder ailleurs. La nana était pourtant très sympa : - Bonjour ! ![]() images similaires Face à l'absence de réponse de ma femme, je décidai qu'il n'était pas nécessaire que l'on passe pour des malotrus : - Bonjour mademoiselle. - Comment vous faites pour supporter des vêtements ? - C'est effectivement très désagréable, mais ma femme et moi ne pratiquons pas le naturisme... - Oh, mais moi non plus, je suis là depuis trois jours et je ne m'étais jamais mise nue en public auparavant. Mais la nécessité et l'atmosphère du lieu font que maintenant, je n'éprouve aucune gêne. - Tant mieux pour vous ! répondit sèchement Fabienne. ![]() images similaires La jeune fille ne se formalise pas du caractère de cochon de ma femme et continue : - Je comprends que ce soit difficile de faire le pas, mais je suis certaine que vous vous y mettrez avant demain. Elle tourna la tête et regarda derrière nous sur le chemin. On entendit une voix dire "Bonjour" et on tourna la tête pour voir qu'il s'agissait du sculpteur, Siro, dont Daphnée nous avait parlé. Il était nu lui aussi et, pour palier à sa cécité, il se déplaçait avec un long bâton qu'il faisait glisser devant lui pour détecter les éventuels obstacles. Il continua sur le chemin ponctuant son parcours de petits coups de bâtons. La jeune fille nous expliqua : - C'est Siro, il est aveugle. Il est sculpteur et arrive à faire des trucs incroyables. Vous êtes déjà allé le voir ? - Non, répondit Fabienne intriguée. Il sculpte quoi au juste. - Et bien il fait des figurines en terre à l'image de ses modèles, c'est à dire les femmes du village. - Mais comment fait-il puisqu'il ne voit pas ? - C'est tout le talent de cet artiste ! Allez le voir, vous comprendrez... ![]() images similaires La jeune fille semblait avoir éveillé la curiosité de Fabienne et celle-ci lui posa une question alors qu'elle commençait à s'éloigner : - Et vous y êtes allée ? Je veux dire, il vous a fait une sculpture à votre image ? - Oui, c'était génial ! Je vous conseille d'y aller... La jeune fille s'éloigna et nous fit au revoir de la main. ![]() images similaires Alors qu'on s'apprêtait à poursuivre notre promenade, j'entends la voix de la jeune fille faire "Aïe !". Je regardais Fabienne, ne sachant pas trop quoi faire. Elle soupira et me dit sèchement : - Va voir ce qu'elle a ! Elle s'est sans doute blessée. Ramène là sur le sentier, je vais voir si je croise quelqu'un qui pourrait te donner un coup de main. Je quittai le sentier en direction du cri que j'avais entendu. Je n'étais pas le seul à avoir entendu car un autre homme me précédait, suivant la même direction. La jeune fille était à genou contre un tronc d'arbre et tourna la tête à notre approche. ![]() images similaires Ni l'homme, ni la jeune femme ne semblait avoir remarqué ma présence. L'homme devant moi demanda : - Est-ce que ça va ? - Oui, je me suis mis une épine dans le pied, mais j'ai réussi à la retirer. - Vous pouvez marcher ? Vous voulez de l'aide ? - Non, je... je... Oooooooh... Soudain, le ton de la voix de la fille changea. Elle se mit à gémir et se cambra en arrière, tendant son cul vers le gars. Il semblait aussi stupéfait que moi et n'en crut pas ses yeux quand il vit la fille se fourrer un doigt dans la chatte et se mettre à se masturber. ![]() images similaires Je me mis à bander et mon caleçon me faisait bien mal. Le type devant moi affichait lui aussi une sacrée érection. La fille se mit à feuler en l'appelant : - Ooooh, prenez-moi ! L'homme ne se fit pas prier et s'approcha. Dès qu'il fut derrière elle, la jeune fille attrapa sa bite et la guida dans son sexe. Le gars se mit aussitôt à la baiser et leurs gémissements commençaient à se faire de moins en moins discrets. ![]() images similaires Je décidai de retourner sur le chemin pour retrouver Fabienne, en me demandant ce que j'aurais fait si l'autre gars n'avait pas été là et que c'est à moi que la fille avait demandé de lui faire l'amour. Fabienne, ignorante de ce qui était en train de se passer plus loin dans la forêt, ne semblait pas fâchée : - Alors ? Elle va bien ? - Juste une épine dans le pied apparemment. Un autre gars est en train de s'en occuper. - Ah... Tu n'es pas le seul chevalier servant de ce village ! Cédric, le short, ce n'est pas une si bonne idée, je vais plutôt mettre une robe. Ça t'embête si on repasse à la cabane ? Un quart d'heure plus tard, Fabienne ressortait dans une jolie robe petite robe rouge très légère. - C'est mieux ! Mais j'ai quand même chaud... - Déjà, tu aurais peut-être pu te passer de mettre une culotte ? - Qu'est-ce que tu crois ? Elle souleva légèrement sa robe et je découvris avec stupeur qu'elle n'avait effectivement pas mis de culotte. ![]() images similaires Ma queue fit un bond dans mon short et j'avais soudain très envie de faire courir mes mains sous cette petite robe qui constituait finalement la seule barrière pour accéder au corps somptueux de ma femme. Nous repartîmes en promenade et Fabienne repoussait gentiment toutes mes tentatives pour tenter de passer ma main sous sa robe. Après une bonne demi-heure de promenade coquine qui ne m'avait pas laissé débander, Fabienne se plaignit à nouveau de la chaleur. Je tentai ma chance : - Tu sais, si tu as encore trop chaud, il ne reste plus qu'une solution... Et ce disant, je fis glisser une bretelle de son épaule pour dégager un sein. ![]() images similaires Cela l'amusa et elle me lança un défi : - Ok, je retire la robe, mais toi tu retires ton short. Elle voyait bien que je bandais et devait penser que je n'oserais pas exhiber mon érection. Je fis mine d'hésiter, alors elle commença à faire glisser sa robe pour me stimuler, montrant quand même un peu de pudeur quand la robe descendit sur ses hanches et révéla son sexe nu. ![]() J'avais fait l'hésitant mais j'avais une folle envie depuis un moment de libérer la bête. Quand j'avais vu la jeune fille se masturber dans la forêt puis être prise en levrette, cela avait déjà été dur de ne pas succomber à une petite masturbation. Et depuis que Fabienne est apparue avec cette robe sans rien dessous, mon sexe n'a pas débandé. Quand je déboutonnai mon short, Fabienne poussa une exclamation d'heureuse surprise en découvrant mon érection. ![]() images similaires - Oh mon pauvre chéri ! Je vois que tout cela te met dans un drôle d'état... Je crois qu'il va falloir qu'on rentre à la cabane pour s'occuper de toi. Je n'étais pas contre cette proposition mais je me demandais si j'allais être capable d'attendre jusqu'à ce qu'on rentre : - Tu ne penses pas qu'on pourrait se trouver un petit coin discret par ici ? - J'accepte déjà de me mettre à poil mais il ne faut pas exagérer ! Fabienne termina d'enlever sa robe. ![]() images similaires Elle apparut enfin nue et, par pudeur naturelle, se cacha les seins et le sexe avec les mains. Cela m'amusa : - Fabienne, tu pense que tu vas terminer la promenade en gardant tes mains positionnées ainsi ? Je ne suis pas certain que tu parviendras à avoir moins chaud... Au pire, si tu ne veux pas contrarier ta pudeur, tu peux garder ta robe à portée de mains et l'enfiler si quelqu'un arrive. Elle devait bien reconnaître que j'avais raison. Elle retira ses mains et se mit à regarder tout autour de nous pour s'assurer que personne ne venait. ![]() images similaires Elle me regarda : - Toi ça ne te gêne pas d'avoir la quéquette à l'air ? - Si un peu, mais en fait, non. Je trouve ça très agréable, à la fois excitant et libérateur. - Tu dis ça parce qu'on est entre nous, mais si quelqu'un vient ? - Je pense que je suis capable d'assumer, vraiment. - On va bien voir... On passe par où ? - De ce côté-ci, je pense que c'est plus direct. ![]() images similaires Fabienne se mit en marche. Après une vingtaine de minutes sans rencontrer personne, nous arrivâmes en vu du village. Fabienne reconnut la cabane du sculpteur : - On n'est plus très loin, on passe devant la cabane de Siro, le sculpteur. - Tu veux qu'on s'y arrête ? - Ok, mais je repasse ma robe avant. - Tu déconnes ? Ce gars est aveugle, tu ne crois pas qu'il s'en fout éperdument de ta nudité ? - Si tu as raison... Fabienne semblait à la fois gênée et excitée, comme une gamine qui va à son premier bal. ![]() images similaires Devant la cabane, sur de grandes planches, on pouvait voir exposer une multitude de figurines modelées par les mains expertes de l'artiste. Il s'agissait de statuettes en argile, représentant exclusivement des femmes, d'environ dix centimètres de haut. - Tu as vu ça ? C'est incroyable, dit Fabienne. Comment un aveugle peut-il réussir une telle prouesse ? Regarde un peu ces détails ! Il y a même le sexe et les mamelons ! C'est fou. - Tu veux te faire faire la tienne ? - Oui, ce serait amusant... ![]() images similaires - Alors, allons-y. Siro était assis au fond de la pièce. Fabienne ne manqua pas de remarquer qu'il était nu et exhibait surtout une érection d'une taille phénoménale. Ce qui nous surprit encore davantage c'était les yeux vides, d'un blanc laiteux. - Bonjour madame, bonjour monsieur. Avant toute chose, je dois vous préciser que mes œuvres ne sont pas à vendre. Je peux faire la sculpture de vôtre femme gratuitement mais la statuette restera ici, dans le village. Vous pourrez éventuellement la photographier. - Et pourquoi ne pas les vendre ? - L'argent ne m'intéresse pas. Ici, j'ai tout ce qu'il me faut pour vivre. Laisser les statuettes au village est une manière de garder une trace du passage des gens dans le village. Fabienne ne disait rien, subjuguée semblait-il par l'incroyable sexe du sculpteur. J'interrogeai donc Siro : - Mais comment faites-vous pour réussir des modelages aussi détailler alors que vous êtes privé de la vue ? - Il faut que vous sachiez que je dois découvrir mon modèle avec ses mains et je comprendrais que cela puisse vous rebuter. Libre à vous d'accepter ou de refuser... ![]() images similaires L'expression de Fabienne changea. Je sentis comme une peur dans son regard et je tentais de la rassurer en lui parlant tout bas : - Il va seulement te toucher pour connaître tes formes, rien de plus. Je reste à côté, je suis sûr qu'il ne tentera rien... - Tu as vu son sexe ? - Oui difficile de ne pas le voir, mais cela ne fait pas de lui un violeur en puissance... - Ok, tu restes à côté, hein ? Le sculpteur se leva. Je suspectais qu'il ait entendu nos messes basses. Il mit sa main sur mon épaule et me poussa vers la porte : - Vous devez rester dehors. Rassurez-vous, je ne ferais aucun mal à votre femme. J'obtempérai, finalement assez excité à l'idée de savoir que Fabienne allait se faire tripoter par un autre homme que moi. Je pris position à la fenêtre pour surveiller. Siro était revenu vers Fabienne et appuya sur ses épaules pour la faire mettre à genou. Puis il vint s'installer derrière elle et commença à faire courir ses mains sur son corps. ![]() images similaires Fabienne me regardait tandis que Siro tournait autour d'elle, découvrant de ses mains chaque parcelle de peau. Rien n'échappa : visage, mains, pieds, seins, sexe, fesses. Lorsqu'il se déplaçait autour elle, je pouvais voir l'énorme sexe turgescent de Siro qui frottait contre Fabienne. J'étais incroyablement surpris qu'il ne tente pas quoique ce soit et qu'il puisse se contenter de ces simples attouchements. Tellement excité par ce spectacle incroyable, je ne m'étais pas rendu compte que j'étais en train de me masturber machinalement. ![]() images similaires Je m'arrêtai aussitôt, sachant qu'en quelques minutes, j'étais capable d'éjaculer et de répandre la semence sur le sol devant la cabane de Siro. Heureusement, Siro termina son exploration assez vite et Fabienne ressortit de la cabane. Elle semblait épanouie. - Comment tu te sens ma chérie ? - Très bien ! C'était incroyable ! Ses mains étaient comme des caresses, mais en même temps il semblait si détacher de toute considération sexuelle. En tout cas, je me sens beaucoup plus à l'aise maintenant ! - Tu veux dire que tu acceptes ta nudité ? - Oui, finalement, c'est vrai que c'est très agréable. ![]() images similaires Alors que nous nous éloignions de la cabane du sculpteur pour rejoindre la nôtre, Fabienne me dit : - Le sculpteur a dit que la statuette serait prête demain matin. - Si tôt ? - Oui... Il a l'air doué ! Alors qu'on allait rentrer dans notre logement, on aperçut un type habillé portant une valise qui semblait chercher son chemin. Fabienne rigola : - Combien de temps faudra-t-il à celui-ci pour qu'il se mette à poil ? Nous rentrâmes et refermâmes la porte. |