Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote    =

Episode précédent <<< Le fétiche : 13. Retour de bâton >>> Episode suivant

Boris
1er mai 2016
Le fétiche : 13. Retour de bâton


Avant de repartir, Daphnée nous avait encore mis en garde contre les dangers de nos fétiches. Il s'agissait d'être particulièrement prudent quant à leur usage en public. Pourtant, Fabienne avait une envie de revanche :
- J'aimerai bien quand même te mettre à l'épreuve, Cédric.
- Me mettre à l'épreuve ?
- Oui, qu'on aille dans un lieu public avec l'olisbos.
- Daphnée nous a dit d'éviter ce genre de chose, non ?
- Tu as abusé plusieurs de la statuette dans des endroits plein de monde, je ne vois pas pourquoi je n'essayerai pas moi aussi...
Après ce que je lui avais fait subir, il m'était difficile de lui refuser. Par contre, si l'effet était similaire à celui de la statuette, c'est que j'allais avoir une monstrueuse envie de baiser :
- Tu n'as pas peur que ça me fasse violer des filles ?
- Bien sûr que non ! Je n'avais jamais violé un mec quand tu utilisais la statuette. Et puis je resterai pour contrôler qu'il n'y ai pas de dérapage.
Après quelques secondes d'hésitation, j'acceptai de tenter l'expérience. Le soir-même, Fabienne m'amena dans un night club. Dès que nous fûmes entrés, je sentis ma bite se tendre dès que Fabienne fourra sa main dans son sac pour saisir l'olisbos. J'avais l'impression qu'elle me masturbait en public et j'eux aussitôt une irrésistible envie de jouir.




Se mettant dans un coin discret et sombre, elle me repoussa pour m'empêcher de me coller à elle. J'avais envie de la baiser. Retroussant légèrement sa robe, elle inséra l'olisbos dans sa moule qui était libre de toute culotte. C'était incroyable, j'avais l'impression que j'étais en train de la baiser ! Surexcité, je commençai à tirer sur sa robe pour essayer de la lui retirer, sans me soucier que d'autres mecs autour profitaient de la vue de son sexe nu.


images similaires


Fabienne tenta de m'en empêcher, mais, dans ma précipitation, j'avais déjà arraché plusieurs boutons du bas de sa robe et il lui était bien difficile de cacher sa moule. Ne contrôlant plus vraiment mes pulsions, je continuai à tirer sur la robe, insistant sur le décolleté pour découvrir sa poitrine. D'autres boutons tombèrent par terre et Fabienne dut mettre ses bras devant sa poitrine pour dissimuler ses seins aux regards des gars qui observaient.



Fabienne s'amusait de ma frénésie et semblait accepter que sa robe soit foutue. Sans trop comprendre à ce qu'il se passait, quelques mecs voulurent intervenir :
- Tout va bien mademoiselle ?
- Oui, j'ai un peu trop chauffé mon mari, maintenant je dois en assumer les conséquences...
Ils n'insistèrent mais restèrent pour voir jusqu'où j'allais aller pour la mettre à poil. Le dernier bouton tomba par terre. La robe s'ouvrait largement et découvrait la nudité de ma superbe femme.


images similaires


Elle tentait de se couvrir comme elle pouvait avec ce qu'il lui restait de tissu, mais c'était sans compter sur mon acharnement à la mettre totalement nue pour s'offrir à tous mes désirs. Entre ses tentatives désespérées pour m'empêcher de lui retirer la robe et sa volonté de dissimuler autant que possible sa nudité, les mouvements qu'elle faisait avaient pour effet de bouger significativement le godemichet entre ses cuisses et de m'exciter encore d'avantage. Elle ne put donc m'empêcher de finir de la mettre nue :
- Bon, tu es content, Cédric ? Tu as ce que tu voulais, maintenant, rends-moi la robe.



Elle avait l'air décidé, mais je savais qu'elle s'en fichait. Malgré mon esprit plus qu'embrumé, je lui répondis :
- Je te la rendrais une fois que je t'aurais fait l'amour !
Quelques mecs applaudirent. Fabienne me tourna le dos et se cambra pour m'offrir sa croupe nue où l'olisbos était enfoncé sur presque toute sa longueur.


images similaires


Les gars hallucinaient de voir ça. Fabienne me regarda droit dans les yeux et dit :
- Sauf que la place est déjà prise. Il va falloir que tu me retires le gode...
Bien que Daphnée nous ait précisé que l'effet était similaire à celui de la statuette, je ne pris pas conscience du tout du danger et je m'approchai.


images similaires


Je saisis l'extrémité de l'olisbos qui sortait du sexe de ma femme pour le retirer. Une vibration me sembla parcourir la salle, telle une onde de choc. Je ne pus retirer l'objet du sexe de ma femme mais j'avais compris : toutes les femmes présentent avaient maintenant envie que je leur donne un orgasme. Certaines filles commencèrent à se déshabiller.



Les mecs autour n'en croyaient pas leurs yeux. Certains engueulaient leurs copines et les tiraient vers la sortie tandis qu'elles essayaient de se mettre nues. Un groupe de filles se jeta sur moi et me débarrassa de mon pantalon. L'une d'elle se mit aussitôt à genoux pour prendre mon érection en bouche et me sucer tandis que d'autres filles lui disaient de leur laisser la place.



Je fus rapidement entouré de filles plus ou moins jeunes, plus ou moins jolies, mais toute avide de mon sexe. Les bouches se succédaient sur ma queue qui n'avait jamais connu autant de bouches différentes. On commença à me retirer ma chemise. Je sentais qu'on me caressait les mamelons et une autre fille m'embrassait à pleine bouche.


images similaires


Les filles se succédaient pour me sucer. C'était incroyable ! Elles faisaient la queue en attendant leur tour. Elles étaient plus ou moins nues. Celles qui avaient encore des vêtements se les faisaient retirer par celles qui étaient déjà nues. Certaines impatientes, se masturbaient sans la moindre pudeur, en me regardant me faire sucer.



Je sentais que j'allais bientôt jouir. Les filles le sentir aussi demandèrent à celle qui me suçait d'arrêter. Elles voulaient me voir gicler ! La fille arrêta donc sa fellation et décida alors de me masturber. Une nana s'approcha avec un appareil photo, elle n'était sans doute pas présente au moment de l'onde de choc et devait trouver bien originale cette animation.



Je ne pus pas tenir plus longtemps. Poussant un profond râle de plaisir, je me mis à éjaculer au visage d'une fille. Elle lâcha ma queue et ouvrit grand la bouche, me laissant de soin de viser pour que mes autres jets atteignent la cible. Tandis que mon sperme giclait généreusement sur cette fille, je vis que Fabienne, toujours nue, s'était approchée et qu'elle me caressait les couilles.


images similaires


C'est seulement une fois l'orgasme passé que je me rendis compte de la situation. Si l'enchantement s'était calmé pour moi, ce n'était pas le cas de la plupart des filles encore présentent. Quatre filles me forcèrent à m'allonger sur une grande table et l'une d'elle se mit à me branler pour s'assurer que je n'allais pas débander tout de suite.


images similaires


A nouveau, le ballet des fellations reprit et les bouches se succédèrent pour se disputer ma tige. J'avais parfois jusqu'à trois bouches autour de ma queue : une fille me tétait le gland tandis qu'une autre me léchait la tige, une dernière s'occupant de me sucer les testicules.



Puis, jugeant que j'étais à nouveau prêt, la jolie brune qui me suçait les couilles se releva et monta sur la table. Elle était intégralement nue et magnifique. Même sans le pouvoir de l'olisbos ou tout autre enchantement, j'aurais sûrement eu envie de la baiser. Elle me tourna le dos et vint s'empaler sur ma tige raide.



En quelques secondes, la fille eut un orgasme et je ne pus me retenir d'éjaculer en elle. Quand elle reprit ses esprits, elle me regarda sans comprendre ce qu'elle faisait ainsi empalée sur moi. Elle me donna une gifle magistrale avant de descendre de la table à la recherche de ses fringues. Mais à peine était-elle partie qu'une jolie blonde vint prendre sa place pour me chevaucher. Malgré mes deux éjaculations, je ne parvenais pas à débander, comme pris du syndrome de priapisme.



Je n'avais plus la force de bouger et de profiter de cette baise, mais la fille semblait se débrouiller toute seule et montait et descendait sur ma tige au rythme qui lui convenait. Dès qu'elle eut joui, c'est Fabienne qui vint prendre sa place. Une jeune brune vint se mettre à genoux au-dessus de mon visage pour que je lui suce la moule.


Je me concentrai d'abord sur l'entrecuisses de la jeune brune afin de la faire jouir le plus vite possible, de manière à pouvoir ensuite me consacrer uniquement à Fabienne. Là, je fis l'effort de donner quelques mouvements pour que ma femme puisse aussi prendre du plaisir. En réalité, elle manipulait toujours l'olisbos et s'amusait à le caresser et à le sucer. Ces sensations inouïes m'amenèrent rapidement à une nouvelle éjaculation qui provoqua l'orgasme de Fabienne. Dès qu'elle eut joui, des filles la repoussèrent et plongèrent leur bouche sur mon sexe enfin libéré.



Une autre nana vint alors pour que je lui fasse minette. D'autres filles se succédèrent sur ma tige et je leur donnais à chacune un bel orgasme, mais par contre, je n'avais pour ma part plus d'éjaculation et ma bite commençaient à devenir un peu douloureuse. Je compris en voyant Fabienne qui s'amusait à sucer l'olisbos, mais surtout, qui enserraient fortement la base de l'objet. Elle bloquait ainsi l'afflux de mon sperme.


images similaires


Après plus d'une heure d'orgie incroyable, toutes les filles qui étaient restées avaient eu un orgasme et je pus enfin me reposer. Si la plupart des filles repartaient en hurlant après leur orgasme, ne comprenant pas comment elles avaient pu faire une telle chose, un petit groupe de chaudasses voulut rester jusqu'à la fin. Et quelques nanas dépoitraillées se pressèrent devant moi espérant recevoir la semence de mon ultime éjaculation.



Je me branlai comme jamais je ne m'étais branlé et j'avais cette furieuse envie de satisfaire ces quatre coquines en leur envoyant mon foutre au visage. Mais cela ne venait pas. Les filles se rapprochaient de plus en plus pour m'encourager à leur laisser ce qu'il me restait de semences.



Je compris alors que Fabienne continuait de jouer avec l'olisbos. Elle était en train de se masturber avec mais continuait à enserrer la base pour m'empêcher d'éjaculer. Je la vis alors me faire un clin d'œil. Elle enfonça l'olisbos loin dans son sexe et je la sentis relâcher la pression.


images similaires


Mon sperme se mit alors à gicler. Ce fut une libération. Je criais de plaisir. Plusieurs jets se succédèrent et j'orientais chacun d'eux vers une fille différente. Elles gloussaient toutes les quatre alors que ma semence venait s'écraser sur leur visage, sur leur langue ou au fond de leur gorge.



Quand je repris enfin connaissance après cette incroyable éjaculation, les filles me regardaient en souriant, agenouillées devant moi. L'une d'elle demanda :
- Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
- C'est un enchantement...
Une fille rigola et ajouta :
- Pour nous aussi, monsieur !



J'étais encore sous le coup de ce que je venais de vivre. Jamais ma queue n'avait été autant sollicitée. Elle en était presque douloureuse. J'imaginais Fabienne quand elle avait subi de multiple gang-bangs et je comprenais son analyse mitigée avec le dégoût mais l'envie de le refaire. Fabienne avait retrouvé sa robe et avait mis un lien autour de la taille pour la tenir à peu près fermée. Elle semblait satisfaite :
- Nous voici à armes égales, mon cher !


images similaires


Si cette soirée paraissait avoir été un succès, nous étions pourtant loin de maîtriser la puissance de ces sortilèges et nous allions rapidement en faire les frais.

Episode précédent <<< Le fétiche : 13. Retour de bâton >>> Episode suivant

Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote
http://lisastory.free.fr - site réservé aux adultes, strictement interdit aux moins de 18 ans - dernière mise à jour : 7 juin 2025 - Remonter