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Boris
1er avril 2016
Le fétiche : 12. Daphnée


Daphnée répondit rapidement à notre courrier. Elle nous indiquait pouvoir venir dès la semaine suivante. On lui paya ses billets d'avion et elle nous dit pouvoir se débrouiller pour venir jusque chez nous. C'était une journée d'été étouffante et un orage éclata en fin d'après-midi, juste au moment où nous attendions notre invitée. Fabienne était dans la chambre quand on sonna à la porte. En ouvrant à Daphnée, je fus éberlué de la découvrir trempée de la tête au pied. Sa robe était devenue totalement transparente et elle ne portait absolument rien en dessous. Je sentis mon sexe se tendre à cette seule vision.
- Bonsoir Cédric...



- Bonsoir Daphnée. Vous avez été prise sous l'averse ?
- On ne peut rien vous cacher. Je n'avais pas prévu qu'il puisse y avoir en France des orages comme par chez nous... Je me suis laissée surprendre.
- Entrez, je vais vous chercher une serviette...
- Non, laissez, Cédric, je pense que je vais tout de suite prendre une douche si ça ne vous dérange pas.
Je n'eus pas le temps de fermer la porte et de lui dire que ça ne posait pas de problème qu'elle commençait déjà à se débarrasser de sa robe trempée, sans la moindre pudeur.



Je lui indiquai la salle de bain et la laissai pour prévenir Fabienne de son arrivée :
- Voilà, les serviettes sont sous le lavabo et vous pouvez prendre les gels douche de Fabienne.
- Attendez, Cédric. Pendant que je me douche, j'aimerai que vous m'expliquiez en détail la situation.
Je retrouvais avec plaisir la désinvolture de Daphnée qui commençait à se doucher devant moi en attendant mon histoire. Malgré le trouble que m'inspirait le spectacle qu'elle me donnait, je lui racontai en détail les différentes découvertes que nous avions faites de l'utilisation de la statuette.



Fabienne vint me rejoindre alors que je terminais mon récit et que Daphnée se séchait. Elle ne semblait pas s'en faire de me trouver en présence de Daphnée nue :
- Bonsoir Daphnée, vous avez fait bon voyage ?
- Très bien, merci. Cédric vient de m'expliquer votre souci avec le fétiche. Je vois que vous êtes partagés entre l'envie de continuer à utiliser le fétiche pour pimenter votre sexualité et la peur qu'à force, Fabienne ne devienne plus qu'un jouet.
Elle posa la serviette et demanda :
- Fabienne, vous pouvez m'apporter ma valise, s'il vous plaît ?
Fabienne lui apporta et Daphnée en sortit un petit débardeur et un jeans qu'elle enfila sans rien d'autre.



Fabienne demanda :
- Qu'est-ce qu'on peut faire pour ne pas perdre le contrôle ? On peut vous la confier pour que vous la rameniez à votre frère ?
- Non, je pense à une autre solution qui serait plus en accord avec votre couple. Je m'en occupe demain et vous me direz si cette solution vous convient.
Après un repas léger durant lequel nous ne parvînmes pas à en savoir davantage sur la solution de Daphnée, nous allâmes nous coucher. J'eus une nuit agitée et fis des rêves très érotiques où apparaissaient Daphnée. Au réveil, j'avais une érection d'enfer et Fabienne le remarqua très vite :
- Mon pauvre Cédric, notre invité te met dans un drôle d'état. Laisse-moi t'arranger cela.
Elle me chevaucha pour me faire l'amour.



Elle avait remarqué que la porte de notre chambre était ouverte mais ne m'en avait rien dit. Daphnée était là et nous observait. A force de voir Fabienne tourner la tête, je me penchai un peu et je découvris que notre invitée était en train de se caresser l'entrejambe, manifestement assez en émoi de nous voir faire l'amour.



Voyant que je l'avais enfin vue, Fabienne lui dit :
- On n'utilise même pas la statuette ! Venez nous rejoindre si vous voulez ?
Daphnée ne se fit pas prier et vint nous rejoindre sur le lit. Je la sentis me caresser les testicules et je compris aux gémissements de Fabienne que Daphnée était en train de lui lécher l'anus.



Fabienne feulait de plaisir :
- Oh Daphnée ! Votre langue, c'est si bon...
Quand Daphnée s'arrêta, Fabienne lui dit :
- Venez vous installer sur la bouche de Cédric. Lui aussi est très habile de sa langue.
Daphnée ne discuta pas l'invitation et vint s'agenouiller en me mettant son entrejambe sur la bouche. Sa moule était trempée de mouille et je pouvais presque la boire tant il y en avait. J'entendais que les filles étaient en train de s'embrasser pendant ce temps.


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Daphnée gémissait elle aussi :
- Oh, c'est bon... On n'aurait pas dû vous donner ce fétiche, vous n'en aviez pas besoin...
Tout en continuant de monter et descendre sur ma verge tendue, Fabienne répondit :
- Vous n'imaginez pas ce que la statuette nous a fait découvrir ! On ne regrette rien...



Je continuai a faire coulisser ma langue dans le fente trempée de Daphnée et, à sa façon de respirer, je savais qu'elle appréciait beaucoup. Je tendais souvent ma langue pour pouvoir atteindre son clitoris gorgé de sang.
- Fabienne, vous avez de la chance que Cédric sache aussi bien sucer...
- Oui... Et c'est un excellent baiseur. La prochaine fois, c'est vous qui le chevaucherez.



C'était magique de pouvoir donner du plaisir à ces deux filles splendides mais c'était aussi un combat de se retenir pour ne pas éjaculer trop tôt car je voulais en profiter le plus longtemps possible. Daphnée eut un orgasme tandis que ma langue tournait sur son clitoris. Fabienne la suivit presque aussitôt. Je ne bougeai plus, de crainte de jouir moi aussi. Daphnée s'accroupit à côté de moi et m'embrassa. Je pus tendre la main entre ses cuisses pour lui caresser sa moule encore hypersensible. Je sentis que Fabienne se dégageait elle aussi et elle se mit à me sucer.



La voyant faire, Daphnée cessa son baiser et se tourna pour aider Fabienne à me sucer la tige. Je bandais comme jamais et je sentais bien qu'il allait être très difficile de ne pas éjaculer avec ces deux bouches qui s'activaient sur mon gland.



Je crus que j'allai défaillir quand Fabienne laissa sa place à Daphnée pour qu'elle puisse seule me pomper le gland, tandis qu'elle se glissait entre mes cuisses pour me lécher les couilles. C'était divin et j'étais à deux doigts d'abandonner toute résistance et de ma vider dans la bouche de la jolie métisse.


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Dans un ultime effort, je réussis à me concentrer pour ne pas jouir. Et à ce moment-là, Daphnée dit à Fabienne de s'arrêter :
- Arrêtez, Fabienne.
Daphné se redressa et regarda mon sexe turgescent et palpitant comme s'il s'agissait d'une découverte. Après une bonne minute d'observation silencieuse durant laquelle Fabienne me souriait avec pitié, Daphnée ajouta :
- J'aimerai que Cédric garde toutes ses ressources pour ce soir.
- Quoi ?! Mais vous ne pouvez pas me laisser comme ça ! J'étais prêt à jouir, là !
- Oui, je sais. Mais vous pouvez encore vous retenir et attendre la fin de journée, ce n'en sera que meilleur.
Puis, Daphnée sortit de la chambre et revint une minute plus tard vêtue d'une minirobe très sexy :
- Il faut que j'aille en ville. Je reviens en fin d'après-midi.



Elle s'en alla et on ne la revit pas de la journée. J'étais surexcité car je me doutais bien que Daphnée préparait quelque chose, peut être en lien avec la statuette mais surtout je gardai à l'esprit ce qu'elle avait suggéré pour le soir. Je demandai plusieurs fois à Fabienne de me soulager mais elle refusa systématiquement de manière catégorique. J'étais même tenté d'aller me masturber pour pouvoir me calmer.
En fin d'après-midi, Daphnée revint. Sa robe était débraillée et elle semblait fatiguée :
- Bonsoir...



Fabienne s'inquiéta :
- Tout va bien Daphnée ?
- Oui... J'ai pu commander ce que je voulais mais il m'a fallu payer de ma personne.
Elle était bien énigmatique et cela n'arrangeait pas mon excitation. Elle demanda à prendre une douche :
- Avant d'aller chercher ce que j'ai commandé, j'ai besoin de me rafraîchir un peu. Est-ce que je peux prendre une douche ?
- Bien sûr !
Elle avait déjà commencé à retirer sa robe et je crus distinguer sur ses seins quelques traces se sperme.



Daphnée fila à la salle de bain et, comme la veille, laissa la porte ouverte et m'appela :
- Cédric ?
Je ne la fis pas attendre et, déjà en érection, je vins profiter à nouveau du spectacle de cette magnifique métisse sous la douche.



- J'ai mis un temps fou à y aller et à revenir... Ce serait possible que vous m'emmeniez en voiture ?
- Pas de problème.
Elle sortit, se sécha et enfila une jolie robe rouge qui épousait parfaitement toutes les courbes de son corps.
- Fabienne, je vous enlève Cédric pour aller récupérer ma commande.
- Ok, à tout à l'heure.
Daphnée me donna l'adresse où on devait se rendre. Quand nous y arrivâmes, il s'agissait d'une impasse donnant sur l'arrière d'une rue commerçante. Nous sortîmes et Daphnée s'appuya contre le mur pour attendre.



- On attend quoi, Daphnée ?
- Que ce soit prêt, mais je pense que c'est une question de minutes. On est un peu en avance, c'est tout.
- Mais de quoi s'agit-il ?
- Vous êtes trop curieux, Cédric. Soyez patient...
Pendant qu'on attendait, je remarquai que la fermeture éclaire sur le côté de sa robe commençait à s'ouvrir et laissait apparaître le délicieux profil de son sein.



Je ne lui dis rien, profitant du spectacle. Mon sexe, encore gonflé et tendu, était bien à l'étroit dans mon pantalon et, si je n'avais pas été dehors dans la rue, je me serais sans doute libéré. Je fus encore plus à l'étroit quand Daphnée s'étira : la fermeture éclaire de la robe s'ouvrit encore davantage et son sein s'échappa, magnifique.



Daphnée se rendit compte de mon regard et pris conscience de son exhibition involontaire. Elle me fit un sourire et s'apprêta à rajuster sa robe quand un homme arriva. Daphnée se contenta de cacher sa nudité partielle avec sa main. L'homme portait avec un petit carton et me le tendit :
- Voilà, c'est terminé. Drôle de commande mais elle sait être persuasive votre femme...
Je ne relevai pas la remarque et pris le carton. Daphnée attendit que l'homme soit parti pour me dire :
- Surtout, ne l'ouvrez pas, Cédric. Nous pouvons rentrer.



Tout cela avait encore davantage piqué ma curiosité et mon sexe semblait ne plus vouloir débander. De retour à la maison, Fabienne remarqua aussitôt que je bandais :
- Oh, vous vous êtes amusés sans moi, tous les deux ?
- Même pas, nous sommes juste allés récupérer un paquet.
Comme j'étais bien excité, je me jetai sur ma femme pour la dépoitrailler et embrasser ses seins.


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Fabienne semblait se ficher du fameux paquet que tenait fièrement Daphnée et me libéra. Elle se mit aussitôt à me masturber. Daphné demanda :
- Fabienne, vous ne voulez pas savoir ce qu'il y a dans ce paquet ?
Fabienne était trop occupée à me branler et je profitai que Daphné était à portée de main pour lui remonter sa robe et lui tripoter la moule.



Daphnée oublia le paquet un instant tandis que mes doigts s'immisçaient entre les lèvres de son sexe. Fabienne acheva de se mettre nue et Daphnée retira aussi sa robe. J'en profitai pour également me mettre nu et présenter aux filles mon sexe tendu qui avait hâte que l'on s'occupe de lui. Daphnée tendit le paquet à Fabienne :
- Ouvre, c'est pour toi.
J'allais enfin savoir de quoi il s'agissait :
- Alors, qu'est-ce que c'est ?
Daphnée me sourit en me caressant les couilles :
- C'est une copie conforme, Cédric.



Fabienne ouvrit le paquet. Avant que je ne vois ce qu'elle en sortait, mon sexe se dressa et se tendit d'un seul coup. J'avais subitement une irrépressible envie de faire l'amour et de jouir. Daphnée semblait très contente d'elle en voyant mon sexe dressé comme un pieu. Derrière elle, je vis Fabienne qui tenait un godemiché de couleur chair et qui commençait à le sucer.


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C'était incroyable : j'avais l'impression que c'est moi qu'elle suçait ! En voyant mon visage incrédule et un peu apeuré par l'effet de ce nouveau sortilège, Daphnée m'expliqua la situation :
- Cet olisbos en résine naturelle est la réplique exacte de votre sexe. J'ai le même pouvoir que mon frère, Siro... Cet olisbos agit avec vous exactement comme la statuette pour Fabienne. Ainsi vous êtes désormais à armes égales.
Fabienne se mit à se caresser la moule avec le bout de l'olisbos, déclenchant des frémissements de mon gland.



C'était stupéfiant. Daphnée donna quelques directives à Fabienne :
- Tant que vous tiendrez cet olisbos, Cédric aura envie de faire l'amour. Si vous vous caressez avec, vous pouvez même le faire éjaculer.
Daphnée me fit asseoir et s'empala sur moi.


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Je n'avais pas besoin de bouger et Daphnée non plus : mon sexe semblait doué d'une vie propre et se tendait d'avant en arrière dans le sexe de Daphnée. Mais c'était Fabienne qui était responsable de ces mouvements tandis qu'elle faisait coulisser la copie conforme de mon sexe dans sa moule en gémissant :
- Oh Daphnée ! J'ai l'impression que le gode grossit en moi !


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- C'est normal. Le plaisir que reçoit Cédric se traduit par un gonflement de l'olisbos, de même que le plaisir que donne l'olisbos fait gonfler le sexe de Cédric...
Effectivement, mon sexe grossissait et finit par donner un orgasme à Daphnée. Elle nous offrait là un délicieux sortilège.



Quand Daphnée fut remise, elle dit à Fabienne de ne pas s'arrêter car je n'avais pas encore joui. Fabienne sortit pourtant le gode de son sexe mais, elle me connaissait bien, elle le fit pénétrer dans son cul. Daphnée me laissa. J'avais le sexe palpitant, terriblement gonflé. Je crois que je ne l'avais jamais vu aussi gros. Fabienne s'arrêta de se branler le cul, elle aussi terrassée par un orgasme.


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Quand elle le lâcha, ce fut comme si elle venait de libérer soudainement la pression. Je me mis à éjaculer soudain comme jamais je n'avais éjaculé, alors que mon sexe était libre. Un jet de sperme incroyable gicla et alla s'écraser sur les fesses de ma femme qui se trouvait pourtant à plus de trois mètres de moi.


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Fabienne n'en revenait pas. Elle sortit le gode de son anus et se tourna vers moi :
- Comment tu as fait ça ?
- Je n'en sais rien... C'est dingue !
Daphnée rigolait en voyant l'expression d'incrédulité de Fabienne.



Le reste de mon sperme s'écoula lentement de ma tige et s'égoutta en glissant sur mes couilles. Cette seule sensation, subtile, était agréable après l'énorme pression qu'avait subie ma queue. Je rejoignis Fabienne au moment où elle se redressait :
- Ma chérie, nous voilà à armes égales...
- La solution de Daphnée est donc de me permettre de te faire subir ce que tu me fais subir ?
Je ne répondis pas mais j'étais assez d'accord avec ce principe. Fabienne me flatta les bourses :
- Je crois qu'on va bien s'amuser avec cet olisbos.



Puis elle se tourna et m'embrassa. C'était un baiser à la fois tendre et terriblement érotique. Fabienne s'agenouilla et se mit à me lécher la tige comme si elle voulait me nettoyer. Daphnée vint s'agenouiller à côté d'elle et se mit à me sucer les couilles. Ces deux bouches sur ma virilité étaient absolument divines et laissait augurer une fin de soirée très sympathique.


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